Alice et moi 8
Récit érotique écrit par Jerinak [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Alice et moi 8
Alice et moi 8Nous venions de baiser dans à la salle de sport avec Alice lorsqu’elle m’annonça que le week-end suivant, elle se rendait à l’anniversaire d’une amie. Il est prévu que tous les invités se rendent dans une boîte de nuit de la ville. Elle me dit que comme son mari est là ce week-end, nous pourrions profiter de la boite de nuit pour baiser en cachette. L’idée de la baiser alors que son mari sera présent me plaît beaucoup. J’accepte donc.
Le samedi soir, je me rends donc dans cette boite de nuit avec des amis. Ils sont là pour passer une bonne soirée. Moi aussi mais pas de la même façon. Nous y sommes depuis une demi-heure lorsque je vois un groupe entrer. Je vois qu’Alice en fait parti. Un mec marche derrière elle en lui tenant le bras. Il s'agit de son mari que je reconnais pour l'avoir vu en photo chez eux. Ils sont une bonne vingtaine. Un coin leur a été réservé. Tandis que je les regarde, le regard d'Alice croise le mien. Mais elle n'ose pas me sourire de peur que son mari la voit. Elle porte une jupe et un chemisier plutôt sage comparé à d'autres tenues qu’elle m’a déjà montrées. Il faut croire que son mari n’aime pas la voir sexy. Le petit groupe passe un moment tous ensembles puis les premières personnes vont danser et se mélangent aux autres. Alice en fait parti. Son mari est resté assis et tourne carrément le dos au dancefloor. D'une, il n'a pas peur que l'on drague sa femme. De deux, il a l’air très coincé. Mais en fait il va avec le caractère timide qu’Alice montre en public. Mais le fait qu’il nous tourne le dos nous arrange.
Je décide de rejoindre le dancefloor. Avant de partir, je pari avec mes potes que je vais réussir à me taper la fille que je leur montre du doigt (Alice évidemment). Ils me répondent que vu qu’elle est arrivée avec son mari et qu’elle a l’air timide, je ne suis pas prêt de la baiser. J'arrive près d'Alice et je me rapproche lentement. Elle danse encore avec ses amis. Mais assez vite, la foule fait son travail et ils sont éparpillés et mélangés à tout le monde. Alice m'a d’ailleurs perdu de vue. Je suis derrière elle et comme il y a beaucoup de monde, je peux lui mettre une main aux fesses sans risque. Lorsque ma main touche son gros cul ferme, elle se retourne brusquement et sourit en me voyant. Je me colle contre elle et nous dansons un peu. Son cul qui se frotte contre ma braguette me fait bander comme un fou et elle doit bien sentir ma bite. Une de ses amies approche alors elle se décolle et les deux filles se mettent à danser ensemble. Je reste néanmoins derrière Alice et je frôle son corps au maximum. Alice se déplace doucement pour finalement perdre son amie dans la foule.
Je la prends alors par la main et je l’entraîne vers les toilettes. Ce n'est pas l'endroit idéal mais nous avons l’habitude d'y baiser à la salle de sport. Nous entrons dans une cabine et je la verrouille. Alice passe ses bras autours de mon cou et nous nous embrassons tendrement. Mais malheureusement, nous n'avons pas beaucoup de temps avant que son absence ne se remarque. Alice s’agenouille et baisse mon pantalon. Ma bite qui est bien dure vient frapper son visage lorsqu’elle baisse mon boxer. Elle s'en empare avec sa main puis elle me suce rapidement. Elle dévore ma bite à pleine vitesse. Deux minutes à peine après le début de sa pipe, elle se redresse et se retourne. Elle pose ses mains sur la cloison et elle se penche en avant pour m’offrir sa croupe. Je relève sa jupe et je constate qu’elle porte une culotte. Elle est détrempée. Je vais donc gagner du temps et la baiser directement. Mais avant je lui dis :« - C’est quoi ce truc ?
- C’est une culotte !
- Et pourquoi tu portes un truc aussi affreux ?
- Parce que je sors avec mon mari.
- Et alors ?
- Bah il ne veut pas que je porte autre chose.
- Mais porte ce que tu veux. Mais surtout porte autre chose quand tu viens voir ton amant pour te faire défoncer. »Je baisse sa culotte et je la fais tomber sur ses pieds. Je me place derrière elle et j’enfonce ma bite dans sa chatte toute chaude et humide. J’agrippe ses hanches et je la culbute sans ménagement. Je la défonce et elle se met à couiner. Je la déboite depuis seulement quelques minutes mais elle me demande d’accélérer avant que quelqu’un ne la cherche. J’accélère encore. Nos corps s’entrechoquent violemment et nous atteignons l'orgasme en même temps. Je rempli la chatte d'Alice qui reste appuyée contre la cloison pour reprendre son souffle. Je récupère sa culotte et la mets dans ma poche. Elle me dit :« - Rends la moi !
- Non. Les jolies cochonnes comme toi ne portent pas de culotte.
- Mais si mon mari…- Ton mari ne te touche jamais. Et au pire tu lui diras que tu as fait ça pour l’exciter.
- Bon ok. Je t’aime trop. [Elle m'embrasse]. Je peux te demander quelque chose ?
- Dis toujours.
- J’ai une amie qui est ici dont le mari s'est barré avec une stagiaire de son entreprise. Ca lui a fait hyper mal et ça a fini de détruire le peu de confiance en elle qu’elle avait. Elle est timide et elle n'a pas eu d'amant depuis son divorce il y a deux ans. Je trouve ça trop affreux maintenant. Tu ne voudrais pas t'occuper d'elle ?
- Je suis toujours prêt à rendre service tu sais.
- Oh merci. Tu es trop gentil.
- Et comment je la reconnais ?
