Adam et Ève partie 4 ( le choix : la cage ou la castration)

Récit érotique écrit par Adam35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Adam et Ève partie 4 ( le choix : la cage ou la castration)
Mon maître Samuel avait tenue parole et m'avait bien enlevé ma cage.
Samuel : aller suis moi je vais te faire voir un spectacle qui va te plaire.
Moi : je ne peux pas sortir comme ça maître Samuel.
Samuel : tu es parfaite et rassure toi on ne voit même pas ton petit zizi tout raide.
C'est mort de honte que suivait Samuel jusqu'à la porcherie.
Paul nous attendait accoudé au mur d'entrée de la porcherie. En me voyant il siffla de contentement.
Paul : wahou, magnifique ma petite cochonne tu es splendide avec ton petit collier rose, ton plug cochon, ton sert tête en forme d'oreille et ton grouin et en plus tu m'as l'air contente à en voir Paupaule bien raide.
Les 2 frères se mirent à rire.
J'étais très gêné par la situation et à la vue de tout le monde.
Paul : viens donc voir le spectacle ma petite Ève.
J'avance vers la porte et découvre un vieil homme assis. Je recule immédiatement complexé par ma nudité et mon érection qui n'en finit pas. Paul me rattrape pas l'épaule.
Paul : cool Ève, c'est Roger notre stérilisateur de cochon. Il est presque complètement aveugle.
J'étais rassuré.
Moi : il fait quoi au juste ?
Paul : et bien regarde, c'est un artiste dans son domaine.
5 cochons étaient sur un tapis roulant, la tête coincée dans un pilori en bois et les 4 pieds sanglés à des piquets métalliques. Ils allaient en marche arrière. Au bout du tapis se trouvait Roger sur un tout petit tabouret avec plein d'ustensiles disposés autour de lui. Les cochons étaient tous immobiles mais poussaient de petits cris aigus parfois.
Roger avait la position idéale pour manipuler leurs attributs. Rogers commence par caresser les fesses du cochon et s'attarde sur sa queue. Puis il descend jusqu'au pénis de l'animal qu'il caresse de haut en bas plusieurs fois.
Samuel : il est tellement doué qu'il arrive à faire jouir certains cochons.
Puis Roger soupèse les lourdes bourses de l'animal en faisant souvent un commentaire.
Rogers : alors là on est sur du lourd les enfants. Grillé avec du persil ça sera délicieux.
Il commence à caresser les deux orphelines avec une main pendant que l'autre attrape une huile désinfectante qu'il badigeonne avec douceur comme un objet fragile. Il remonte jusqu'au pénis et récupère de son autre main une sorte d'étui dans lequel il fait glisser le sexe maintenant en érection du cochon. A la base il attache grâce à une petite cordelette le dispositif entre le scrotum et les bourses pour bien les dégager.
Le vieil homme prend alors une grosse seringue. Et caresse toujours les couilles de l'animal et d'un geste sûr pique entre les deux grosses boules laissant échapper un cri perçant à ce pauvre cochon. Il injecté alors l'anesthésiant.
Roger attend alors patiemment quelques minutes que l'anesthésie fasse effet puis à l'aide d'un scalpel libère les 2 grosses boules des bourses encore maintenues par un cordon qu'il sectionne d'un coup sec pour les récupérer dans un plateau. Quelques points de sutures finissent l'opération.
Paul : alors ma petite Ève pas trop traumatisée ?
Moi : non maître Paul.
Paul : tu ne trouves pas qu'il est doué ce Roger. Tu as remarqué comme l'animal ne souffre pas ?
J'étais surpris de cette complicité. Les 2 garçons discutaient avec moi sans méchanceté. Samuel s'occupait de préparer les cochons à la castration et Paul les récupérait à la fin.
Samuel : j'ai une idée les gars. Et si on faisait une bonne blague à Roger.
Paul : tu veux lui faire quoi à ce pauvre homme ?
Samuel : et si on mettait Ève à la place d'un cochon histoire de voir si il fait la différence ?
Paul : Excellent ça !
Moi : non merci les amis, enfin maître Samuel et Maître Paul.
Samuel : qu'est ce que tu es coincé. Mais je comprends.
Paul : c'est con ça aurait été marrant. On a pas souvent l'occasion de rigoler ici.
Sur ce point Paul n'avait pas tord mais ma dignité aurait été encore un peu plus rabaissée.
