Adultère... ou comment les frustrations s'envolent
Récit érotique écrit par Pabloexperience [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 14 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.6
- • L'ensemble des récits érotiques de Pabloexperience ont reçu un total de 204 149 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 16 012 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Adultère... ou comment les frustrations s'envolent
L'adultère provoque de drôles de sensations. Quand on vit en couple depuis quelques années, malgré une vie sexuelle épanouie, quoique banale, on ressent parfois un manque. Mais loin de moi l'idée de faire des généralités, mais pour ma part, je regrette de temps en temps les jeux de séduction. Ce simple jeu de regards qui en dit long, ces effleurements qui livrent des messages subtiles, qui dans la tête d'un homme, sont souvent difficiles à décoder.
Je ne sens pas de réelle culpabilité, car mon amour est sincère. J'assouvis mes pulsions, en savourant ces parfums qui me sont inconnues, ces corps nouveaux, la bouche asséchée par le gout du risque.
Les femmes de ma famille m'ont toujours rassuré sur mon succès futur avec les femmes. Enfant, ces paroles ne raisonnaient pas vraiment, mais en grandissant, ma timidité quasi maladive créa une grande frustration en moi. J'éprouve aujourd'hui un grand plaisir à me rassurer sur mon pouvoir de séduction. J'aurais adoré avoir un métier qui m'emmène à voyager, à avoir une femme dans chaque port, avoir la libido d'un marin à terre. Hélas, mon métier m'amène assez peu à me déplacer, et encore moins à fire des rencontres.
Pour assouvir mon besoin de corps nouveaux, je me suis donc résigné à remettre mon destin aux hasards des rencontres. Mon histoire, très récente, a commencé alors, que sur un célèbre site destiné à retrouver ses anciens camarades d'école, j'ai retrouvé une partie de mon ancienne classe de lycée. Curieux de voir combien certains ont changé, quelques uns habitent toujours la maison de leur parents 10 ans après, d'autres ont quitté Paris. Les changements les plus flagrants sont physiques: les adolescentes sont devenues femmes, certaines affichent désormais leurs enfants sur leurs photos. Le temps passe.
Parmi mes anciens camarades, je retrouve Emilie. Aucun point commun avec elle, et aucun feeling à l'époque de nos études. Un peu coincée, trop studieuse, jamais fêtarde, et... probablement trop chaste. Après l'avoir ajoutée à mon réseau d'amis, je découvre que sa carrière est à l'image de ses études. De première de la classe, elle est devenue l'employé modèle, cadre au rang élevé, dans une grosse boîte. Sa photo, quant à elle, ne la montre pas avec des enfants, plutôt avec son petit ami, et une copine à elle, dans un bar. La tenue est sage, la pose maîtrisée, le sourire artificiel. La seule surprise est son physique: les lunettes ont disparue, son visage n'en est que plus lumineux. Ses traits sont fins, et mis en valeur avec une certaine classe par un maquillage subtil. Ses cheveux sont maintenant attachés ; oublié les longs cheveux raides qui tombaient sur ses épaules. Elle portait une fine chaîne avec une croix catholique qui plongeait finalement dans un léger décolleté, achevant de lui donner une féminité que personne n'eut soupçonner 10 ans auparavant. Cette métamorphose me semble toutefois raisonnable, et je me rassure en me disant, qu'il s'agissait d'un stricte minimum pour qu'elle ne finisse pas vieille fille. Je ferme donc sa page et retourne à mes occupations professionnelles.
Plusieurs mois plus tard, je la vois connectée sur le tchat. Sans arrière pensées, ni sans vraiment savoir quoi lui dire, je décide d'aller lui parler. Sa réponse tardant à venir, je me résigne à passer à autre chose, me rendant compte que finalement, rien ne collait entre nous, et qu'elle aurait tort finalement de se soucier de moi, quand soudain un "ploc" me ramena à la réalité.
"Salut comemnt ça va?"
Finalement, c'est moi qui suit surpris. Derrière son écran, elle semble plus extravertie. Sous couvert d'une curiosité quant aux parcours des mes anciens amis, j'entame la conversation. Elle tape vite, et prends rapidement le dessus dans la discussion. Le flot abondant de ses questions semble trahir une curiosité plus forte de son côté. Nous parlons une heure, la discussion a un ton très naturel, et elle en vient finalement à confier quelques sentiments.
Mise au point: elle est en couple depuis quatre ans, ne veux pas d'enfants. Elle me laisse entendre qu'elle étouffe dans sa vie, son couple... Je suis assez surpris finalement de ses propos. Elle se confie à moi, un quasi inconnue, qui l'aurait presque méprisé à l'époque du lycée. Je lui parle de mon couple, ma stabilité, et mon épanouissement semblent contraster réellement avec sa routine et son parcours trop parfait.
Des mois passent sans aucun mot échangé, puis un jour d'octobre, je romps avec mon amie, mon couple vole alors en éclat, mon célibat et mon désespoir sont affichés publiquement sur le site. Le lendemain, un mail tombe dans ma boite, et me propose de venir boire un verre si jamais le besoin de parler et de partager mes souffrance se faisaient insupportables. Le message privé était signé Emilie, son ton était un peu maladroit, le moment choisit aurait pu l'être encore plus. Parmi toutes les mains tendues dans un moment si difficile, la sienne était la seule qui semblait avoir un sens caché. J'y répondait rapidement.
Comme vous l'aurez compris maintenant, l'adultère que je raconte ici sera le sien!
Nous prîmes rendez-vous plusieurs plus tard dans un café parisien, je lui laissais le choix du lieu, et elle prit une demi-journée à répondre qu'elle avait trouvé l'endroit idéal. Le jour J, je me rendait rapidement sur place en métro, j'arrivais en avance, mais elle était là. Curieusement, je m'aperçus en la voyant que nous ne nous connaissions pas réellement. Elle avait l'air radieuse, et affichait un grand sourire. Elle avait prit un certain temps à se préparer: maquillage impeccable, discret mais qui mettait en valeur ses atouts. Je découvris à ce moment là des yeux verts absolument superbes. Sa tenue, un tailleur assez stricte, tranchait avec son visage souriant.
