Alysée est heureuse
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2013 dans la catégorie En solitaire
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Alysée est heureuse
Alysée est heureuse. Cet après midi, Lydie, sa copine sera comme elle quand elle verra le double gode qu’elle vient de recevoir. Il est très long, enfin. Elles pourront satisfaire un vœu. L’engin a une longueur de 50 centimètres pour une largeur de 4 centimètres. Alysée ne peut attendre de voir sa copine. Elle fait un véritable striptease devant le miroir, comme si une bonne dizaine de personnes la voyaient. Le gode sert de fil conducteur à sa danse : elle le passe entre les jambes, le fait monter entre ses seins, les remet vers le bas, elle le suce comme une vraie bite. Elle se couche sur le lit ouvert. Elle va essayer véritablement cette nouvelle bite.
Alysée se caresse doucement le clitoris qui bande. Elle pose sa main plus bas, juste sur l’entrée de son vagin. Elle veut se goûter comme toujours. Sa bouche se referme sur ses propres doigts, elle se déguste. Elle compare son odeur et son fumet à celui de Lydie. Elle se trouve meilleure.
L’index et le majeur sont prêts pour le grand frisson. Alysée les pose sur son appendice sensuel, elle les fait doucement caresser, de plus en plus appuyés comme elle aime pour finir en se léchant encore les doigts. Elle remet ses phalange sur le sexe, elle recommence les vas et viens. Elle connait la fin : elle va jouir. Tant mieux si l’orgasme est brusque : c’est le premier de la journée. Elle est dressée sur sa nuque et ses talons quand elle jouit.
Juste deux minutes de repos, elle prend le gode, le lèche encore une fois pour à la fois le réchauffer un peu et l’humecter. Tout est près pour un autre plaisir. Elle descend la bite en plastique sur son ventre, le bout rejoint son vagin déjà plus qu’humide. Elle le rendre dans les lèvres un peu brunes qui s’écartent lentement selon sa propre vitesse. Alysée ferme déjà les yeux quand elle se masturbe. Une foule d’images lui traversent l’esprit. Elle voit de vraies bites qui la baisent, des langues qui lèche son con et son cul. Il lui semble même sentir la langue de Lydie juste sur son cul.
Elle entreprend le lent va-et-vient qu’elle s’impose. Le plaisir arrive, presque le plaisir parfait : il lui manque un corps à ses cotés ou sur elle. Son pubis suit les mêmes mouvements. Elle SE fait l’amour. Elle se baise, elle va jouir. Non, elle arrête sans raison. Enfin oui il y a une raison : le gode à bien deux bouts. Elle le coude, sans l’enlever du sexe. Ce simple mouvement lui donne des frissons.
Alysée cherche bien un peu l’autre orifice : ce n’est pas commode d’entrer un gode comme le sien dans le cul. Enfin elle trouve l’accès. Son cul s’ouvre presque seul. Pendant de courtes secondes elle ne s’occupe que de sa sodomie. Elle rentre dans l’anus autant que dans le vagin. Elle est heureuse de se faire une double pénétration. Il reste encore dehors une grande parti du gode : elle en rentre un peu plus dans le cul.
Sans enlever ce qui la baise, elle se met en levrette. La tête sur l’oreiller, les fesses en l’air. Alysée a le gode dans la main droite, la main gauche est consacrée à son clitoris. Elle obtient trois sortes de plaisir confondus, suffisant pour lui donner un orgasme comme elle n’en a jamais connu.
Elle s’arrête non par nécessité, mais pour garder quelques caresses particulières pour cet après-midi avec son amante.
Alysée se caresse doucement le clitoris qui bande. Elle pose sa main plus bas, juste sur l’entrée de son vagin. Elle veut se goûter comme toujours. Sa bouche se referme sur ses propres doigts, elle se déguste. Elle compare son odeur et son fumet à celui de Lydie. Elle se trouve meilleure.
L’index et le majeur sont prêts pour le grand frisson. Alysée les pose sur son appendice sensuel, elle les fait doucement caresser, de plus en plus appuyés comme elle aime pour finir en se léchant encore les doigts. Elle remet ses phalange sur le sexe, elle recommence les vas et viens. Elle connait la fin : elle va jouir. Tant mieux si l’orgasme est brusque : c’est le premier de la journée. Elle est dressée sur sa nuque et ses talons quand elle jouit.
Juste deux minutes de repos, elle prend le gode, le lèche encore une fois pour à la fois le réchauffer un peu et l’humecter. Tout est près pour un autre plaisir. Elle descend la bite en plastique sur son ventre, le bout rejoint son vagin déjà plus qu’humide. Elle le rendre dans les lèvres un peu brunes qui s’écartent lentement selon sa propre vitesse. Alysée ferme déjà les yeux quand elle se masturbe. Une foule d’images lui traversent l’esprit. Elle voit de vraies bites qui la baisent, des langues qui lèche son con et son cul. Il lui semble même sentir la langue de Lydie juste sur son cul.
Elle entreprend le lent va-et-vient qu’elle s’impose. Le plaisir arrive, presque le plaisir parfait : il lui manque un corps à ses cotés ou sur elle. Son pubis suit les mêmes mouvements. Elle SE fait l’amour. Elle se baise, elle va jouir. Non, elle arrête sans raison. Enfin oui il y a une raison : le gode à bien deux bouts. Elle le coude, sans l’enlever du sexe. Ce simple mouvement lui donne des frissons.
Alysée cherche bien un peu l’autre orifice : ce n’est pas commode d’entrer un gode comme le sien dans le cul. Enfin elle trouve l’accès. Son cul s’ouvre presque seul. Pendant de courtes secondes elle ne s’occupe que de sa sodomie. Elle rentre dans l’anus autant que dans le vagin. Elle est heureuse de se faire une double pénétration. Il reste encore dehors une grande parti du gode : elle en rentre un peu plus dans le cul.
Sans enlever ce qui la baise, elle se met en levrette. La tête sur l’oreiller, les fesses en l’air. Alysée a le gode dans la main droite, la main gauche est consacrée à son clitoris. Elle obtient trois sortes de plaisir confondus, suffisant pour lui donner un orgasme comme elle n’en a jamais connu.
Elle s’arrête non par nécessité, mais pour garder quelques caresses particulières pour cet après-midi avec son amante.
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