Paul : en plus on commençait enfin à t'apprécier. Mais bon on respecte.
Dit il en me passant la main dans les cheveux.
A ce moment là je ne sais pas pourquoi j'avais envie de les suivre dans leur délire.
Moi : bon ok mais je vous fais confiance les gars pas d'entourloupe.
Samuel : tu vas voir on va bien s'amuser et je suis sur que tu vas y prendre un certain plaisir petit coquin.
Me dit-il en clignant de l'oeil.
Paul : bon allez dépêches toi tu seras le prochain cochon. Samuel prépare le, dépêches toi.
En deux minutes je me retrouvais a 4 pattes, la tête dans le pilori et Samuel me sanglant les mains et les genoux.
Moi : ce n'est peut-être pas nécessaire de m'attacher ?
Samuel : on voit bien que tu ne connais pas le père Roger.. Voilà tu es prêt. J'allais oublier la boule dans la bouche.
Moi : non ça ce n'est pas au programme parcontre.
Samuel : trop tard t'as plus le choix. C'est pour t'obliger à faire le bruit du cochon par le nez. Allez à tout de suite ma petite cochonne.
A ce moment là je réalisa ma terrible erreur. Pourquoi ai-je été si naïf. Je me sentais comme les cochons, pris au piège.
Je sentis le tapis roulant reculer vers le vieil homme puis s'arrêter.
Aussitôt je sentis sa main lisse passer sur mes fesses pour les caresser puis il tira quelques coups sur ma queue ce que raviva mon excitation bien malgré moi. Je n'avais d'ailleurs toujours pas débandé.
Roger : c'est quoi ce petit cochon, va falloir le nourrir un peu plus.
Le voilà arrivé sur mon gland qu'il caresse habilement pour descendre à la base de ma verge en érection.
Roger : c'est pas ben gros tout ça mais quand même vigoureux.
C'était la première fois qu'un homme me touchait la queue. Un drôle de sensation m'envahit. Roger faisait plusieurs allés retours ce qui m'excitait.
Samuel s'avance discrètement vers moi en me demandant dans l'oreille de faire le bruit du cochon.
Pris dans l'excitation je m'exécute et découvre Paul munit d'une caméra sur pied afin d'immortaliser la scène selon ses mots.
J'étais humilié comme jamais je ne l'avais été.
Roger se mit à soupeser mes bourses.
Roger : putain, c'est quoi ces couilles de porcinet. Vous êtes sur qu'il à l'âge d'être cadastré les gars ?
Paul : oui oui Roger, t'inquiète il est très chétif c'est pour ça qu'il ne faut pas qu'il se reproduise.
Je ne savais pas si Paul voulait rire ou si il le pensait vraiment.
Roger faisait tourner mes noisettes sur elles même. C'était très agréable.
Je continuais le cri du cochon pendant ce temps là. Je sentis Roger enfiler ma bite dans l'étui et sangler mes bourses qui étaient à sa merci.
Soudain je sentis un gel froid sur mes bourses et repensais au déroulement des opérations et surtout à la suite. Le gel commençait à me chauffer. Roger s'amusait avec mon sexe et je sentis un sentiment de plénitude m'envahir que je ne pus longtemps contenir. Je laissais expulser dans un cri de truie en chaleur tout mon foutre dans la main du pauvre Roger.
Roger : en voilà encore un qui a pris son dernier plaisir. Bon aller mon beau c'est fini pour toi tout ça. Roger va faire tomber ta virilité.
Pris de panique je me mis à hurler comme une truie à travers mon bâillon comme un cochon que l'on étouffe. J'essayais tant bien que mal de me détacher. Je bougeais dans tous les sens essayant de capter du regard mes deux frères qui faisaient mine de ne pas m'entendre.
Je commençais à pleurer à renifler mes larmes. Mes yeux suppliaient mes bourreaux.
Soudain je sentis la piqûre de la seringue d'anesthésiant me transpercer les bourses puis pénétrer jusqu'à la base de mon pénis.
Une sensation de fraîcheur envahit mes bourses. Je prends conscience de la gravité de la situation. Je me débats comme un diable.
Roger : bon tu vas arrêter de gesticuler comme ça mon beau sinon moi je coupe tout y compris la saucisse. Et il y a bien longtemps que j'en ai pas mangé une.
Samuel fini par s'approcher de moi.
Samuel : qu'est ce que tu dis Ève ? Tu as entendu parler Paul.
