Amant venu d'ailleurs #1 - Fusion - histoire érotique

***** Attention, cette histoire peut être dérangeante et heurter la sensibilité des plus soft d'entre vous.
Contient du parasitage, de l'alien, du contrôle d'esprit et des scènes de sexe interne (ex: dans l'urètre)*****


* Victor venait tout juste de passer le cap des 18 ans, jeune homme plutôt confient, il se savait gay depuis un sacré moment déjà et n'était plus vierge depuis un bail peu importe le coté. Il était en train de profiter de la mer calme, posé dans le sable d'une plage près de la petite villa de vacances de ses parents dans laquelle il était venu avec son frère pour les quelques mois à venir.
Il avait un physique plutôt avantageux... carrément bandant même. Il mesurait 1 mètre 75, des cheveux blonds accentuant largement son charme du à sa peau assez basanée. Il avait de beaux grands yeux bleus sombre et une gueule à faire frémir tant filles que garçons.
Il était en short de bain à profiter de la fraîcheur de la nuit, son torse finement musclé tout comme ses bras et ses jambes.
Il était totalement imberbe. dans son short trônait sa fierté, un sexe qui faisait jalouser tout ses potes et tout les mecs en général, prenant actuellement la forme d'un magnifique 14 cm au repos assez massif. Et en plus de cette face avant des mieux gâtée, l'arrière, son cul, était à damner un saint, un cul ferme et légèrement bombé qui resterait à jamais dans les souvenirs des mecs l'ayant déjà pris.*
* Ses parents étaient certes riches, mais laissaient leur fils être libre, car travaillant énormément. Du coups, ils ont vite accepté ces vacances entre Victor et Ethan, son frère aîné de 21 ans, tout aussi à tomber que lui. La maison de vacance était située en Californie,tout prêt de la plage et de la brise marine. Un vrai paradis. Cela ne faisait qu'une semaine qu'ils étaient arrivés, mais ils avaient déjà pas mal profité ! *



/ Daxson, tel est mon nom. Je suis d'une planète qui n'existe plus aujourd'hui. Une guerre incroyable faisait rage entre notre peuple et celui de la planète voisine... Nous avons perdu... Notre planète à explosée. Pour survivre, j'ai dut quitter mon apparence humaine pour retrouver mon apparence de larve. Je me suis réfugié dans une roche solide juste avant l'explosion. Je suis devenu un cœur de météorite.

Je suis dans cette roche depuis un bon moment. Impossible de savoir combien exactement, n'ayant aucun repère de temps dans l'espace.
Je dérive, aucune direction précise. Notre race se nourrit de la semence des autres espèces. N'ayant rien mangé depuis longtemps, mon corps de larve s'est solidifié et tant que je ne serai pas en contact avec une créature habitable, je resterai cette pierre bourgogne, sèche et fade.

Je sentis alors une perturbation. Du feu, des tremblements, un bruit a rendre sourd. Si j'avais un corps, je sauterais de joie.
Cette perturbation était causée par mon entrée dans l'atmosphère d'une planète. Je jubile.

Je m’écrasai au sol. Ma météorite se brisa alors et je regarda doucement autour de moi. J'étais visiblement sur une plage. Je ne bougea pas, attendant qu'un animal habitable quelconque me touche, moi, la petite roche bourgogne qui traînait au sol, pour reprendre des forces et enfin retrouver mon apparence adulte. /



* Victor contemplait le soleil dégagé, calmement, son sac à dos posé à coté de lui d'où il sortait de temps en temps une clope et un briquet pour l'allumer, fumant ainsi au calme sur la plage dans cette tiédeur nocturne... jusqu'au moment ou il aperçu un petit point rouge dans le ciel, ce point grossis et se révéla être un débris de roche spatial qui finit par s'écraser à quelques dizaines de mètres de lui dans le sable, créant un tout petit cratère comme la chose n'était pas massive. Miles bondit sur ses jambes, attrapa son sac et se rua vers le petit trou, y trouvant quelques débris de roche de quoi reconstituer un gros ballon de foot avant de tomber sur le cœur de ce météore. Il se pencha et le ramassa avant de le jeter vers l'eau dans un léger couinement de douleur
- 'tain c'est chaud bordel !!!!

Une fois la roche refroidie par le vas et viens de l'eau, il la toucha en douceur pour ne pas se bruler et finit par la prendre en main, tout fier de sa découverte
- Un caillou de l'espace, trop stylé comme souvenir !

Il sourit et place le caillou dans son sac qu'il referme, retournant vers chez lui une clope au bec, finissant par rentrer dans la villa parentale, un loft bénéficiant de tout le confort actuellement accessible, sol en moquette, divans modulables, une cuisine suréquipée, salle de bain avec jacuzzi, plusieurs chambres avec des lits king size, tv, bureau etc. Il entre dans sa chambre sans faire trop de bruit car son frère dormait et se pose sur son lit, ouvrant son sac doucement.*



/ je n'eut pas à attendre bien longtemps. Je vis une créature approcher. La créature en question ressemblait physiquement beaucoup aux habitants de ma planète... ils étaient même identique ! Ça sera plus facile d'occuper le corps de mon hôte, puisque je connais déjà comment fonctionne le corps humain. Évidement, puisque venait de l'espace, mon corps était très chaud, voir brûlant. Une fois refroidit, la créature mit le cœur du météore dans son sac. C'est justement dans ce fameux sac que je me métamorphosa.

