Adrien

- Par l'auteur HDS Balista43 -
Récit érotique écrit par Balista43 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Adrien Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Adrien
Protagonistes :
• Julo 45 ans, l’amant de Madeleine ivrogne et vit au crochet
• Madeleine 38 ans, divorcée avec un enfant à charge.
• Adrien, 19 ans, étudiant et expert en arts martiaux. Un jeune noir qu’elle a recueilli et qu’elle prend comme filleul.

Un soir de novembre, alors que les moules se parent à la mue de novembre1, dans une petite maison du bord de mer :

• Aïe, arrête salaud, tu me fais horriblement mal. Arrête ! je te dis
• …
Voila ce qu’Adrien entend souvent le soir depuis sa chambre.
La réponse de ce soir ne le laisse pas insensible :

• Tais-toi connasse, réservoir à bites, apprécie.

Il s’ensuit le bruit d’une courte bataille puis au milieu des pleurs, Adrien entend les gémissements d’un sommier sur sollicité qui se finissent par un crac de mauvais augure et c’est la fin de la Bérézina. Ce soir c’était la goutte qui a fait débordé le vase. Ni une ni deux, Adrien sort de sa chambre pour aller dans cette femme qui l’héberge. Il la trouve sur le ventre, les bras et les jambes attachés au montant du lit et le cul béant avec le sperme qui dégurgite et le corps couvert de bleus, sanglotant sur son malheur.
À côté, vautré, son Julot d’amant, une fois les couilles vidées et son affaire rondement menée, s’est endormi avec le sentiment d’avoir bien mené son action et mérité sa pension.
Erreur fatale.
Adrien le saisit par le collet et le met debout.

• Julot, tu as trois minutes pour ramasser tes affaires et vider les lieux. Si cela ne te convient pas, je mets tes affaires par la fenêtre. Surtout ne t’avise plus jamais de revoir ma bienfaitrice, sinon je te démolis.

Julot, encore un peu dans les vapes, comprend que cela a mal tourné, mais ce mioche qu’est-ce qu’il a à me commander. Il sort son opinel en voulant l’impressionner.
Il a oublié que Adrien est 4ème dans de Karaté et pas comme lui, c’est pas un cas raté.
D’une manchette bien appliquée, le couteau gicle et une petite prise à l’épaule pour immobiliser. Mais Julot dans une fierté mal placée, veut se libérer, mal lui en chaut, Crac et c’est l’épaule qui est démise.

• aie tu es fou hure Julot de douleur.
• Cela ne remet pas en question le délai que tu as pour te ramasser.
• Il te reste exactement 2 minutes et demi pour vider les lieux.

Julot en gémissant ramasse ses cliques et ses claques et vide les lieux en claquant la porte.

• Bon débarras commente Adrien.
• Merci mon chéri, détache-moi stp.
• Oui mam chérie. Qu’est-ce qu’il lui a pris à ce con.
• Cela venait de plus en plus pénible, il me faisait de plus en plus mal. Pleurniche sa Madeleine.

Adrien détache sa Madeleine et lui aide à aller se rafraîchir et nettoyer les affronts de cette nuit et lui aide à se coucher.

• je vais essayer de réparer les dégâts, j’ai vu que l’abruti il t’a déchiré le trou du cul, je vais mettre un peu de bétadine pour pas que cela s’infecte.
• Oh ! Oui, mais fais doucement j’ai vraiment mal.

Madeleine se met à 4 pattes et présentant son arrière-train endommagé à Adrien qui revient de la salle de bain avec le tube réparateur.
Doucement, il met un peu sur l’index et commence à le mettre sur les bords du rectum pour d’une part arrêter le saignement et pour désinfecter.

• Mets aussi un peu à l’intérieur, mais très doucement stp.
• Oui Madeleine.

Délicatement, le doigt bien enduit, il commence à masser l’intérieur du gros intestin, il garnit bien tout l’anneau culier, si mis à mal.
Madeleine, commence à ne plus sentir la douleur, mais un certain plaisir à ce traitement très doux fait par Adrien, mais est encore plus surprise en voyant la déformation du training au niveau de l’aine. (C’est pas vrai, cela le fait bander! Se dit-elle.)

• Reste avec moi, je ne veux pas dormir seule.
• Si tu veux, je comprends que tu aies besoin de réconfort.