- Regarde c’est elle. En plus la photo est aujourd’hui alors elle est habillée pareil. [Je vois une fille châtain (plus foncé qu’Alice) d'environ 40 ans. Une frange cache la partie supérieure de son visage. Elle a les yeux marron. Elle a un grand nez. De visage elle n'est pas spécialement jolie mais elle n’est pas moche non plus. Je ne vois pas son corps sur cette photo mais ce sera une surprise].
- Et si elle est timide, je l'imagine mal en train de danser dans la foule.
- Je m'occupe de te l'amener. Occupes toi de la faire jouir ! ».
Elle m’embrasse et sort des toilettes. Je la suis quelques instants après. En sortant je croise un pote qui me dit que j’ai gagné mon pari ! Bon d'accord c’était truqué mais il ne le sait pas. Je retourne à notre table. Je vois qu’Alice a retrouvé ses amis. Elle est en train de parler avec la fameuse amie que je dois baiser. Une autre amie parle avec elles. Elles finissent par se lever. Elles encadrent leur timide amie et la poussent vers le dancefloor. J'en profite pour la regarder. Elle doit faire entre 1m65 et 1m70. Elle est plutôt ronde mais sans être grosse. Malgré tout, elle a de petits seins. A vu de nez, elle doit faire du 90B. Par contre elle a un gros cul bien généreux. Mais vu sa morphologie, il ne doit pas être aussi ferme que celui d'Alice. Elle porte une robe qui lui arrive mi tibia et qui n'est pas très décolletée.
Je retourne danser et je m'approche des trois filles. Je me fraye un chemin dans la foule et j’arrive juste derrière ma cible. En faisant mine de danser, je lui colle rapidement une main aux fesses. Son cul est généreux mais assez mou. Elle se retourne et me regarde. Mais comme j’ai déjà enlevé la main, elle ne fait rien de plus. Je lui souris et me rapproche d'elle en dansant. Nous sommes très proches. Elle tourne sur elle-même pour voir ses amies. Mais comme nous sommes proches, mon bassin et en contact direct avec son cul. Et ma bite durcie. Alice reste bien en face d'elle pour l’empêcher de s'avancer et de fuir le contact que nous avons. Elle continue à danser en étant coller à moi. Ma bite est bien dure et mon pantalon est déformé par mon érection. En dansant, ma bosse frotte son cul et elle ne peut pas l’ignorer. Je décide de poser une main sur ses hanches afin que nous soyons encore plus collés. A cet instant ma bite se cale dans la raie de son cul. A la surprise générale, elle se déhanche volontairement vers l’arrière pour que nos corps se frottent. Puis elle se retourne et se colle à moi et passant un bras autour de mon cou. Alice et surtout son amie sont surprises mais elles prennent du recul. Je remarque que ma compagne de danse sent un peu l'alcool. Je crois qu'Alice a du faire en sorte de la désinhiber. Elle continue de danser et frotte sa chatte contre ma cuisse puis la bosse de mon pantalon. Notre danse est de plus en plus torride et elle fini par m’embrasser à plein bouche. Alice et son autre amie en rigole et disparaissent pour de bon. Je pose mes mains sur son gros cul et je pétri ses fesses rondes tout en continuant notre baiser.
Je prends l'amie d’Alice par la main et je l’entraîne à son tour dans les toilettes. Mais même si elle est bien chaude et qu’elle a franchie un cap, elle ne veut pas aller dans les toilettes des hommes. Je l’entraîne alors dans les toilettes des femmes. Elle rigole bêtement en voyant que des filles nous voient entrer dans une cabine. Je verrouille la porte. Je me retourne et je vois qu’elle me bouffe du regard. Elle se jette immédiatement sur moi et m’embrasse. Elle n'a pas baisé depuis deux ans et visiblement elle a accumulé du désir. Elle est chaude comme la braise. Elle se frotte à moi. Je la pousse contre la paroi et je pose mes lèvres sur son cou. Je le lèche et descends vers ses seins que je tripote déjà avec mes mains. Je les fais sortir du soutien-gorge et je gobe son téton bien dressé. Elle gémit de bonheur. Je veux lui enlever sa robe mais elle m’en empêche en prétextant qu’elle n’est pas à l’aise avec son corps. Je m’agenouille donc devant elle et je passe ma tête sous sa robe. Je remonte le long de ses cuisses potelées et j'attrape sa culotte. Je la baisse immédiatement et je découvre, à ma grande surprise, une chatte bien entretenue. Elle hurle de plaisir lorsque mes lèvres entrent en contact avec son clito. Je lui fais un long cunni. Elle mouille abondamment. A croire que toute la mouille qu’elle n’a pas déversée depuis deux ans est en train de sortir ! Mais comme j’adore ça, je ne me prive pas de lécher sa chatte et son délicieux nectar. Elle couine énormément et elle fini par avoir un orgasme. Je sors de sous sa jupe. Elle me sourit et s’assoit sur les toilettes puis m’entraine vers elle. Elle défait ma ceinture et baisse mon boxer. Elle pousse un « mmmm » en découvrant ma bite. Elle la met immédiatement dans ma bouche. Elle est vraiment affamée. Elle suce plutôt bien. Surtout qu’elle n’a pas pratiqué depuis un moment. Après de longues minutes de pipe, elle en veut plus. Elle se lève et se cale contre la cloison. Elle pose une jambe sur les toilettes. Je m'approche d'elle. Je relève le bas de sa robe et je plante ma bite en elle d'un coup sec. Elle hurle de bonheur. Je fais de lents mais puissants aller retour en elle. Ses bras passent autour de mon cou. Je la culbute de plus en plus fort. Elle se lâche complètement. Elle gémit bruyamment et enroule ses jambes autour de moi. Je passe mes mains sous son cul et je la plaque à la paroi. Mes coups de bite sont violents. Plus je la défonce et plus elle crie fort. Elle a un nouvel orgasme. Je la repose par terre. Elle s’agenouille devant moi et reprends sa fellation. Elle me suce comme une folle. Lorsque mon sperme inonde sa bouche, elle avale tout avec gourmandise. Elle se relève et prend mon visage dans ses mains avec douceur. Elle me dit :« - Merci c’était fantastique.
