Amant partagé
Récit érotique écrit par Divadation [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-11-2010 dans la catégorie Plus on est
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Amant partagé
Après dix ans de vie commune et six ans de mariage, j’avais envie d’une femme plus chaude, plus sensuelle, plus coquine. Je fantasmais qu’elle devienne un jour une belle salope. Nous menions une vie très tranquille, que ce soit familiale, professionnelle ou sexuelle. Côté cul, trois ou quatre rapports par mois où je faisais de mon mieux pour la faire jouir. Elle jouissait, mais les orgasmes restaient rares.
Lorsqu’elle était disposée à faire l’amour, je la caressais, l’embrassais, la léchait. Je la mettais en condition, m’évertuant à lui donner du plaisir. De son côté, elle se contentait d’écarter les jambes et se laissait faire. J’avais rarement le droit à une gâterie et le plus souvent du bout des lèvres. Je ne parle même pas de ses jolies fesses, elle aime que j’y mette la langue, mais pas plus. L’endroit reste désespérément clos à mes suppliques. Pour la fantaisie, j’ai bien remarqué qu’elle jouit mieux quand je la fesse ou quand je maltraite ses seins. Mais dès le rapport fini, elle me reproche ma brutalité. Bref, ce n’était pas vraiment la joie au lit et ça me pesait énormément. Je rêvais souvent qu’elle devienne plus salope, quitte à ce que d’autres hommes en profitent.
Je fini par fréquenter les sites qui traitaient du sujet, des hommes voulant que leurs femmes s’ouvrent à la sexualité, sans forcément aller jusqu’au libertinage ou à la partouze, mais juste plus ouvertes dans l’intimité. Quelques témoignages et forums me confirmaient que pour ce genre de chose, il fallait souvent passer par un tiers. Plus facile à dire qu’à faire.
Puis un jour lors d’un déplacement, je me suis retrouvé avec un gars à la table voisine, on a sympathisé, on a bu un peu trop et finalement nous nous sommes racontés nos vies, surtout sexuelles. Je lui racontais mes déboires et mon désarroi, lui me racontait les siens. Sa femme était un peu comme la mienne, même s’il avait obtenu plus de chose que moi et qu’il arrivait à l’amener plus souvent que moi à l’orgasme. La situation lui pesait bien moins qu’à moi, pour ces dernières raisons, mais également parce qu’il allait voir ailleurs. Il me dit que c’était pour lui la meilleure façon de ne pas s’ennuyer avec sa femme et ainsi de garder l’amour qu’il a pour elle.
- Tu sais Jean, pour éviter les problèmes, je ne séduis que des femmes mariées. Comme ça, après la baise, elles retournent voir gentiment leurs petits maris.
- Mais elle se laisse séduire ?
- Les femmes mariées ont besoins de se sentir belles et désirées, comme les autres. Y’a pas de raison. Et puis comme ça, on est à égalité, je suis marié, elle aussi, après chacun rentre chez soit et voilà.
- Et tu ne t’ais jamais fais attrapé pas un mari ?
- Non, jamais, elles sont très prudentes.
- Ok, bon ! Mais moi, je ne crois pas que je pourrais aller voir ailleurs, ce n’est pas vraiment dans ma nature, je crois que je ne saurais pas trop quoi faire.
- Tu sais les femmes sont différentes avec leurs amants, elles sont plus coquines, plus entreprenantes, elles sont plus salopes quoi !
- Tu crois que ma femme est comme ça aussi ?
- Je crois que beaucoup de femmes sont comme ça. La tienne, peut être aussi !
On se quittait un peu plus tard, passablement éméchés. Dans ma chambre, je ne pus m’empêcher de repenser à notre conversation. Je l’imaginais en train de prendre ma femme qui se comportait en véritable furie sexuelle. Je bandais tellement que je me branlais à cette idée.
Le lendemain, peu habitué à boire, je me réveillais avec une gueule de bois terrible et aussi une envie irrépressible de jeter ma femme dans les bras d’un homme qui saurait l’ouvrir aux plaisirs du sexe. Je savais le jeu dangereux, mais connaissant ma femme, je le pensais surtout impossible. Un doliprane soigna mon mal de cheveux, mais rien ne me fit passer mon fantasme. Je bandais dur toute la journée en y pensant. Je décidais de recontacter mon nouvel ami pour lui faire part de mon désir.
- Tu aimerais que je séduise ta femme ?
- Oui, c’est ça ! Mais c’est pour que tu m’aides à la rendre plus sensible aux choses du sexe, tu comprends ?
- En gros, tu voudrais que je la drague et que j’en fasse une salope, c’est ça ?
- Oui, c’est sûr que dit comme ça…
- Si je te le dis comme ça, c’est pour que tu sois bien conscient qu’une fois qu’elle sera ouverte aux choses du sexe, comme tu dis, il n’y a pas de retour en arrière et ce n’est pas sûr que tu en profites toi-même !
- Oui, j’ai bien réfléchi à la situation. Je sais que c’est un jeu dangereux pour mon couple, mais je crois que je ne peux pas supporter de vivre comme ça plus longtemps.
- Bon, je m’arrange pour être dans ta région la semaine prochaine. On verra si ta femme se laisse séduire, ce n’est pas gagné non plus tu sais.
- Oui, je crains que se soit la partie la plus difficile de mon plan.
- Ah ! Parce que tu as un plan ?
- Non, je veux dire du projet.
- Ok, envois moi quelques photos pour que je la reconnaisse ainsi que son planning que je puisse la rencontrer. Si tu peux me donner quelques détails sur son boulot, sa boîte ou elle mange le midi, ce serait parfait.
Le soir même, je lui envoi par courriel quelques photos de Cécile ainsi que le programme que je connais de sa semaine prochaine. Je bande comme un âne en effectuant ma tâche. Excité, je tente une approche un peu coquine, mais madame reste impassible. On baise à la papa et je jouis en l’imaginant sous le joug de David, mon nouvel ami.
Je ne pense qu’à lui et à ma femme tout le weekend et une partie de la semaine, je bande sans arrêt. Enfin il me contact et me donne rendez-vous à son hôtel jeudi matin pour me donner des nouvelles. Je me rends dans sa chambre ou il s’est fait livrer deux cafés.
- Je l’ai rencontré ta femme, elle est vraiment jolie, j’ai hâte de la prendre en main.
- Tu crois que ça va être possible alors ?
- C’est plutôt bien partie. J’ai proposé une formation à sa boîte et son patron est intéressé. J’ai utilisé tes infos pour proposer quelques choses qui concernent ta femme.
- Tu l’as vu où ?
- Son patron me l’a présenté. J’ai eu du mal à ne pas bander. Je la voyais déjà à poils.
- T’es vraiment un obsédé sexuel toi ! Haha.
- Oui, regard, j’en bande encore.
Effectivement, je voyais bien la bosse que faisait son pantalon. J’étais gêné, jamais je n’avais vu un mec bander devant moi. Je bandais aussi. Il me surprit en m’attrapant par le paquet :
- Tu bandes aussi, petit cochon.
- Oui, j’ai bandé tout le weekend.
Il ne me lâchait pas et avait commencé à me masser le sexe. J’avais le rouge aux joues mais ne savais pas quoi faire.
- J’ai pensé au cul de ta femme toute la nuit ! dit-il en sortant sa queue de sa main libre.
- Regarde comme je bande !
Il prit ma main et la posa sur la tige chaude et douce. Je n’osais rien. Je me laissais faire. Je regardais, fasciné, ce gros sexe dans ma main. Il appliqua un mouvement. Il se branlait, je le branlais.
- Oui, c’est bon ! Soulages moi, en attendant que je me soulage dans ta femme. Je vais en faire une salope de ta femme.
Il appuyait sur ma nuque, je m’agenouillais, excité par ses mots, par son sexe que j’admirais à quelques centimètres de mon visage. Il posa son gland sur mes lèvres :
- Tu vois, je vais faire comme ça avec ta femme. Elle va me sucer et elle va aimer ça. Tous comme toi ! Aller, ouvre.
J’obtempérais, machinalement, comme envouté par cet homme. Je sentais le gland chaud, doux et malodorant possédé ma bouche. Je me mis à le sucer. Je le suçais comme j’aurais aimé être sucé. Il avait raison, ce salaud, j’aimais ça, l’avoir en bouche.