Nous nous fîmes la bise, et en nous asseyant, une vague de chaleur nous submergea tous les deux. Je pense que notre pensée fut identique à ce moment précis, souvenirs d'un temps révolue où nos adolescences étaient plus subit que vécues. Un silence nous mis tous les deux mal à l'aise. Le garçon de café vint le rompre pour prendre les commandes, puis nous commençâmes à parler. Je n'avais absolument pas envie de parler de mes malheurs, et ma douleur était somme toute, relative. Je lui laissait alors la place d'étaler ses états d'âmes, et elle ne se fit pas prier, prenant comme une libération de pouvoir se confier à un étranger.
Elle semblait se détendre au fur et à mesure qu'elle parlait. Son grand sourire avait disparue, et laissait place à une mine déconfite, qui montrait plutôt une souffrance. Elle laissait filtrer quelques sourires beaucoup plus naturels que celui de mon accueil. Elle était gênée, et d'un coup se sentait faible.
"Je m'excuse, je te vois pour te remonter le moral, et c'est moi qui te raconte mes malheurs."
Elle marque un léger temps d'arrêt après ça, et fond en larmes. Son désarroi me laisse silencieux. Par automatisme et devoir de compassion, je la prends dans mes bras pour la consoler. Je sens alors la chaleur de son corps contre moi, elle se laisse aller contre moi en sanglotant. Je découvre son parfum, célèbre, mais sur lequel j'ia du mal à mettre un nom. Elle semble nerveuse, j'aurais bien voulu fuir à ce moment, mais elle semble vulnérable, et je me laisse avoir. Elle reste contre moi à me serrer pendant un long moment, puis elle relève sa tête, et m'embrasse. Elle ne me frôle pas juste les lèvres, elle passe ses mains autour de ma tête, et m'emballe carrément. Je n'arrive pas à esquisser un geste de recul, elle sert son étreinte. Il faut reconnaître que ce n'est pas si désagréable. Elle a l'air d'être en apnée, se force à fermer les yeux. Elle finit par se détendre, et m'embrasse plus tendrement. Elle quitte alors mes lèvres, doucement, en tardant le plus possible, comme à regret, puis rougit en regardant le sol et d'excuse.
J'ai du mal à dissimuler mon plaisir, et affiche un sourire vainqueur, bien malgré moi. Son baiser a eu comme conséquence une solide érection, et mon jean ne dissimule absolument pas la bosse qui se dessine. Il ne faut jamais sous estimer la vue perçante d'une femme, mais si sa vue est basse. Dans un geste qu'elle ne semble pas contrôler, elle effleure ma basse de sa main, et rougit de plus belle. Un nouveau silence, mais complice cette fois-ci.
"Tu voudrais bien me raccompagner s'il te plaît!?"
Le ton était maladroit, et je ne comprenais pas vraiment s'il s'agissait d'une qestion, ou d'une injonction, mais en nouveau célibataire, et devant tous les signaux qu'elle m'envoyait, je n'y voyais qu'un tour de manège gratuit. Elle se remaquilla rapidement, par dignité, pour ne pas traverser le café, qui nous était désormais familier, avec le maquillage ayant coulé. Elle sortit, tête haute, paya rapidement, et me prit par la main. Nous prîmes le métro, et après 2 changements et une quinzaine de stations, nous descendons. Je remarque que nous sommes dans les beaux quartiers. Nous sommes en fin d'après midi, et il y a du monde dans les rues. Arrivés dans son quartier, elle me lâche la main, brutalement, et devient blême.
"Allons chez toi plutôt!"
"Mon ex habite encore chez moi ...."
"... (silence) ... Bon tant pis, mais marchons vite"
Elle a le pas décidé, et prends les choses en main. Ce doit être comme ça qu'elle supervise son service. Je me surprends à voir en elle une dominatrice sauvage et probablement sadique au vue de ses frustrations. Arrivé en bas de chez elle, elle court presque. Nous entrons dans son appartement. Situé dans les beaux quartiers, il a un cachet très bourgeois. Tout y est ostentatoire. En entrant, je la surprends blême, et en sueur. Elle bredouille, comme pour se justifier, que son ami est propriétaire de l'appartement. Il est absent pour deux semaines. Très jaloux, il l'étouffe. Elle semble craquer à nouveau. J'anticipe et la prends contre moi. Elle me sert fort.
Au bout de quelques minutes, après s'être assuré d'avoir fermé la porte à double tour, elle me suggère de m'installer confortablement. j'enlève mon manteau. La bruine de l'extérieur a fait de moi une vraie éponge. Et je constate avec dépis que je devrais aussi enlever pantalon, chaussette, et mon pull. Elle me propose à boire, un petit verre ne sera pas de refus. Elle ne rechigne pas non plus, se sert un verre de Gin, qu'elle boit sec et vite.
"Je vais tromper mon mec!" me lance-telle, un air de défi dans les yeux.
"Ce n'est pas quelque chose qui se fait..... normalement."
"Je m'en fout c'est un con. Il me baise mal."
Je ne peux pas résister en l'entendant parler comme ça. Ces propos contrastent avec sa condition de bourgeoise, emprisonnée dans son tailleur trop stricte. Elle enlève d'ailleurs sa veste. Son imperméable n'a pas remplit son rôle et est trempé. Je lui lance de se mettre à l'aise, en sirotant son verre. Elle est nerveuse et s'agite. Je savoure la situation, ne tentant pas de cacher mon érection, la fille de bonne famille est l'un de mes fantasmes. Je suggère à Emilie de prendre une douche pour se détendre. Je parle doucement pour la calmer, et lui promet un massage pour la suite. Un peu perdue, et comme choquée par son propre comportement, elle s'exécute sans discuter.
