Amusement pédestre
Récit érotique écrit par Petitlutin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Amusement pédestre
J'ai toujours eu une étrange fascination pour les pieds de ma copine, je ne suis pourtant pas fétichiste, je les trouve simplement très beaux. Virginie possède des pieds fins, gracieux, bien dessinés, de pointure 37, ses orteils sont longilignes et ses ongles sont toujours propres et impeccables. Virginie les aime également, elle en prend grand soin car ses petits petons sont souvent malmenés pendant ses cours de danse. Elle sait que je les adore, comme toutes les parties de son corps d'ailleurs, et je ne manque pas de lui rappeler régulièrement lorsqu'elle se balade pieds nus à la maison ou lorsque nous sommes devant la télé et qu'elle les pose sur mes cuisses. Souvent je les caresse et je les masse, elle adore ça, ça l'émoustille et ça entraîne souvent des corps à corps endiablés.
Un soir, en rentrant du boulot, le calme règne dans la maison. Je trouve cela bizarre car généralement à cette heure-là, soit la télé est allumée, soit il y a de la musique, soit Virginie s'active dans la cuisine pour préparer le repas. Je m'interroge en me disant qu'elle est sans doute à l'étage.
- Ma chérie, tu es là ?
Je l'entends faiblement me répondre.
- Oui, je suis dans la chambre.
Je pose mes affaires, j'enlève mon blouson, je retire mes pompes et j'emprunte l'escalier pour aller lui faire un petit bisou.
J'entre dans la chambre, Virginie est assise nue sur le lit, une serviette enroulée autour de sa tête, en train de consulter son téléphone portable.
Je l'embrasse tendrement.
- Ca va, tu as passé une bonne journée ?
- Oui et toi ?
- Ouais ça a été. Qu'est ce que tu fais de beau ?
- Rien de spécial, je regarde Facebook.
- Et alors, les nouvelles sont bonnes ?
- Rien de bien intéressant. Tu as vu, je me suis fait les ongles, dit-elle en me montrant ses pieds.
- Oui, j'ai vu ça, montre-moi ça de plus près.
Elle me tend alors sa jambe droite et j'examine son joli pied de métisse.
- C'est très joli ma chérie, j'adore quand tu fais des French pédicures, je trouve ça trop sexy.
- Je sais, c'est pour ça que je l'ai fait.
- Hum, j'ai envie de le croquer.
Je porte son pied à ma bouche et je fais semblant de mordre dedans.
- Ha non, pas ça, je préfère que tu leurs fasses des bisous.
- Je plaisante.
Debout près du lit, je commence alors à faire des bisous sur sa plante de pied et son talon tout en caressant sa cheville et son mollet. J'embrasse chacun de ses orteils avant d'introduire son pouce dans ma bouche pour le sucer délicatement. J'inflige ensuite le même traitement à son autre pied. Je bisoute, je caresse, je lèche, je suce, Virginie semble apprécier puisqu'elle ronronne gentiment et je sens qu'une certaine excitation la gagne. De son autre pied, elle caresse mon torse, puis elle le descend jusqu'à mon entrejambe. Elle frotte mon sexe qui commence à durcir par dessus mon pantalon, elle me regarde pleine de concupiscence.
- Tu ne voudrais pas te déshabiller, histoire qu'on s'amuse un peu ?
- Hum, comment pourrais-je résister à une telle invitation.
Je me dénude entièrement en admirant ma princesse qui a retiré sa serviette. Mon désir augmente, je suis en totale érection, prêt à folâtrer. Voyant mon sexe érigé, Virginie pose immédiatement ses pieds dessus, avec une dextérité déconcertante, elle caresse ma tige sur toute sa longueur et flatte mes bourses en même temps. C'est très agréable et ça me transcende. Toujours debout devant elle, je reprends ses pieds, je les joins et je les embrasse à nouveau, je suce ses orteils avec plus de fougue.
Je place ensuite ses petons humectés autour de ma tige pour m'en servir de masturbateur. Je vibre en faisant coulisser mon sexe entre ses voûtes plantaires pendant que ma chipie se tripote le clito. Nous nous amusons ainsi quelques instants, ce petit jeu lui plaît, je n'ai même plus besoin de lui tenir les pieds, c'est elle qui me branle habilement entre ses orteils en me souriant.
- C'est sympa comme ça hein?
- Oui, c'est très agréable, ça change, mais je préfère quand même avec ta bouche.
- S'il n'y a que ça pour te faire plaisir.
Elle a compris le message. Elle s'assoit sur le bord du lit, empoigne la base de ma queue et elle la met dans sa bouche machinalement.
