Maison bourgeoise (partie 1)

- Par l'auteur HDS Pabloexperience -
Auteur homme.
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Récit libertin : Maison bourgeoise (partie 1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Maison bourgeoise (partie 1)
Maison bourgeoise.

De quoi alimenter bien des fantasmes. Avec Alice, nous étions enfin décidés à franchir le pas, celui
du pluralisme. Après une expérience réjouissante avec un autre homme, un intrus dans notre couple,
nous avions décidé de nous laisser aller à l'orgie, à l'extrême, quitte à ce que notre couple vole
en éclat. Nous en étions là, à un croisement, un moment décisif: se replier sur notre train train
quotidien, fait de pipe molle devant la tv, et de baise papa maman, ou alors foncer tête baissé, et
tenter la quête de nouveaux corps, de nouvelles sensations, ensemble, la main dans la main.

C'était ça notre complicité. Notre amant d'un soir nous avait tour à tour baisé, et chacun tour à
tour, nous ne nous quittions pas du regard. Mes yeux bleus, dans ses yeux verts. Je l'aime ma femme,
elle était si belle pendant qu'elle jouissait. L'orgasme la transcende. Elle fait resortir en elle
une beauté unique, subtile. Le jeu de regard avait atteint son apogée quand notre amant m'avait
prit, moi, bisexuel ponctuel. Quand ma rondelle avait finit apr céder sous la pression du gland, je
voyais le feu brûler dans les yeux de mon amour. Une fois soulagé, notre amant commun avait prit la
fuite, et avions fait l'amour, longtemps, tendrement, comme jamais, j'étais assis dans le canapé, et
elle à genoux sur mon sexe. J'avais jouit en elle, et nous étions restés dans cette position pour
préserver ce moment fragile, la complicité à l'état pure. Le sperme coulait, sentait.

Il était évident qu'un tel moment ne pouvait pas rester sans suite. Nous avions atteint à un nouveau
niveau dans notre relation. Nos orgasmes étaient plus forts, nous avions enterrés une bonne partie
de nos complexes. C'était comme une drogue, il nous fallait plus fort! S'était alors mis en place
une sorte de rituel, se raconter nos fantasmes. Soumissions, humilations, sodomie, jeux de cordes,
de rôles, nous nous parlions, et la fois d'après, l'un comme l'autre, essayait de se montrer à la
hauteur des attentes de l'autre. Nous étions amants au pieu. Le sujet de la pluralité revenait de
temps à autre sur la table. Alice avait envie de me voir baisé devant elle, à nouveau. cette idée
l'excitait. Je crevais d'envie de la voir souillée par des hommes et des femmes, pour pouvoir la
prendre dans mes bras après, la nettoyer, l'embrasser, la caliner, l'aimer.

La prochaine étape serait la partouze. Nous avions bannis les clubs, que nous jugions, sans vraiment
connaître d'ailleurs, trop glauques. Nous voulions quelque chose de privé, de plus intime. Le seul
vraie problème dans tout ça, c'est que nous ne savions pas où aller. La situation s'est débloquée un
soir. Alice rentrait du boulot après trois jours sans avoir mis les pieds à l'appart'. Je
l'attendais, envie d'elle, de lui manger les fesses, lui sucer les seins.. Elle arrivait triomphante
de son périple dans un proche pays d'Europe!

"J'ai trouvé!"
"Trouvé quoi?"
"un truc génial, tu vas adorer mon amour!!!"

Elle déballait son sac, tout en me racontant. Un "collaborateur" lui avait fait de sérieuses
avances. Il lui avait proposé de la sauter à l'hotel. Elle me racontait tous ses efforts pour la
séduire. Elle est belle Alice, je le comprends, j'aurais fait pareil. Elle rigolait en me racontant
ça:

"C'était un beau mec et tout, je n'aurais pas été avec toi, je l'aurais suivis.. Mais il est gonflé
quand même, il est marié.. ça fait un peu gros porc non? Tu baiserais la femme d'un autre toi?"
"Si c'était toi oui, sans hésiter!"

Elle était devait la machine à laver à vider son linge sale, je ne résistait pas. Son histoire ne
m'intéressant pas (encore), je la baisais dans le dressing, contre la machine qui se remplissait
d'eau, le tambour qui vibrait couvrait nos gémissements. Nous en avions envie tous les deux,
l'orgasme vint rapidement.
Plus tard, devant le repas, elle me dit:

"Tu sais le truc dont je te parlais tout à l'heure. ce mec... Il a une maison et il organise des
"des parties" certains week end.. C'est un bourge, il a plein de fric, une belle bagnole.. Sa queue
doit être en argent.."
"des parties?"
"Oui des parties fines, des partouzes quoi ... Il m'a donné sa carte, si ça l'intéresse, je lui
envois un mail, et on sera invité à la prochaine... même toi, il m'a dit!"

Elle éclaitait de rire en disant ça...

Une semaine passait, nous reprenions nos jeux intimes. Le rituel était rôdé, Alice partait plusieurs
fois dans le mois pour son boulot, à son retour, je me déchaînais sur elle. Alors que nous nous
racontions nos fantasmes, elle me rappelait cette occasion de virer définitivement dans le monde du
libertinage. Elle m'avouait, le regard baissé, qu'elle aimerait bien elle. Curieux, nous n'avions
pourtant aucune gêne. Je comprenais dés lors qu'elle savait de quoi il retournait. Elle me jura ne
pas y être allé, mais son prétendant lui avait montré quelques photos. Elle alla chercher son
portable pour me montrer à son tour les dites images.