Elle prends son temps dans la salle de bain. Tellement de temps que mon érection disparaît et que je me mets à la soupçonner de se battre avec sa conscience pendant sa toilette. Encore quelques minutes, et j'ai la certitude qu'elle réfléchit à un moyen de me chasser, l'eau chaude a du avoir raison de ses tentations lubriques.
Elle sort alors de la salle de bain, arrive derrière moi. Je suis résigné et accepte d'ores et déjà mmon échec, quand je remarque le son de ses talons sur le parquet. Elle revient dans le salon, elle est habillée. Son tailleur a cédé la place à une jupe fendue, et son haut est un débardeur trop plongeant pour qu'une femme de sa classe ose sortir avec. Ses talons sont devenues aiguille, elle semble être née avec, tant elle se déplace avec naturel. Elle tourne sur elle même et me demande, sur d'elle: je te plaît? Évidemment qu'elle me plaît, mais je ne lui dit rien. Je la regarde, elle est belle. Ses cheveux sont encore mouillée, mais attaché avec désinvolture. Elle a enlevé ses lentilles de contact, pour une paire de lunettes aux verres amincies. Elle avait également apporté un certain soin à refaire son maquillage, et soulignant un peu plus le trait, lui donnant un air coquin. Elle s'assit à côté de moi, contente de son effet. Son sourire était revenue, très naturel, elle était détendue. Elle leva la jambe pour me montrer ses bas résilles, et me confia qu'elle n'avait jamais eu l'occasion de les mettre. Visiblement elle le regrettait. elle m'embrassa, puis me demanda:
"Tu veux bien me donner du plaisir?"
Elle se pencha alors sur mon pantalon. Elle prenait les choses en main, et mon verre en main, je levais juste les fesses, pour lui faciliter le travail. J me surprenais à ne pas m'investir, à seulement profiter de ses charmes, de sa faiblesse, comme en la condamnant pour son infidélité, qui apr ailleurs, m'excitait. Elle ne se fit pas prier, et ne marqua pas une seconde d'hésitation pour prendre mon sexe en bouche. Elle imposa un rythme rapide d'emblée, et ne dissimulait pas une certaine maladresse dans l'acte. Elle imprimait une pression de ses lèvres et sa langue heurtait ma verge dans sa bouche. La jouissance allait venir trop vite à ce tarif là. J'arrêtais tout.
"Tu vas trop vite, je vais jouir en 2 minutes si tu continues comme ça..."
Elle s'excusa, je lui expliquait donc comment procéder. Elle s'appliqua à suivre chaque instruction: elle me lâcha le scrotum, et remontait jusqu'au gland. Elle prenait mon sexe, je lui demandais de saliver, et de cracher dans sa main, puis de me branler doucement comme ça. Je lui imposait le rythme, lent, en lui maintenant la tête. Elle semblait prendre un certain plaisir, à m'en donner, tant ses yeux brillaient. Son regard était à la fois coquin, et terriblement sulfureux. Je l'ai prévenue qu'elle allait prendre tout mon sexe dans la bouche, ce à quoi elle me répondit par un regard apeuré. Je lui dispensais quelques conseils, qui, sans la rassurer une seconde, lui firent accepter. Je lui disais de respirer par le nez, et de se détendre.. je maintenais sa tête, et avançais mon bassin doucement en elle. Elle ferma les yeux, et ne présenta aucune résistance. Après quelques allers retours dans sa bouche, je lâchais sa tête et lui donnait comme consigne de continuer ce délice. Pendant qu'elle me suçait avec application, alternant ainsi toutes les techniques que je lui avait montré, je tentais de dénouer les tensions de ses épaules par un massage vigoureux qui lui valu quelques couinements.
Après quelques minutes, je décidais que j'en avais eu assez, et j'avais bien l'intention de lui faire l'amour. Je me refusais de jouir, et la tension devenait plus forte. je lui fit donc arrêter cette fellation pour laquelle elle commençait à se révéler plutôt douée. Elle fut un peu surprise, et je lui indiquait donc la position qu'elle devait prendre. Hésitante, elle se mit donc sur le dos, allongée sur le canapé, la tête relevée pour épier mes faits et gestes. je relevais sa jupe et découvrait ses bas. Elle ne portait pas de culotte, et vis tout de suite qu'elle était franchement epilée intégralement. Son retard dans la salle de bain commençait à s'expliquer. Je caressait ses jambes longuement. Le contact de mes mains sur les résilles semblaient l'électriser, mes yeux étaient fixé sur son sexe, aux lèvres fines. Je faisais durer l'instant et retardait l'instant où mes doigts s'enfonceraient dans son intimité. Ses yeux étaient rivés sur moi. Elle ne me lâchait pas un seul instant, n'attendant qu'une seule chose. Sur de moi, je lui intimais l'ordre d'enlever sa jupe et son haut. Presque déçue de n'avoir reçue aucun compliment de ma part, elle s'exécuta. Elle se leva, et ôta son haut laissant apparaître ses seins en forme de poires qui pointaient. Je lui pinçais un téton d'une main, assez violemment, alors que l'autre caressait doucement l'autre sein. Elle fut dérouté par se traitement inégal, mais je lui demandais de ne rien dire.
Je me mis dans son dos, Nous étions nues tous les deux, elle ne gardait plus que ses bas, ses talons, et sa chaîne avec sa croix. Je la provoquais en lui demandant ce qu'il en pensait, lui montrant la croix d'une main et la pelotant de l'autre. J'alternais des caresses légères et sensuelles, et des caresses plus fortes sur les zones communément érogènes. Elle s'était abandonné, et répondait dans le vide, sans intonation, ni conviction, que j'étais un salop... et qu'elle ne valait pas mieux d'ailleurs, mais qu'elle en avait envie...
Je la poussais dans le canapé, et mes doigts fendirent son sexe, révélant un petit clitoris et des petites lèvres luisantes. Un soupir sanctionna cette intrusion. Comme un moment tant attendue, elle se laissa alors aller, et facilita la masturbation en écartant les cuisses. Elle avait la taille fine, et l'intello de la classe s'était révélée une femme superbe, aux belles proportions, et aux traits fins.