- C’est bien ! Tu suce bien pour une première fois. T’es doué. Prends la bien au fond.
Je l’écoutais et le laissais me baiser la bouche. Je lui malaxais les couilles, lui léchais. Il utilisa ma bouche jusqu’à ce qu’il jouisse. Je l’ai senti venir, mais je n’ai rien fais pour me reculé. Je l’ai gardé contre ma langue et j’ai avalé la semence. J’ai failli vomir tellement le goût était infâme, mais je n’ai rien recraché.
- T’es une bonne suceuse ! J’espère que ta femme sera à ta hauteur.
- Merci.
- T’es trop toi, tu me remercies en plus. Je crois qu’on va vraiment s’amuser tous les trois. Bon, laisse-moi maintenant, il faut que j’élabore un plan pour ta femme.
Je quittais l’hôtel avec des sentiments étranges. Je me sentais parfois humilié, parfois fier de ce que j’avais fais avec David. En tous cas, je bandais toujours. Naturellement, il fut difficile de travailler dans un état pareil. Il a fallut que je cache mon érection toute la journée.
Cécile me téléphona pour me dire qu’elle devait travailler tard ce soir car elle devait préparer un dossier de formation que son patron jugeait urgent. Elle devait être formée avec quelques unes de ses collègues la semaine prochaine. Je n’en croyais pas mes oreilles, ce mec avait réussi à convaincre le patron de ma femme de faire cette formation en urgence et en plus s’était arrangé pour que ma femme l’aide dans la préparation. Il était vraiment trop fort. Je ne doutais plus de la réussite de cette entreprise, même si cela me serrait le cœur. Il allait baiser ma femme, il allait en faire une salope.
Je reçu un message de David me disant qu’il passait la soirée avec ma femme et qu’il allait faire durer le plus longtemps possible. Il me demandait de ne pas appeler ma femme pour évité de raccourcir le temps passé avec.
J’attendu donc patiemment devant la télévision, mais avec une érection énorme. Je prévoyais de faire semblant de m’être endormis sur le canapé lorsqu’elle rentrera pour ne pas qu’elle se pose des questions sur le fait que je ne l’avais pas appelé. Elle est rentrée à une heure du matin et je m’étais vraiment endormi. Elle fut surprise de me voir là, moi aussi, je devais faire semblant de dormir mais je me suis réveillé en sursaut quand elle a fait tombé les clés au sol. Mal rhabillée, les cheveux décoiffés, le maquillage disparu, je savais qu’il avait réussi son plan, notre plan. Je me levais et me serrais contre elle. Je déposais un baiser sur sa bouche et essayais de forcer ma langue. Elle résista un peu puis se laissa faire. La garce, sa bouche avait un goût que je connaissais, celui du sperme de David. Ce mec était mon héro, il avait réussi en quelques heures là où j’avais échoué en dix ans. Elle me regarda, comme pour voir ma réaction, je souriais :
- Mais tu rentres tard, je n’avais pas vu qu’il était déjà cette heure-ci ?
- Oui, on a fini le dossier assez tard puis on est allé boire un verre avec mes collègues, je n’ai pas vu le temps passé.
- Ce n’est pas grave, l’essentiel est que tu sois avec moi maintenant.
- Je vais prendre un douche et puis dodo, je suis fatiguée moi.
- Je t’attends au lit !
Je prends mon portable pour régler le réveil et me rend compte que j’ai un message écris de David :
- Elle est venue dans ma chambre. C’est une bonne salope, mais manque de formation. Lol. Lorsqu’elle sera à la maison, regardes sous la jupe, elle n’a pas de culotte. Je l’ai dans la main. Bonne soirée.
Je me précipite vers la salle de bain. La porte est mal fermée, je jette un œil discret. Elle finit seulement d’enlever son haut et son soutien-gorge. Elle caresse ses seins en les regardants d’un air satisfaite dans le miroir. Elle baisse sa jupe et je découvre qu’effectivement, elle n’a plus de culotte. Elle passe ses doigts entre ses cuisses et ramène sa main en pleine lumière. Ma femme contemple en souriant une substance qui luit sous les ampoules. La salope a encore la chatte pleine. Je bande comme un fou. Je ne tiens plus en entre dans la salle de bain.
- Chérie, j’ai envie de te faire l’amour.
- Mais tu n’y pense pas, je suis fatiguée, ce n’est pas le moment.
- Tu préfère te faire baiser par un autre mec, c’est ça ?
- Ne sois pas grossier, tu divagues complètement, tu as bu ou quoi ?
- Moi non, mais toi je crois que tu as bu une bonne ration de sperme. Et ça, c’est quoi ?
En disant cela, je plaque ma main sur sa chatte poisseuse, en recueille une bonne quantité de semence et le lui montre. Ses joues sont d’un rouge écarlate. Elle bégaie, ne sait plus quoi dire. Une larme coule sur sa joue. Je la prends par la main et l’emmène dans la chambre. Je l’allonge, me déshabille et me couche sur elle. Sentant mon érection, elle écarte ses cuisses, prend mon sexe et le dirige vers son antre chaud et ruisselant d’un autre. Pendant que mon sexe progresse, elle m’embrasse d’un baiser torride que je ne lui connais pas. Je la baise directement, je la pilonne d’entré.
- Floc, floc, floc. Ma queue coulisse dans sa chatte marécageuse.
Je ne la ressens pas aussi bien que d’habitude autour de mon sexe mais elle jouit rapidement. Elle a un orgasme, un vrai, un puissant. Là, je sens ses muscles vaginaux se contracter autour de ma queue, jamais elle n’avait fais ça, jamais elle n’avait eu un orgasme comme celui-ci. Je me répands en elle, mélangeant ma semence à celle déjà présente. Notre étreinte a été brève mais intense. Elle pleur, d’avoir jouie, de m’avoir trompé, d’avoir prit son pied avec un autre. Elle me promet de ne plus jamais me tromper. Je lui dis que si c’est pour le bien de notre couple, elle peut recommencer quand elle veut. Elle se tourne sur le côté, je me colle à elle et la serre dans mes bras pendant qu’elle sanglote. Epuisés, nous nous endormons rapidement.
Le lendemain matin, Cécile m’envoi un message. Elle m’écrit qu’elle a bien réfléchi à ma proposition et qu’elle va rentrer tard pour le bien de notre couple. Je comprends l’allusion, elle me signale qu’elle va se faire baiser. Elle est devenue salope en même pas 24 heures. David m’appelle et je lui raconte la séance d’hier soir.
- Bien joué mon gars. C’est pour ça qu’elle n’a pas été facile à convaincre pour ce soir. Ok, on va changer de programme. Elle doit venir dans ma chambre vers 18h, juste après le bureau. Si tu peux passer deux heure avant, je te raconterais tranquillement ce que j’ai fais avec elle.
- Je serais là.
J’ai un mal fou à me concentrer sur mon travail de la journée. Mais pas de problème pour être à l’heure du rendez-vous. Je frappe à la porte de la chambre d’hôtel, il m’ouvre habillé d’un peignoir. On s’installe sur le petit canapé et il me raconte la journée d’hier :
- Je suis allé directement à sa boite hier matin après la gâterie que tu m’as faite. Je devais préparer le dossier de demande de subvention pour la formation avec son patron. Après quelques minutes, je lui ai suggéré qu’il avait sans doute mieux à faire et qu’il valait mieux qu’une employée m’aide pour cette tâche. Je lui ai glissé le nom de Cécile, en lui faisant comprendre que j’aimerais la draguer, il m’a souri en me disant un « bon chance » peu convaincu que je réussisse à la séduire. On s’est retrouvé tous les deux dans une petite salle de réunion. J’avais plein de document administratif à préparer, la plupart n’ayant rien à voir avec cette formation, mais je gagnais du temps pour la garder avec moi. Je l’invitais à déjeuné, non sans avoir demandé à son patron discrètement si on pouvait « trainer un peu ». Comme je crois que c’est un queutard comme moi, on s’est comprit depuis le début. Il m’a juste répondu « C’est un déjeuné de travail ! Donc si Cécile travail, ça peu durer un peu ! ». Je l’ai emmené dans un bon restaurant. Je l’ai dragué en douceur. Puis retour au bureau, ou j’ai encore fais durer les choses. Si bien qu’on a du travaillé tard, d’où le message que tu as reçu. Je me suis arrangé pour finir vers 20h. Elle a accepté de diner avec moi si je lui payais le taxi pour le retour. J’ai choisi le restaurant de l’hôtel. J’en ai profité pour la faire boire un peu. A la fin du repas, on s’est embrassé sur la bouche, assez chastement. Je lui ai dis qu’il fallait que j’aille dans ma chambre pour aller chercher de l’argent en liquide pour le taxi. Elle m’a accompagné. Un fois arrivé, je l’ai embrassé à pleine bouche, elle a hésité mais finalement sa langue s’est mise à danser avec la mienne. Je peloté ses seins, son cul, elle se laissait faire en émettant de petit gémissements. Je l’ai déshabillé en douceur. Je l’ai mise sur le lit. J’ai sucé ses seins, parcourut son ventre, son cou, ses fesses. Je me suis régalé.