- Hou oui, c'est bon ma belle, continue.
Je caresse sa crinière noire pendant qu'elle me suce rapidement, m'avalant un peu plus à chaque succion. Je palpe en même temps ses gros seins en poire, je joue avec ses tétons, je les roule entre mes doigts, je les pince et ça la stimule encore plus. Virginie crache sur mon membre et me pompe énergiquement pour me faire râler de plaisir, elle me rend fou.
- Oh purée ma chérie, je ne tiens plus, j'ai trop envie de toi.
- Moi aussi mon amour.
Je la bascule sur le dos et tout en m'agenouillant au pied du lit, je soulève ses jambes, je les écarte et les maintiens par le creux des genoux. J'ai une vue magnifique sur sa chatte trempée que je ne peux m'empêcher de goûter. Je la lèche quelques instants, ses petits gémissements m'enivrent et je ne pense plus qu'à une chose, la faire jouir.
Je grimpe sur le lit et je m'installe à genoux entre ses cuisses. Virginie, qui entre temps s'est allongée confortablement dans l'axe du lit, la tête sur l'oreiller, caresse sa fente comme s'il était nécessaire de me chauffer encore plus. Elle est aussi impatiente que moi dans ces moments-là. Je ne la fais pas attendre plus longtemps, je tapote ma bite 2-3 fois sur ses lèvres et je m'enfonce lentement en elle. Je la besogne en douceur, puis de plus en plus vite. Je soulève à nouveau sa jambe pour accéder à son pied, je le bisoute encore, je le lèche, le suce avec délice en continuant de la limer. Cramponnée à la tête du lit, ma cavalière couine de plus en plus, ses vocalises se mêlent au son des clapotis de nos sexes, ses gros seins gigotent au rythme de mes coups de reins.
Je me penche sur elle, je mange ses seins, l'embrasse à nouveau et lui redonne ma queue qu'elle suce à nouveau comme une furie. Je grogne de plaisir, ça me rend dingue. Je la retourne comme une crêpe et la mets à quatre pattes. Je donne quelques coups de langue sur sa vulve et je la reprends en levrette. Je la baise sauvagement en lui claquant les fesses, Virginie pousse des cris de plus en plus bruyants.
- OH, OH, OUI, OUI, BAISE MA CHATTE.
- Tiens, prend ça, tiensPendant que je la pillonne inlassablement, je contemple son petit trou qui me fait de l'œil. Je le caresse avec mon pouce avant de l'introniser à l'intérieur. Elle jubile immédiatement.
- Hummmmm oui, occupe-toi de mon cul bébé.
- C'est ce que je comptais faire, allonge-toi sur le dos.
Aussitôt en position, je soulève à nouveau ses jambes, je lèche et suce encore ses pieds, puis je les bascule derrière sa tête. Maintenant qu'elle a le cul bien en l'air, j'ai tout le loisir pour me régaler. J'écarte ses fesses et je lui bouffe le cul comme un affamé, je lui mets des doigts, crache dessus, fais des va-et-vient langue dardée. Elle devient hystérique.
- Oh putain, c'est trop bon, putain je n'en peux plus, j'ai trop envie de me faire enculer.
Son langage cru me surexcite.
- Alors viens par là, viens me donner ton petit cul.
Je m'allonge sur le dos et j'attends qu'elle vienne sur moi pour réaliser ma position favorite. Elle m'enjambe, s'accroupie dos à moi, saisit ma tige à la verticale et elle s'assoit dessus lentement. Son anus dilaté et rempli de salive permet mon introduction sans forcer.
Virginie démarre aussitôt ses va-et-vient, elle monte et descend sur ma colonne de chair avec enthousiasme, les pieds sur mes cuisses et ses mains en appui sur mon torse.
- Clap, clap, clap.
Ses fesses claquent contre mon pubis et ses cris de plaisir m'enhardissent. Je jubile en pelotant ses nichons, j'adore quand elle s'encule elle-même, mais après quelques minutes d'effort, elle ralentit en me signifiant de prendre le relais car elle a mal aux cuisses.
Je passe alors mes bras sous le creux de ses genoux pour relever ses jambes et là je la mitraille de grands coups de bite vifs et puissants. Virginie ne se contrôle plus, elle braille comme une folle en atteignant l'orgasme, elle convulse en expulsant des petits jets de cyprine. Mon éjaculation étant proche également, je pousse sur le lit ma chérie, qui ne sait plus vraiment où elle est, je m'empare de ma queue et je me branle en visant ses pieds pour les arroser de sperme. Remise de ses émotions, Virginie me sourit, elle frotte ses pieds maculés l'un contre l'autre pour étaler ma semence et tout en souplesse elle porte un de ses pieds à sa bouche et elle le lèche avec gourmandise, puis réitère son geste avec son autre peton. Je la regarde savourer mon jus, émerveillé par sa perversité et lorsqu'elle a fini, je lui donne ma queue et elle se fait une joie de la prendre en bouche pour la nettoyer comme une bonne soumise.