- De rien.
- Je n'avais pas baisé depuis mon divorce. Mes copines ont bien fait de m’obliger à aller danser.
- Faudra que je les remercie !
- En fait, tu connais l'une d’elles.
- Ah oui ?
- Alice. Elle m’a dit que tu la connais à la salle de sport.
- Exact.
- Le fait qu’elle te connaisse m'a rassurée. C’est idiot mais c’était différent que de partir avec un mec totalement inconnu. Et avec une autre copine elle n’arrêtait pas de dire que tu es trop beau et que je devais me laisser-aller.
- Elles t’ont bien poussé !
- Oui. Elles m’ont même fait boire un peu.
- Elles ont bien fait !
- Oh ouiii. Je ne regrette absolument pas. Tu es trop mignon et tu sais y faire. Je ne pensais pas que tu voudrais baiser avec moi. Je ne suis pas top.
- Tu as ton charme !
- Merci. Mais est-ce que tu as déjà couché avec l'une d’elles ?
- Pourquoi tu me demandes ça ?
- Elles n’arrêtaient pas de me dire que j'allais passer un bon moment.
- Elles avaient raison non ?
- Oui. Tu t’appelles comment ?
- Jerinak et toi ?
- Anne. On pourra se revoir ?
- Si tu veux. Laisse-moi ton numéro. »Elle me le donne et sort de la cabine. Elle tombe sur une de ses amies qui lui dit qu’elle a l’air d'avoir passé un bon moment ! Puis elles quittent les toilettes. Elle était tellement sous le coup de l’émotion qu’elle a oublié de remettre sa culotte. Je la mets donc dans ma poche. Cela m'en fait deux. Je retourne à notre table. Je bois un verre pour récupérer. Je vois qu’Alice est à côté d'Anne et qu’ils y a trois autres filles avec elles. Elles sont un peu à l’écart du reste de leur groupe et Anne est leur centre d’intérêt. Je pense savoir de quoi elles parlent ! Le mari d'Alice vient voir ce qu’il se passe. Elles rejoignent le reste du groupe pour ne pas attirer l’attention. Alice s’assoit juste à côté de son mari. Elle lui prend la main pour la poser sur le haut de sa cuisse. Tout près de sa chatte qui n'a plus de culotte et qui est pleine de mon sperme. Mais ce con retire sa main et reprend une discussion avec d’autre personne. Anne me jette des regards en coin et semble fière d'avoir tout raconté à ses amies les plus proches. Même si elle est loin de tout savoir !
Après un moment, tout ce petit monde retourne danser. Rapidement, je vois Alice aller en direction de la sortie. Elle me fait un clin d’œil. Je sors donc de la boite de nuit et je retrouve Alice qui m'attend non loin de la porte. Elle me remercie pour son amie et me dit qu’elle n'a pas encore eu droit à sa sodomie. Nous nous enfonçons entre les voitures tout au fond du parking. Il y a un pick-up qui nous permettra d’être bien cachés. En marchant, j'en profite pour passer ma main sous la jupe d'Alice. Je peux caresser tranquillement son cul puisque sa culotte est dans ma poche. Une fois derrière le pick-up, Alice me dit encore que nous n’avons pas beaucoup de temps avant que l’autre ne la cherche et qu’il faut donc aller au plus vite. Elle prend appui sur le côté du pick-up et se penche en avant pour être bien cambrée. Je me mets derrière elle et je relève sa jupe. Je libère ma bite et l’insère directement dans son cul qui s’ouvre maintenant aussi bien que sa chatte. Je l'encule à toute vitesse. Je la saute comme une vulgaire pute et elle adore cela. Alice tente de ne pas faire trop de bruit mais le plaisir que lui apporte ma bite qui bourre son cul est trop fort et elle ne parvient pas toujours à étouffer ses gémissements. Je la culbute depuis un peu moins de cinq minutes lorsque nous entendons une voix féminine dire :« L – ALICE ! [Nous tournons tous les deux la tête et je vois Anne accompagnée d’une de leurs amies]Al - Je vais tout t’expliquer Lydie.
L – Vous pourriez peut-être arrêter de baiser pour cela ! [Effectivement même si je ne bouge plus, ma bite est toujours plantée dans le cul d'Alice. Je sors d'Alice qui se redresse. Sa jupe reprend naturellement sa position habituelle.] Oh mon dieu quelle bite. Et il est mignon en plus. Je comprends pourquoi tu jouis autant !
An – Moi je comprends parfaitement!
L – Et je comprends que tu as couché avec lui parce que tu célibataire. Mais toi Alice tu es mariée !
Al – Oui je suis mariée. Il est adorable bien que tout le temps absent. Mais niveau sexe c’est comme si j’étais célibataire. Il ne me touche plus depuis la naissance de notre dernière. J’étais tellement en manque et j’ai rencontré ce beau jeune homme à la salle de sport. Il m'attirait et je ne contrôlais plus rien. C’était bestial. C’était un besoin primaire. On a baisé et pour la première fois depuis des années, je me suis sentie femme et séduisante. Il est mon amant depuis quelques mois et je revis. Il m’a décoincé et je l’aime. J’aime faire l’amour avec lui et découvrir de nouvelles choses. Il me fait jouir comme je n’avais encore jamais jouis.
An – Je comprends mieux pourquoi tu n’arrêtais pas de dire que j'allais passer un bon moment. Tu savais de quoi tu parlais.