J'entrais l'index en elle, son excitation facilitait l'insertion de l'intrus, Je sentais les parois étroites de son vagin, elle ne devait pas baiser souvent. Elle avait la tête sur le côté, les yeux fermés, le souffle irrégulier, et elle émettait un petit gémissement continue mais étouffé. Je commençais à fouiller son bas ventre avec méthode, cherchant son point faible. Le contact avec cette zone plus sensible se fit, et elle tourna la tête, écarquilla les yeux, et contracta son bassin. Je commençais donc à exciter cette zone, à tourner autour, à la chatouiller, alors que ma deuxième main effleurait son clitoris devenu rouge vif. Elle mordait ses lèvres et gémissait.
La blague ayant assez duré, son corps m'étant offert, je retirait mes doigts d'un coup, prit son bassin, le relevait sur le bard du sofa, et présenta mon sexe à l'entrée. Emilie ne réagissait pas, elle était comme dans un autre monde, j'avais envie de la prendre sauvagement, mais mes doigts m'avaient donné comme indice que la pénétration de son vagin étroit serait peut être douloureux. Une capote enfilé rapidement, et un peu de salive, et je commençais la pénétration. J'y allais lentement, de peur de lui faire mal, mais elle ondulait en miaulant. Elle voulait elle même s'enfoncer sur moi... et une fois mon sexe jusqu'à la garde dans sa chatte lisse, elle eu un hoquet de plaisir. Je commençais donc à la limer, je ressortait mon sexe, et le réinsérait en elle. J'étais partagé entre le sentiment d'abuser d'elle, et l'envie de lui donner du plaisir. Je repoussais ses mains avides de contact, et je la limais brutalement, à fond. Je n'avais pas envie de jouir, curieusement, je me sentais en forme, le sexe dur, son sexe fermement contracté autour du mien, mais si doux, et si chaud. Je tenais la barre, et la baisait comme elle le voulait, durement, je tenais ses tétons entre mes doigts, et chaque pression sur eux lui tiraient une larme de l'œil et un gémissement de plaisir. Après quelques courtes minutes, elle se contractait sur moi, et enfonça ses ongles dans le canapé, ses cuisses tremblaient et elle levait son bassin. Elle était comme habité.
J'étais encore en elle, quand elle revint à la réalité, il lui fallut autant de temps à jouir qu'à revenir à elle. Je lui faisais l'amour doucement, très doucement, comme un amant amoureux. Elle désserra les dents, et retrouva son souffle. Son sourire revint, mêlé à une surprise qu'elle n'arrivait pas à cacher.
"Tu veux bien m'enculer?"
C'est suffisamment rare comme demande, pour ne pas avoir besoin de réfléchir. Elle bafouilla qu'elle ne l'avait jamais fait, mais qu'elle était curieuse. Puis pris par un doute de dernière minute, me demanda si ça faisait mal. Je la rassurais tant bien que mal, ma queue me faisait mal à l'idée d'être le premier à explorer son anus. Je la fit mettre à quatre pattes. je me mis donc derrière elle à genoux, et contempla se fesses fermes que j'allais perforer un instant plus tard. Je commençais à lui prodiguer un anulingus, il sentait la mouille qui avait coulé en elle, et le contact de ma langue lui fit avoir un mouvement de recul. Elle pouffa, exorcisant sa gêne, et son appréhension par le rire. J'introduis mon index dans son arrière train, action qui eu pour réaction d'effacer tout sourire de son visage. Je lui rassurais en lui disant que la douleur n'était que diffuse, et qu'elle passait vite. J'entrepris de dilater son anus, et petit à petit introduis un second doigt en elle, ce qui lui fit dire, que finalement elle regrettait le moment où il n'y en avait qu'un. J'estimais qu'elle était prête, et lui imposait comme condition de reprendre la fellation là où elle l'avait laissé. Elle ne se fit pas prier et avala littéralement mon sexe.. Je lui conseillais d'y mettre le plus de salive possible.
Mon sexe dur comme du bois, je me plaçait derrière elle. Elle respirait fort, je lui conseillais de se détendre, et lui donna quelques indications pour faciliter la pénétration. Elle prit ses fesses et les écarta, probablement à s'en faire mal. Mon gland encapuchonné se présenta à sa rondelle, elle respirait fort. Je poussais doucement mais fermement me penchant en avant, pour que mon poids joue dans la balance. La membrane céda petit à petit, et elle eut le souffle coupé et un mouvement de recul. Je lui maintint le bassin, et progressa en elle, tout en lui parlant doucement pour la rassurer.
Je m'arrêtais pour laisser la douleur s'estomper, et le signal vint alors, pour que je commence à la limer. Je donnais un rythme assez fort à mes coups de reins, et comme toute réponse, j'entendais son souffle et un gémissement, plus rauque cette fois ci. Le membrane, bien que se dilatant, sous la pression de mon membre était très serré et je ne tardais pas à jouir en elle, elle hurla de douleur et de plaisir, et nous nous écroulâmes.
J'ôtais mon capuchon, remplit de ma semence, et recouvert d'un mélange sombre.. elle le prit, fasciné, et sourit, puis éclata carrément de rire. Elle partit le jeter, puis en revenant, me demanda de dormir avec elle. Nous étions vendredi, nous nous travaillons pas le lendemain. J'acceptais, trop fatigué pour rentrer. Je me fis discret quand son mec appela pour prendre des nouvelles. Une minute trente de conversation, leur complicité semblait sérieusement entamée.
Elle me confia pendant cette courte nuit, que son homme avait plusieurs maitresses, qu'elle connaissait d'ailleurs. Elle jouait le jeu selon des règles qu'elle n'avait pas écrites, et voulait son propre amant, ce que je fus quelques mois durant. Puis elle se maria, et ne nous sommes pas revues depuis.
Je ne sens pas de réelle culpabilité, car mon amour est sincère. J'assouvis mes pulsions, en savourant ces parfums qui me sont inconnues, ces corps nouveaux, la bouche asséchée par le gout du risque.