- Mais ça a été vite ?
- Oui, elle était en chaleur la garce. Je sentais son odeur de femelle en chaleur avant même de lui avoir ôté son string. Regarde, j’en bande encore. Tiens, branle moi pendant que je te raconte. Tu bandes aussi ?
- Oui.
- Petit pédé ! Allé branle moi si tu veux connaître la suite. Oh ! C’est bon, t’as les mains bien chaudes. Donc j’ai commencé à lui léché la chatte, elle n’en avait pas vraiment besoin tellement elle mouillait.
- Ah bon ? Avec moi, il faut que je lui bouffe je ne sais pas combien de temps avant que ça vienne !
- Bref ! Je lui bouffe bien profondément, je la doigte, lui fourre ma langue dans le cul, jusqu’à ce qu’elle ait un belle orgasme. J’en ai profité pour me déshabiller pendant qu’elle planait et je me suis installé entre ses cuisses. Je l’ai pénétré avant qu’elle reprenne ses esprits. Je l’ai baisé doucement, mais bien en profondeur, pour la maintenir dans l’orgasme. Elle a vraiment une chatte étroite ta femme, je la sentais vraiment bien. A propos de ça, montre-moi ta bite, car je t’ai un peu touché hier mais je ne sais pas comment elle est.
Je sors ma queue bandé et lui montre. Il se lève et j’en fais autant. Il présente son sexe à côté du mien :
- Ah ok ! Je comprends mieux maintenant. Elle n’est pas bien gros ta zigounette.
Effectivement, j’avais bien remarqué que son sexe avait l’air plus gros que le mien, mais je pensais au fameux effet d’optique. Il attrapa sa mallette et en sortie une règle gradué.
- On va mesurer nos bites. Je suis curieux de savoir combien tu fais.
Il me saisie par les couilles et me mesure.
- Treize centimètres en érection, tu es dans la petite moyenne. 3,5 centimètres de diamètre. A moi maintenant, alors ça fait… Pratiquement 18, un peu en dessous, mais on ne va pas chipoter pour 2 ou 3 millimètres et environ… je dirais entre 4,5 et 4,7 de diamètre. Bon ce n’est pas très précis, mais c’était juste pour voir la différence. Je comprends donc mieux pourquoi elle était aussi étroite et pourquoi elle a autant joui et eu autant d’orgasme. Je continu donc… Ou en étais-je ?
- Tu la baisais.
- Oui, et toi, branle moi. Voilà comme ça c’est bien. Je la baisais bien. Je sentais bien sa chatte me serrer la bite. Elle gémissait. J’aime bien les femmes à la jouissance discrète. Comme son orgasme semblait se prolonger sans cesse, je me suis laissé aller et j’ai balancé la purée bien au fond de sa chatte !
- T’avais pas mit de capote ?
- Non, ta femme n’avait pas l’air d’aller se faire baiser à droite et à gauche, donc pas besoin.
- Oui, mais toi ? Tu vas bien tirer dans tous le coin ?
- Je ne vais pas tirer dans tous les coins, j’ai juste trois ou quatre maitresses par-ci, par-là. De toute façon, j’ai fais un test lundi, il est dans mon sac. J’avais prévu le coup. D’ailleurs, ta femme ne s’est même pas posé la question. Elle s’est prit ma bite sans réfléchir, je crois qu’elle avait envie d’un amant depuis pas mal de temps. Après avoir juté en elle, je suis resté dedans en coulissant doucement, le temps qu’elle profite de sa jouissance et qu’elle revienne sur terre. Elle avait un sourire jusqu’aux oreilles. Et elle m’a dit « Merci, c’était vraiment super ! Je croyais avoir déjà eu un orgasme avant, mais maintenant je sais que c’est toi qui m’as fait avoir le premier. » Elle m’a roulé une grosse pelle bien chaude. Elle m’a fait m’allonger sur le lit et elle m’a fait une pipe d’enfer. Si bien que je l’ai baisé encore une fois. En faite, je l’ai baisé quatre fois en tout. Je lui ai fais toute les positions, missionnaire, levrette, debout, elle sur moi, une vrai furie du cul. Elle en voulait toujours plus. C’est moi qui ai fini par lui dire qu’il fallait qu’elle rentre car son mari allait se douté de quelque chose.
- A ce point là ?
- Oui ! Elle m’a même offert une gâterie jusqu’au bout avant de partir. Et je peux te garantir qu’elle n’a pas laissé une goutte tombé. Elle a tout avalé.
- Je sais, elle puait le sperme quand elle est rentré.
- Et ce matin, elle m’a dit qu’on avait passé une bonne soirée mais qu’elle ne voulait plus qu’on se voit. Je l’ai un peu baratiné, elle a un peu résisté, puis elle m’a dit « Ok pour ce soir, mais ce sera la dernière ». Si elle vient ce soir, ce sera que le début. J’ai prévu de lui déflorer sa petite pastille, je sens que je vais bien me régaler avec ta femme.
- Tu n’y arriveras jamais. Je pense que c’est trop tôt pour ce genre de chose.
- Tu ne connais pas Cécile comme moi je la connais. Quand elle est avec moi, c’est une autre femme. En plus, vu ce qui c’est passé entre vous hier soir, tu lui a plus ou moins donné l’autorisation de se faire baiser ailleurs. Tu n’aurais peut être pas dû, mais c’est ton problème, moi je vais bien en profiter. Je suis trop excité rien que d’y penser. Suce-moi que je me détende un peu.
Je me penchais sur le sexe que j’avais toujours en main et le prit entre mes lèvres. Il avait sans doute raison, je n’aurais pas dû lui dire qu’elle pouvait aller voir ailleurs si c’était pour le bien de notre couple. Si c’est David qui en profite, après tout, c’est grâce à lui qu’elle devient plus chaude, mais si elle commence à aller se faire baiser à tous le coin de rue, je serais pris à mon propre piège. Je savais que le jeu était déjà dangereux, trop enthousiaste, j’avais ajouté des risques supplémentaires. Je suçais la belle queue de l’amant de ma femme, mais je n’étais pas très concentré.
- Arrête de penser à ta femme, tu vas te torturer pour rien, pour l’instant elle est a moi. J’essaierais que ça reste comme ça. Je vais rattraper tes conneries.
- Merci, t’es vraiment un ami. Je ne sais pas comment te remercier pour ce que tu fais pour moi.
- Moi je sais. Tu aimerais m’aider à réaliser un de mes fantasmes.
- Oui, naturellement, c’est quoi ce fantasme ?
- Je rêve de pouvoir un jour enculer un mari cocu. Je n’ai jamais sodomisé un mec et j’aimerais essayer.
- Ah oui ! C’est un peu délicat ce que tu me demandes, je ne pensais pas que …
- Tu te dégonfles ? Après tous, tu m’as bien sucé deux fois. Et puis comme ça tu verras ce que ressentira ta femme quand je lui ferais. Je serais doux avec toi, je suis sûr que je peux te faire prendre ton pied.
- Tu crois ? Je ne sais pas, j’hésite.
- Si tu as mal, t’inquiètes pas, tu me le dis et on arrête tout. J’ai du lubrifiant, je vais bien te préparer, tu verras, ça ira tous seul.
- Je te fais confiance. Je suis à toi.