Il va chercher ses affaires et se met au lit avec sa Madeleine qui s’est entre-temps mise dans une tenue plus présentable.
Au milieu de la nuit, Adrien sent que sa Madeleine se pelotonne tremblante contre lui et délicatement il la prend dans ses bras.

• C’est fini, le mauvais partenaire est loin, ton cauchemar est terminé.

Il la caresse doucement pour la calmer, après un moment, sa Madeleine remise de ses frayeurs finit par s’endormir, mais lui, la tenant dans ses bras, n’arrive pas à trouver le sommeil et gamberge un peu sur la situation.

• Réussira-t-elle à tenir sans prendre un nouvel amant, la connaissant, elle va de nouveau tomber sur une raclure qui va profiter de la situation.
• Comment faire pour que cela n’arrive pas ou pire qu’elle ne se mette pas à boire ou pire.
• Elle a été très marquée par le départ de père qui ne pouvait plus suivre à ses exigences.

Enfin au petit matin, le sommeil arrive et il s’endort.
Le lendemain, Madeleine se réveille dans les bras de filleul chéri et se remémore toute la scène ou Julot a même menacé son enfant, mal lui en a pris à cet imbécile.

« Je suis vraiment bien et en sécurité dans les bras d’Adrien pense-t-elle, comme c’est agréable. »

Doucement pour ne pas le réveiller, elle se sort des bras qui l’entourent et va préparer le petit déjeuner.
Plus tard, elle voit son héros de filleul arriver, l’air fatigué, un peu abattu.

• Qu’est-ce qu’il y a mon trésor, dit-elle,
• J’ai pas bien pu dormir, je n’ai dormi que quelques heures, mais enfin, bonne nouvelle, on a plus cet enfoiré à la maison et je te trouve resplendissante ce matin.
• Merci mon chéri, c’est un peu grâce à toi, je n’ai jamais si bien dormi avec un tel sentiment de sécurité et de confort. Tu ne peux t’imaginer comme j’étais bien dans tes bras.
• Cela me fait plaisir d’avoir pu t’aider.

La journée se passe bien, Adrien va tendre ses nasses et revient avec du beau poisson qu’il a pêché. La soirée va être belle et le souper royal.
Madeleine, chantonnant et gaie fait avec entrain un bon souper pour filleul chéri qu’il arrose d’un petit blanc sec du Jura, celui qui a ses faveurs à cause du goût légèrement résineux.

• J’aimerais encore passer une nuit dans tes bras, c’était tellement bon.
• Si tu insistes, mais je vais finir par y prendre goût et après, tu ne vas plus pouvoir me chasser de ta chambre.
• Qui parle de chasser mon chevalier servant ?
• OK

Les deux se mettent au lit après les baisers d’usage entre eu et chacun s’endort de son côté d’un sommeil paisible.

Au cours de la nuit, Adrien rêve qu’il devient l’amant de Madeleine et attrape un braquemart impressionnant et dans son rêve, il pollue son pyjama. Le lendemain, rouge de honte de son rêve, il va discrètement à la douche et met son pyjama dans le linge sale.
Après le déjeuner, Madeleine ayant observé ce lever furtif, va aussi dans la salle de bain et voit dans le bac à vêtements sales son pyjama en dessous des autres habits.

• bizarre. Se dit-elle

Elle fouille dans le bac et voit la magnifique carte de géographie qu’il a fabriqué cette nuit.

• Serait-ce moi qui l’ai mis dans cet état ? C’est pas vrai. Le pauvre. Il va falloir qu’on en parle, mais comment aborder le sujet. J’aimerais pas le braquer.

Le soir après le souper, Adrien précise que cette nuit, il désire coucher dans sa chambre. Ce qui est tout à son honneur remarque Madeleine, il fuit la tentation, mais moi, est-ce que je vais la fuir ?

• Écoute Adrien, il y a une chose qu’il faut qu’on parle, tu es un jeune homme, je ne te connais pas de copine et je comprends que c’est pénible de devoir dormir dans le même lit que moi et j’ai vu dans le linge sale que tu t’es lâché cette nuit. Il ne faut pas en faire une fixation.
• Madeleine, c’est dû à un rêve que j’ai fait sur toi et j’ai pris peur. Je n’aimerais pas ressembler à Julot.
• Pas une chance de lui ressembler mon chéri.