Paul : vaguement
Je pleurais toutes les larmes de mon corps. Je criais en bavant.
Samuel enleva la boule qui me servait de bâillon.
Samuel : qu'est ce qui te met dans cet état ma petite cochonne ?
Moi : je vous en supplie maître épargnez moi je ferai tout ce que vous voulez.
Samuel : c'est à dire ? Sois plus clair Ève. Explique face à la caméra ce que tu veux et ce que tu es.
Roger : bon on discute ou on bosse. Je fais quoi je coupe tout ou juste les boules ?
Moi : non...non... attendez..
Le Gel et l'anesthésiant avaient fait leur effet et malheureusement je ne sentais plus rien. J'ignorais à ce moment là si j'étais toujours un homme ou un eunuque.
Je regardais la caméra et bien fort me voilà à dire tout ce qu'ils voulaient entendre.
Moi : je suis Adam mais je veux que l'on m'appelle Ève car je ne mérite pas d'être un homme avec ma très petite bite et mes deux noisettes. Je suis un sous homme une merde et j'ai deux maîtres Samuel et Paul.
Samuel : et qu'est ce que l'on doit faire de ton service 3 pièces alors parce que moi je suis un peu perdu ?
Moi : je n'en ai pas besoin maître il faut le mettre définitivement en cage.
Samuel : tu es sûr Ève ? On peut les couper c'est plus rapide et plus sûr.
Moi : non je vous en supplie. Elles ne serviront plus jamais.
Samuel :C'est une grave décision tu sais ?
Moi : oui maître je le veux. Je veux devenir votre soumis, votre pute, votre salope. Répondre à vos ordres et m'occuper uniquement de votre jouissance.
Samuel : ok ok mais tu vas vivre et dormir où ?
Pris dans la précipitation et la peur au ventre je m'entends dire :
Moi : nu avec les chiens maître, à votre convenance mais je vous en supplie faites vite...
Samuel : avec les chiens, mais Ève cela veut dire que tu te considère comme une chienne ?
Moi : oui maître, je suis votre chienne.
Samuel : bon on va faire un essai alors. Roger as tu coupé ?
Roger : presque...
Samuel : on arrête tout.
Roger : j'y suis presque. Tu es sûr ?
Samuel : allez Paul détache notre cochonne
Moi : merci, merci Maître Samuel. Vous ne le regretterez pas. Merci...
Paul : t'es con Samuel. On va le regretter. Il n'aurait rien senti en plus et on était sur qu'il ne se reproduira pas.
Samuel : et tu penses aux parents ?
Paul : parce que tu crois qu'il serait allé se plaindre qu'il n'a plus de couilles ? En plus avec toutes les vidéos de lui en train de se goder...
Depuis le début j'étais filmé à mon insu même dans ma chambre. Je repensais à tout ce que j'avais pu faire nu sur mon lit.
Paul me tendit la cage.
Paul : tiens il me semble que c'est pour toi.
Je tenais à peine sur mes jambes. Je vérifie instinctivement l'état de mon service 3 pièces. Tout était là.
Moi : merci Maître Paul.
Je tremblais comme une feuille et pleurait comme un enfant. Je remis péniblement ma cage sur ma bite baveuse de sperme et renferma mes couilles dans leur coquille et confia la clé à mes maîtres.
Paul : il faudra prévoir une cage plus petite Samuel. Regarde je suis sur qu'il peut encore bander un peu. N'est ce pas salope ?
Moi : oui maître Paul. La cage est beaucoup trop grande pour mon petit zizi et mes noyaux de cerises.
Samuel : ok je vais étudier la question. Ève tout les matins tu commenceras pas ton lavement et tu mettras ton plug à queue de chien.
Nous viendrons te chercher pour faire ta balade en même temps que tes nouveaux amis. En revenant tu enfileras le plug rubis sauf si on en décide autrement. Tu iras ensuite faire la toilette de grand père et faire à manger et le ménage.
Moi : bien maître
Paul : et je récupère ta chambre.
Moi : bien maître Paul. Je vais dormir où ?
Paul : A ton avis sale chienne ?
Je repensais à ce que j'avais dit devant la caméra sous le coup de la peur. J'étais sans voix et blème.
Samuel : le soir tu remets ton plug chien pour ta nouvelle balade. Ok c'est clair ?
Moi : oui maître.
