Amitié charnelle

- Par l'auteur HDS No-vice -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Amitié charnelle Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2025 dans la catégorie Pour la première fois
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Amitié charnelle
Été 88 ..une amitié charnelle

La chaleur de la journée me collait encore à la peau. J’avais les jambes lourdes, les muscles tendus d’avoir passé des heures sur mon skate, mais c’était une fatigue agréable. On avait traîné en ville toute la journée, Yves et moi, roulant sous le soleil, riant, transpirant. Comme nous en avions l’ habitude parfois, j’étais resté dormir chez lui.
Yves était mon meilleur ami.. Depuis le début de nos années collège.Nous étions intéressé par les filles ,nos hormones en ébullition et toujours vierge tout les deux.
La chambre d’Yves était devenue presque familière — son odeur, son désordre, ces disques vinyle qui grattait doucement en fond sonore . Apres le repas familiale et une bonne douche ,j’étais là, torse nu, allongé sur son lit, et lui sur le tapis, la tête contre le matelas. On parlait de tout, de rien. De ce groupe canadien qu’on avait découvert, de sa cousine qui devait venir vivre chez lui, et des filles qu’on trouvait belles , jolies, désirables— du moins, ce qu’on osait s’avouer.

J’évitais soigneusement de lui parler de ma mère, de cette excitation que je gérais a peine depuis plusieurs mois maintenant.
Je l’avais vue, une fois, par accident en train de se donner du plaisir . C était tellement beau, si torride, si tabou... Elle ne m’avait pas vu.
Ayant pris l habitude de venir espionner des que l occasion se présentait .J avais découvert que ses petites manies solitaires était assez fréquente . Et maintenant, dès que je posais les yeux sur elle, mon esprit me ramenait a ca. À sa poitrine tendu et dur avec ses tetons sombre, à ses hanches que je voyais onduler, a son visage du plaisir. J’en avais honte, et pourtant… c’était plus fort que moi. Je continuais à me donner du plaisir en l admirant secrètement.

Yves sortit un vieux magazine érotique, un de ceux qu’on feuillette en riant, mais qui fait monter des tensions qu’on n’avoue pas. Il tourna une page vers moi. Une jolie petite brune toute fraiche, offerte . Je ris, un peu nerveusement.

Il me regarda avec ce sourire malicieux que je connaissais trop bien.

— Celle-là, elle t’excite, hein ?

Sa voix était plus basse. Comme un frisson. Il me taquinait, mais je sentais dans son regard quelque chose d’autre. Une attente. Un espace ouvert. Je sentais la sueur dans mon dos, le tissu de mon boxer devenu trop serré.
Je ne répondis pas. Et je savais que j’aurais dû. Dire un truc, n’importe quoi. Mais je ne pouvais pas.

Nos genoux s’effleuraient. Mon cœur battait plus vite. J’avais oublié à quel point le silence pouvait être bruyant.
Puis il baissa les yeux.
Il vit.
Il releva la tête, lentement. Ses yeux croisèrent les miens. Il sourit — pas moqueur. Plutôt… curieux. Presque admiratif.

— Eh ben mec… houa.. quel morceau…

Je restai figé. Une vague de chaleur me monta au visage, mais je ne bougeai pas. Il ne s’était pas éloigné. Au contraire. Il resta là, si près que je pouvais entendre son souffle ralentir.
J avais déjà en peu conscience que mon sexe était de bonne taille.
était un peu gêné, a cette âge, on veut être normale..
Il y avait les regards et certaines remarques railleuse des "grands" dans le vestiaire du club d’aviron. Je sentais la place qu’elle occupait dans mon boxer dés le début de mon excitation. Le regards de quelques femmes de mon entourage aussi.

"Moi je suis comme ca" me dit Yves en se découvrant.
Son sexe était comme une petite banane fine et rose, presque imberbe , je le trouvai beau.
Allongé à côté de lui, je sentais chaque mouvement de son corps. La respiration de plus en plus rapide, les frissons involontaires à chaque contact. J’ai tourné la tête. Nos visages n’étaient qu’à quelques centimètres. Et dans ses yeux, il n’y avait plus ni gêne, ni peur. Juste ce besoin pur, brut, immédiat.

Je l’ai embrassé. Doucement d’abord, à peine un effleurement. Ses lèvres étaient chaudes, hésitantes. Puis plus pressantes. Il a répondu avec une intensité qui m’a traversé tout entier. Nos corps se sont cherché, explorés à tâtons, maladroits et avides. La sueur collait nos peaux, nos respirations se mêlaient, nos souffles devenaient soupirs.

Je découvrais son corps comme un territoire inconnu, tendre et vibrant. Sa peau avait le goût du sel, de l’attente, de l’interdit effleuré. Je sentait la peau douce de ses fesses frémir sous mes doigts, et chaque soupir qu’il laissait échapper allumait en moi un désir plus profond, plus vrai.
Nous étions enlacés, en train de bander fort l’un contre l’autre et bougeant nos hanches de façon coordonnée
J ai pris son sexe en main, bien moins épais et long que le mien et j ai commencé a le masturber comme je le faisait pour moi. Je voyais son plaisir à travers ses yeux
Il m a très vite imité , il me palpait la queue a deux mains , me décalottant avec douceur .nous avions joui assez vite.. et assez vite l envie est revenu..
Nous nous sommes allongé face à face sur son lit, le corps décalé. nous nous branlions mutuellement .Puis de caresses en frottements sensuel, tête bèche, nos bouches sont venu à contact de nos membres, de façon presque synchronisé. Nous nous sommes offert nos premières fellations, nos premiers 69..
Je me rappelle de la chaleur douce de sa bouche autour de mon gland, sa langue qui semblait être vivante.. Je me suis attelé à lui rendre cette douce caresse, contrairement a lui ,j ai put le prendre totalement en bouche , je l ai tété avec passion..
Cette nuit-là, nous avons tout partagé. Le feu et la douceur. La peur et la joie. Il n’y avait plus d’amis, plus de règles, juste deux corps qui se retrouvaient là où tout faisait sens.
Et au petit matin, quand la lumière pâle a glissé entre les volets, Yves s’est tourné vers moi, un demi-sourire au coin des lèvres. Il n’a rien dit. Mais son regard m’a suffi. J avais confiance en lui.
Nous étions lier par ce secret dorénavant .

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Jolie histoire d'une première fois. Elle sera vite oubliée, voire enterrée, dès que ces jeunes hommes auront goûté à une femme. Néanmoins l'expérience méritait d'être vécue.
Philus



Texte coquin : Amitié charnelle
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