Effectivement, il s'agissait d'un autre monde. Des petits groupes s'affairaient dans une maison au
style assez baroque, très érotique. Il y avait du monde. Quelques jours de réflexions et de dialogue
eurent raison de toute résistance. Alice vint contre moi, avec son ordinateur, dans notre lit. Nous
avons écrit le mail tous les deux, fébriles. La réponse se fit 10 miutes après: une date, un lieu de
rendez-vous avec ces mots:

"Chère alice, ravi que vous cédiez enfin à vos envies, je ne doutais pas un instant que je finirais
par vous revoir. Je tâche de vous réserver une chambre... "

Nous fîmes l'amour. Orgasmique.

Un mois plus tard, nous prenions le train, direction, plein nord, Bruxelles! Nous prenons un taxi,
et nous dirigeons vers notre hotel. Un mot nous y attendait dans la chambre: Avec le lieu du rendez-
vous, et des indications sur notre tenue. Nous passâmes l'après midi à buller allonger sur le lit, à
penser au soir, à se blottir l'un contre l'autre, à se caliner. Nous étions tous deux excité, mais
anxieux à l'idée de mettre en péril notre amour. Et pourtant, que ce petit gout de risque était bon.

A 17h, Alice profita de la grande baignoire pour prendre un long bain chaud, elle consacra un long
moment au soin de son corps, et à la préparation de celui-ci pour plaire. Elle épila
conscencieusement tous les poils disgrâcieux, et au moment d'aborder le sujet de son pubis, un débât
animé fit rage. Elle hésitait à toutraser, ce qui serait probablement plus confortable pour elle.
Elle accepta finalement, à la condition que j'en fasse de même, ce que je me refusais à faire.
L'idée d'un sexe glabre rendait Alice très "chaude", elle insistat pour le faire elle-même, je la
laissais faire, sensation nouvelle qui provoquait une solide érection chez moi.

Elle se parfuma, et se maquilla ensuite. Elle fit un choix discret, metant son visage en valeur.
Puis avec deux eptites touches discrètes, elle décida de réhausser son côté salope, ce sont ses
mots.

"je trouve que ça fait un peu trop fade là, tu en penses quoi mon amour?"
"tu es belles comme ça, ma puce.."
"ce soir je préfererais être ta pute! Comme ça, c'est mieux ... ça me donne un côté salope!"

je l'embrasse dans le cou. Elle est plus belle que jamais. Elle retourne dans la salle de bain, puis
revient avec un sac:

"Surprise! Tu vas adorer, j'ai pris un ensemble super sexy!!!"

Dim-up, guêpière, string... le tout en noir, avec des motifs brôdés. Ses seins sont mis en valeur,
je ne sais pas où elle a trouvé ça, le décolleté est plongeant à souhait.

"Ho non, restons ici, je te fais l'amour ici, toute la nuit, tu es trop belle!"
"Trop tard pour reculer on est attendue!!!" répond elle en rigolant.
"Tu fais ton shopping en cachette?"
"J'ai trouvé ça à Madrid.. entre deux rendez-vous..."
"ha bon tu es allé à Madrid?"

On s'en fout en fait, l'important c'est elle. Je me glisse derrière elle, et passe la main sous son
string. Je suis surpris de le sentir lisse, je ne suis pas habitué. Un doigt passé dans sa fente me
prouve qu'elle est excité.

"Laisses moi finir, on va être en retard"

Elle passe un collier de perles, et une robe noir, de soirée, très belle, échancrée ce qu'il faut
pour me rendre dingue. Elle a un petit côté bcbg qui en ferait craquer plus d'un, ça ne lui
ressemble tellement pas. Et pourtant, je lis dans son regard qu'elle est bien mon amante, et je
reconnais le feu dans ses yeux! J'enfile rapidement mon ensemble costume noir, avec une chemise
blanche. Tenue correcte exigée, on se croirait plutôt déguisé pour Carnaval. Peu importe, c'est
l'heure. Mon coeur bat à 100 à l'heure, j'ai des frissons, et une boule au ventre, je repense aux
photos.

Un taxi nous attends en bas, 1h30 de route, nous arrivons dans une grande propriété, au milieu de
laquelle trône une grande maison, de deux étages, assez anciennes apparemment. Nous sonnons, un
homme vient ouvrir.

"Alice, je suis content de te voir, entrez!"

Il est 21h, David, le "collaborateur" d'Alice nous accueille. Sa femme le rejoint. Une femme de 35
ans environ, des faux seins à l'évidence, tant la paire est disproportionnée au regard de son corps
filiforme.

"Soyez les bienvenues. Nous allons vivre une très belle soirée je pense."

David regarde les fesses d'Alice. Je suis un peu jaloux, il y tient. Sa femme me détaille, le regard
gourmand. Nous entrons au salon. Une vingtaine de couple sont présent. David nous présente à
l'assemblée, mais son annonce se fait dans l'indifférence générale. Des petits groupes se sont
formés. Un buffet est dressé dans le fond de la pièce, nous allons nous chercher un verre. Alice se
retourne vers moi, je l'enlace.

"Je t'aime"

A suivre...

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