Les femmes de ma famille m'ont toujours rassuré sur mon succès futur avec les femmes. Enfant, ces paroles ne raisonnaient pas vraiment, mais en grandissant, ma timidité quasi maladive créa une grande frustration en moi. J'éprouve aujourd'hui un grand plaisir à me rassurer sur mon pouvoir de séduction. J'aurais adoré avoir un métier qui m'emmène à voyager, à avoir une femme dans chaque port, avoir la libido d'un marin à terre. Hélas, mon métier m'amène assez peu à me déplacer, et encore moins à fire des rencontres.
Pour assouvir mon besoin de corps nouveaux, je me suis donc résigné à remettre mon destin aux hasards des rencontres. Mon histoire, très récente, a commencé alors, que sur un célèbre site destiné à retrouver ses anciens camarades d'école, j'ai retrouvé une partie de mon ancienne classe de lycée. Curieux de voir combien certains ont changé, quelques uns habitent toujours la maison de leur parents 10 ans après, d'autres ont quitté Paris. Les changements les plus flagrants sont physiques: les adolescentes sont devenues femmes, certaines affichent désormais leurs enfants sur leurs photos. Le temps passe.
Parmi mes anciens camarades, je retrouve Emilie. Aucun point commun avec elle, et aucun feeling à l'époque de nos études. Un peu coincée, trop studieuse, jamais fêtarde, et... probablement trop chaste. Après l'avoir ajoutée à mon réseau d'amis, je découvre que sa carrière est à l'image de ses études. De première de la classe, elle est devenue l'employé modèle, cadre au rang élevé, dans une grosse boîte. Sa photo, quant à elle, ne la montre pas avec des enfants, plutôt avec son petit ami, et une copine à elle, dans un bar. La tenue est sage, la pose maîtrisée, le sourire artificiel. La seule surprise est son physique: les lunettes ont disparue, son visage n'en est que plus lumineux. Ses traits sont fins, et mis en valeur avec une certaine classe par un maquillage subtil. Ses cheveux sont maintenant attachés ; oublié les longs cheveux raides qui tombaient sur ses épaules. Elle portait une fine chaîne avec une croix catholique qui plongeait finalement dans un léger décolleté, achevant de lui donner une féminité que personne n'eut soupçonner 10 ans auparavant. Cette métamorphose me semble toutefois raisonnable, et je me rassure en me disant, qu'il s'agissait d'un stricte minimum pour qu'elle ne finisse pas vieille fille. Je ferme donc sa page et retourne à mes occupations professionnelles.
Plusieurs mois plus tard, je la vois connectée sur le tchat. Sans arrière pensées, ni sans vraiment savoir quoi lui dire, je décide d'aller lui parler. Sa réponse tardant à venir, je me résigne à passer à autre chose, me rendant compte que finalement, rien ne collait entre nous, et qu'elle aurait tort finalement de se soucier de moi, quand soudain un "ploc" me ramena à la réalité.
"Salut comemnt ça va?"
Finalement, c'est moi qui suit surpris. Derrière son écran, elle semble plus extravertie. Sous couvert d'une curiosité quant aux parcours des mes anciens amis, j'entame la conversation. Elle tape vite, et prends rapidement le dessus dans la discussion. Le flot abondant de ses questions semble trahir une curiosité plus forte de son côté. Nous parlons une heure, la discussion a un ton très naturel, et elle en vient finalement à confier quelques sentiments.
Mise au point: elle est en couple depuis quatre ans, ne veux pas d'enfants. Elle me laisse entendre qu'elle étouffe dans sa vie, son couple... Je suis assez surpris finalement de ses propos. Elle se confie à moi, un quasi inconnue, qui l'aurait presque méprisé à l'époque du lycée. Je lui parle de mon couple, ma stabilité, et mon épanouissement semblent contraster réellement avec sa routine et son parcours trop parfait.
Des mois passent sans aucun mot échangé, puis un jour d'octobre, je romps avec mon amie, mon couple vole alors en éclat, mon célibat et mon désespoir sont affichés publiquement sur le site. Le lendemain, un mail tombe dans ma boite, et me propose de venir boire un verre si jamais le besoin de parler et de partager mes souffrance se faisaient insupportables. Le message privé était signé Emilie, son ton était un peu maladroit, le moment choisit aurait pu l'être encore plus. Parmi toutes les mains tendues dans un moment si difficile, la sienne était la seule qui semblait avoir un sens caché. J'y répondait rapidement.
Comme vous l'aurez compris maintenant, l'adultère que je raconte ici sera le sien!
Nous prîmes rendez-vous plusieurs plus tard dans un café parisien, je lui laissais le choix du lieu, et elle prit une demi-journée à répondre qu'elle avait trouvé l'endroit idéal. Le jour J, je me rendait rapidement sur place en métro, j'arrivais en avance, mais elle était là. Curieusement, je m'aperçus en la voyant que nous ne nous connaissions pas réellement. Elle avait l'air radieuse, et affichait un grand sourire. Elle avait prit un certain temps à se préparer: maquillage impeccable, discret mais qui mettait en valeur ses atouts. Je découvris à ce moment là des yeux verts absolument superbes. Sa tenue, un tailleur assez stricte, tranchait avec son visage souriant.
Nous nous fîmes la bise, et en nous asseyant, une vague de chaleur nous submergea tous les deux. Je pense que notre pensée fut identique à ce moment précis, souvenirs d'un temps révolue où nos adolescences étaient plus subit que vécues. Un silence nous mis tous les deux mal à l'aise. Le garçon de café vint le rompre pour prendre les commandes, puis nous commençâmes à parler. Je n'avais absolument pas envie de parler de mes malheurs, et ma douleur était somme toute, relative. Je lui laissait alors la place d'étaler ses états d'âmes, et elle ne se fit pas prier, prenant comme une libération de pouvoir se confier à un étranger.