Après m’avoir mit nu, il me fit mettre en levrette sur le lit. Il frotta son gland sur mes couilles et sur mon anus. La sensation était vraiment agréable. Son doigt massait ma rondelle pendant que son autre main caressait mon sexe. De temps en temps, il serrait sa tige entre mes testicules et ma cuisse et se branlait en douceur. Un gel coula entre mes fesses et son index commença à progresser lentement en moi. C’était une sensation étrange et délicieuse à la fois. Alors qu’il m’avait pénétré que de deux phalanges, j’eu le besoin de le sentir plus profond et surtout plus en largeur dans mon fondement. Je me suis reculé pour lui faire comprendre. Il finit de plongé son doigt et un deuxième dilata en douceur ma rondelle. Puis tout est allé très vite. Il a retiré ses doigts. Son gland est venu se plaquer et il l’a poussé en moi. Je me suis ouvert en douceur, il avait raison, je sentais un tiraillement, mais pas vraiment une douleur. Il stoppa un fois le gland passé. Il ajoutait un peu de gel. Et reprit mon dépucelage anal. Il savait y faire. Je commençais vraiment à aimer ça. Me sentant bien, je suis venu à la rencontre de sa queue, finissant dans un mouvement de recule lent la pénétration. Je me fixais, respirant lentement. Je laissais mon fondement s’habituer à cette grosseur. J’étais bien, apaisé, calme et serein. Il reprit du mouvement et me sodomisa cette fois en cadence. Comme tout allait bien, il me baisait le cul de plus en plus vite. Plus il accélérait plus jamais ça. Il me claqua le cul :
- T’es une bonne salope, putain, je ne pensais pas pouvoir t’enculer aussi facilement. T’aime ça petite pute.
- Oh oui ! C’est bon !
- Je veux que tu me dises « encules-moi fort mon chéri » !
- Encules-moi fort mon chéri, baises moi le cul, mon David chéri. Eclates moi le fion.
- T’es une bonne lopette, je vais lui faire la même chose à ta petite femme. Tu crois qu’elle va aimer ?
- Oh oui ! Elle va aimer ! Elle va adorer ta queue dans son cul.
N’en pouvant plus, il éjacula au fond de mon cul. J’eu moi-même une sorte d’orgasme, mais sans éjaculer. Il venait de me procurer la plus belle jouissance de ma vie.
- Ce n’est pas tout, mais moi j’ai une femme à enculer. Après ta douche, si tu veux en prendre une, tu sortiras avec la clé de la chambre. Tu reviendras quand je t’enverrais un sms. Je te préviens que jusqu’à maintenant, tu sais que ta femme s’est faite baiser, mais aujourd’hui, tu vas la voir. Ca risque de te faire un choque de la voir se faire baiser et sodomiser par moi. Si tu penses ne pas le supporter, ne viens pas. C’est d’accord.
- C’est bon. J’ai compris.
Je quittais la chambre et l’hôtel pour me rendre dans un café en face. Après 10 minutes d’attente, Céline franchit la réception. Je n’avais pas cessé de bander depuis que j’étais entré dans la chambre de David, depuis deux heures. J’avais mal à la bite. J’avais aussi l’étrange impression d’avoir comme de la mousse dans le fondement, sans doute la semence de mon amant. Je m’impatientais de recevoir un message. Je le reçu plus d’une demi-heure plus tard. « Fait vite, mais soit le plus silencieux possible ».
Je me précipitais dans l’hôtel. Montant les marches quatre-à-quatre. J’arrivais devant la porte essoufflé. Je repris mon souffle quelques minutes pour être sûr d’être assez discret. Je glissais la clé le plus lentement possible et ouvrait la porte. La lumière était allumée en grand dans la chambre. Je parcourais le petit sasse resté éteins à pas de loup et tombait sur ma femme, nue sur le lit, en levrette. Les fesses vers moi, la tête enfouie dans les draps. Elle ne pouvait me voir. Je restais à l’angle, me faisant le plus discret possible. Sa chatte dégorgeait déjà du sperme de David qui me regardait en souriant. En regardant plus attentivement, je remarquais qu’elle tremblait. Elle devait être encore en pleine jouissance. Il remit son sexe dans son minou et le ressortit pour enduire la raie des fesses du jus de leur amour. Il répéta l’opération plusieurs fois tout en massant le petite orifice vierge du pouce. Il le poussa entre les chaires qui s’écartèrent avec une facilité déconcertante. Il la baisa un peu en gardant le pouce profondément fiché en elle. Il badigeonna de nouveau la zone, cette fois en faisant entrer deux doigts. Il faisait tourner doucement le majeur et l’index dans la cavité, il avait remit sa queue au chaud et la limait en douceur. Après quelques minutes de ce traitement, il sortit sa colonne de chaire ainsi que ses doigts et posa le gland sur l’anneau. Il poussa et les portes inviolées de ma petite femme s’ouvrir sur son passage. Il mit un peu de lubrifiant sur sa tige encore à l’air libre et reprit sa progression. Il se retirait, puis lui remettait. Quant il eut la moitié dedans, il commença un va-et-vient. Allant toujours de plus en plus loin. Elle restait silencieuse, mais son bassin s’animait de plus en plus. Il attrapa la main de Cécile et la posa sur la chatte pour qu’elle se caresse. Je ne l’avais jamais vu faire ça. Elle tritura son bouton rose pendant qu’il continuait de lui travailler l’anus.
Un fois bien au fond, il l’encula plus vigoureusement. Elle gémissait de plaisir, je n’en croyais ni mes yeux, ni mes oreilles. Son cul bougeait et venait comme pour s’empaler encore plus profond. Il accéléra encore et la pilonna jusqu’à ce qu’un orgasme l’emporte. Il choisit se moment pour se retirer et reprendre sa chatte, qui de nouveau, lima à grands coup. Il alternait sans cesse le rythme ou la profondeur. Quand ma femme fut prit d’un autre orgasme, il repointa sa queue dans sa rondelle sombre et pilonna encore. Il changea plusieurs fois allant du vagin à l’anus à chaque nouvel orgasme. Je ne pensais même pas qu’on puisse faire ce genre de chose. J’apprenais bien des choses. Ma bite était sur le point d’exploser quand enfin il décida de marquer son territoire de sa semence. Il jouit abondement dans son anus dilaté. J’entendis me femme émettre un gémissement rauque, j’avais l’impression qu’un autre personne qu’elle faisait ce son. C’était surréaliste.
Ils se sont écroulés sur le lit, David toujours encastré au fond de son cul. Il m’a fait signe de partie. Je les ai laissés à regret et je suis rentré à la maison.
J’ai reçu un message de David vers 1 heure du matin, me disant qu’il l’avait baisé et sodomisé encore deux fois et que maintenant elle dormait. Il allait la garder et s’occuper d’elle toute la nuit. Cécile m’envoya un message une heure plus tard pour me demander si elle pouvait aller en boite avec ses collègues et rentrer que dans la matinée. Elle voulait rester prude dans ses propos, mais nous savions tous les deux ce que cela voulait dire.
Elle est rentrée à 10h le lendemain matin. Elle était peignée et maquillée mais avait de larges cernes sous les yeux. Elle m’embrassa à pleine bouche, me faisant goûter une odeur de sperme frais dans sa bouche.
- Je suis fatiguée mon chéri. Je te ferais une surprise ce soir, mais là je suis nase.
- Ok ! Repose-toi bien mon amour !
Il se déshabilla et se coucha nue. Elle dormait au bout de quelques minutes seulement. Pendant que je la regardais dormir, je reçu un message de mon ami : «C’est devenue une belle salope, elle devait avoir ça dans le sang. Si tu peux, regarde son petit trou, il est tous boursouflé tellement je l’ai prise par-là. Il doit être crémeux aussi car je lui en ai remit une couche après la douche. Pour finir elle m’a pompé la queue devant chez toi. Elle devait encore avoir la bouche pleine de jus quand tu l’as embrassé. Je vous embrasse mes deux petites salopes et à la semaine prochaine.
Lorsqu’elle était disposée à faire l’amour, je la caressais, l’embrassais, la léchait. Je la mettais en condition, m’évertuant à lui donner du plaisir. De son côté, elle se contentait d’écarter les jambes et se laissait faire. J’avais rarement le droit à une gâterie et le plus souvent du bout des lèvres. Je ne parle même pas de ses jolies fesses, elle aime que j’y mette la langue, mais pas plus. L’endroit reste désespérément clos à mes suppliques. Pour la fantaisie, j’ai bien remarqué qu’elle jouit mieux quand je la fesse ou quand je maltraite ses seins. Mais dès le rapport fini, elle me reproche ma brutalité. Bref, ce n’était pas vraiment la joie au lit et ça me pesait énormément. Je rêvais souvent qu’elle devienne plus salope, quitte à ce que d’autres hommes en profitent.
