Amant et celle qui m'aime
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-01-2012 dans la catégorie A dormir debout
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Amant et celle qui m'aime
J’ai rencontré hier matin un garçon qui m’a plus dès que je l’ai vu: mignon, beau, grand, brun, et
me semblait-il une bite énorme. En faisant semblant de l’ignorer j’ai pu attirer son attention. Nous
étions seuls dans le même wagon. Je me régalais de montrer mes jambes, j’aimais les écarter pour
qu’il voit ma chatte. Il a hésité un instant pour finalement venir m’aborder de la façon la plus
simple:
- Vous me plaisez beaucoup.
- Merci
- Je peux vous dire que j’aimerai passer un long moment avec vous ?
- Pourquoi faire, pour bavarder?
- Si vous y tenez, pourquoi pas, je pensais à autre chose.
- Je comprends: vous voulez coucher avec moi.
Il ne dit rien ses lèvres sont sur ma bouche. Ma langue est dans une grande dispute avec la sienne.
Depuis le début je sais que nous allons baiser. Je ne traine pas, quand je rencontre un gars qui me
plait, je couche le soir même avec lui.
Nous avons rendez vous dans un petit bistrot pas loin de chez moi à 22 heures. Je me suis changée
pour être plus sexy, ma jupe est très courte, à peine à 10 cm de ma chatte, je porte un top pas très
long qui ne me couvre pas le nombril. Lui est sur son 31: belle chemise, cravate, pantalon avec des
plis impeccables. Il me semble qu’il va à une mariage. Nous nous asseyons à une table cachée dans un
coin pour boire nos cafés. Il m’embrasse encore. Je le laisse faire, après tout je suis la fille. Il
commence à passer sa main sur mes seins, en allant sous le top. Il pelote bien. Il caresse les
pointes en les faisant rebondir avec son pouce. Je crois que j’ai fait une bonne affaire. Je ne peux
lui rendre ce qu’il me fait, surtout que maintenant il passe sa main sous la jupe.
C’est facile de trouver ma chatte toute mouillée.
J’ouvre les jambes pour qu’il puisse me masturber. Il ne cherche pas longtemps le bouton: en le
caressant il m’embrasse toujours. Je peux enfin faire une bonne action: je pose ma main sur le
pantalon, juste sur la bosse qui indique qu’il bande. J’arrive à la redresser pour que le gland soit
à porté. Je le masse par-dessus. Je sais que je ne doit pas pouvoir le faire jouir comme ça: je peux
au moins l’exciter un max.
Et puis j’ai envie de voir sa queue qui me semble toujours imposante. J’ouvre le pantalon: en
forçant un peu j’arrive à la lui sortir. Comme personne ne peut nous voir, j’en profite un peu.
C’est bien ce que je pensais: un belle queue de 20 cm à peu près, pas très grosse cependant. Je veut
le branler, il la retire de ma main pour la remettre en place:
- Allons baiser quelque part.
- Où tu veux.
- Allons chez moi.
- C’est où ?
- A moins de 200 mètres.
Nous y allons. Il commence à me caresser partout, m’embrasser encore pendant je m’acharne sur
l’ouverture du pantalon. Je peux la lui sortir sans problème. Maintenant elle est à moi. J’en fais
ce que je veux. Je la veux partout où elle entrera.
Nous sommes nus contre le lit. Je le fais assoir pour l’avoir à moi. J’ai sa bite juste à hauteur de
mes genoux. Je m’assois sur la descente de lit, je le branle à peine pour ensuite le mettre dans ma
bouche: il a bon gout, peut-être un peu de pisse a laissé des traces: c’est agréable. J’aime tout ce
qui sort de la bite. Je descends le prépuce avec une main, avant de le lécher sur toute la longueur
en commençant par les couilles pour finir sur le gland. Je recommence plusieurs fois le même manège
avant de la prendre toute en bouche. Je la fais passer contre mes joues: j’ai remarqué que beaucoup
d’homme aime, sans le dire se genre de fellation. Pour l’exciter encore plus, je passe ma main sous
ses couilles pour chercher son petit trou. J’y entre en entier, lentement l’index. Si je forçais à
peine un peu je pourrai y faire entrer trois doigts. Il bande encore plus fort. J’arrête tout avant
qu’il jouisse.