Al- Désole les filles. Je sais que c’est malhonnête et très mal envers mon mari et même envers vous mais je me sentais tellement esseulée et laissé à l’abandon, je…L – Tu n’as pas à t’excuser. Je crois qu’Anne comprend parfaitement. Et a vrai dire moi aussi. Mon mari est à peu près comme le tien. C’est sûrement pour cela qu’ils s'entendent aussi bien. Oh j’ai bien droit à une levrette de deux minutes maxi une ou deux fois par mois mais ma vie sexuelle est vraiment minable et il ne porte pas beaucoup d'attention à moi. Il préfère son boulot. Alors je comprends ce que tu as fait. En fait, je crois même que tu as raison. Et je t'envie. [Lydie a les larmes aux yeux]An – Ne sois pas toute triste c’est ton anniversaire !
Al – Et si je te faisais un beau cadeau ?
L – Lequel ?
Al – Il a l’air de te plaire alors tu pourrais passer un moment avec lui pour fêter tes quarante ans !
L – Mais c’est ton amant et il a peut-être son mot à dire.
J – Je suis toujours partant pour passer de bons moments. Surtout avec une jolie femme.
Al – Aller laisse toi aller. C’est la première fois la plus bizarre mais après tu t'habitues à tromper ton mec.
L – Justement le mien est ici alors…Al – Alors le mien est ici et ça n’empêche pas qu’il ne se doute de rien alors que je le trompe depuis des mois et que ce soir, je me suis fait prendre deux fois.
An – Laisse toi aller Lydie. Fais comme moi. N’écoutes pas que ta raison et profites de la vie.
Al - J'hallucine tu donnes des conseils alors qu’il a fallu une bonne dose d'alcool et que l'on te pousse dans ses bras !
An – Mais ça en valait la peine alors je me permets de dire que c’est bon de se laisser aller.
Al – Lydie fais comme tu veux mais ça ne me dérange pas que tu couches avec lui. La preuve j’ai même poussé Anne à coucher avec lui.
L – Je… Je ne sais pas.
Al – Tu en as envie ?
L – Oui mais …Al – Alors ne pense qu’à ton envie et laisse tout le reste.
L – Ok mais comment on peut faire ?
J – On est dehors depuis un moment. Vos maris et vos amis vont finir par vous chercher. Si tu veux, on se retrouve aux toilettes des hommes dans dix minutes.
L – Ok »Les trois filles retournent à l’intérieur pendant que je me rhabille. J’attends un peu puis je vais directement aux toilettes des hommes. Je suis impatient de fêter l’anniversaire de cette jolie brune comme il se doit. Lydie a les yeux marron. Elle est petite. Elle doit faire entre 1m60 et 1m65 maximum. Elle est très fine. Elle doit peser à peine plus de 50 kg mais elle a un joli petit cul. Sa poitrine est minuscule. Je dirais du 85A. Elle est très mignonne. Elle a beaucoup de charme. Elle porte une robe assez sage mais qui la met bien en valeur.
En arrivant aux toilettes, je vois Lydie qui attend à côté de la porte. J’entre et elle me suit. Il n'y a personne. Nous entrons dans une cabine et je la verrouille. Lydie me regarde mais ne semble pas savoir quoi faire. Je lui souhaite un bon anniversaire et je l'embrasse. Mes mains se posent sur ses hanches puis vont explorer son petit cul qui est bien ferme.
Elle touche elle aussi mon corps et rapidement, elle tripote ma braguette. Je fais glisser les bretelles de sa robe le long de ses épaules. Elle tombe d'un seul coup au sol et dévoile le soutien-gorge en dentelle et le string de Lydie. Je la serre contre moi tout en l’embrassant. Elle ouvre ma chemise et baisse mon pantalon. Puis elle frotte son corps contre le mien et attrape ma bite. Je m’assois sur les toilettes et elle vient se placer entre mes jambes. Elle entame une fellation. Elle suce très bien. Si son mari ne la baise presque plus, elle a du sucer des bites avant de le connaitre. Elle déguste ma bite quelques instants et lorsque je suis bien dur, elle se relève. Je veux lui lécher sa chatte toute lisse mais elle me dit que l’on n’a pas le temps. Ces femmes mariées et le temps ! Elle se place face à moi et viens s'assoir sur ma bite. Elle passe ses bras autour de moi et commence à sauter dessus. Elle ferme les yeux et gémit. En temps normal, je plongerai ma tête dans ses seins mais notre écart de taille important m'en empêche. Je l’aide à monter et descendre sur ma bite en passant mes mains sous son cul. Cette position n'est pas la meilleure pour aller vite et comme le temps presse, je change de position sans la prévenir. D'un coup je me lève et la plaque contre la porte qui est face à moi. Ces jambes ne touchent pas le sol. Elle les enroule autour de mon bassin. Elle n'a d’ailleurs pas touché le sol pendant le changement de position puisqu’elle est restée plantée sur ma bite et que mes mains étaient sous ses fesses. Je suis maintenant libre de bouger et de la culbuter violement. Je la prends sauvagement contre la porte qui oscille en même temps que ma bite va et viens dans la chatte de Lydie. Lydie ne se contrôle plus. Elle hurle de bonheur. Ses bras et ses jambes me serrent aussi fort que possible. Elle fini par jouir bruyamment. Je l’imite quelques secondes après et mon sperme se déverse en elle.
Je la repose au sol. Elle remet sa robe et m’embrasse. Elle me laisse son string en souvenir et me dit : « tu es mon plus beau cadeau. J'espère qu’on se reverra". Puis elle quitte les toilettes à toute vitesse. Je me rhabille tranquillement et je range son string dans une de mes poches. Je sors des toilettes. En ouvrant la porte, je croise le mari d'Alice. Je lui tiens la porte. Il me remercie et me dis que c’est gentil. S’il savait ce que je fais à sa femme, il ne me remercierai pas ainsi !
Je bois un dernier verre avec mes potes. Le groupe d’Alice s'en va. Je vois défiler devant moi les trois filles que j’ai baisé ce soir. Alice, Anne et Lydie me lancent un regard complice. Leur chatte sont pleine de mon sperme mais leur cocus de mari marchent à côté d'elles sans se douter de rien. Pour ma part, je repars les poches remplies de leurs culottes et de leur string. N’hésitez pas à me contacter par mail à l’adresse suivante : Mcfps@hotmail.fr ou à rejoindre le groupe Facebook : Fan des histoires de Jerinak.