Quelques jours se passent et une nuit, Madeleine, vient tremblante dans la chambre de filleul, au milieu de la nuit.

• Garde moi, je viens de faire un horrible cauchemar. J’ai rêvé que Julot était revenu, je suis toute retournée.
• Allons plutôt dans ta chambre, il y a plus de place que dans ma petite chambre et mon petit lit.

Sitôt dit, sitôt fait, les deux déménagent dans la chambre et se mettent au lit. Là-dessus Madeleine, encore toute secouée par son cauchemar se fait câline et vient se blottir contre filleul, pour y sentir la force et le réconfort.

• J’ai encore mal au derrière depuis qu’il m’a sodomisée. Tu ne veux pas regarder s’il y a quelque chose qui ne va pas ?
• Si tu veux, mets bien la lumière que je voie bien.

Mais où va-t-on ?

Comme précédemment, Madeleine se met à 4 pattes et présente en pleine lumière son postérieur et le reste aussi. Adrien ne peut ignorer le parfum qui se dégage du sexe de Madeleine et commence à bien regarder, remet sur son doigt un peu de bétadine pour lubrifier et toucher un peu l’intérieur, doucement, il commence par apprivoiser l’anneau culier qui réagit bien à ces attouchements, lentement il pénètre son majeur dans le gros colon pour voir s’il remarque quelque chose, mais il a beau masser et tâter de toutes parts, il ne remarque rien de spécial, si ce n’est que le sexe de Madeleine devient de plus en plus moite pour ne pas dire plus.

• Je ne vois ni ne sens rien de spécial, je pense que tu es pratiquement guérie, les plaies ne sont plus visibles.
• Essaye de mettre deux doigts pour voir si la douleur est vraiment partie.
• Si tu veux, mais j’ai l’impression que tu n’es pas indifférente à mes doigts dans ton rectum. Ton odeur me perturbe fortement.
• C’est vrai quand je vois ton pyjama déformé, j’ai l’impression que tu es fortement perturbé. Est-ce que cette situation te trouble si fort ?
• Oui Mam, tu es tellement belle et tu sens tellement bon entre tes cuisses que j’ai envie de t’embrasser où je ne devrais pas.
• Fais mon chéri, on ne dira rien à personne, mais attends, on va mieux s’installer pour cela, car moi aussi j’ai envie de goutter quelque chose.
• Tu ferais cela, mais je ne suis pas sûr de pouvoir me contrôler.
• On verra, qui vivra verra.

Les deux se mettent en position de 69 et se jettent avidement dans la dégustation du sexe de l’autre.

• Madeleine, comme ta cramouille est délicieuse, j’ai jamais goutté quelque chose d’aussi bon.
• Ton bâton de berger me satisfait aussi bien, on est parti pour devenir amant, tant pis pour la morale, tant que cela reste entre nous, j’ai trop besoin d’un homme et qui pourrai-je trouver de meilleur que toi. Mon filleul adoré.
• Je t’aime aussi Madeleine et je veux bien essayer de te satisfaire à ce niveau.

La tension monte, monte, (comme la petite bête) elle monte pour finir par éclater dans un feu d’artifice de sens et de luxure.
Adrien inonde le palais de Madeleine de sa semence qui déguste l’offrande tout en ayant un orgasme ravageur.

• D’habitude je n’aime pas avaler la fumée, mais ton cigare était trop bon et ta fumée m’a bien plu.
• Madeleine chérie, ton miel a été pour moi le meilleur que j’ai jamais goûté ?
• Tu en as goûté d’autre ?
• Non, mais c’est pour dire que j’ai adoré.
• C’est pas tout cela, après les hors d’œuvre, il reste le plat de résistance, viens contre moi dans le même sens qu’on se câline un peu.

Les deux amants se lèchent le visage qui sent fortement le goût de l’autre, délicatement, Adrien commence à palper les jolis seins de Madeleine, qui présentent un mamelon bistre extrêmement développé.

• Madeleine, j’aimerais te sucer les seins comme quand j’étais petit.
• Fais mon poussin, tu me feras un très grand plaisir, mais vas-y doucement, ils sont encore un peu douloureux du traitement que leurs a fait subir l’autre brute.