Je me lève pour lui donner une partie de ma chatte: debout, je n’en ai que peu dehors. Il s’en
contente; sa langue vient lécher à peine le clitoris. Il me fait mouiller mieux que tout à l’heure
au bistrot. Je peux le laisser me faire jouir, même si ce n’est pas parfait.
Il me couche complètement, je vois à sa bite qu’il veux me la mettre. Il ne demande rien, il se met
sur moi, entre la bite dans ma caverne. Il entre plus que facilement: j’ai les jambes bien ouvertes
et je suis trempée. Je pose mes jambes repliées sur ses reins. Nous nous accompagnons dans le même
mouvement de baise. Je le sens entrer et sortir de ma chatte. Mon con se serre souvent comme si je
jouissais: je le fais pour mieux le sentir. Je ne voudrai pas qu’il parte trop vite: je jouis deux
fois avant qu’il lâche son sperme dans le fond de mon ventre. J’aime sentir ses spasme quand il
jouit. Je sais qu’il sent la même chose quand je jouis aussi.
Manque de chance, il débande. Je me tourne comme pour un 69. Je prends sa bite dans la bouche, elle
a maintenant gout à mon sexe, je la lèche toujours en allant mettre deux doigts dans son anus. Ca
n’a pas l’air de suffir. J’emploi un autre système: je continu à le branler, je lui fait ouvrir les
fesses pour aller lui lécher le cul. Il se laisse faire, y compris quand ma langue entre dans
l’anus.
Cette fois il bande enfin.
Je vais l’embrasser malgré le gout spécial de ma langue. Cette fois je dirige: je suis en levrette,
l’anus bien mouillé, sa bite prête à venir en moi. Je le dirige un peu, juste pour qu’il me caresse
le clitoris et l’entrée de ma vallée avant qu’il passe plusieurs fois sur le cul. Quand je suis
prête, je le laisse faire: il entre facilement peut être, lentement surtout. Je sens mes chair
s’écarter devant son gland: c’est bon quand il entre, c’est meilleur quand il va et vient. Je ne
retiens aucun de mes orgasmes. J’en profite bien. Il fait parti des rares qui savent bien enculer.
Je n’en peux plus, il faut que je me branle aussi. Mon clitoris profite de mes caresses pendant que
mon cul profite d’une belle bite.
Le temps passe vite, en plus il ne peut plus bander. Dommage je pars, nous baiserons un jour peut
être.
Je ne peux m’attarder; j’ai rendez vous en début de soirée avec mon amoureuse car j’ai une
amoureuse, un fille avec qui j’ai fait l’amour il y a deux ans qu’elle s’est attachée à moi, alors
que je ne cherche que ses fesses pour jouir. Elle est belle, sexy et tout et tout, elle baise fort
bien. Presque toutes les semaines je me dois d’aller chez elle: je ne lui ai jamais dit que je
l’aimais, elle fit comme si. Pourtant nous ne baiserons pas longtemps. Ce soir je tiens à voir la
demi finale du championnat de Rugby. Toulouse/Clermont qui ne se rate pas. Ce soir elle vient chez
moi. Elle est nue comme toute le temps que nous nous aimons. Je la branle avant le match: elle me
connait, elle n’obtiendra rien de plus que la possibilité de mettre la tête sur mes cuisses, même si
je suis aussi nue. Je peux ainsi lui caresser les seins, et eu peu la chatte. Je cesse souvent quand
l’action sur le terrain est tendue.
Au coup de sifflet final quand mon équipe favorite gagne, j’éteins la télé. Maintenant nous pouvons
baiser.