Elle semblait se détendre au fur et à mesure qu'elle parlait. Son grand sourire avait disparue, et laissait place à une mine déconfite, qui montrait plutôt une souffrance. Elle laissait filtrer quelques sourires beaucoup plus naturels que celui de mon accueil. Elle était gênée, et d'un coup se sentait faible.
"Je m'excuse, je te vois pour te remonter le moral, et c'est moi qui te raconte mes malheurs."
Elle marque un léger temps d'arrêt après ça, et fond en larmes. Son désarroi me laisse silencieux. Par automatisme et devoir de compassion, je la prends dans mes bras pour la consoler. Je sens alors la chaleur de son corps contre moi, elle se laisse aller contre moi en sanglotant. Je découvre son parfum, célèbre, mais sur lequel j'ia du mal à mettre un nom. Elle semble nerveuse, j'aurais bien voulu fuir à ce moment, mais elle semble vulnérable, et je me laisse avoir. Elle reste contre moi à me serrer pendant un long moment, puis elle relève sa tête, et m'embrasse. Elle ne me frôle pas juste les lèvres, elle passe ses mains autour de ma tête, et m'emballe carrément. Je n'arrive pas à esquisser un geste de recul, elle sert son étreinte. Il faut reconnaître que ce n'est pas si désagréable. Elle a l'air d'être en apnée, se force à fermer les yeux. Elle finit par se détendre, et m'embrasse plus tendrement. Elle quitte alors mes lèvres, doucement, en tardant le plus possible, comme à regret, puis rougit en regardant le sol et d'excuse.
J'ai du mal à dissimuler mon plaisir, et affiche un sourire vainqueur, bien malgré moi. Son baiser a eu comme conséquence une solide érection, et mon jean ne dissimule absolument pas la bosse qui se dessine. Il ne faut jamais sous estimer la vue perçante d'une femme, mais si sa vue est basse. Dans un geste qu'elle ne semble pas contrôler, elle effleure ma basse de sa main, et rougit de plus belle. Un nouveau silence, mais complice cette fois-ci.
"Tu voudrais bien me raccompagner s'il te plaît!?"
Le ton était maladroit, et je ne comprenais pas vraiment s'il s'agissait d'une qestion, ou d'une injonction, mais en nouveau célibataire, et devant tous les signaux qu'elle m'envoyait, je n'y voyais qu'un tour de manège gratuit. Elle se remaquilla rapidement, par dignité, pour ne pas traverser le café, qui nous était désormais familier, avec le maquillage ayant coulé. Elle sortit, tête haute, paya rapidement, et me prit par la main. Nous prîmes le métro, et après 2 changements et une quinzaine de stations, nous descendons. Je remarque que nous sommes dans les beaux quartiers. Nous sommes en fin d'après midi, et il y a du monde dans les rues. Arrivés dans son quartier, elle me lâche la main, brutalement, et devient blême.
"Allons chez toi plutôt!"
"Mon ex habite encore chez moi ...."
"... (silence) ... Bon tant pis, mais marchons vite"
Elle a le pas décidé, et prends les choses en main. Ce doit être comme ça qu'elle supervise son service. Je me surprends à voir en elle une dominatrice sauvage et probablement sadique au vue de ses frustrations. Arrivé en bas de chez elle, elle court presque. Nous entrons dans son appartement. Situé dans les beaux quartiers, il a un cachet très bourgeois. Tout y est ostentatoire. En entrant, je la surprends blême, et en sueur. Elle bredouille, comme pour se justifier, que son ami est propriétaire de l'appartement. Il est absent pour deux semaines. Très jaloux, il l'étouffe. Elle semble craquer à nouveau. J'anticipe et la prends contre moi. Elle me sert fort.
Au bout de quelques minutes, après s'être assuré d'avoir fermé la porte à double tour, elle me suggère de m'installer confortablement. j'enlève mon manteau. La bruine de l'extérieur a fait de moi une vraie éponge. Et je constate avec dépis que je devrais aussi enlever pantalon, chaussette, et mon pull. Elle me propose à boire, un petit verre ne sera pas de refus. Elle ne rechigne pas non plus, se sert un verre de Gin, qu'elle boit sec et vite.
"Je vais tromper mon mec!" me lance-telle, un air de défi dans les yeux.
"Ce n'est pas quelque chose qui se fait..... normalement."
"Je m'en fout c'est un con. Il me baise mal."
Je ne peux pas résister en l'entendant parler comme ça. Ces propos contrastent avec sa condition de bourgeoise, emprisonnée dans son tailleur trop stricte. Elle enlève d'ailleurs sa veste. Son imperméable n'a pas remplit son rôle et est trempé. Je lui lance de se mettre à l'aise, en sirotant son verre. Elle est nerveuse et s'agite. Je savoure la situation, ne tentant pas de cacher mon érection, la fille de bonne famille est l'un de mes fantasmes. Je suggère à Emilie de prendre une douche pour se détendre. Je parle doucement pour la calmer, et lui promet un massage pour la suite. Un peu perdue, et comme choquée par son propre comportement, elle s'exécute sans discuter.
Elle prends son temps dans la salle de bain. Tellement de temps que mon érection disparaît et que je me mets à la soupçonner de se battre avec sa conscience pendant sa toilette. Encore quelques minutes, et j'ai la certitude qu'elle réfléchit à un moyen de me chasser, l'eau chaude a du avoir raison de ses tentations lubriques.
Elle sort alors de la salle de bain, arrive derrière moi. Je suis résigné et accepte d'ores et déjà mmon échec, quand je remarque le son de ses talons sur le parquet. Elle revient dans le salon, elle est habillée. Son tailleur a cédé la place à une jupe fendue, et son haut est un débardeur trop plongeant pour qu'une femme de sa classe ose sortir avec. Ses talons sont devenues aiguille, elle semble être née avec, tant elle se déplace avec naturel. Elle tourne sur elle même et me demande, sur d'elle: je te plaît? Évidemment qu'elle me plaît, mais je ne lui dit rien. Je la regarde, elle est belle. Ses cheveux sont encore mouillée, mais attaché avec désinvolture. Elle a enlevé ses lentilles de contact, pour une paire de lunettes aux verres amincies. Elle avait également apporté un certain soin à refaire son maquillage, et soulignant un peu plus le trait, lui donnant un air coquin. Elle s'assit à côté de moi, contente de son effet. Son sourire était revenue, très naturel, elle était détendue. Elle leva la jambe pour me montrer ses bas résilles, et me confia qu'elle n'avait jamais eu l'occasion de les mettre. Visiblement elle le regrettait. elle m'embrassa, puis me demanda:
"Tu veux bien me donner du plaisir?"