Je fini par fréquenter les sites qui traitaient du sujet, des hommes voulant que leurs femmes s’ouvrent à la sexualité, sans forcément aller jusqu’au libertinage ou à la partouze, mais juste plus ouvertes dans l’intimité. Quelques témoignages et forums me confirmaient que pour ce genre de chose, il fallait souvent passer par un tiers. Plus facile à dire qu’à faire.
Puis un jour lors d’un déplacement, je me suis retrouvé avec un gars à la table voisine, on a sympathisé, on a bu un peu trop et finalement nous nous sommes racontés nos vies, surtout sexuelles. Je lui racontais mes déboires et mon désarroi, lui me racontait les siens. Sa femme était un peu comme la mienne, même s’il avait obtenu plus de chose que moi et qu’il arrivait à l’amener plus souvent que moi à l’orgasme. La situation lui pesait bien moins qu’à moi, pour ces dernières raisons, mais également parce qu’il allait voir ailleurs. Il me dit que c’était pour lui la meilleure façon de ne pas s’ennuyer avec sa femme et ainsi de garder l’amour qu’il a pour elle.
- Tu sais Jean, pour éviter les problèmes, je ne séduis que des femmes mariées. Comme ça, après la baise, elles retournent voir gentiment leurs petits maris.
- Mais elle se laisse séduire ?
- Les femmes mariées ont besoins de se sentir belles et désirées, comme les autres. Y’a pas de raison. Et puis comme ça, on est à égalité, je suis marié, elle aussi, après chacun rentre chez soit et voilà.
- Et tu ne t’ais jamais fais attrapé pas un mari ?
- Non, jamais, elles sont très prudentes.
- Ok, bon ! Mais moi, je ne crois pas que je pourrais aller voir ailleurs, ce n’est pas vraiment dans ma nature, je crois que je ne saurais pas trop quoi faire.
- Tu sais les femmes sont différentes avec leurs amants, elles sont plus coquines, plus entreprenantes, elles sont plus salopes quoi !
- Tu crois que ma femme est comme ça aussi ?
- Je crois que beaucoup de femmes sont comme ça. La tienne, peut être aussi !
On se quittait un peu plus tard, passablement éméchés. Dans ma chambre, je ne pus m’empêcher de repenser à notre conversation. Je l’imaginais en train de prendre ma femme qui se comportait en véritable furie sexuelle. Je bandais tellement que je me branlais à cette idée.
Le lendemain, peu habitué à boire, je me réveillais avec une gueule de bois terrible et aussi une envie irrépressible de jeter ma femme dans les bras d’un homme qui saurait l’ouvrir aux plaisirs du sexe. Je savais le jeu dangereux, mais connaissant ma femme, je le pensais surtout impossible. Un doliprane soigna mon mal de cheveux, mais rien ne me fit passer mon fantasme. Je bandais dur toute la journée en y pensant. Je décidais de recontacter mon nouvel ami pour lui faire part de mon désir.
- Tu aimerais que je séduise ta femme ?
- Oui, c’est ça ! Mais c’est pour que tu m’aides à la rendre plus sensible aux choses du sexe, tu comprends ?
- En gros, tu voudrais que je la drague et que j’en fasse une salope, c’est ça ?
- Oui, c’est sûr que dit comme ça…
- Si je te le dis comme ça, c’est pour que tu sois bien conscient qu’une fois qu’elle sera ouverte aux choses du sexe, comme tu dis, il n’y a pas de retour en arrière et ce n’est pas sûr que tu en profites toi-même !
- Oui, j’ai bien réfléchi à la situation. Je sais que c’est un jeu dangereux pour mon couple, mais je crois que je ne peux pas supporter de vivre comme ça plus longtemps.
- Bon, je m’arrange pour être dans ta région la semaine prochaine. On verra si ta femme se laisse séduire, ce n’est pas gagné non plus tu sais.
- Oui, je crains que se soit la partie la plus difficile de mon plan.
- Ah ! Parce que tu as un plan ?
- Non, je veux dire du projet.
- Ok, envois moi quelques photos pour que je la reconnaisse ainsi que son planning que je puisse la rencontrer. Si tu peux me donner quelques détails sur son boulot, sa boîte ou elle mange le midi, ce serait parfait.
Le soir même, je lui envoi par courriel quelques photos de Cécile ainsi que le programme que je connais de sa semaine prochaine. Je bande comme un âne en effectuant ma tâche. Excité, je tente une approche un peu coquine, mais madame reste impassible. On baise à la papa et je jouis en l’imaginant sous le joug de David, mon nouvel ami.
Je ne pense qu’à lui et à ma femme tout le weekend et une partie de la semaine, je bande sans arrêt. Enfin il me contact et me donne rendez-vous à son hôtel jeudi matin pour me donner des nouvelles. Je me rends dans sa chambre ou il s’est fait livrer deux cafés.
- Je l’ai rencontré ta femme, elle est vraiment jolie, j’ai hâte de la prendre en main.
- Tu crois que ça va être possible alors ?
- C’est plutôt bien partie. J’ai proposé une formation à sa boîte et son patron est intéressé. J’ai utilisé tes infos pour proposer quelques choses qui concernent ta femme.
- Tu l’as vu où ?
- Son patron me l’a présenté. J’ai eu du mal à ne pas bander. Je la voyais déjà à poils.
- T’es vraiment un obsédé sexuel toi ! Haha.
- Oui, regard, j’en bande encore.
Effectivement, je voyais bien la bosse que faisait son pantalon. J’étais gêné, jamais je n’avais vu un mec bander devant moi. Je bandais aussi. Il me surprit en m’attrapant par le paquet :
- Tu bandes aussi, petit cochon.
- Oui, j’ai bandé tout le weekend.
Il ne me lâchait pas et avait commencé à me masser le sexe. J’avais le rouge aux joues mais ne savais pas quoi faire.
- J’ai pensé au cul de ta femme toute la nuit ! dit-il en sortant sa queue de sa main libre.
- Regarde comme je bande !
Il prit ma main et la posa sur la tige chaude et douce. Je n’osais rien. Je me laissais faire. Je regardais, fasciné, ce gros sexe dans ma main. Il appliqua un mouvement. Il se branlait, je le branlais.
- Oui, c’est bon ! Soulages moi, en attendant que je me soulage dans ta femme. Je vais en faire une salope de ta femme.
Il appuyait sur ma nuque, je m’agenouillais, excité par ses mots, par son sexe que j’admirais à quelques centimètres de mon visage. Il posa son gland sur mes lèvres :
- Tu vois, je vais faire comme ça avec ta femme. Elle va me sucer et elle va aimer ça. Tous comme toi ! Aller, ouvre.
J’obtempérais, machinalement, comme envouté par cet homme. Je sentais le gland chaud, doux et malodorant possédé ma bouche. Je me mis à le sucer. Je le suçais comme j’aurais aimé être sucé. Il avait raison, ce salaud, j’aimais ça, l’avoir en bouche.
- C’est bien ! Tu suce bien pour une première fois. T’es doué. Prends la bien au fond.
Je l’écoutais et le laissais me baiser la bouche. Je lui malaxais les couilles, lui léchais. Il utilisa ma bouche jusqu’à ce qu’il jouisse. Je l’ai senti venir, mais je n’ai rien fais pour me reculé. Je l’ai gardé contre ma langue et j’ai avalé la semence. J’ai failli vomir tellement le goût était infâme, mais je n’ai rien recraché.
- T’es une bonne suceuse ! J’espère que ta femme sera à ta hauteur.
- Merci.
- T’es trop toi, tu me remercies en plus. Je crois qu’on va vraiment s’amuser tous les trois. Bon, laisse-moi maintenant, il faut que j’élabore un plan pour ta femme.
Je quittais l’hôtel avec des sentiments étranges. Je me sentais parfois humilié, parfois fier de ce que j’avais fais avec David. En tous cas, je bandais toujours. Naturellement, il fut difficile de travailler dans un état pareil. Il a fallut que je cache mon érection toute la journée.