Je peux la masturber comme elle aime, elle a les cuisses écartées, je vois bien son clitoris
saillant. Il a droit à tous mes soins: je le caresse doucement, je le lâche pour revenir dessus une
minute après: je fait durer son plaisir. Quand elle jouit une fois comme ça, elle se met sur le
ventre, me donne ses fesses que je caresse un peu avant de glisser deux doigts vers son anus. J’ai
les doigts toujours humides je peux ainsi les lui enfiler. Elle gémit longtemps, tout le temps que
je la sodomise. Je me demande pourquoi elle ne se fait pas enculer avec une vrai bite: elle aurait
d’avantage de de plaisir qu’avec mes doigts.
Elle me donne envie de sa langue. Nous nous couchons sur le tapis, elle vient sur moi, pose sa tête
entre mes jambes que j’ouvre, elle part à la recherche et de mon clitoris et de mon vagin. Elle me
suce à sa façon: elle avale la moitié du clitoris, le lèche dans sa bouche, jusqu’à ce que je parte.
Ma jouissance fait qu’elle change: elle loge le plus de langue possible dans le vagin: elle la fait
tourner à l’intérieur. J’ai plusieurs orgasme à la suite.
C’est la seule raison pour laquelle je reste avec elle. Quand elle entre son petit bout de langue
dans le cul, je la laisse faire, elle me fait toujours jouir ainsi.
Elle sait que je vais lui rendre tout. Hier, pourtant elle ne voulait plus faire ainsi; elle veux un
69. Jouir ensemble est sa manie depuis plusieurs fois. Qu’à cela ne tienne; elle aime que nous nous
sucions ensemble, j’aime bien les 69 avec les hommes, la seule différence n’est jamais qu’un bite.
Elle se met sous moi, je peux la sucer en baissant la tête, elle doit lever la sienne. Nous avons
toutes deux le cul de l’autre à la disposition. Nous en profitons, nous suçons et sodomisons. La
classe dans les débordements !!!
Quand nous finissons elle répète que je suis son amour. Je ne réponds toujours pas: tant pis pour
moi, elle , elle m’aime.
Mon programme de la semaine n’est pas décidé: demain je ferai la grâce matinée pour me remettre de
mes émotions, je me branlerai au réveil. Je flânerai sans rien faire. Lundi avec un peu de chance je
trouverai bien un type.
me semblait-il une bite énorme. En faisant semblant de l’ignorer j’ai pu attirer son attention. Nous
étions seuls dans le même wagon. Je me régalais de montrer mes jambes, j’aimais les écarter pour
qu’il voit ma chatte. Il a hésité un instant pour finalement venir m’aborder de la façon la plus
simple:
- Vous me plaisez beaucoup.
- Merci
- Je peux vous dire que j’aimerai passer un long moment avec vous ?
- Pourquoi faire, pour bavarder?
- Si vous y tenez, pourquoi pas, je pensais à autre chose.
- Je comprends: vous voulez coucher avec moi.
Il ne dit rien ses lèvres sont sur ma bouche. Ma langue est dans une grande dispute avec la sienne.
Depuis le début je sais que nous allons baiser. Je ne traine pas, quand je rencontre un gars qui me
plait, je couche le soir même avec lui.
Nous avons rendez vous dans un petit bistrot pas loin de chez moi à 22 heures. Je me suis changée
pour être plus sexy, ma jupe est très courte, à peine à 10 cm de ma chatte, je porte un top pas très
long qui ne me couvre pas le nombril. Lui est sur son 31: belle chemise, cravate, pantalon avec des
plis impeccables. Il me semble qu’il va à une mariage. Nous nous asseyons à une table cachée dans un
coin pour boire nos cafés. Il m’embrasse encore. Je le laisse faire, après tout je suis la fille. Il
commence à passer sa main sur mes seins, en allant sous le top. Il pelote bien. Il caresse les
pointes en les faisant rebondir avec son pouce. Je crois que j’ai fait une bonne affaire. Je ne peux
lui rendre ce qu’il me fait, surtout que maintenant il passe sa main sous la jupe.
C’est facile de trouver ma chatte toute mouillée.