Doucement, avec amour, Adrien de sa bouche happe le bourgeon et plutôt le lèche qu’il l’aspire il tourne au tour de cette petite tour, puis passe à son voisin.

• C’est bon comme tu le fais, tu es vraiment un bon amant comme je n’en ai jamais eu, tendre et dur en même temps, si tu veux, tu peux y aller un peu plus fort.
• Oui Madeleine, je n’osais pas de peur de te faire mal,
• oh non, tu ne me fais que du bien.

Il continue un moment à lui lécher les tétons puis remonte à hauteur de son visage qu’il regarde émerveillé par la chance qu’il a de pouvoir aimer l’objet de ses rêves les plus fous.
Il sert contre lui Madeleine amoureusement et reste un grand moment ainsi en lui caressant les épaules, les bras la taille.
Finalement Madeleine, bien chauffée n’en peut plus des préliminaires et le couche sur le dos, son sexe se dresse à nouveau bien droit et elle l’enjambe pour placer le sien à la verticale de celui de son filleul et doucement s’empale dessus.
Un mouvement de houle se déclenche dans ses reins et elle sent cette bite aimée lui écarter les parois de son sexe, c’est ainsi qu’elle aime pratiquer. La houle devient de plus en plus marquée et Adrien essaye de suivre le mouvement, mais elle lui dit :

• Reste tranquille pour cette fois, c’est moi qui dirige la manœuvre.

Adrien sert un peu les dents pour ne pas se laisser trop aller, la tension est vive, même si le premier lait a été tiré. Ses testicules sont en ébullition, heureusement qu’il est sur le dos, car autrement, il aurait déjà tout lâché.
Madeleine contrôle la vitesse du navire et quand elle sent que le mat est sur le point d’exploser, vite elle ramène un peu la voilure en diminuant ou même en arrêtant le mouvement de houle. Pour une première fois, elle veut que ce soit mémorable.
Mais tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse et finalement les deux, presque simultanément explosent dans un orgasme merveilleux.

• Madeleine, quelle merveilleuse amante tu fais, je crois que je vais toujours rester avec toi comme ton amant. C’est vraiment merveilleux ce que nous venons de vivre.
• Oui mon filleul, je crois qu’on s’est bien trouvé, tu es endurant, équipé plus que convenablement, c’est bien, je pense que plus jamais je ne vais voir d’autres hommes que toi.
• Que dirais-tu si on déménageait où personne ne nous connais, on pourrait vivre comme mari et femme ?
• Mais tes études ? Et mon travail ? Notre revenu ?
• Pour mes études, si on va dans une autre ville avec une université, cela ne pose pas de problème, pour ton travail, c’est toi qui vois si tu ne pourrais pas trouver dans une autre ville où personne ne nous connaît. Bientôt, je vais bientôt commencer interne dans un hôpital, cela ne devait pas poser de problème même financier, c’est pas très bien payé, mais quand même mieux que balayeur.
• Bon on en reparlera demain, je suis exténuée de bonheur. Bonne nuit mon chéri.
• Bonne nuit Madeleine chérie.

Il prend Madeleine dans ses bras et ils s’endorment heureux du plaisir qu’ils se sont donnés. Le lendemain, un peu fatigué, ils se lèvent ensemble et ensemble ils prennent la douche et chacun lavant l’autre, la tension recommence à monter.

• Mon chéri, il faut qu’on se calme, il faut que j’aille au travail et toi à l’uni.
• C’est vrai Mam, mais quand je suis avec toi, je ne peux m’empêcher de te désirer, de te posséder, de ne faire qu’un avec toi.
• Moi aussi mon poussin, mais il faut rester un peu raisonnable et ce soir on va remettre cela. C’est tellement bon d’avoir un bon amant sous la main.
• Pareil pour moi, d’avoir une maîtresse attentionnée qui en plus est la plus belle femme que j’ai jamais vue.

Le soir venu, Madeleine, arrivée la première elle s’apprête pour séduire son nouvel amant, elle revêt une tenue légère et prépare un bon souper bien relevé pour augmenter un peu le désir.
Arrive Adrien tout content de revenir au bercail et de retrouver sa maîtresse.