Cécile me téléphona pour me dire qu’elle devait travailler tard ce soir car elle devait préparer un dossier de formation que son patron jugeait urgent. Elle devait être formée avec quelques unes de ses collègues la semaine prochaine. Je n’en croyais pas mes oreilles, ce mec avait réussi à convaincre le patron de ma femme de faire cette formation en urgence et en plus s’était arrangé pour que ma femme l’aide dans la préparation. Il était vraiment trop fort. Je ne doutais plus de la réussite de cette entreprise, même si cela me serrait le cœur. Il allait baiser ma femme, il allait en faire une salope.
Je reçu un message de David me disant qu’il passait la soirée avec ma femme et qu’il allait faire durer le plus longtemps possible. Il me demandait de ne pas appeler ma femme pour évité de raccourcir le temps passé avec.
J’attendu donc patiemment devant la télévision, mais avec une érection énorme. Je prévoyais de faire semblant de m’être endormis sur le canapé lorsqu’elle rentrera pour ne pas qu’elle se pose des questions sur le fait que je ne l’avais pas appelé. Elle est rentrée à une heure du matin et je m’étais vraiment endormi. Elle fut surprise de me voir là, moi aussi, je devais faire semblant de dormir mais je me suis réveillé en sursaut quand elle a fait tombé les clés au sol. Mal rhabillée, les cheveux décoiffés, le maquillage disparu, je savais qu’il avait réussi son plan, notre plan. Je me levais et me serrais contre elle. Je déposais un baiser sur sa bouche et essayais de forcer ma langue. Elle résista un peu puis se laissa faire. La garce, sa bouche avait un goût que je connaissais, celui du sperme de David. Ce mec était mon héro, il avait réussi en quelques heures là où j’avais échoué en dix ans. Elle me regarda, comme pour voir ma réaction, je souriais :
- Mais tu rentres tard, je n’avais pas vu qu’il était déjà cette heure-ci ?
- Oui, on a fini le dossier assez tard puis on est allé boire un verre avec mes collègues, je n’ai pas vu le temps passé.
- Ce n’est pas grave, l’essentiel est que tu sois avec moi maintenant.
- Je vais prendre un douche et puis dodo, je suis fatiguée moi.
- Je t’attends au lit !
Je prends mon portable pour régler le réveil et me rend compte que j’ai un message écris de David :
- Elle est venue dans ma chambre. C’est une bonne salope, mais manque de formation. Lol. Lorsqu’elle sera à la maison, regardes sous la jupe, elle n’a pas de culotte. Je l’ai dans la main. Bonne soirée.
Je me précipite vers la salle de bain. La porte est mal fermée, je jette un œil discret. Elle finit seulement d’enlever son haut et son soutien-gorge. Elle caresse ses seins en les regardants d’un air satisfaite dans le miroir. Elle baisse sa jupe et je découvre qu’effectivement, elle n’a plus de culotte. Elle passe ses doigts entre ses cuisses et ramène sa main en pleine lumière. Ma femme contemple en souriant une substance qui luit sous les ampoules. La salope a encore la chatte pleine. Je bande comme un fou. Je ne tiens plus en entre dans la salle de bain.
- Chérie, j’ai envie de te faire l’amour.
- Mais tu n’y pense pas, je suis fatiguée, ce n’est pas le moment.
- Tu préfère te faire baiser par un autre mec, c’est ça ?
- Ne sois pas grossier, tu divagues complètement, tu as bu ou quoi ?
- Moi non, mais toi je crois que tu as bu une bonne ration de sperme. Et ça, c’est quoi ?
En disant cela, je plaque ma main sur sa chatte poisseuse, en recueille une bonne quantité de semence et le lui montre. Ses joues sont d’un rouge écarlate. Elle bégaie, ne sait plus quoi dire. Une larme coule sur sa joue. Je la prends par la main et l’emmène dans la chambre. Je l’allonge, me déshabille et me couche sur elle. Sentant mon érection, elle écarte ses cuisses, prend mon sexe et le dirige vers son antre chaud et ruisselant d’un autre. Pendant que mon sexe progresse, elle m’embrasse d’un baiser torride que je ne lui connais pas. Je la baise directement, je la pilonne d’entré.
- Floc, floc, floc. Ma queue coulisse dans sa chatte marécageuse.
Je ne la ressens pas aussi bien que d’habitude autour de mon sexe mais elle jouit rapidement. Elle a un orgasme, un vrai, un puissant. Là, je sens ses muscles vaginaux se contracter autour de ma queue, jamais elle n’avait fais ça, jamais elle n’avait eu un orgasme comme celui-ci. Je me répands en elle, mélangeant ma semence à celle déjà présente. Notre étreinte a été brève mais intense. Elle pleur, d’avoir jouie, de m’avoir trompé, d’avoir prit son pied avec un autre. Elle me promet de ne plus jamais me tromper. Je lui dis que si c’est pour le bien de notre couple, elle peut recommencer quand elle veut. Elle se tourne sur le côté, je me colle à elle et la serre dans mes bras pendant qu’elle sanglote. Epuisés, nous nous endormons rapidement.
Le lendemain matin, Cécile m’envoi un message. Elle m’écrit qu’elle a bien réfléchi à ma proposition et qu’elle va rentrer tard pour le bien de notre couple. Je comprends l’allusion, elle me signale qu’elle va se faire baiser. Elle est devenue salope en même pas 24 heures. David m’appelle et je lui raconte la séance d’hier soir.
- Bien joué mon gars. C’est pour ça qu’elle n’a pas été facile à convaincre pour ce soir. Ok, on va changer de programme. Elle doit venir dans ma chambre vers 18h, juste après le bureau. Si tu peux passer deux heure avant, je te raconterais tranquillement ce que j’ai fais avec elle.
- Je serais là.
J’ai un mal fou à me concentrer sur mon travail de la journée. Mais pas de problème pour être à l’heure du rendez-vous. Je frappe à la porte de la chambre d’hôtel, il m’ouvre habillé d’un peignoir. On s’installe sur le petit canapé et il me raconte la journée d’hier :
- Je suis allé directement à sa boite hier matin après la gâterie que tu m’as faite. Je devais préparer le dossier de demande de subvention pour la formation avec son patron. Après quelques minutes, je lui ai suggéré qu’il avait sans doute mieux à faire et qu’il valait mieux qu’une employée m’aide pour cette tâche. Je lui ai glissé le nom de Cécile, en lui faisant comprendre que j’aimerais la draguer, il m’a souri en me disant un « bon chance » peu convaincu que je réussisse à la séduire. On s’est retrouvé tous les deux dans une petite salle de réunion. J’avais plein de document administratif à préparer, la plupart n’ayant rien à voir avec cette formation, mais je gagnais du temps pour la garder avec moi. Je l’invitais à déjeuné, non sans avoir demandé à son patron discrètement si on pouvait « trainer un peu ». Comme je crois que c’est un queutard comme moi, on s’est comprit depuis le début. Il m’a juste répondu « C’est un déjeuné de travail ! Donc si Cécile travail, ça peu durer un peu ! ». Je l’ai emmené dans un bon restaurant. Je l’ai dragué en douceur. Puis retour au bureau, ou j’ai encore fais durer les choses. Si bien qu’on a du travaillé tard, d’où le message que tu as reçu. Je me suis arrangé pour finir vers 20h. Elle a accepté de diner avec moi si je lui payais le taxi pour le retour. J’ai choisi le restaurant de l’hôtel. J’en ai profité pour la faire boire un peu. A la fin du repas, on s’est embrassé sur la bouche, assez chastement. Je lui ai dis qu’il fallait que j’aille dans ma chambre pour aller chercher de l’argent en liquide pour le taxi. Elle m’a accompagné. Un fois arrivé, je l’ai embrassé à pleine bouche, elle a hésité mais finalement sa langue s’est mise à danser avec la mienne. Je peloté ses seins, son cul, elle se laissait faire en émettant de petit gémissements. Je l’ai déshabillé en douceur. Je l’ai mise sur le lit. J’ai sucé ses seins, parcourut son ventre, son cou, ses fesses. Je me suis régalé.
- Mais ça a été vite ?
- Oui, elle était en chaleur la garce. Je sentais son odeur de femelle en chaleur avant même de lui avoir ôté son string. Regarde, j’en bande encore. Tiens, branle moi pendant que je te raconte. Tu bandes aussi ?