J’ouvre les jambes pour qu’il puisse me masturber. Il ne cherche pas longtemps le bouton: en le
caressant il m’embrasse toujours. Je peux enfin faire une bonne action: je pose ma main sur le
pantalon, juste sur la bosse qui indique qu’il bande. J’arrive à la redresser pour que le gland soit
à porté. Je le masse par-dessus. Je sais que je ne doit pas pouvoir le faire jouir comme ça: je peux
au moins l’exciter un max.
Et puis j’ai envie de voir sa queue qui me semble toujours imposante. J’ouvre le pantalon: en
forçant un peu j’arrive à la lui sortir. Comme personne ne peut nous voir, j’en profite un peu.
C’est bien ce que je pensais: un belle queue de 20 cm à peu près, pas très grosse cependant. Je veut
le branler, il la retire de ma main pour la remettre en place:
- Allons baiser quelque part.
- Où tu veux.
- Allons chez moi.
- C’est où ?
- A moins de 200 mètres.
Nous y allons. Il commence à me caresser partout, m’embrasser encore pendant je m’acharne sur
l’ouverture du pantalon. Je peux la lui sortir sans problème. Maintenant elle est à moi. J’en fais
ce que je veux. Je la veux partout où elle entrera.
Nous sommes nus contre le lit. Je le fais assoir pour l’avoir à moi. J’ai sa bite juste à hauteur de
mes genoux. Je m’assois sur la descente de lit, je le branle à peine pour ensuite le mettre dans ma
bouche: il a bon gout, peut-être un peu de pisse a laissé des traces: c’est agréable. J’aime tout ce
qui sort de la bite. Je descends le prépuce avec une main, avant de le lécher sur toute la longueur
en commençant par les couilles pour finir sur le gland. Je recommence plusieurs fois le même manège
avant de la prendre toute en bouche. Je la fais passer contre mes joues: j’ai remarqué que beaucoup
d’homme aime, sans le dire se genre de fellation. Pour l’exciter encore plus, je passe ma main sous
ses couilles pour chercher son petit trou. J’y entre en entier, lentement l’index. Si je forçais à
peine un peu je pourrai y faire entrer trois doigts. Il bande encore plus fort. J’arrête tout avant
qu’il jouisse.
Je me lève pour lui donner une partie de ma chatte: debout, je n’en ai que peu dehors. Il s’en
contente; sa langue vient lécher à peine le clitoris. Il me fait mouiller mieux que tout à l’heure
au bistrot. Je peux le laisser me faire jouir, même si ce n’est pas parfait.
Il me couche complètement, je vois à sa bite qu’il veux me la mettre. Il ne demande rien, il se met
sur moi, entre la bite dans ma caverne. Il entre plus que facilement: j’ai les jambes bien ouvertes
et je suis trempée. Je pose mes jambes repliées sur ses reins. Nous nous accompagnons dans le même
mouvement de baise. Je le sens entrer et sortir de ma chatte. Mon con se serre souvent comme si je
jouissais: je le fais pour mieux le sentir. Je ne voudrai pas qu’il parte trop vite: je jouis deux
fois avant qu’il lâche son sperme dans le fond de mon ventre. J’aime sentir ses spasme quand il
jouit. Je sais qu’il sent la même chose quand je jouis aussi.
Manque de chance, il débande. Je me tourne comme pour un 69. Je prends sa bite dans la bouche, elle
a maintenant gout à mon sexe, je la lèche toujours en allant mettre deux doigts dans son anus. Ca
n’a pas l’air de suffir. J’emploi un autre système: je continu à le branler, je lui fait ouvrir les
fesses pour aller lui lécher le cul. Il se laisse faire, y compris quand ma langue entre dans
l’anus.
Cette fois il bande enfin.
Je vais l’embrasser malgré le gout spécial de ma langue. Cette fois je dirige: je suis en levrette,
l’anus bien mouillé, sa bite prête à venir en moi. Je le dirige un peu, juste pour qu’il me caresse
le clitoris et l’entrée de ma vallée avant qu’il passe plusieurs fois sur le cul. Quand je suis
prête, je le laisse faire: il entre facilement peut être, lentement surtout. Je sens mes chair
s’écarter devant son gland: c’est bon quand il entre, c’est meilleur quand il va et vient. Je ne
retiens aucun de mes orgasmes. J’en profite bien. Il fait parti des rares qui savent bien enculer.
