Aline, La Voisine. 2.
Récit érotique écrit par Hägar [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Aline, La Voisine. 2.
Bonjour, voici comme promis le chapitre 2 d'Aline, la voisine.
N'hésitez pas à me faire part de vos avis, conseils, etc.
Petit rappel :
Je suis étudiant, et j'habite dans un petit studio. Les murs fins me permettent d'entendre la vie sexuelle, seule ou accompagnée, de ma voisine. Cette dernière est une grande rousse, que je n'ai pu apercevoir qu'une fois, mais qui m'a fait suffisamment d'effet...
A la fin du chapitre 1, j'évoquais l'idée que je devais tout faire pour arriver à participer, moi aussi, à sa vie sexuelle.
Aline, La voisine : Chapitre 2.
La vie continuait, toujours la même routine, la même rengaine. Metro, boulot, dodo. Je dois dire qu'en cette période de l'année, même le retour du soleil sur la ville n'arrivait pas à me tirer de ma solitude, ni à enlever de mon esprit l'image de la voisine.
J'ai pu la croiser plusieurs fois dans l'escalier ou sur le palier, sans pour autant ne pouvoir échanger plus que des simples politesses.
Il va falloir porter tes corones Hog...
Je ne vais pas détailler les nombreuses fois ou j'ai pu la voir ou la croiser, mais il me semble qu'il y en a une qui en vaille la peine.
Alors que je remontais les escaliers après une dure journée, j'ai simplement pu voir qu'elle fermait la porte du palier.
Je ralentis ma montée, pour avoir bien le temps de la croiser, et de l'admirer...
Ce fut son sourire qui me frappa en premier. Un sourire naturel, joyeux, chaleureux. Ce sourire qui était collé sur son visage à chaque fois que je la croisais. M'était-il destiné ?
Pourquoi souris-tu, tu viens de te faire du bien hein ?
Cette pensée m'excita, et força mon regard à descendre sur sa poitrine... et là, ce fut le choc.
Elle portait un t-shirt blanc, simple, mais qui était tout tendu, et surtout, qui laissait apparaître les auréoles de ses tétons.
Diantre elle n’a pas de soutif !
J'étais pantois.
Ressaisis toi.
Malheureusement, elle n'eu pas de mal à capter mon regard, et, à ma grande surprise, son sourire s'étendit encore. Elle me fixa du regard pendant tout le temps ou je la croisai. Mais dans ma vision périphérique, je vis ses seins balloter à chaque marche. Je ne suis pas expert en taille de poitrine, mais pour moi, amateur de petites poitrines, elle avait de gros seins. Cela m'intéressait encore plus du fait que mes rares expériences s'accompagnaient de filles à petite poitrine.
A peine passée devant moi, je ne pus m'empêcher de me retourner et admirer ce derrière, magnifique... avant de voir qu'elle s'était aussi retournée, elle gloussa en me surprenant.
Elle me fit un clin d'oeil avant de disparaitre de mon champ de vision.
Elle m'a vraiment fait un clin d'oeil ?! Non, j'ai du rêver, c'est pas possible.
Quand je passai la porte de mon appartement, je la refermai et restai immobile pendant de longues minutes. Je n'arrivai pas à me remettre de mes émotions.
Rouquine. Clin d'oeil. Poitrine.
Mon sang n'avait fait qu'un tour, et soit il tapait contre mes tempes, soit il avait pris la direction plein sud.
Voisine. Clin d'oeil. Poitrine.
Je dus me forcer pour me retenir de me faire du bien maintenant, je devais attendre, en espérant qu'elle allait ramener quelqu'un ce soir... Et que j'entendrai à nouveau.
Difficile de se concentrer pendant les deux heures qui suivirent, mon cerveau n'était visiblement pas assez irrigué, mais quand j'entendis sa porte s'ouvrir, et se refermer, j'étais aux aguets. Une voix d'homme. Plus aiguë que la dernière fois.
Alors comme ça on aime varier les partenaires...
Je tendais l'oreille, tel un chasseur, tel un animal. Un gloussement, et puis des gémissements.
Ainsi c'était reparti. Mon membre aussi était reparti.
Je n'entendis pas grand-chose, et ce fut assez semblable aux dernières fois, jusqu'à ce que j'entende la rouquine dire "Baise-moi!" avec une intonation des plus lascives.
