Amour à la poste - histoire érotique

Je commence à m’ennuyer, toute seule dans cette campagne où j’ai été mutée. Je sais que cette agence doit fermer bientôt. Ainsi va la poste. Les clients sont comme tous les clients de ce genre d’agences, aimables au premier abord et ensuite ennuyeux. En plus il y a peu de monde, à tel point que j’ai toujours un livre à portée de la main. Aujourd’hui ce que je lis est du genre à lire de la main gauche. Une vague trame sert de décor à des étreintes de toutes sortes. Evidemment n’étant pas de bois je suis excitée. A un moment du roman, une des héroïne est aux prises avec une autre femme de son âge. Elles ne se gênent pas pour se masturber et faire des 69 comme j’aime. Je suis seule au bureau, derrière mon guichet, aucun client en vue. Je me lève juste le temps d’enlever mon slip. Je lève le plus possible ma jupe et directement je me caresse. Je suis sur la point de jouir quand arrive une fille de mon âge. Je la connais de vue, comme toutes les clientes.
Je n’ai pas le temps de m’arrêter dans mon plaisir. Elle voit bien ce que je fais. Je ne sais pourquoi, je continue à gratter mon bouton en la regardant: il me semble qu’elle est ma partenaire. Patiente ou intéressée, je ne sais, elle me regarde faire. Comme elle ne manifeste pas d’impatience, je continue. Tant pis pour les suites contre moi.
Elle semble partir, alors qu’elle va fermer la porte d’entrée pour venir à nouveau au guichet. Je la vois se pencher pour mieux me regarder. Je n’hésite pas à reculer mon siège pour qu’elle puisse me voir en entier. J’en suis étonnée, étant pudique comme ce n’est pas permis. Je relève ma jupe: elle peut voir tout mon sexe et surtout ma main qui continue sa caresse.
Il fait avouer que j’aime particulièrement me branler au moins deux fois par jour. Aujourd’hui est spécial, je sais que je jouirai plus que les autres fois à cause de ce foutu livre.
Donc la visiteuse/cliente est drôlement intéressée, comme je le suis à tout lui montrer. Elle ne cherche pas longtemps pour trouver l’entrée menant à mon coté. Quand elle vient prés de moi, elle commence par m’embrasser: sa bouche sur la mienne m’excite encore un peu plus, surtout pour un premier baiser avec une fille. Elle se met derrière moi, passe ses mains sur mes seins, les caresse lentement avant de plonger sa bras dans mon corsage pour prendre directement ma poitrine dans ses mains par-dessous mon soutien gorge. Elle me pelote de telle manière qu’elle me fait plus de bien qu’avec les mains d’un homme. Je ne dois pas être sa première femme à passer sous ses mains. Je ferme les yeux, d’une part à cause de mon excitation livresque et d’autre par ses mains sur moi.
Je suis sur le point de jouir quand elle arrive à me faire retirer mes doigts de mon bouton pour les remplacer par les siens. Je sens un différence entre ses doigts et le miens: c’est tout simplement le changement des mains qui font ça. Et puis, être caresser par une fille ajoute à mon plaisir.
Je pousse un cri de jouissance, alors que normalement je suis muette, même quand je me fais baiser par un garçon, même quand il me la met au cul, chose que j’adore.
Elle se met devant moi, lève sa robe pour me montrer qu’elle aussi ne porta pas de culotte. Je vois son bas ventre rasé et le début de sa fente. C’est le premier sexe féminin que je vois ainsi d’aussi près. Elle prend ma main:
- Caresse moi aussi, comme tu as fait pour toi.
- Je n’oserai pas.
- Si ose me donner du plaisir: je vient de te faire jouir, alors rends moi ce que je t’ai donné.
Elle me force à la branler. Je ne sais pas ce que ça va donner en tout cas je vais essayer, même si elle est mal placée devant moi.
- Tournes toi que je puisse de faire du bien.
- Si tu ma fais jouir, je te ferai encore jouir, comme tu ne l’a jamais sentit.
Je ne sais trop ce qu’elle compte me faire ensuite. En tout cas, elle se tourne, relève sa robe et m’offre sa chatte. Je me trouve avec ses fesses presque contre mon visage. Elles me plaisent beaucoup.
Elle écarte ses jambes pour que je puisse arriver à son bouton. En passant par devant elle j’arrive assez facilement à toucher son bas ventre tout doux et le début de ses lèves. Je les écarte un peu (je fais comme pour moi). Et je cherche à peine son clitoris. Quand je le trouve je le caresse comme si c’était un objet de valeur, ce qu’il est vrai dans un sens. Je commence à peine, quand je la sens se raidir pour ne pas tomber: elle jouit.