Elle se pencha alors sur mon pantalon. Elle prenait les choses en main, et mon verre en main, je levais juste les fesses, pour lui faciliter le travail. J me surprenais à ne pas m'investir, à seulement profiter de ses charmes, de sa faiblesse, comme en la condamnant pour son infidélité, qui apr ailleurs, m'excitait. Elle ne se fit pas prier, et ne marqua pas une seconde d'hésitation pour prendre mon sexe en bouche. Elle imposa un rythme rapide d'emblée, et ne dissimulait pas une certaine maladresse dans l'acte. Elle imprimait une pression de ses lèvres et sa langue heurtait ma verge dans sa bouche. La jouissance allait venir trop vite à ce tarif là. J'arrêtais tout.
"Tu vas trop vite, je vais jouir en 2 minutes si tu continues comme ça..."
Elle s'excusa, je lui expliquait donc comment procéder. Elle s'appliqua à suivre chaque instruction: elle me lâcha le scrotum, et remontait jusqu'au gland. Elle prenait mon sexe, je lui demandais de saliver, et de cracher dans sa main, puis de me branler doucement comme ça. Je lui imposait le rythme, lent, en lui maintenant la tête. Elle semblait prendre un certain plaisir, à m'en donner, tant ses yeux brillaient. Son regard était à la fois coquin, et terriblement sulfureux. Je l'ai prévenue qu'elle allait prendre tout mon sexe dans la bouche, ce à quoi elle me répondit par un regard apeuré. Je lui dispensais quelques conseils, qui, sans la rassurer une seconde, lui firent accepter. Je lui disais de respirer par le nez, et de se détendre.. je maintenais sa tête, et avançais mon bassin doucement en elle. Elle ferma les yeux, et ne présenta aucune résistance. Après quelques allers retours dans sa bouche, je lâchais sa tête et lui donnait comme consigne de continuer ce délice. Pendant qu'elle me suçait avec application, alternant ainsi toutes les techniques que je lui avait montré, je tentais de dénouer les tensions de ses épaules par un massage vigoureux qui lui valu quelques couinements.
Après quelques minutes, je décidais que j'en avais eu assez, et j'avais bien l'intention de lui faire l'amour. Je me refusais de jouir, et la tension devenait plus forte. je lui fit donc arrêter cette fellation pour laquelle elle commençait à se révéler plutôt douée. Elle fut un peu surprise, et je lui indiquait donc la position qu'elle devait prendre. Hésitante, elle se mit donc sur le dos, allongée sur le canapé, la tête relevée pour épier mes faits et gestes. je relevais sa jupe et découvrait ses bas. Elle ne portait pas de culotte, et vis tout de suite qu'elle était franchement epilée intégralement. Son retard dans la salle de bain commençait à s'expliquer. Je caressait ses jambes longuement. Le contact de mes mains sur les résilles semblaient l'électriser, mes yeux étaient fixé sur son sexe, aux lèvres fines. Je faisais durer l'instant et retardait l'instant où mes doigts s'enfonceraient dans son intimité. Ses yeux étaient rivés sur moi. Elle ne me lâchait pas un seul instant, n'attendant qu'une seule chose. Sur de moi, je lui intimais l'ordre d'enlever sa jupe et son haut. Presque déçue de n'avoir reçue aucun compliment de ma part, elle s'exécuta. Elle se leva, et ôta son haut laissant apparaître ses seins en forme de poires qui pointaient. Je lui pinçais un téton d'une main, assez violemment, alors que l'autre caressait doucement l'autre sein. Elle fut dérouté par se traitement inégal, mais je lui demandais de ne rien dire.
Je me mis dans son dos, Nous étions nues tous les deux, elle ne gardait plus que ses bas, ses talons, et sa chaîne avec sa croix. Je la provoquais en lui demandant ce qu'il en pensait, lui montrant la croix d'une main et la pelotant de l'autre. J'alternais des caresses légères et sensuelles, et des caresses plus fortes sur les zones communément érogènes. Elle s'était abandonné, et répondait dans le vide, sans intonation, ni conviction, que j'étais un salop... et qu'elle ne valait pas mieux d'ailleurs, mais qu'elle en avait envie...
Je la poussais dans le canapé, et mes doigts fendirent son sexe, révélant un petit clitoris et des petites lèvres luisantes. Un soupir sanctionna cette intrusion. Comme un moment tant attendue, elle se laissa alors aller, et facilita la masturbation en écartant les cuisses. Elle avait la taille fine, et l'intello de la classe s'était révélée une femme superbe, aux belles proportions, et aux traits fins.
J'entrais l'index en elle, son excitation facilitait l'insertion de l'intrus, Je sentais les parois étroites de son vagin, elle ne devait pas baiser souvent. Elle avait la tête sur le côté, les yeux fermés, le souffle irrégulier, et elle émettait un petit gémissement continue mais étouffé. Je commençais à fouiller son bas ventre avec méthode, cherchant son point faible. Le contact avec cette zone plus sensible se fit, et elle tourna la tête, écarquilla les yeux, et contracta son bassin. Je commençais donc à exciter cette zone, à tourner autour, à la chatouiller, alors que ma deuxième main effleurait son clitoris devenu rouge vif. Elle mordait ses lèvres et gémissait.