Aux craquements de lits qui suivirent, j'en déduis qu'il ne s'était pas fait prier. Elle, alternait entre les "oui" et les "plus fort", qui avaient le don de m'exciter.
Puis, elle se mit à crier, plus fort que les fois précédentes, sans aucune retenue cette fois.
Une partie de moi espérait qu'elle le faisait pour les voisins, et a fortiori, pour moi. Cette fois, leur partie de jambe en l'air de fut pas très longue, mais beaucoup plus intense.
Ma partie de solitaire fut similaire.
Cette nuit-là, ils ont remis le couvert plusieurs fois. Je n'ai pas pu compter, et je n'avais pas les détails, mais je dirai qu'elle est passée à la casserole 4 ou 5 fois. J'avais été réveillé à chaque fois, de bonne humeur je dois dire, car je savais ce qui m'attendait.
Je n'ai pas pu percevoir beaucoup de paroles, hormis des gémissements, et quelques demandes de la demoiselle, comme "allez vas-y plus fort" ou encore "défonce-moi". Je ne pouvais m'empêcher de penser qu'elle aimait ça relativement sauvage, presque violent. Oh, ça j'aime...
Malgré la nuit entrecoupée de pauses de plaisir, le réveil ne fut pas difficile.
C'était l'heure des comptes.
Etant donné que l'appartement avait été signalé comme à louer jusqu'à la quinzaine dernière, je me dis que ladite voisine était là depuis une semaine environ.
Une semaine. Déjà deux mecs différents, en sachant qu'elle se fait du bien elle-même tous les soirs. Nymphomane ?
Le soir, en rentrant, je me dis qu'il fallait que je passe à l'action. J'allai donc toquer chez elle, en prétextant une excuse bidon et classique entre voisins : Je n'ai plus de lait.
En m'ouvrant, elle me sourit de nouveau, ce même sourire habituel, et elle m'invita à entrer avant même que je n'ai pu lui présenter l'objet de ma visite.
Elle portait une robe de chambre en satin, fermée, et je ne pouvais pas voir ce qu'elle portait dessous. Quel dommage...
Son appartement était plus grand que le mien, il y avait un lit double. C'est donc dans ce lit que... Elle interrompit mes pensées en me demandant ce que je pouvais bien faire chez elle Je lui expliquai que je venais simplement pour du lait.
Elle sortit une brique de son frigo, en me demandant si ça ferait l'affaire.
- Oui, ça ira très bien
- Tant mieux, parce qu'après j'en ai plus haha
- Oh je vais essayer de t'en laisser alors
- Je me satisferai d'une petite goutte t'en fais pas
Je ne pus m'empêcher de penser à d'autres genres de gouttes dont elle devait se satisfaire. Elle m'invita à boire un verre, et m'offrit une bière.
- Je suis désolé, c'est tout ce que j'ai
- Je ne suis pas difficile
S'ensuit une conversation banale, des présentations, et là, j'appris qu'elle s'appelait Aline. Enfin je mettais un prénom sur ce visage magnifique, et sur ce corps de rêve. J'appris alors qu'elle faisait des études de sciences, en fac de physique. Voilà qui est intéressant.
Même si la conversation était banale, elle était toute proche de moi, nos genoux s'effleuraient presque, et sa robe de chambre avait remonté un peu sur ses jambes, me laissant voir une petite partie au-dessus du genou.
Elle semblait porter un soutien-gorge cette fois, je ne voyais que le trait qui se dessinait entre ses seins, et je m'efforçais de la regarder dans les yeux, poliment.
On papota pendant une vingtaine de minutes, avant que je ne reparte. Je sentais un bon feeling, et elle n'avait cessé de m'entourer de son regard, tout en me dévoilant très discrètement ses genoux, et le haut de ses seins.
En rentrant chez moi, je pus utiliser le lait qu'elle m'avait prêté, en me disant que c'était l'occasion pour moi de lui rendre, et donc de la revoir.
Ce soir là, vers les deux heures du matin, elle recommença son manège nocturne, plus intense, sans retenue. Je l'imaginais nue sur son lit, à 4 pattes, glissant ses doigts entre ses cuisses, titillant son clitoris avant de se doigter pleinement. J'imaginais ses cuisses dégoulinantes de cyprine, et je la voyais presque m'appeler pour la rejoindre...