Le samedi soir, je me rends donc dans cette boite de nuit avec des amis. Ils sont là pour passer une bonne soirée. Moi aussi mais pas de la même façon. Nous y sommes depuis une demi-heure lorsque je vois un groupe entrer. Je vois qu’Alice en fait parti. Un mec marche derrière elle en lui tenant le bras. Il s'agit de son mari que je reconnais pour l'avoir vu en photo chez eux. Ils sont une bonne vingtaine. Un coin leur a été réservé. Tandis que je les regarde, le regard d'Alice croise le mien. Mais elle n'ose pas me sourire de peur que son mari la voit. Elle porte une jupe et un chemisier plutôt sage comparé à d'autres tenues qu’elle m’a déjà montrées. Il faut croire que son mari n’aime pas la voir sexy. Le petit groupe passe un moment tous ensembles puis les premières personnes vont danser et se mélangent aux autres. Alice en fait parti. Son mari est resté assis et tourne carrément le dos au dancefloor. D'une, il n'a pas peur que l'on drague sa femme. De deux, il a l’air très coincé. Mais en fait il va avec le caractère timide qu’Alice montre en public. Mais le fait qu’il nous tourne le dos nous arrange.
Je décide de rejoindre le dancefloor. Avant de partir, je pari avec mes potes que je vais réussir à me taper la fille que je leur montre du doigt (Alice évidemment). Ils me répondent que vu qu’elle est arrivée avec son mari et qu’elle a l’air timide, je ne suis pas prêt de la baiser. J'arrive près d'Alice et je me rapproche lentement. Elle danse encore avec ses amis. Mais assez vite, la foule fait son travail et ils sont éparpillés et mélangés à tout le monde. Alice m'a d’ailleurs perdu de vue. Je suis derrière elle et comme il y a beaucoup de monde, je peux lui mettre une main aux fesses sans risque. Lorsque ma main touche son gros cul ferme, elle se retourne brusquement et sourit en me voyant. Je me colle contre elle et nous dansons un peu. Son cul qui se frotte contre ma braguette me fait bander comme un fou et elle doit bien sentir ma bite. Une de ses amies approche alors elle se décolle et les deux filles se mettent à danser ensemble. Je reste néanmoins derrière Alice et je frôle son corps au maximum. Alice se déplace doucement pour finalement perdre son amie dans la foule.
Je la prends alors par la main et je l’entraîne vers les toilettes. Ce n'est pas l'endroit idéal mais nous avons l’habitude d'y baiser à la salle de sport. Nous entrons dans une cabine et je la verrouille. Alice passe ses bras autours de mon cou et nous nous embrassons tendrement. Mais malheureusement, nous n'avons pas beaucoup de temps avant que son absence ne se remarque. Alice s’agenouille et baisse mon pantalon. Ma bite qui est bien dure vient frapper son visage lorsqu’elle baisse mon boxer. Elle s'en empare avec sa main puis elle me suce rapidement. Elle dévore ma bite à pleine vitesse. Deux minutes à peine après le début de sa pipe, elle se redresse et se retourne. Elle pose ses mains sur la cloison et elle se penche en avant pour m’offrir sa croupe. Je relève sa jupe et je constate qu’elle porte une culotte. Elle est détrempée. Je vais donc gagner du temps et la baiser directement. Mais avant je lui dis :« - C’est quoi ce truc ?
- C’est une culotte !
- Et pourquoi tu portes un truc aussi affreux ?
- Parce que je sors avec mon mari.
- Et alors ?
- Bah il ne veut pas que je porte autre chose.
- Mais porte ce que tu veux. Mais surtout porte autre chose quand tu viens voir ton amant pour te faire défoncer. »Je baisse sa culotte et je la fais tomber sur ses pieds. Je me place derrière elle et j’enfonce ma bite dans sa chatte toute chaude et humide. J’agrippe ses hanches et je la culbute sans ménagement. Je la défonce et elle se met à couiner. Je la déboite depuis seulement quelques minutes mais elle me demande d’accélérer avant que quelqu’un ne la cherche. J’accélère encore. Nos corps s’entrechoquent violemment et nous atteignons l'orgasme en même temps. Je rempli la chatte d'Alice qui reste appuyée contre la cloison pour reprendre son souffle. Je récupère sa culotte et la mets dans ma poche. Elle me dit :« - Rends la moi !
- Non. Les jolies cochonnes comme toi ne portent pas de culotte.
- Mais si mon mari…- Ton mari ne te touche jamais. Et au pire tu lui diras que tu as fait ça pour l’exciter.
- Bon ok. Je t’aime trop. [Elle m'embrasse]. Je peux te demander quelque chose ?
- Dis toujours.
- J’ai une amie qui est ici dont le mari s'est barré avec une stagiaire de son entreprise. Ca lui a fait hyper mal et ça a fini de détruire le peu de confiance en elle qu’elle avait. Elle est timide et elle n'a pas eu d'amant depuis son divorce il y a deux ans. Je trouve ça trop affreux maintenant. Tu ne voudrais pas t'occuper d'elle ?
- Je suis toujours prêt à rendre service tu sais.
- Oh merci. Tu es trop gentil.
- Et comment je la reconnais ?
- Regarde c’est elle. En plus la photo est aujourd’hui alors elle est habillée pareil. [Je vois une fille châtain (plus foncé qu’Alice) d'environ 40 ans. Une frange cache la partie supérieure de son visage. Elle a les yeux marron. Elle a un grand nez. De visage elle n'est pas spécialement jolie mais elle n’est pas moche non plus. Je ne vois pas son corps sur cette photo mais ce sera une surprise].