Qu' allais je devenir ? Comment va se passer le retour des parents ?
Samuel : aller suis moi je vais te faire voir un spectacle qui va te plaire.
Moi : je ne peux pas sortir comme ça maître Samuel.
Samuel : tu es parfaite et rassure toi on ne voit même pas ton petit zizi tout raide.
C'est mort de honte que suivait Samuel jusqu'à la porcherie.
Paul nous attendait accoudé au mur d'entrée de la porcherie. En me voyant il siffla de contentement.
Paul : wahou, magnifique ma petite cochonne tu es splendide avec ton petit collier rose, ton plug cochon, ton sert tête en forme d'oreille et ton grouin et en plus tu m'as l'air contente à en voir Paupaule bien raide.
Les 2 frères se mirent à rire.
J'étais très gêné par la situation et à la vue de tout le monde.
Paul : viens donc voir le spectacle ma petite Ève.
J'avance vers la porte et découvre un vieil homme assis. Je recule immédiatement complexé par ma nudité et mon érection qui n'en finit pas. Paul me rattrape pas l'épaule.
Paul : cool Ève, c'est Roger notre stérilisateur de cochon. Il est presque complètement aveugle.
J'étais rassuré.
Moi : il fait quoi au juste ?
Paul : et bien regarde, c'est un artiste dans son domaine.
5 cochons étaient sur un tapis roulant, la tête coincée dans un pilori en bois et les 4 pieds sanglés à des piquets métalliques. Ils allaient en marche arrière. Au bout du tapis se trouvait Roger sur un tout petit tabouret avec plein d'ustensiles disposés autour de lui. Les cochons étaient tous immobiles mais poussaient de petits cris aigus parfois.
Roger avait la position idéale pour manipuler leurs attributs. Rogers commence par caresser les fesses du cochon et s'attarde sur sa queue. Puis il descend jusqu'au pénis de l'animal qu'il caresse de haut en bas plusieurs fois.
Samuel : il est tellement doué qu'il arrive à faire jouir certains cochons.
Puis Roger soupèse les lourdes bourses de l'animal en faisant souvent un commentaire.
Rogers : alors là on est sur du lourd les enfants. Grillé avec du persil ça sera délicieux.
Il commence à caresser les deux orphelines avec une main pendant que l'autre attrape une huile désinfectante qu'il badigeonne avec douceur comme un objet fragile. Il remonte jusqu'au pénis et récupère de son autre main une sorte d'étui dans lequel il fait glisser le sexe maintenant en érection du cochon. A la base il attache grâce à une petite cordelette le dispositif entre le scrotum et les bourses pour bien les dégager.
Le vieil homme prend alors une grosse seringue. Et caresse toujours les couilles de l'animal et d'un geste sûr pique entre les deux grosses boules laissant échapper un cri perçant à ce pauvre cochon. Il injecté alors l'anesthésiant.
Roger attend alors patiemment quelques minutes que l'anesthésie fasse effet puis à l'aide d'un scalpel libère les 2 grosses boules des bourses encore maintenues par un cordon qu'il sectionne d'un coup sec pour les récupérer dans un plateau. Quelques points de sutures finissent l'opération.
Paul : alors ma petite Ève pas trop traumatisée ?
Moi : non maître Paul.
Paul : tu ne trouves pas qu'il est doué ce Roger. Tu as remarqué comme l'animal ne souffre pas ?
J'étais surpris de cette complicité. Les 2 garçons discutaient avec moi sans méchanceté. Samuel s'occupait de préparer les cochons à la castration et Paul les récupérait à la fin.
Samuel : j'ai une idée les gars. Et si on faisait une bonne blague à Roger.
Paul : tu veux lui faire quoi à ce pauvre homme ?
Samuel : et si on mettait Ève à la place d'un cochon histoire de voir si il fait la différence ?
Paul : Excellent ça !
Moi : non merci les amis, enfin maître Samuel et Maître Paul.
Samuel : qu'est ce que tu es coincé. Mais je comprends.
Paul : c'est con ça aurait été marrant. On a pas souvent l'occasion de rigoler ici.
Sur ce point Paul n'avait pas tord mais ma dignité aurait été encore un peu plus rabaissée.
Paul : en plus on commençait enfin à t'apprécier. Mais bon on respecte.
Dit il en me passant la main dans les cheveux.
A ce moment là je ne sais pas pourquoi j'avais envie de les suivre dans leur délire.