La chance allait une fois de plus me sourire.
N'hésitez pas à me faire part de vos avis, conseils, etc.
Petit rappel :
Je suis étudiant, et j'habite dans un petit studio. Les murs fins me permettent d'entendre la vie sexuelle, seule ou accompagnée, de ma voisine. Cette dernière est une grande rousse, que je n'ai pu apercevoir qu'une fois, mais qui m'a fait suffisamment d'effet...
A la fin du chapitre 1, j'évoquais l'idée que je devais tout faire pour arriver à participer, moi aussi, à sa vie sexuelle.
Aline, La voisine : Chapitre 2.
La vie continuait, toujours la même routine, la même rengaine. Metro, boulot, dodo. Je dois dire qu'en cette période de l'année, même le retour du soleil sur la ville n'arrivait pas à me tirer de ma solitude, ni à enlever de mon esprit l'image de la voisine.
J'ai pu la croiser plusieurs fois dans l'escalier ou sur le palier, sans pour autant ne pouvoir échanger plus que des simples politesses.
Il va falloir porter tes corones Hog...
Je ne vais pas détailler les nombreuses fois ou j'ai pu la voir ou la croiser, mais il me semble qu'il y en a une qui en vaille la peine.
Alors que je remontais les escaliers après une dure journée, j'ai simplement pu voir qu'elle fermait la porte du palier.
Je ralentis ma montée, pour avoir bien le temps de la croiser, et de l'admirer...
Ce fut son sourire qui me frappa en premier. Un sourire naturel, joyeux, chaleureux. Ce sourire qui était collé sur son visage à chaque fois que je la croisais. M'était-il destiné ?
Pourquoi souris-tu, tu viens de te faire du bien hein ?
Cette pensée m'excita, et força mon regard à descendre sur sa poitrine... et là, ce fut le choc.
Elle portait un t-shirt blanc, simple, mais qui était tout tendu, et surtout, qui laissait apparaître les auréoles de ses tétons.
Diantre elle n’a pas de soutif !
J'étais pantois.
Ressaisis toi.
Malheureusement, elle n'eu pas de mal à capter mon regard, et, à ma grande surprise, son sourire s'étendit encore. Elle me fixa du regard pendant tout le temps ou je la croisai. Mais dans ma vision périphérique, je vis ses seins balloter à chaque marche. Je ne suis pas expert en taille de poitrine, mais pour moi, amateur de petites poitrines, elle avait de gros seins. Cela m'intéressait encore plus du fait que mes rares expériences s'accompagnaient de filles à petite poitrine.
A peine passée devant moi, je ne pus m'empêcher de me retourner et admirer ce derrière, magnifique... avant de voir qu'elle s'était aussi retournée, elle gloussa en me surprenant.
Elle me fit un clin d'oeil avant de disparaitre de mon champ de vision.
Elle m'a vraiment fait un clin d'oeil ?! Non, j'ai du rêver, c'est pas possible.
Quand je passai la porte de mon appartement, je la refermai et restai immobile pendant de longues minutes. Je n'arrivai pas à me remettre de mes émotions.
Rouquine. Clin d'oeil. Poitrine.
Mon sang n'avait fait qu'un tour, et soit il tapait contre mes tempes, soit il avait pris la direction plein sud.
Voisine. Clin d'oeil. Poitrine.
Je dus me forcer pour me retenir de me faire du bien maintenant, je devais attendre, en espérant qu'elle allait ramener quelqu'un ce soir... Et que j'entendrai à nouveau.
Difficile de se concentrer pendant les deux heures qui suivirent, mon cerveau n'était visiblement pas assez irrigué, mais quand j'entendis sa porte s'ouvrir, et se refermer, j'étais aux aguets. Une voix d'homme. Plus aiguë que la dernière fois.
Alors comme ça on aime varier les partenaires...
Je tendais l'oreille, tel un chasseur, tel un animal. Un gloussement, et puis des gémissements.
Ainsi c'était reparti. Mon membre aussi était reparti.
Je n'entendis pas grand-chose, et ce fut assez semblable aux dernières fois, jusqu'à ce que j'entende la rouquine dire "Baise-moi!" avec une intonation des plus lascives.