- Et si elle est timide, je l'imagine mal en train de danser dans la foule.
- Je m'occupe de te l'amener. Occupes toi de la faire jouir ! ».
Elle m’embrasse et sort des toilettes. Je la suis quelques instants après. En sortant je croise un pote qui me dit que j’ai gagné mon pari ! Bon d'accord c’était truqué mais il ne le sait pas. Je retourne à notre table. Je vois qu’Alice a retrouvé ses amis. Elle est en train de parler avec la fameuse amie que je dois baiser. Une autre amie parle avec elles. Elles finissent par se lever. Elles encadrent leur timide amie et la poussent vers le dancefloor. J'en profite pour la regarder. Elle doit faire entre 1m65 et 1m70. Elle est plutôt ronde mais sans être grosse. Malgré tout, elle a de petits seins. A vu de nez, elle doit faire du 90B. Par contre elle a un gros cul bien généreux. Mais vu sa morphologie, il ne doit pas être aussi ferme que celui d'Alice. Elle porte une robe qui lui arrive mi tibia et qui n'est pas très décolletée.
Je retourne danser et je m'approche des trois filles. Je me fraye un chemin dans la foule et j’arrive juste derrière ma cible. En faisant mine de danser, je lui colle rapidement une main aux fesses. Son cul est généreux mais assez mou. Elle se retourne et me regarde. Mais comme j’ai déjà enlevé la main, elle ne fait rien de plus. Je lui souris et me rapproche d'elle en dansant. Nous sommes très proches. Elle tourne sur elle-même pour voir ses amies. Mais comme nous sommes proches, mon bassin et en contact direct avec son cul. Et ma bite durcie. Alice reste bien en face d'elle pour l’empêcher de s'avancer et de fuir le contact que nous avons. Elle continue à danser en étant coller à moi. Ma bite est bien dure et mon pantalon est déformé par mon érection. En dansant, ma bosse frotte son cul et elle ne peut pas l’ignorer. Je décide de poser une main sur ses hanches afin que nous soyons encore plus collés. A cet instant ma bite se cale dans la raie de son cul. A la surprise générale, elle se déhanche volontairement vers l’arrière pour que nos corps se frottent. Puis elle se retourne et se colle à moi et passant un bras autour de mon cou. Alice et surtout son amie sont surprises mais elles prennent du recul. Je remarque que ma compagne de danse sent un peu l'alcool. Je crois qu'Alice a du faire en sorte de la désinhiber. Elle continue de danser et frotte sa chatte contre ma cuisse puis la bosse de mon pantalon. Notre danse est de plus en plus torride et elle fini par m’embrasser à plein bouche. Alice et son autre amie en rigole et disparaissent pour de bon. Je pose mes mains sur son gros cul et je pétri ses fesses rondes tout en continuant notre baiser.
Je prends l'amie d’Alice par la main et je l’entraîne à son tour dans les toilettes. Mais même si elle est bien chaude et qu’elle a franchie un cap, elle ne veut pas aller dans les toilettes des hommes. Je l’entraîne alors dans les toilettes des femmes. Elle rigole bêtement en voyant que des filles nous voient entrer dans une cabine. Je verrouille la porte. Je me retourne et je vois qu’elle me bouffe du regard. Elle se jette immédiatement sur moi et m’embrasse. Elle n'a pas baisé depuis deux ans et visiblement elle a accumulé du désir. Elle est chaude comme la braise. Elle se frotte à moi. Je la pousse contre la paroi et je pose mes lèvres sur son cou. Je le lèche et descends vers ses seins que je tripote déjà avec mes mains. Je les fais sortir du soutien-gorge et je gobe son téton bien dressé. Elle gémit de bonheur. Je veux lui enlever sa robe mais elle m’en empêche en prétextant qu’elle n’est pas à l’aise avec son corps. Je m’agenouille donc devant elle et je passe ma tête sous sa robe. Je remonte le long de ses cuisses potelées et j'attrape sa culotte. Je la baisse immédiatement et je découvre, à ma grande surprise, une chatte bien entretenue. Elle hurle de plaisir lorsque mes lèvres entrent en contact avec son clito. Je lui fais un long cunni. Elle mouille abondamment. A croire que toute la mouille qu’elle n’a pas déversée depuis deux ans est en train de sortir ! Mais comme j’adore ça, je ne me prive pas de lécher sa chatte et son délicieux nectar. Elle couine énormément et elle fini par avoir un orgasme. Je sors de sous sa jupe. Elle me sourit et s’assoit sur les toilettes puis m’entraine vers elle. Elle défait ma ceinture et baisse mon boxer. Elle pousse un « mmmm » en découvrant ma bite. Elle la met immédiatement dans ma bouche. Elle est vraiment affamée. Elle suce plutôt bien. Surtout qu’elle n’a pas pratiqué depuis un moment. Après de longues minutes de pipe, elle en veut plus. Elle se lève et se cale contre la cloison. Elle pose une jambe sur les toilettes. Je m'approche d'elle. Je relève le bas de sa robe et je plante ma bite en elle d'un coup sec. Elle hurle de bonheur. Je fais de lents mais puissants aller retour en elle. Ses bras passent autour de mon cou. Je la culbute de plus en plus fort. Elle se lâche complètement. Elle gémit bruyamment et enroule ses jambes autour de moi. Je passe mes mains sous son cul et je la plaque à la paroi. Mes coups de bite sont violents. Plus je la défonce et plus elle crie fort. Elle a un nouvel orgasme. Je la repose par terre. Elle s’agenouille devant moi et reprends sa fellation. Elle me suce comme une folle. Lorsque mon sperme inonde sa bouche, elle avale tout avec gourmandise. Elle se relève et prend mon visage dans ses mains avec douceur. Elle me dit :« - Merci c’était fantastique.
- De rien.
- Je n'avais pas baisé depuis mon divorce. Mes copines ont bien fait de m’obliger à aller danser.