- Oui.
- Petit pédé ! Allé branle moi si tu veux connaître la suite. Oh ! C’est bon, t’as les mains bien chaudes. Donc j’ai commencé à lui léché la chatte, elle n’en avait pas vraiment besoin tellement elle mouillait.
- Ah bon ? Avec moi, il faut que je lui bouffe je ne sais pas combien de temps avant que ça vienne !
- Bref ! Je lui bouffe bien profondément, je la doigte, lui fourre ma langue dans le cul, jusqu’à ce qu’elle ait un belle orgasme. J’en ai profité pour me déshabiller pendant qu’elle planait et je me suis installé entre ses cuisses. Je l’ai pénétré avant qu’elle reprenne ses esprits. Je l’ai baisé doucement, mais bien en profondeur, pour la maintenir dans l’orgasme. Elle a vraiment une chatte étroite ta femme, je la sentais vraiment bien. A propos de ça, montre-moi ta bite, car je t’ai un peu touché hier mais je ne sais pas comment elle est.
Je sors ma queue bandé et lui montre. Il se lève et j’en fais autant. Il présente son sexe à côté du mien :
- Ah ok ! Je comprends mieux maintenant. Elle n’est pas bien gros ta zigounette.
Effectivement, j’avais bien remarqué que son sexe avait l’air plus gros que le mien, mais je pensais au fameux effet d’optique. Il attrapa sa mallette et en sortie une règle gradué.
- On va mesurer nos bites. Je suis curieux de savoir combien tu fais.
Il me saisie par les couilles et me mesure.
- Treize centimètres en érection, tu es dans la petite moyenne. 3,5 centimètres de diamètre. A moi maintenant, alors ça fait… Pratiquement 18, un peu en dessous, mais on ne va pas chipoter pour 2 ou 3 millimètres et environ… je dirais entre 4,5 et 4,7 de diamètre. Bon ce n’est pas très précis, mais c’était juste pour voir la différence. Je comprends donc mieux pourquoi elle était aussi étroite et pourquoi elle a autant joui et eu autant d’orgasme. Je continu donc… Ou en étais-je ?
- Tu la baisais.
- Oui, et toi, branle moi. Voilà comme ça c’est bien. Je la baisais bien. Je sentais bien sa chatte me serrer la bite. Elle gémissait. J’aime bien les femmes à la jouissance discrète. Comme son orgasme semblait se prolonger sans cesse, je me suis laissé aller et j’ai balancé la purée bien au fond de sa chatte !
- T’avais pas mit de capote ?
- Non, ta femme n’avait pas l’air d’aller se faire baiser à droite et à gauche, donc pas besoin.
- Oui, mais toi ? Tu vas bien tirer dans tous le coin ?
- Je ne vais pas tirer dans tous les coins, j’ai juste trois ou quatre maitresses par-ci, par-là. De toute façon, j’ai fais un test lundi, il est dans mon sac. J’avais prévu le coup. D’ailleurs, ta femme ne s’est même pas posé la question. Elle s’est prit ma bite sans réfléchir, je crois qu’elle avait envie d’un amant depuis pas mal de temps. Après avoir juté en elle, je suis resté dedans en coulissant doucement, le temps qu’elle profite de sa jouissance et qu’elle revienne sur terre. Elle avait un sourire jusqu’aux oreilles. Et elle m’a dit « Merci, c’était vraiment super ! Je croyais avoir déjà eu un orgasme avant, mais maintenant je sais que c’est toi qui m’as fait avoir le premier. » Elle m’a roulé une grosse pelle bien chaude. Elle m’a fait m’allonger sur le lit et elle m’a fait une pipe d’enfer. Si bien que je l’ai baisé encore une fois. En faite, je l’ai baisé quatre fois en tout. Je lui ai fais toute les positions, missionnaire, levrette, debout, elle sur moi, une vrai furie du cul. Elle en voulait toujours plus. C’est moi qui ai fini par lui dire qu’il fallait qu’elle rentre car son mari allait se douté de quelque chose.
- A ce point là ?
- Oui ! Elle m’a même offert une gâterie jusqu’au bout avant de partir. Et je peux te garantir qu’elle n’a pas laissé une goutte tombé. Elle a tout avalé.
- Je sais, elle puait le sperme quand elle est rentré.
- Et ce matin, elle m’a dit qu’on avait passé une bonne soirée mais qu’elle ne voulait plus qu’on se voit. Je l’ai un peu baratiné, elle a un peu résisté, puis elle m’a dit « Ok pour ce soir, mais ce sera la dernière ». Si elle vient ce soir, ce sera que le début. J’ai prévu de lui déflorer sa petite pastille, je sens que je vais bien me régaler avec ta femme.
- Tu n’y arriveras jamais. Je pense que c’est trop tôt pour ce genre de chose.
- Tu ne connais pas Cécile comme moi je la connais. Quand elle est avec moi, c’est une autre femme. En plus, vu ce qui c’est passé entre vous hier soir, tu lui a plus ou moins donné l’autorisation de se faire baiser ailleurs. Tu n’aurais peut être pas dû, mais c’est ton problème, moi je vais bien en profiter. Je suis trop excité rien que d’y penser. Suce-moi que je me détende un peu.
Je me penchais sur le sexe que j’avais toujours en main et le prit entre mes lèvres. Il avait sans doute raison, je n’aurais pas dû lui dire qu’elle pouvait aller voir ailleurs si c’était pour le bien de notre couple. Si c’est David qui en profite, après tout, c’est grâce à lui qu’elle devient plus chaude, mais si elle commence à aller se faire baiser à tous le coin de rue, je serais pris à mon propre piège. Je savais que le jeu était déjà dangereux, trop enthousiaste, j’avais ajouté des risques supplémentaires. Je suçais la belle queue de l’amant de ma femme, mais je n’étais pas très concentré.
- Arrête de penser à ta femme, tu vas te torturer pour rien, pour l’instant elle est a moi. J’essaierais que ça reste comme ça. Je vais rattraper tes conneries.
- Merci, t’es vraiment un ami. Je ne sais pas comment te remercier pour ce que tu fais pour moi.
- Moi je sais. Tu aimerais m’aider à réaliser un de mes fantasmes.
- Oui, naturellement, c’est quoi ce fantasme ?
- Je rêve de pouvoir un jour enculer un mari cocu. Je n’ai jamais sodomisé un mec et j’aimerais essayer.
- Ah oui ! C’est un peu délicat ce que tu me demandes, je ne pensais pas que …
- Tu te dégonfles ? Après tous, tu m’as bien sucé deux fois. Et puis comme ça tu verras ce que ressentira ta femme quand je lui ferais. Je serais doux avec toi, je suis sûr que je peux te faire prendre ton pied.
- Tu crois ? Je ne sais pas, j’hésite.
- Si tu as mal, t’inquiètes pas, tu me le dis et on arrête tout. J’ai du lubrifiant, je vais bien te préparer, tu verras, ça ira tous seul.
- Je te fais confiance. Je suis à toi.
Après m’avoir mit nu, il me fit mettre en levrette sur le lit. Il frotta son gland sur mes couilles et sur mon anus. La sensation était vraiment agréable. Son doigt massait ma rondelle pendant que son autre main caressait mon sexe. De temps en temps, il serrait sa tige entre mes testicules et ma cuisse et se branlait en douceur. Un gel coula entre mes fesses et son index commença à progresser lentement en moi. C’était une sensation étrange et délicieuse à la fois. Alors qu’il m’avait pénétré que de deux phalanges, j’eu le besoin de le sentir plus profond et surtout plus en largeur dans mon fondement. Je me suis reculé pour lui faire comprendre. Il finit de plongé son doigt et un deuxième dilata en douceur ma rondelle. Puis tout est allé très vite. Il a retiré ses doigts. Son gland est venu se plaquer et il l’a poussé en moi. Je me suis ouvert en douceur, il avait raison, je sentais un tiraillement, mais pas vraiment une douleur. Il stoppa un fois le gland passé. Il ajoutait un peu de gel. Et reprit mon dépucelage anal. Il savait y faire. Je commençais vraiment à aimer ça. Me sentant bien, je suis venu à la rencontre de sa queue, finissant dans un mouvement de recule lent la pénétration. Je me fixais, respirant lentement. Je laissais mon fondement s’habituer à cette grosseur. J’étais bien, apaisé, calme et serein. Il reprit du mouvement et me sodomisa cette fois en cadence. Comme tout allait bien, il me baisait le cul de plus en plus vite. Plus il accélérait plus jamais ça. Il me claqua le cul :
- T’es une bonne salope, putain, je ne pensais pas pouvoir t’enculer aussi facilement. T’aime ça petite pute.