Aux craquements de lits qui suivirent, j'en déduis qu'il ne s'était pas fait prier. Elle, alternait entre les "oui" et les "plus fort", qui avaient le don de m'exciter.
Puis, elle se mit à crier, plus fort que les fois précédentes, sans aucune retenue cette fois.
Une partie de moi espérait qu'elle le faisait pour les voisins, et a fortiori, pour moi. Cette fois, leur partie de jambe en l'air de fut pas très longue, mais beaucoup plus intense.
Ma partie de solitaire fut similaire.
Cette nuit-là, ils ont remis le couvert plusieurs fois. Je n'ai pas pu compter, et je n'avais pas les détails, mais je dirai qu'elle est passée à la casserole 4 ou 5 fois. J'avais été réveillé à chaque fois, de bonne humeur je dois dire, car je savais ce qui m'attendait.
Je n'ai pas pu percevoir beaucoup de paroles, hormis des gémissements, et quelques demandes de la demoiselle, comme "allez vas-y plus fort" ou encore "défonce-moi". Je ne pouvais m'empêcher de penser qu'elle aimait ça relativement sauvage, presque violent. Oh, ça j'aime...
Malgré la nuit entrecoupée de pauses de plaisir, le réveil ne fut pas difficile.
C'était l'heure des comptes.
Etant donné que l'appartement avait été signalé comme à louer jusqu'à la quinzaine dernière, je me dis que ladite voisine était là depuis une semaine environ.
Une semaine. Déjà deux mecs différents, en sachant qu'elle se fait du bien elle-même tous les soirs. Nymphomane ?
Le soir, en rentrant, je me dis qu'il fallait que je passe à l'action. J'allai donc toquer chez elle, en prétextant une excuse bidon et classique entre voisins : Je n'ai plus de lait.
En m'ouvrant, elle me sourit de nouveau, ce même sourire habituel, et elle m'invita à entrer avant même que je n'ai pu lui présenter l'objet de ma visite.
Elle portait une robe de chambre en satin, fermée, et je ne pouvais pas voir ce qu'elle portait dessous. Quel dommage...
Son appartement était plus grand que le mien, il y avait un lit double. C'est donc dans ce lit que... Elle interrompit mes pensées en me demandant ce que je pouvais bien faire chez elle Je lui expliquai que je venais simplement pour du lait.
Elle sortit une brique de son frigo, en me demandant si ça ferait l'affaire.
- Oui, ça ira très bien
- Tant mieux, parce qu'après j'en ai plus haha
- Oh je vais essayer de t'en laisser alors
- Je me satisferai d'une petite goutte t'en fais pas
Je ne pus m'empêcher de penser à d'autres genres de gouttes dont elle devait se satisfaire. Elle m'invita à boire un verre, et m'offrit une bière.
- Je suis désolé, c'est tout ce que j'ai
- Je ne suis pas difficile
S'ensuit une conversation banale, des présentations, et là, j'appris qu'elle s'appelait Aline. Enfin je mettais un prénom sur ce visage magnifique, et sur ce corps de rêve. J'appris alors qu'elle faisait des études de sciences, en fac de physique. Voilà qui est intéressant.
Même si la conversation était banale, elle était toute proche de moi, nos genoux s'effleuraient presque, et sa robe de chambre avait remonté un peu sur ses jambes, me laissant voir une petite partie au-dessus du genou.
Elle semblait porter un soutien-gorge cette fois, je ne voyais que le trait qui se dessinait entre ses seins, et je m'efforçais de la regarder dans les yeux, poliment.
On papota pendant une vingtaine de minutes, avant que je ne reparte. Je sentais un bon feeling, et elle n'avait cessé de m'entourer de son regard, tout en me dévoilant très discrètement ses genoux, et le haut de ses seins.
En rentrant chez moi, je pus utiliser le lait qu'elle m'avait prêté, en me disant que c'était l'occasion pour moi de lui rendre, et donc de la revoir.
Ce soir là, vers les deux heures du matin, elle recommença son manège nocturne, plus intense, sans retenue. Je l'imaginais nue sur son lit, à 4 pattes, glissant ses doigts entre ses cuisses, titillant son clitoris avant de se doigter pleinement. J'imaginais ses cuisses dégoulinantes de cyprine, et je la voyais presque m'appeler pour la rejoindre...
La chance allait une fois de plus me sourire.
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