Je ressentait la présence de mon futur hôte près de moi, pendant que celui-ci retournait chez lui. Je réussis à ramollir, retrouvant mon apparence de larve. Dans cet état, je ressemblais à une sorte de gelée, mais ferme, un peu la texture d'une limace. Cette larve, étant désormais active, n'était plus bourgogne, mais rouge flamboyant, et parfois, des lignes ou des points orangés apparaissait ou se mouvaient à ma surface.

Je me mourrai d'impatience, et je pris, pour aider ma cause, la forme d'un pénis, pour avoir l'air plus invitant pour mon hôte. Je ressemblais désormais à un godemichet rouge flamboyant. J'étais fébrile et impatient dans le sac de l'humain. J'étais un godemichet, exactement de 20 cm par 4 de diamètre, mais gardait ma texture de larve, mais un peu plus rigide.




* Il s'installe sur son lit confortablement et ouvre donc son sac et fut surpris d'y voir ce gode. Sans réfléchir, il l'attrape, sentant cette délicieuse gelée rouge sous ses doigts et le sort de son sac, les yeux grands ouverts d'étonnement. le gode se recouvrit d'une substance gluante qui sert, oui de lubrifiant, mais aussi d'aphrodisiaque ultra puissant. Dès que cette substance toucha les mains du jeune homme, une décharge incroyable d'hormone pénétra direct sa peau venant mettre l'humain dans un état de pulsions sexuelle et d'excitation inimaginable. Daxson avait tellement hâte, il mourrai d'envie... et de faim !

Son corps se tendit violemment sous la décharge hormonale si puissante que son corps ne pouvait l'interpréter directement. Son cerveau fut surchargé et sa conscience se mit en veille. Il fit voler son short, dévoilant un sublime et surtout énorme 27 cm pour 8 cm de large, à la fois long mais surtout très très massif. Il haletait, le regard voilé et absent alors qu'il s'allonge sur son lit, sa main refusant de lâcher le gode si spécial.
Son sexe relâchait en permanence du presperme en abondance à cause de la dose d'hormones. Il vint frotter cette bite flasque et humide à sa bite, lui offrant sans le savoir un délicieux apéritif à base de son precum en abondance. Il frotte longuement cette bite à la sienne avant de la frotter sur ses abdos, puis son torse et enfin de la prendre en bouche. Doucement sa langue s'enroule autour de cet être, son muscle buccal secoue et déforme la gelée avidement avant de lui faire visiter sa gorge jusqu'au fond, tenant l'extrémité du gode de deux doigts à l'entrée de sa bouche alors que chaque déglutition secouait ce parasite auquel il offrait une magique fellation



/ Je ne m'attendais pas du tout à recevoir autant de cadeaux... mais ça ne me déplut pas, bien au contraire ! Il me colla violemment contre sa bite et s'est avec délectation que je bus tout le présperme possible... c'était bon, tellement bon. Si j'avais eut mon corps, j'aurais frissonné. J'aurais aussi lécher son membre jusqu'à ce que cet humain n'aille plus rien dans les couilles, mais ça, je ne pouvais pas le faire. J'aimais beaucoup le corps de cet étalon. Il était à se damner et me frotter contre lui était une expérience très agréable. Être contre ses abdos brûlants étant le meilleur.

Je ne m'y attendais pas, mais ce jeune humain m'offrit une fellation. D'ailleurs, à ce moment là, le gode durcit, prenant un peu plus la dureté d'un vrai pénis. Je ne grossis pas par contre, mais on pouvait ressentir des frissons à ma surface. Je devais admettre que je l'aimais bien, mon futur hôte ! /