- Faudra que je les remercie !
- En fait, tu connais l'une d’elles.
- Ah oui ?
- Alice. Elle m’a dit que tu la connais à la salle de sport.
- Exact.
- Le fait qu’elle te connaisse m'a rassurée. C’est idiot mais c’était différent que de partir avec un mec totalement inconnu. Et avec une autre copine elle n’arrêtait pas de dire que tu es trop beau et que je devais me laisser-aller.
- Elles t’ont bien poussé !
- Oui. Elles m’ont même fait boire un peu.
- Elles ont bien fait !
- Oh ouiii. Je ne regrette absolument pas. Tu es trop mignon et tu sais y faire. Je ne pensais pas que tu voudrais baiser avec moi. Je ne suis pas top.
- Tu as ton charme !
- Merci. Mais est-ce que tu as déjà couché avec l'une d’elles ?
- Pourquoi tu me demandes ça ?
- Elles n’arrêtaient pas de me dire que j'allais passer un bon moment.
- Elles avaient raison non ?
- Oui. Tu t’appelles comment ?
- Jerinak et toi ?
- Anne. On pourra se revoir ?
- Si tu veux. Laisse-moi ton numéro. »Elle me le donne et sort de la cabine. Elle tombe sur une de ses amies qui lui dit qu’elle a l’air d'avoir passé un bon moment ! Puis elles quittent les toilettes. Elle était tellement sous le coup de l’émotion qu’elle a oublié de remettre sa culotte. Je la mets donc dans ma poche. Cela m'en fait deux. Je retourne à notre table. Je bois un verre pour récupérer. Je vois qu’Alice est à côté d'Anne et qu’ils y a trois autres filles avec elles. Elles sont un peu à l’écart du reste de leur groupe et Anne est leur centre d’intérêt. Je pense savoir de quoi elles parlent ! Le mari d'Alice vient voir ce qu’il se passe. Elles rejoignent le reste du groupe pour ne pas attirer l’attention. Alice s’assoit juste à côté de son mari. Elle lui prend la main pour la poser sur le haut de sa cuisse. Tout près de sa chatte qui n'a plus de culotte et qui est pleine de mon sperme. Mais ce con retire sa main et reprend une discussion avec d’autre personne. Anne me jette des regards en coin et semble fière d'avoir tout raconté à ses amies les plus proches. Même si elle est loin de tout savoir !
Après un moment, tout ce petit monde retourne danser. Rapidement, je vois Alice aller en direction de la sortie. Elle me fait un clin d’œil. Je sors donc de la boite de nuit et je retrouve Alice qui m'attend non loin de la porte. Elle me remercie pour son amie et me dit qu’elle n'a pas encore eu droit à sa sodomie. Nous nous enfonçons entre les voitures tout au fond du parking. Il y a un pick-up qui nous permettra d’être bien cachés. En marchant, j'en profite pour passer ma main sous la jupe d'Alice. Je peux caresser tranquillement son cul puisque sa culotte est dans ma poche. Une fois derrière le pick-up, Alice me dit encore que nous n’avons pas beaucoup de temps avant que l’autre ne la cherche et qu’il faut donc aller au plus vite. Elle prend appui sur le côté du pick-up et se penche en avant pour être bien cambrée. Je me mets derrière elle et je relève sa jupe. Je libère ma bite et l’insère directement dans son cul qui s’ouvre maintenant aussi bien que sa chatte. Je l'encule à toute vitesse. Je la saute comme une vulgaire pute et elle adore cela. Alice tente de ne pas faire trop de bruit mais le plaisir que lui apporte ma bite qui bourre son cul est trop fort et elle ne parvient pas toujours à étouffer ses gémissements. Je la culbute depuis un peu moins de cinq minutes lorsque nous entendons une voix féminine dire :« L – ALICE ! [Nous tournons tous les deux la tête et je vois Anne accompagnée d’une de leurs amies]Al - Je vais tout t’expliquer Lydie.
L – Vous pourriez peut-être arrêter de baiser pour cela ! [Effectivement même si je ne bouge plus, ma bite est toujours plantée dans le cul d'Alice. Je sors d'Alice qui se redresse. Sa jupe reprend naturellement sa position habituelle.] Oh mon dieu quelle bite. Et il est mignon en plus. Je comprends pourquoi tu jouis autant !
An – Moi je comprends parfaitement!
L – Et je comprends que tu as couché avec lui parce que tu célibataire. Mais toi Alice tu es mariée !
Al – Oui je suis mariée. Il est adorable bien que tout le temps absent. Mais niveau sexe c’est comme si j’étais célibataire. Il ne me touche plus depuis la naissance de notre dernière. J’étais tellement en manque et j’ai rencontré ce beau jeune homme à la salle de sport. Il m'attirait et je ne contrôlais plus rien. C’était bestial. C’était un besoin primaire. On a baisé et pour la première fois depuis des années, je me suis sentie femme et séduisante. Il est mon amant depuis quelques mois et je revis. Il m’a décoincé et je l’aime. J’aime faire l’amour avec lui et découvrir de nouvelles choses. Il me fait jouir comme je n’avais encore jamais jouis.
An – Je comprends mieux pourquoi tu n’arrêtais pas de dire que j'allais passer un bon moment. Tu savais de quoi tu parlais.
Al- Désole les filles. Je sais que c’est malhonnête et très mal envers mon mari et même envers vous mais je me sentais tellement esseulée et laissé à l’abandon, je…L – Tu n’as pas à t’excuser. Je crois qu’Anne comprend parfaitement. Et a vrai dire moi aussi. Mon mari est à peu près comme le tien. C’est sûrement pour cela qu’ils s'entendent aussi bien. Oh j’ai bien droit à une levrette de deux minutes maxi une ou deux fois par mois mais ma vie sexuelle est vraiment minable et il ne porte pas beaucoup d'attention à moi. Il préfère son boulot. Alors je comprends ce que tu as fait. En fait, je crois même que tu as raison. Et je t'envie. [Lydie a les larmes aux yeux]An – Ne sois pas toute triste c’est ton anniversaire !