• Comment s’est passé la journée mon poussin, fait Madeleine en minaudant un peu.
• Bien, mais un peu pénible les labos, Je me suis un peu gourée dans l’analyse de selles. J’ai vu un cancer du colon alors que ce n’était en fait que des dents mal entretenues. Mais le prof sympa a quand même apprécié que j’aie diagnostiqué un cancer suite à la présence de sang dans les sels. Mais ce n’est pas le genre d’analyse que je fais volontiers à moins d’être enrhumé.
• Viens on va souper, après, on regarde les nouvelles et hop au dodo.
• On est vraiment obligé de regarder les nouvelles ? Je suis un peu fatigué.
• Mais non mon poussin, je suis aussi affamée que toi de la suite, mais je ne voulais pas le dire. Voila c’est fait.

Sitôt le souper (cette histoire se passe en Suisse et le soir, on ne dîne pas, on soupe) expédié, Adrien soulève Madeleine dans ses bras et la porte dans la chambre, comme de jeunes mariés.

• Oh je revis avec toi, dit-elle enamourée.

Les habits volent à travers la chambre et Adrien se dit, « tiens, je me verrais bien subir un petit massage, cela doit être bon et original »

• Mam, je suis un peu tendu,
• Je le vois mon filleul.
• Pas seulement là, mais mes muscles du dos sont tout noués, tu ne me ferrais pas un petit massage.
• Oui, si tu veux, je vais chercher de l’huile de massage.

Il s’installe à plat ventre sur le lit et elle se met devant son visage pour lui masser les épaules et le dos, mais ce faisant, elle présente son bas ventre au regard cupide de filleul.
Doucement d’abord, elle masse les épaules puis le dos avec force d’huiles essentielles (à la baise) elle se déplace maintenant vers ses jambes et admire ses jolies fesses qu’elle caresse amoureusement, puis descend en direction des pieds lentement en massant ce tas de muscles.
Elle remonte en massant l’intérieur des mollets, puis des genoux ce qui provoque un écartement des cuisses d’Adrien lui laissant voir sa rosette. Elle prend un peu plus d’huile et commence à masser méticuleusement les cuisses en s’attardant un peu à l’entre fesse et commence à lui masser l’oignon et d’un doigt curieux le pénètre légèrement ce qui a pour effet de le faire se retourner en présentant sa bitte conquérante.

• Je pense que le massage est terminé, On va passer aux choses sérieuses.
• Tu n’aimes pas quand je te caresse les fesses ou ton petit trou ?
• Pas trop, je ne suis pas une fiotte.
• Mais jamais je ne le penserai, mais tu devrais savoir toi qui est futur médecin, que le tissu de nerfs est très dense dans cette région et que tout est bon en amour. Il faudra bien que tu m’appartiennes 100 % y compris ton cul.
• Mais Madeleine mon cul t’appartient et tout le reste.
• On verra cela demain. Pour le moment, j’ai envie d’explorer quelques positions du Kamasutra
• Intéressant, je ne les connais pratiquement pas.
• On va commencer par la position la brouette thaïs

• Là, il faudra être à la hauteur, tu auras besoin de tout tes muscles.
• Là, je sens qu’on va bien rigoler, mais c’est athlétique comme position.
• Évidement, cela demande plus que de sucer le jonc.

Les 2 partenaires se mettent en position, pour les deux, c’est une première, car elle n’avait jamais trouvé un partenaire capable de le faire et lui l’occasion.
Les sensations sont très spéciales, Comme dirait mémé, c’est réservé aux jeunes sportifs.

• ouah ! Tu te débrouilles super bien trésor, c’est plus l’orgasme violent et brutal, mais un effet long que je n’ai jamais connu. Je commence quand même un peu à fatiguer. Tu as bien passé ton premier examen Kama, on va passer sans débrancher à la position du chien, c’est moins fatiguant et on pourra finir.

Adrien, tout en admirant le dos de Madeleine, pioche fébrilement son entrejambe en lui arrachant des jolis couinements, elle qui commence à accumuler les sensations orgasmiques. À chaque coup de butoir, les seins qui pendent un peu du fait de la position, entame une valse délirante à un temps.
Il est endurant le gamin et il ne rend les armes qu’après l'orgasme de Madeleine. Ils s’endorment dans les bras l’un de l’autre, fatigués par cette gymnastique intensive, mais heureux.

(à suivre)

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Texte coquin : Adrien
Histoire sexe : Une rose rouge
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