La blague ayant assez duré, son corps m'étant offert, je retirait mes doigts d'un coup, prit son bassin, le relevait sur le bard du sofa, et présenta mon sexe à l'entrée. Emilie ne réagissait pas, elle était comme dans un autre monde, j'avais envie de la prendre sauvagement, mais mes doigts m'avaient donné comme indice que la pénétration de son vagin étroit serait peut être douloureux. Une capote enfilé rapidement, et un peu de salive, et je commençais la pénétration. J'y allais lentement, de peur de lui faire mal, mais elle ondulait en miaulant. Elle voulait elle même s'enfoncer sur moi... et une fois mon sexe jusqu'à la garde dans sa chatte lisse, elle eu un hoquet de plaisir. Je commençais donc à la limer, je ressortait mon sexe, et le réinsérait en elle. J'étais partagé entre le sentiment d'abuser d'elle, et l'envie de lui donner du plaisir. Je repoussais ses mains avides de contact, et je la limais brutalement, à fond. Je n'avais pas envie de jouir, curieusement, je me sentais en forme, le sexe dur, son sexe fermement contracté autour du mien, mais si doux, et si chaud. Je tenais la barre, et la baisait comme elle le voulait, durement, je tenais ses tétons entre mes doigts, et chaque pression sur eux lui tiraient une larme de l'œil et un gémissement de plaisir. Après quelques courtes minutes, elle se contractait sur moi, et enfonça ses ongles dans le canapé, ses cuisses tremblaient et elle levait son bassin. Elle était comme habité.
J'étais encore en elle, quand elle revint à la réalité, il lui fallut autant de temps à jouir qu'à revenir à elle. Je lui faisais l'amour doucement, très doucement, comme un amant amoureux. Elle désserra les dents, et retrouva son souffle. Son sourire revint, mêlé à une surprise qu'elle n'arrivait pas à cacher.
"Tu veux bien m'enculer?"
C'est suffisamment rare comme demande, pour ne pas avoir besoin de réfléchir. Elle bafouilla qu'elle ne l'avait jamais fait, mais qu'elle était curieuse. Puis pris par un doute de dernière minute, me demanda si ça faisait mal. Je la rassurais tant bien que mal, ma queue me faisait mal à l'idée d'être le premier à explorer son anus. Je la fit mettre à quatre pattes. je me mis donc derrière elle à genoux, et contempla se fesses fermes que j'allais perforer un instant plus tard. Je commençais à lui prodiguer un anulingus, il sentait la mouille qui avait coulé en elle, et le contact de ma langue lui fit avoir un mouvement de recul. Elle pouffa, exorcisant sa gêne, et son appréhension par le rire. J'introduis mon index dans son arrière train, action qui eu pour réaction d'effacer tout sourire de son visage. Je lui rassurais en lui disant que la douleur n'était que diffuse, et qu'elle passait vite. J'entrepris de dilater son anus, et petit à petit introduis un second doigt en elle, ce qui lui fit dire, que finalement elle regrettait le moment où il n'y en avait qu'un. J'estimais qu'elle était prête, et lui imposait comme condition de reprendre la fellation là où elle l'avait laissé. Elle ne se fit pas prier et avala littéralement mon sexe.. Je lui conseillais d'y mettre le plus de salive possible.
Mon sexe dur comme du bois, je me plaçait derrière elle. Elle respirait fort, je lui conseillais de se détendre, et lui donna quelques indications pour faciliter la pénétration. Elle prit ses fesses et les écarta, probablement à s'en faire mal. Mon gland encapuchonné se présenta à sa rondelle, elle respirait fort. Je poussais doucement mais fermement me penchant en avant, pour que mon poids joue dans la balance. La membrane céda petit à petit, et elle eut le souffle coupé et un mouvement de recul. Je lui maintint le bassin, et progressa en elle, tout en lui parlant doucement pour la rassurer.
Je m'arrêtais pour laisser la douleur s'estomper, et le signal vint alors, pour que je commence à la limer. Je donnais un rythme assez fort à mes coups de reins, et comme toute réponse, j'entendais son souffle et un gémissement, plus rauque cette fois ci. Le membrane, bien que se dilatant, sous la pression de mon membre était très serré et je ne tardais pas à jouir en elle, elle hurla de douleur et de plaisir, et nous nous écroulâmes.
J'ôtais mon capuchon, remplit de ma semence, et recouvert d'un mélange sombre.. elle le prit, fasciné, et sourit, puis éclata carrément de rire. Elle partit le jeter, puis en revenant, me demanda de dormir avec elle. Nous étions vendredi, nous nous travaillons pas le lendemain. J'acceptais, trop fatigué pour rentrer. Je me fis discret quand son mec appela pour prendre des nouvelles. Une minute trente de conversation, leur complicité semblait sérieusement entamée.
Elle me confia pendant cette courte nuit, que son homme avait plusieurs maitresses, qu'elle connaissait d'ailleurs. Elle jouait le jeu selon des règles qu'elle n'avait pas écrites, et voulait son propre amant, ce que je fus quelques mois durant. Puis elle se maria, et ne nous sommes pas revues depuis.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Pabloexperience
4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Seulement si c'est demandé gentiment ;)
BELLE HISTOIRE...LA SUITE PLEASE
Vraiment tres e.....
Et cette fille c'est pas la derniere des mijorés
Et cette fille c'est pas la derniere des mijorés
J'ai beaucoup aimé votre histoire et je vous encourage à poursuivre..
Mais pour la bonne compréhension.. je vous recommande de faire atention aux accords,
féminin masculin... beaucoup de fautes.. qui nous font nous demander (pas longtemps) si
c'est une F ou un H qui raconte l'histoire (heureusement que vous parlez d'érection..
encore que l'érection peut aussi concerner un clitoris..
En tous cas , on retrouve dans votre récit ce qu'on a déjà pu vivre....
Mais pour la bonne compréhension.. je vous recommande de faire atention aux accords,
féminin masculin... beaucoup de fautes.. qui nous font nous demander (pas longtemps) si
c'est une F ou un H qui raconte l'histoire (heureusement que vous parlez d'érection..
encore que l'érection peut aussi concerner un clitoris..
En tous cas , on retrouve dans votre récit ce qu'on a déjà pu vivre....