Nous nous levons. Je la laisse faire quand elle me déshabille en m’embrassant partout. Ma pudeur n’est qu’un lointain souvenir. Je la laisse m’embraser les tétons comme il ne l’ont jamais étés. Ses mains sur mes fesses sont douces et quand elle passe des doigts entre elles je les supporte en ayant envie qu’elle descende plus bas. Là où justement elle les mène. Elle caresse mon anus.
- Tu aime te faire mettre par là ?
- Bien sur que j’aime, j’aime par tous les trous.
- Je ne pourrai pas entrer à fond partout, mais tu en jouira quand même.
Elle commence par entrer deux doigts dans mon cul. Je les sens coulisser dans mon anus: elle aurai des doigts bien plus longs se serait meilleur. Je suis totalement détendue et je me réjouis d’avoir quelque chose dans mon derrière. Ses lèvres sont encore sur les miennes. Je rends ses baisers avec ma langue dans sa bouche. Elle passe une main entre nous deux. Cette fois elle me caresse mon bas ventre poilu pour venir enfin sur mon clitoris. Elle se penche tout en gardant ses doigts dans mon cul pour sortir sa langue et caresser mon bouton. Sa langue fait merveille. Elle sait réellement donner un plaisir inoubliable: je la laisse me faire ce qu’elle veut: elle sait s’occuper des orgasmes d’une femme.
Depuis qu’elle a commencé elle m’a faite jouir plusieurs fois à chaque fois avec une petit plus.
Elle me demande de la déshabiller. Je le fait assez maladroitement en faisant comme elle en l’embrassant sur les seins, le nombril et le bas ventre.
- Suce moi la chatte.
- Je n’oserai jamais.
- Pourquoi, tu as peur, comme j’ai eu peur la première fois.
- Sans doute et en plus passer ma bouche sur ton sexe tout mouillé.
- Quand tu te branle tu suce bien tes doigts après ?
- Ce n’est pas pareil, c’est ma mouille.
- Et alors, ça a le même goût et la même douceur.
Je ne peux plus refuser. Elle écarte un peu ses jambes pour me donner sa moule: je commence comme elle a fait: je passe juste le bout de ma langue sur son bouton. L’effet n’est pas désagréable pour moi, en tout cas. Pour elle ce n’est pas l’idéal.
- Vas-y, n’est pas peur, je ne suis pas en sucre, fais moi jouir.
Elle n’est pas en sucre, je peux l’affirmer: sa cyprine finalement à le même goût que la mienne, alors je la lèche avec toute ma langue bien étalée. Je résultat est là: je la sens jouir. J’ai de quoi avaler sa cyprine
Elle me demande de m’allonger pour aller plus loin. Son plus loin est qu’elle me fait écarter les cuisses, y passe sa tête lentement pour que sa langue puisse venir dans ma chatte. Elle ne me baise pas à vrai dire, elle me donne l’impressions qu’une bite réelle est en moi. Elle fait aller et venir, tourne dans mon vagin sa langue. Je ne peux dire ce qu’elle me fait en tout cas c’est délicieusement excitant. Je ne peux retenir le cri de jouissance. Si elle me demande la même chose, je serai bien incapable de le faire. Elle sort de mon con pour aller me mettre sa langue dans le cul. J’ignorais qu’on pouvait avoir du plaisir avec une langue à cet endroit. Je ne sais toujours pas comment elle fait. Finalement j’en prends :mon parti: je jouis de tout ce qu’elle fait.
Quand elle est totalement tournée; elle me donne son entrejambe: c’est à moi à la sucer. Je commence quand elle se met sur moi pour me sucer aussi. Nous faisons un 69 mémorable pour moi: c’est mon premier entre filles. Il est mémorable pour une autre chose toute simple: elle me fait jouir comme jamais avec elle qui me suce et moi, qui tente de le lui faire de bien également.
Je prend une initiative que je ne sais si elle l’acceptera: je lui entre la moitié d’un doigt dans son cul. Sa réponse n’est pas négative: elle m’encule avec trois doigts en m’élargissant l’anus. Elle me fait crier de douleur au début et quand je suis habituée à la grosseur je commence à gémir de plaisir.
Nous passons pratiquement la nuit à nous aimer. Je ne crois pas rencontrer une autre fille comme elle, alors nous en profitons largement.