Un soir, en rentrant du boulot, le calme règne dans la maison. Je trouve cela bizarre car généralement à cette heure-là, soit la télé est allumée, soit il y a de la musique, soit Virginie s'active dans la cuisine pour préparer le repas. Je m'interroge en me disant qu'elle est sans doute à l'étage.
- Ma chérie, tu es là ?
Je l'entends faiblement me répondre.
- Oui, je suis dans la chambre.
Je pose mes affaires, j'enlève mon blouson, je retire mes pompes et j'emprunte l'escalier pour aller lui faire un petit bisou.
J'entre dans la chambre, Virginie est assise nue sur le lit, une serviette enroulée autour de sa tête, en train de consulter son téléphone portable.
Je l'embrasse tendrement.
- Ca va, tu as passé une bonne journée ?
- Oui et toi ?
- Ouais ça a été. Qu'est ce que tu fais de beau ?
- Rien de spécial, je regarde Facebook.
- Et alors, les nouvelles sont bonnes ?
- Rien de bien intéressant. Tu as vu, je me suis fait les ongles, dit-elle en me montrant ses pieds.
- Oui, j'ai vu ça, montre-moi ça de plus près.
Elle me tend alors sa jambe droite et j'examine son joli pied de métisse.
- C'est très joli ma chérie, j'adore quand tu fais des French pédicures, je trouve ça trop sexy.
- Je sais, c'est pour ça que je l'ai fait.
- Hum, j'ai envie de le croquer.
Je porte son pied à ma bouche et je fais semblant de mordre dedans.
- Ha non, pas ça, je préfère que tu leurs fasses des bisous.
- Je plaisante.
Debout près du lit, je commence alors à faire des bisous sur sa plante de pied et son talon tout en caressant sa cheville et son mollet. J'embrasse chacun de ses orteils avant d'introduire son pouce dans ma bouche pour le sucer délicatement. J'inflige ensuite le même traitement à son autre pied. Je bisoute, je caresse, je lèche, je suce, Virginie semble apprécier puisqu'elle ronronne gentiment et je sens qu'une certaine excitation la gagne. De son autre pied, elle caresse mon torse, puis elle le descend jusqu'à mon entrejambe. Elle frotte mon sexe qui commence à durcir par dessus mon pantalon, elle me regarde pleine de concupiscence.
- Tu ne voudrais pas te déshabiller, histoire qu'on s'amuse un peu ?
- Hum, comment pourrais-je résister à une telle invitation.
Je me dénude entièrement en admirant ma princesse qui a retiré sa serviette. Mon désir augmente, je suis en totale érection, prêt à folâtrer. Voyant mon sexe érigé, Virginie pose immédiatement ses pieds dessus, avec une dextérité déconcertante, elle caresse ma tige sur toute sa longueur et flatte mes bourses en même temps. C'est très agréable et ça me transcende. Toujours debout devant elle, je reprends ses pieds, je les joins et je les embrasse à nouveau, je suce ses orteils avec plus de fougue.
Je place ensuite ses petons humectés autour de ma tige pour m'en servir de masturbateur. Je vibre en faisant coulisser mon sexe entre ses voûtes plantaires pendant que ma chipie se tripote le clito. Nous nous amusons ainsi quelques instants, ce petit jeu lui plaît, je n'ai même plus besoin de lui tenir les pieds, c'est elle qui me branle habilement entre ses orteils en me souriant.
- C'est sympa comme ça hein?
- Oui, c'est très agréable, ça change, mais je préfère quand même avec ta bouche.
- S'il n'y a que ça pour te faire plaisir.
Elle a compris le message. Elle s'assoit sur le bord du lit, empoigne la base de ma queue et elle la met dans sa bouche machinalement.
- Hou oui, c'est bon ma belle, continue.
Je caresse sa crinière noire pendant qu'elle me suce rapidement, m'avalant un peu plus à chaque succion. Je palpe en même temps ses gros seins en poire, je joue avec ses tétons, je les roule entre mes doigts, je les pince et ça la stimule encore plus. Virginie crache sur mon membre et me pompe énergiquement pour me faire râler de plaisir, elle me rend fou.