- Oh oui ! C’est bon !
- Je veux que tu me dises « encules-moi fort mon chéri » !
- Encules-moi fort mon chéri, baises moi le cul, mon David chéri. Eclates moi le fion.
- T’es une bonne lopette, je vais lui faire la même chose à ta petite femme. Tu crois qu’elle va aimer ?
- Oh oui ! Elle va aimer ! Elle va adorer ta queue dans son cul.
N’en pouvant plus, il éjacula au fond de mon cul. J’eu moi-même une sorte d’orgasme, mais sans éjaculer. Il venait de me procurer la plus belle jouissance de ma vie.
- Ce n’est pas tout, mais moi j’ai une femme à enculer. Après ta douche, si tu veux en prendre une, tu sortiras avec la clé de la chambre. Tu reviendras quand je t’enverrais un sms. Je te préviens que jusqu’à maintenant, tu sais que ta femme s’est faite baiser, mais aujourd’hui, tu vas la voir. Ca risque de te faire un choque de la voir se faire baiser et sodomiser par moi. Si tu penses ne pas le supporter, ne viens pas. C’est d’accord.
- C’est bon. J’ai compris.
Je quittais la chambre et l’hôtel pour me rendre dans un café en face. Après 10 minutes d’attente, Céline franchit la réception. Je n’avais pas cessé de bander depuis que j’étais entré dans la chambre de David, depuis deux heures. J’avais mal à la bite. J’avais aussi l’étrange impression d’avoir comme de la mousse dans le fondement, sans doute la semence de mon amant. Je m’impatientais de recevoir un message. Je le reçu plus d’une demi-heure plus tard. « Fait vite, mais soit le plus silencieux possible ».
Je me précipitais dans l’hôtel. Montant les marches quatre-à-quatre. J’arrivais devant la porte essoufflé. Je repris mon souffle quelques minutes pour être sûr d’être assez discret. Je glissais la clé le plus lentement possible et ouvrait la porte. La lumière était allumée en grand dans la chambre. Je parcourais le petit sasse resté éteins à pas de loup et tombait sur ma femme, nue sur le lit, en levrette. Les fesses vers moi, la tête enfouie dans les draps. Elle ne pouvait me voir. Je restais à l’angle, me faisant le plus discret possible. Sa chatte dégorgeait déjà du sperme de David qui me regardait en souriant. En regardant plus attentivement, je remarquais qu’elle tremblait. Elle devait être encore en pleine jouissance. Il remit son sexe dans son minou et le ressortit pour enduire la raie des fesses du jus de leur amour. Il répéta l’opération plusieurs fois tout en massant le petite orifice vierge du pouce. Il le poussa entre les chaires qui s’écartèrent avec une facilité déconcertante. Il la baisa un peu en gardant le pouce profondément fiché en elle. Il badigeonna de nouveau la zone, cette fois en faisant entrer deux doigts. Il faisait tourner doucement le majeur et l’index dans la cavité, il avait remit sa queue au chaud et la limait en douceur. Après quelques minutes de ce traitement, il sortit sa colonne de chaire ainsi que ses doigts et posa le gland sur l’anneau. Il poussa et les portes inviolées de ma petite femme s’ouvrir sur son passage. Il mit un peu de lubrifiant sur sa tige encore à l’air libre et reprit sa progression. Il se retirait, puis lui remettait. Quant il eut la moitié dedans, il commença un va-et-vient. Allant toujours de plus en plus loin. Elle restait silencieuse, mais son bassin s’animait de plus en plus. Il attrapa la main de Cécile et la posa sur la chatte pour qu’elle se caresse. Je ne l’avais jamais vu faire ça. Elle tritura son bouton rose pendant qu’il continuait de lui travailler l’anus.
Un fois bien au fond, il l’encula plus vigoureusement. Elle gémissait de plaisir, je n’en croyais ni mes yeux, ni mes oreilles. Son cul bougeait et venait comme pour s’empaler encore plus profond. Il accéléra encore et la pilonna jusqu’à ce qu’un orgasme l’emporte. Il choisit se moment pour se retirer et reprendre sa chatte, qui de nouveau, lima à grands coup. Il alternait sans cesse le rythme ou la profondeur. Quand ma femme fut prit d’un autre orgasme, il repointa sa queue dans sa rondelle sombre et pilonna encore. Il changea plusieurs fois allant du vagin à l’anus à chaque nouvel orgasme. Je ne pensais même pas qu’on puisse faire ce genre de chose. J’apprenais bien des choses. Ma bite était sur le point d’exploser quand enfin il décida de marquer son territoire de sa semence. Il jouit abondement dans son anus dilaté. J’entendis me femme émettre un gémissement rauque, j’avais l’impression qu’un autre personne qu’elle faisait ce son. C’était surréaliste.
Ils se sont écroulés sur le lit, David toujours encastré au fond de son cul. Il m’a fait signe de partie. Je les ai laissés à regret et je suis rentré à la maison.
J’ai reçu un message de David vers 1 heure du matin, me disant qu’il l’avait baisé et sodomisé encore deux fois et que maintenant elle dormait. Il allait la garder et s’occuper d’elle toute la nuit. Cécile m’envoya un message une heure plus tard pour me demander si elle pouvait aller en boite avec ses collègues et rentrer que dans la matinée. Elle voulait rester prude dans ses propos, mais nous savions tous les deux ce que cela voulait dire.
Elle est rentrée à 10h le lendemain matin. Elle était peignée et maquillée mais avait de larges cernes sous les yeux. Elle m’embrassa à pleine bouche, me faisant goûter une odeur de sperme frais dans sa bouche.
- Je suis fatiguée mon chéri. Je te ferais une surprise ce soir, mais là je suis nase.
- Ok ! Repose-toi bien mon amour !
Il se déshabilla et se coucha nue. Elle dormait au bout de quelques minutes seulement. Pendant que je la regardais dormir, je reçu un message de mon ami : «C’est devenue une belle salope, elle devait avoir ça dans le sang. Si tu peux, regarde son petit trou, il est tous boursouflé tellement je l’ai prise par-là. Il doit être crémeux aussi car je lui en ai remit une couche après la douche. Pour finir elle m’a pompé la queue devant chez toi. Elle devait encore avoir la bouche pleine de jus quand tu l’as embrassé. Je vous embrasse mes deux petites salopes et à la semaine prochaine.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J ai trop aimé t est vraiment une chienne et ta bien raison
It's not too bad dirait un Anglais ! Et ce n'est pas un compliment tiède, mais au contraire des plus brûlant ! Je ne dirai qu'un mot : bravo !
humm super interressant j'attend la suite.
Superbe histoire. Dommage que le plaisir soit parfois gâté par les fautes d'orthographe et d'accord.
On rêverait de la rendre réelle. Quand je vois ma femme délaisser au fil du temps les joies du sexe j'ai parfois des envies de libertinage qu'elle a toujours repoussées farouchement (après 36 ans de monogamie) et il m'arrive d'imaginer inciter un mec de rencontre à la draguer pour relancer la machine des plaisirs en bénéficiant d'ouvertures.
Si tu écris une suite, je la lirai volontiers.
On rêverait de la rendre réelle. Quand je vois ma femme délaisser au fil du temps les joies du sexe j'ai parfois des envies de libertinage qu'elle a toujours repoussées farouchement (après 36 ans de monogamie) et il m'arrive d'imaginer inciter un mec de rencontre à la draguer pour relancer la machine des plaisirs en bénéficiant d'ouvertures.
Si tu écris une suite, je la lirai volontiers.
Je suis un homme marie et je suis sur que cela ferais du bien a ma femme et a notre couple . Je me suis branle deux fois en lisant cette histoire.
tres bon
drôle de type: il t'encule avant d'en faire autant à ta femme. J'ai mouillé un peu, sans plus, je ne me suis même pas touchée
Interressant, mais j'espère qu'il y a une suite.