* Victor n'eut cure du durcissement de cette bite que tout son corps hurlait d'envie. Il continua sa longue fellation guidée par son cerveau devenu simplement primaire jusqu'à le sentir presque convulser avant de le retirer lentement et d'y frotter son visage à l'air inexpressif et absent, son souffle était très court, son corps en sueur émettant une odeur de jeune mâle renforçant encore cette ambiance érotique. Une chose est sûre : cet être aimait le sexe, vu la dose d'hormones, n'importe qui se le serait enfoncé directement mais pour Miles c'était profondément encré dans son cerveau que l'érotisme c'était pas juste une bite dans le cul. Il continue d'y frotter son visage encore et encore, donnant de rudes coups de langues, ce n'était qu'un animal qu'on aurait dressé pour procurer du plaisir. Il retourne ensuite placer cette bite contre la sienne qui pissait littéralement du présperme, son torse en étant déjà partiellement recouvert et il nourrissait sans y penser cet être. Il plaça les 2 mains autour de sa bite et de cet être en forme de queue, les pressant fort l'un à l'autre, fort, si fort, comme si il voulait que cette chose gélatineuse recouvre sa bite, l'absorbe, s'en nourrisse, alors qu'il commence un rude va et viens des deux mains, frottant le parasite avec beaucoup de force et de vitesse à sa grosse queue hors norme d'humain. Son souffle se fait encore plus court, désinhibé, il ne retient aucun de ses gémissements de plaisir, il en vient même très vite à couiner alors qu'il gave littéralement le parasite de rasades de précum sans fin comme si il l'urinait
- Hannn Hnnnn Hmmmmm Nhhuuuu Nhhhhh NHHHHHH Haannn Hmmm
Ethan était environ dans le même état. En allant à la salle de bain, il entendit du bruit provenant de la chambre de son petit frère. La porte était entrouverte et il vit son petit frère prendre un plaisir monstre avec un gode. Il ne pouvait détacher ses yeux de la scène. À peine une minute plus tard, il était à genou, les pantalons baissé et ce masturbait comme un déchaîné en regardant la scène par l'ouverture de la porte, le souffle haletant et le visage rouge. Ils étaient désormais trois à prendre un pied d'enfer et à gémir de plaisir, même si Victor ne pouvait se rendre compte de la présence d'un voyeur.

Victor couine sans arrêt, l'orgasme arrivant et être en contact avec ce parasite qui relâchait tant d'hormones en lui.... jouir était devenu un impératif, une question de vie ou de mort. Son corps bougeant tout seul, vidé de toute conscience. Il aurait même vu son frère qu'il n'aurait pas pu réagir, qu'il ne l'aurait même pas calculer dans cet état. Il finit par se cambrer si fort que son dos manqua de se briser en deux alors qu'il hurlait de toute ses forces son plaisir. Et cela ne dura pas qu'un seul instant puisque le petit jet calme et continu de présperme devint un jet puissant de sperme bien dense et épais. Le sperme sortit de lui avec tant de force que le jet s'écrasa au plafond et le tapissa avant de retomber en une pluie de sperme chaud sur tout le corps et le lit de Vic. Le spectacle surnaturel baigné dans les cris et le corps cambré du jeune homme dura près de 2 minutes entières! A la fin, Victor retomba à peine conscient sur son lit, tout son plafond et ses draps ainsi que son corps étaient couverts d'une épaisse couche de sperme.

Cependant son corps lutta pour le faire se lever, sans jamais lâcher le parasite qu'il tenait fermement et son corps bougea tout seul, contre son gré, pour écraser le parasite au plafond et lui faire bouffer tout le sperme jusqu'à ce qu'il n'en reste plus une goutte, puis il se le frotta avec force sur son corps, la bouche remplie de son propre jus dans lequel il plaça le parasite avant d'essuyer les draps avec, lui faisant ingurgiter plus de sperme que si 10 étalons s'étaient vidés avant de s'écrouler sur son lit, le corps brisé, pouvant à peine bouger. N'ayant a aucun moment remarqué son frère ou même pensé à lui. Il ouvre les jambes et guide le sexe vers son intimité, lui faisant forcer l'entrée, ouvrir son anus hyyyyper serré et l'y faire entrer avec force, n'ayant même plus assez de force que pour gémir... une chose était sur, le lendemain il aurait des courbatures infernales. Mais voila, il avait rempli son devoir, le parasite était bien plus que rassasié et en lui totalement. Une chose était sure, le parasite était tombé sur une perle rare capable d'être en parfaite symbiose avec lui au vu de ses désirs et surtout de la quantité de sperme qu'il vient de jouir alors que le parasite est encore si faible. Une fois son devoir accomplis, Miles s'écroula de fatigue, nu, deux doigts dans le cul, les jambes bien ouvertes.*



/ J'étais dur, très dur. Je me délectais de voir l'état dans lequel j'avais mit mon hôte. J'aurais probablement éjaculé à mon tour en voyant un spectacle aussi chaud, sexy et excitant. Cette éjaculation était incroyable, il y en avait absolument partout sur le plafond, sur mon humain et sur le lit. Je força mon hôte à me faire boire tout le sperme de la chambre, sans exception. Je but sans arrêt et une seule chose me vient à l'esprit... dieu qu'il goûtait bon ! J'ai eut plusieurs hôtes au court de ma vie, mais jamais je ne me douterait que celui de cet humain était aussi bon. Je me régalais. Le meilleur sperme de l'univers, je l'avais trouvé. Je ne savait pas si tous les humains de son espèce avaient le même goût aussi bon, mais j'adorais mon hôte !

Une fois que tout a été but, j'entra dans son intimité... Là aussi, j'adorais... il était si chaud et si serré. Je revins à l'état de larve et vint prendre place en lui, me positionnant pour pas qu'il ne sente ma présence, avant de m'endormir, reput, mais parfaitement heureux. /