- Oh purée ma chérie, je ne tiens plus, j'ai trop envie de toi.
- Moi aussi mon amour.
Je la bascule sur le dos et tout en m'agenouillant au pied du lit, je soulève ses jambes, je les écarte et les maintiens par le creux des genoux. J'ai une vue magnifique sur sa chatte trempée que je ne peux m'empêcher de goûter. Je la lèche quelques instants, ses petits gémissements m'enivrent et je ne pense plus qu'à une chose, la faire jouir.
Je grimpe sur le lit et je m'installe à genoux entre ses cuisses. Virginie, qui entre temps s'est allongée confortablement dans l'axe du lit, la tête sur l'oreiller, caresse sa fente comme s'il était nécessaire de me chauffer encore plus. Elle est aussi impatiente que moi dans ces moments-là. Je ne la fais pas attendre plus longtemps, je tapote ma bite 2-3 fois sur ses lèvres et je m'enfonce lentement en elle. Je la besogne en douceur, puis de plus en plus vite. Je soulève à nouveau sa jambe pour accéder à son pied, je le bisoute encore, je le lèche, le suce avec délice en continuant de la limer. Cramponnée à la tête du lit, ma cavalière couine de plus en plus, ses vocalises se mêlent au son des clapotis de nos sexes, ses gros seins gigotent au rythme de mes coups de reins.
Je me penche sur elle, je mange ses seins, l'embrasse à nouveau et lui redonne ma queue qu'elle suce à nouveau comme une furie. Je grogne de plaisir, ça me rend dingue. Je la retourne comme une crêpe et la mets à quatre pattes. Je donne quelques coups de langue sur sa vulve et je la reprends en levrette. Je la baise sauvagement en lui claquant les fesses, Virginie pousse des cris de plus en plus bruyants.
- OH, OH, OUI, OUI, BAISE MA CHATTE.
- Tiens, prend ça, tiensPendant que je la pillonne inlassablement, je contemple son petit trou qui me fait de l'œil. Je le caresse avec mon pouce avant de l'introniser à l'intérieur. Elle jubile immédiatement.
- Hummmmm oui, occupe-toi de mon cul bébé.
- C'est ce que je comptais faire, allonge-toi sur le dos.
Aussitôt en position, je soulève à nouveau ses jambes, je lèche et suce encore ses pieds, puis je les bascule derrière sa tête. Maintenant qu'elle a le cul bien en l'air, j'ai tout le loisir pour me régaler. J'écarte ses fesses et je lui bouffe le cul comme un affamé, je lui mets des doigts, crache dessus, fais des va-et-vient langue dardée. Elle devient hystérique.
- Oh putain, c'est trop bon, putain je n'en peux plus, j'ai trop envie de me faire enculer.
Son langage cru me surexcite.
- Alors viens par là, viens me donner ton petit cul.
Je m'allonge sur le dos et j'attends qu'elle vienne sur moi pour réaliser ma position favorite. Elle m'enjambe, s'accroupie dos à moi, saisit ma tige à la verticale et elle s'assoit dessus lentement. Son anus dilaté et rempli de salive permet mon introduction sans forcer.
Virginie démarre aussitôt ses va-et-vient, elle monte et descend sur ma colonne de chair avec enthousiasme, les pieds sur mes cuisses et ses mains en appui sur mon torse.
- Clap, clap, clap.
Ses fesses claquent contre mon pubis et ses cris de plaisir m'enhardissent. Je jubile en pelotant ses nichons, j'adore quand elle s'encule elle-même, mais après quelques minutes d'effort, elle ralentit en me signifiant de prendre le relais car elle a mal aux cuisses.
Je passe alors mes bras sous le creux de ses genoux pour relever ses jambes et là je la mitraille de grands coups de bite vifs et puissants. Virginie ne se contrôle plus, elle braille comme une folle en atteignant l'orgasme, elle convulse en expulsant des petits jets de cyprine. Mon éjaculation étant proche également, je pousse sur le lit ma chérie, qui ne sait plus vraiment où elle est, je m'empare de ma queue et je me branle en visant ses pieds pour les arroser de sperme. Remise de ses émotions, Virginie me sourit, elle frotte ses pieds maculés l'un contre l'autre pour étaler ma semence et tout en souplesse elle porte un de ses pieds à sa bouche et elle le lèche avec gourmandise, puis réitère son geste avec son autre peton. Je la regarde savourer mon jus, émerveillé par sa perversité et lorsqu'elle a fini, je lui donne ma queue et elle se fait une joie de la prendre en bouche pour la nettoyer comme une bonne soumise.
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