Al – Et si je te faisais un beau cadeau ?
L – Lequel ?
Al – Il a l’air de te plaire alors tu pourrais passer un moment avec lui pour fêter tes quarante ans !
L – Mais c’est ton amant et il a peut-être son mot à dire.
J – Je suis toujours partant pour passer de bons moments. Surtout avec une jolie femme.
Al – Aller laisse toi aller. C’est la première fois la plus bizarre mais après tu t'habitues à tromper ton mec.
L – Justement le mien est ici alors…Al – Alors le mien est ici et ça n’empêche pas qu’il ne se doute de rien alors que je le trompe depuis des mois et que ce soir, je me suis fait prendre deux fois.
An – Laisse toi aller Lydie. Fais comme moi. N’écoutes pas que ta raison et profites de la vie.
Al - J'hallucine tu donnes des conseils alors qu’il a fallu une bonne dose d'alcool et que l'on te pousse dans ses bras !
An – Mais ça en valait la peine alors je me permets de dire que c’est bon de se laisser aller.
Al – Lydie fais comme tu veux mais ça ne me dérange pas que tu couches avec lui. La preuve j’ai même poussé Anne à coucher avec lui.
L – Je… Je ne sais pas.
Al – Tu en as envie ?
L – Oui mais …Al – Alors ne pense qu’à ton envie et laisse tout le reste.
L – Ok mais comment on peut faire ?
J – On est dehors depuis un moment. Vos maris et vos amis vont finir par vous chercher. Si tu veux, on se retrouve aux toilettes des hommes dans dix minutes.
L – Ok »Les trois filles retournent à l’intérieur pendant que je me rhabille. J’attends un peu puis je vais directement aux toilettes des hommes. Je suis impatient de fêter l’anniversaire de cette jolie brune comme il se doit. Lydie a les yeux marron. Elle est petite. Elle doit faire entre 1m60 et 1m65 maximum. Elle est très fine. Elle doit peser à peine plus de 50 kg mais elle a un joli petit cul. Sa poitrine est minuscule. Je dirais du 85A. Elle est très mignonne. Elle a beaucoup de charme. Elle porte une robe assez sage mais qui la met bien en valeur.
En arrivant aux toilettes, je vois Lydie qui attend à côté de la porte. J’entre et elle me suit. Il n'y a personne. Nous entrons dans une cabine et je la verrouille. Lydie me regarde mais ne semble pas savoir quoi faire. Je lui souhaite un bon anniversaire et je l'embrasse. Mes mains se posent sur ses hanches puis vont explorer son petit cul qui est bien ferme.
Elle touche elle aussi mon corps et rapidement, elle tripote ma braguette. Je fais glisser les bretelles de sa robe le long de ses épaules. Elle tombe d'un seul coup au sol et dévoile le soutien-gorge en dentelle et le string de Lydie. Je la serre contre moi tout en l’embrassant. Elle ouvre ma chemise et baisse mon pantalon. Puis elle frotte son corps contre le mien et attrape ma bite. Je m’assois sur les toilettes et elle vient se placer entre mes jambes. Elle entame une fellation. Elle suce très bien. Si son mari ne la baise presque plus, elle a du sucer des bites avant de le connaitre. Elle déguste ma bite quelques instants et lorsque je suis bien dur, elle se relève. Je veux lui lécher sa chatte toute lisse mais elle me dit que l’on n’a pas le temps. Ces femmes mariées et le temps ! Elle se place face à moi et viens s'assoir sur ma bite. Elle passe ses bras autour de moi et commence à sauter dessus. Elle ferme les yeux et gémit. En temps normal, je plongerai ma tête dans ses seins mais notre écart de taille important m'en empêche. Je l’aide à monter et descendre sur ma bite en passant mes mains sous son cul. Cette position n'est pas la meilleure pour aller vite et comme le temps presse, je change de position sans la prévenir. D'un coup je me lève et la plaque contre la porte qui est face à moi. Ces jambes ne touchent pas le sol. Elle les enroule autour de mon bassin. Elle n'a d’ailleurs pas touché le sol pendant le changement de position puisqu’elle est restée plantée sur ma bite et que mes mains étaient sous ses fesses. Je suis maintenant libre de bouger et de la culbuter violement. Je la prends sauvagement contre la porte qui oscille en même temps que ma bite va et viens dans la chatte de Lydie. Lydie ne se contrôle plus. Elle hurle de bonheur. Ses bras et ses jambes me serrent aussi fort que possible. Elle fini par jouir bruyamment. Je l’imite quelques secondes après et mon sperme se déverse en elle.
Je la repose au sol. Elle remet sa robe et m’embrasse. Elle me laisse son string en souvenir et me dit : « tu es mon plus beau cadeau. J'espère qu’on se reverra". Puis elle quitte les toilettes à toute vitesse. Je me rhabille tranquillement et je range son string dans une de mes poches. Je sors des toilettes. En ouvrant la porte, je croise le mari d'Alice. Je lui tiens la porte. Il me remercie et me dis que c’est gentil. S’il savait ce que je fais à sa femme, il ne me remercierai pas ainsi !
Je bois un dernier verre avec mes potes. Le groupe d’Alice s'en va. Je vois défiler devant moi les trois filles que j’ai baisé ce soir. Alice, Anne et Lydie me lancent un regard complice. Leur chatte sont pleine de mon sperme mais leur cocus de mari marchent à côté d'elles sans se douter de rien. Pour ma part, je repars les poches remplies de leurs culottes et de leur string. N’hésitez pas à me contacter par mail à l’adresse suivante : Mcfps@hotmail.fr ou à rejoindre le groupe Facebook : Fan des histoires de Jerinak.
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