Moi : bon ok mais je vous fais confiance les gars pas d'entourloupe.
Samuel : tu vas voir on va bien s'amuser et je suis sur que tu vas y prendre un certain plaisir petit coquin.
Me dit-il en clignant de l'oeil.
Paul : bon allez dépêches toi tu seras le prochain cochon. Samuel prépare le, dépêches toi.
En deux minutes je me retrouvais a 4 pattes, la tête dans le pilori et Samuel me sanglant les mains et les genoux.
Moi : ce n'est peut-être pas nécessaire de m'attacher ?
Samuel : on voit bien que tu ne connais pas le père Roger.. Voilà tu es prêt. J'allais oublier la boule dans la bouche.
Moi : non ça ce n'est pas au programme parcontre.
Samuel : trop tard t'as plus le choix. C'est pour t'obliger à faire le bruit du cochon par le nez. Allez à tout de suite ma petite cochonne.
A ce moment là je réalisa ma terrible erreur. Pourquoi ai-je été si naïf. Je me sentais comme les cochons, pris au piège.
Je sentis le tapis roulant reculer vers le vieil homme puis s'arrêter.
Aussitôt je sentis sa main lisse passer sur mes fesses pour les caresser puis il tira quelques coups sur ma queue ce que raviva mon excitation bien malgré moi. Je n'avais d'ailleurs toujours pas débandé.
Roger : c'est quoi ce petit cochon, va falloir le nourrir un peu plus.
Le voilà arrivé sur mon gland qu'il caresse habilement pour descendre à la base de ma verge en érection.
Roger : c'est pas ben gros tout ça mais quand même vigoureux.
C'était la première fois qu'un homme me touchait la queue. Un drôle de sensation m'envahit. Roger faisait plusieurs allés retours ce qui m'excitait.
Samuel s'avance discrètement vers moi en me demandant dans l'oreille de faire le bruit du cochon.
Pris dans l'excitation je m'exécute et découvre Paul munit d'une caméra sur pied afin d'immortaliser la scène selon ses mots.
J'étais humilié comme jamais je ne l'avais été.
Roger se mit à soupeser mes bourses.
Roger : putain, c'est quoi ces couilles de porcinet. Vous êtes sur qu'il à l'âge d'être cadastré les gars ?
Paul : oui oui Roger, t'inquiète il est très chétif c'est pour ça qu'il ne faut pas qu'il se reproduise.
Je ne savais pas si Paul voulait rire ou si il le pensait vraiment.
Roger faisait tourner mes noisettes sur elles même. C'était très agréable.
Je continuais le cri du cochon pendant ce temps là. Je sentis Roger enfiler ma bite dans l'étui et sangler mes bourses qui étaient à sa merci.
Soudain je sentis un gel froid sur mes bourses et repensais au déroulement des opérations et surtout à la suite. Le gel commençait à me chauffer. Roger s'amusait avec mon sexe et je sentis un sentiment de plénitude m'envahir que je ne pus longtemps contenir. Je laissais expulser dans un cri de truie en chaleur tout mon foutre dans la main du pauvre Roger.
Roger : en voilà encore un qui a pris son dernier plaisir. Bon aller mon beau c'est fini pour toi tout ça. Roger va faire tomber ta virilité.
Pris de panique je me mis à hurler comme une truie à travers mon bâillon comme un cochon que l'on étouffe. J'essayais tant bien que mal de me détacher. Je bougeais dans tous les sens essayant de capter du regard mes deux frères qui faisaient mine de ne pas m'entendre.
Je commençais à pleurer à renifler mes larmes. Mes yeux suppliaient mes bourreaux.
Soudain je sentis la piqûre de la seringue d'anesthésiant me transpercer les bourses puis pénétrer jusqu'à la base de mon pénis.
Une sensation de fraîcheur envahit mes bourses. Je prends conscience de la gravité de la situation. Je me débats comme un diable.
Roger : bon tu vas arrêter de gesticuler comme ça mon beau sinon moi je coupe tout y compris la saucisse. Et il y a bien longtemps que j'en ai pas mangé une.
Samuel fini par s'approcher de moi.
Samuel : qu'est ce que tu dis Ève ? Tu as entendu parler Paul.
Paul : vaguement
Je pleurais toutes les larmes de mon corps. Je criais en bavant.
Samuel enleva la boule qui me servait de bâillon.
Samuel : qu'est ce qui te met dans cet état ma petite cochonne ?