Je n’en peux plus, il faut que je me branle aussi. Mon clitoris profite de mes caresses pendant que
mon cul profite d’une belle bite.
Le temps passe vite, en plus il ne peut plus bander. Dommage je pars, nous baiserons un jour peut
être.
Je ne peux m’attarder; j’ai rendez vous en début de soirée avec mon amoureuse car j’ai une
amoureuse, un fille avec qui j’ai fait l’amour il y a deux ans qu’elle s’est attachée à moi, alors
que je ne cherche que ses fesses pour jouir. Elle est belle, sexy et tout et tout, elle baise fort
bien. Presque toutes les semaines je me dois d’aller chez elle: je ne lui ai jamais dit que je
l’aimais, elle fit comme si. Pourtant nous ne baiserons pas longtemps. Ce soir je tiens à voir la
demi finale du championnat de Rugby. Toulouse/Clermont qui ne se rate pas. Ce soir elle vient chez
moi. Elle est nue comme toute le temps que nous nous aimons. Je la branle avant le match: elle me
connait, elle n’obtiendra rien de plus que la possibilité de mettre la tête sur mes cuisses, même si
je suis aussi nue. Je peux ainsi lui caresser les seins, et eu peu la chatte. Je cesse souvent quand
l’action sur le terrain est tendue.
Au coup de sifflet final quand mon équipe favorite gagne, j’éteins la télé. Maintenant nous pouvons
baiser.
Je peux la masturber comme elle aime, elle a les cuisses écartées, je vois bien son clitoris
saillant. Il a droit à tous mes soins: je le caresse doucement, je le lâche pour revenir dessus une
minute après: je fait durer son plaisir. Quand elle jouit une fois comme ça, elle se met sur le
ventre, me donne ses fesses que je caresse un peu avant de glisser deux doigts vers son anus. J’ai
les doigts toujours humides je peux ainsi les lui enfiler. Elle gémit longtemps, tout le temps que
je la sodomise. Je me demande pourquoi elle ne se fait pas enculer avec une vrai bite: elle aurait
d’avantage de de plaisir qu’avec mes doigts.
Elle me donne envie de sa langue. Nous nous couchons sur le tapis, elle vient sur moi, pose sa tête
entre mes jambes que j’ouvre, elle part à la recherche et de mon clitoris et de mon vagin. Elle me
suce à sa façon: elle avale la moitié du clitoris, le lèche dans sa bouche, jusqu’à ce que je parte.
Ma jouissance fait qu’elle change: elle loge le plus de langue possible dans le vagin: elle la fait
tourner à l’intérieur. J’ai plusieurs orgasme à la suite.
C’est la seule raison pour laquelle je reste avec elle. Quand elle entre son petit bout de langue
dans le cul, je la laisse faire, elle me fait toujours jouir ainsi.
Elle sait que je vais lui rendre tout. Hier, pourtant elle ne voulait plus faire ainsi; elle veux un
69. Jouir ensemble est sa manie depuis plusieurs fois. Qu’à cela ne tienne; elle aime que nous nous
sucions ensemble, j’aime bien les 69 avec les hommes, la seule différence n’est jamais qu’un bite.
Elle se met sous moi, je peux la sucer en baissant la tête, elle doit lever la sienne. Nous avons
toutes deux le cul de l’autre à la disposition. Nous en profitons, nous suçons et sodomisons. La
classe dans les débordements !!!
Quand nous finissons elle répète que je suis son amour. Je ne réponds toujours pas: tant pis pour
moi, elle , elle m’aime.
Mon programme de la semaine n’est pas décidé: demain je ferai la grâce matinée pour me remettre de
mes émotions, je me branlerai au réveil. Je flânerai sans rien faire. Lundi avec un peu de chance je
trouverai bien un type.
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