Adultere en week end de ski - histoire érotique

L'histoire que je vais vous raconter est une histoire banale d'adultère. J'ai 40 ans, marié depuis 20 ans à une femme de mon âge, agréable avec qui j'ai eu des enfants. La baisse de libido et de tendresse de ma femme depuis quelques années commençaient à me peser. Les femmes que je côtoyais à mon travail devaient ressentir mon manque, je pense que je séduisais tout simplement ....cela me perturbait. Je n'avais jamais imaginé tromper ma femme. Je pensais que la communication, exposer ses problèmes avec un esprit d'ouverture était la clef pour tout résoudre !!! Mais la pression montait... et la gestion en était de plus en plus difficile.

Adeline venait d'être embauchée dans mon entreprise. Petit bout de femme de 35 ans très énergique. Elle m'avait séduit de suite par son dynamisme. Je sentais dans son regard que je lui plaisais et elle devait sentir aussi dans le mien que c'était réciproque.
Situation cependant banale que bon nombre de collègues vivent au quotidien dans les entreprises. Curieusement, elle annonçait la couleur, elle n'hésitait pas à dire en public que j'étais très sensuel... Et se réfugiait très vite dans sa situation de femme mariée avec un enfant ....!!! Elle aimait jouer... façon peut être pour elle d'exorciser ses démons... La vie d'entreprise continuait ainsi dans ce jeu de séduction... permanent.


Un weekend de ski avait été organisé par l'entreprise. Nous nous sommes retrouvés à une trentaine dans un grand chalet, certains étaient venus en couple dont Adeline et d'autres, comme moi, seul. La journée de samedi avait été skiée de façon intense, nous nous sommes retrouvés le soir autour d'un bon repas. Une journée de fatigue, la libération de la pression du travail accompagné de l’alcool, rendaient l'atmosphère très chaude. Je croisais souvent le regard coquin d'Adeline qui, assise à coté de son mari, plaisantait et riait. La soirée avançait et les participants commençaient à monter se coucher. Les couples avaient des chambres individuelles. Des désistements avaient eu lieu et ceux venus en célibataire pouvaient prendre une chambre seul s'ils le souhaitaient. La promiscuité n'était pas mon fort et j'avais pris une chambre seule. Adeline tout en riant s'occupa de son mari qui avait beaucoup bu pour l'aider à monter les deux escaliers et aller se coucher. J’étais dans les derniers. J'aimais dormir peu mais intensément.


Je dormais au premier étage et le calme s'était fait dans le chalet.
J'avais oublié de prendre un peu d'eau pour la nuit, après les grosses journées de ski finissant par de l'alcool, on se réveille assoiffé. Je descendais pour remplir ma petite bouteille d'eau que j'emmenais dans mon sac sur les pistes. En arrivant dans la cuisine, je n'étais pas seul, Adeline remplissait elle aussi une bouteille d'eau. Elle avait gardé sa chemise de nuit et avait enfilé un jean à la va vite qui lui donnait un style très cool. J'étais moi aussi habillé d'un tee shirt et d'un jean enfilé à la va vite. On se regardait d'un œil coquin et on échangea quelques propos sur la soif de la nuit.....!!!!!! Nous étions éclairés par les lumières de sorties de secours pour remonter les escaliers et ne pas faire de bruit.

Au bas de l'escalier, j'étais juste derrière elle, je regardais son cou. Ne sachant pas trop bien comment c'est arrivé, je lui ai déposé un baiser très tendre derrière l'oreille. Réalisant d'un coup ce que j'avais fait, j'étais prés de m'excuser quand elle se retourna en me regardant droit dans les yeux. Elle ne disait rien et je ne savais quoi faire. Je me suis penché à nouveau sur son cou pour l'embrasser. Elle se colla à moi et je déposais naturellement mes mains dans son dos commençant à la caresser.
Tout allait très vite dans ma tête, l'ambiance était très tendre et très douce....nous nous sommes spontanément embrassés.
Tout doucement nous avons monté les escaliers pour arriver dans ma chambre. Nous avions cette envie de sentir nos corps l'un contre l'autre. Nous nous sommes embrassés tendrement et longuement. J’aimais la douceur de sa peau sur laquelle je faisais glisser mes mains. Lorsque j'ai pris délicatement un sein dans ma main, elle eu une hésitation .......
Je lui demandais si son mari dormait. Elle me répondit qu'il avait beaucoup bu et qu'il prenait aussi des médicaments pour dormir ....Je laissai glisser mes lèvres sur son sein et je la sentais s'abandonner doucement aux caresses. Je pensais rapidement à ma femme, mes enfants, à Adeline qui trompait son mari un étage en dessous et qui lâchait tous ses principes de femme mariée ...
Je déboutonnais son jean et le faisait glisser rapidement, elle était nue comme moi sous son jean. Je sentis à nouveau une hésitation d'Adeline quand après lui avoir retiré sa chemise de nuit, je laissais glisser mes lèvres sur son bas ventre pour atteindre son intimité.
Je découvrais son odeur, je sentais son envie, ma langue courrait sur ses lèvres intimes, elle était trempée de désir, je remontais pour agacer le clitoris et redescendais doucement pour la sentir s'apaiser. Elle me serrait un bras et je sentais à la pression son plaisir qui montait et descendait. Je finissais d'enlever mon jean, après mon tee shirt enlevé depuis longtemps. Mon sexe tendu à l'extrême, mes lèvres trempées de sa liqueur intime, je revenais l'embrasser en présentant mon sexe à l'entrée de son vagin. Je sentais un nouveau moment d'hésitation de sa part et m'enfonçais doucement de toute ma longueur pour arriver en buter à la base de mon sexe. Elle était tellement trempée, je glissais avec beaucoup de douceur et de fermeté dans son ventre. Elle poussait de petits gémissements étouffés et de grands soupirs. Je la regardais.
Elle avait les yeux fermés concentrés sur ses sensations, savourant chaque instant. Moi aussi, je savourais chaque instant, en me retenant pour ne pas exploser. Elle ouvrit les yeux et me regarda en commençant un sourire. Elle contracta légèrement son vagin, et j'explosais en elle de profondes giclées. J'avais l'impression de l'envahir à l'intérieur, de ne plus exister. Elle avait croisé ses jambes derrière mon dos et accompagnait mes spasmes des siens.

Je la regardais et après avoir retrouvé ce qui me restait d'esprit je l'embrassais à nouveau derrière l'oreille. Elle m'embrassa sur mon torse et nous sommes restés quelques minutes à imprégnés l'un de l'autre. Nous avons fait une rapide toilette sans bruit au lavabo de la chambre. Il était largement préférable qu'elle ne s'attarde pas trop, elle espérait que son mari était resté endormi.

Je n'arrivais pas réellement à culpabiliser, deux adultes qui avaient envie d’être ensemble avaient tout simplement passé un moment merveilleux. De nouvelles pensées m’assaillaient, et il fallait maintenant gérer les lendemains......!!!