Moi : je vous en supplie maître épargnez moi je ferai tout ce que vous voulez.
Samuel : c'est à dire ? Sois plus clair Ève. Explique face à la caméra ce que tu veux et ce que tu es.
Roger : bon on discute ou on bosse. Je fais quoi je coupe tout ou juste les boules ?
Moi : non...non... attendez..
Le Gel et l'anesthésiant avaient fait leur effet et malheureusement je ne sentais plus rien. J'ignorais à ce moment là si j'étais toujours un homme ou un eunuque.
Je regardais la caméra et bien fort me voilà à dire tout ce qu'ils voulaient entendre.
Moi : je suis Adam mais je veux que l'on m'appelle Ève car je ne mérite pas d'être un homme avec ma très petite bite et mes deux noisettes. Je suis un sous homme une merde et j'ai deux maîtres Samuel et Paul.
Samuel : et qu'est ce que l'on doit faire de ton service 3 pièces alors parce que moi je suis un peu perdu ?
Moi : je n'en ai pas besoin maître il faut le mettre définitivement en cage.
Samuel : tu es sûr Ève ? On peut les couper c'est plus rapide et plus sûr.
Moi : non je vous en supplie. Elles ne serviront plus jamais.
Samuel :C'est une grave décision tu sais ?
Moi : oui maître je le veux. Je veux devenir votre soumis, votre pute, votre salope. Répondre à vos ordres et m'occuper uniquement de votre jouissance.
Samuel : ok ok mais tu vas vivre et dormir où ?
Pris dans la précipitation et la peur au ventre je m'entends dire :
Moi : nu avec les chiens maître, à votre convenance mais je vous en supplie faites vite...
Samuel : avec les chiens, mais Ève cela veut dire que tu te considère comme une chienne ?
Moi : oui maître, je suis votre chienne.
Samuel : bon on va faire un essai alors. Roger as tu coupé ?
Roger : presque...
Samuel : on arrête tout.
Roger : j'y suis presque. Tu es sûr ?
Samuel : allez Paul détache notre cochonne
Moi : merci, merci Maître Samuel. Vous ne le regretterez pas. Merci...
Paul : t'es con Samuel. On va le regretter. Il n'aurait rien senti en plus et on était sur qu'il ne se reproduira pas.
Samuel : et tu penses aux parents ?
Paul : parce que tu crois qu'il serait allé se plaindre qu'il n'a plus de couilles ? En plus avec toutes les vidéos de lui en train de se goder...
Depuis le début j'étais filmé à mon insu même dans ma chambre. Je repensais à tout ce que j'avais pu faire nu sur mon lit.
Paul me tendit la cage.
Paul : tiens il me semble que c'est pour toi.
Je tenais à peine sur mes jambes. Je vérifie instinctivement l'état de mon service 3 pièces. Tout était là.
Moi : merci Maître Paul.
Je tremblais comme une feuille et pleurait comme un enfant. Je remis péniblement ma cage sur ma bite baveuse de sperme et renferma mes couilles dans leur coquille et confia la clé à mes maîtres.
Paul : il faudra prévoir une cage plus petite Samuel. Regarde je suis sur qu'il peut encore bander un peu. N'est ce pas salope ?
Moi : oui maître Paul. La cage est beaucoup trop grande pour mon petit zizi et mes noyaux de cerises.
Samuel : ok je vais étudier la question. Ève tout les matins tu commenceras pas ton lavement et tu mettras ton plug à queue de chien.
Nous viendrons te chercher pour faire ta balade en même temps que tes nouveaux amis. En revenant tu enfileras le plug rubis sauf si on en décide autrement. Tu iras ensuite faire la toilette de grand père et faire à manger et le ménage.
Moi : bien maître
Paul : et je récupère ta chambre.
Moi : bien maître Paul. Je vais dormir où ?
Paul : A ton avis sale chienne ?
Je repensais à ce que j'avais dit devant la caméra sous le coup de la peur. J'étais sans voix et blème.
Samuel : le soir tu remets ton plug chien pour ta nouvelle balade. Ok c'est clair ?
Moi : oui maître.
Qu' allais je devenir ? Comment va se passer le retour des parents ?
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très très bandant !
C'est long la....
Vite à quand la suite ???
Mhmmm les choses deviennent sérieuses miam
Trop cool j´en mouille mon slibard
Hâte de lire la suite

