Baisée dans un parking
Récit érotique écrit par Petitlutin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2022 dans la catégorie Plus on est
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Baisée dans un parking
Histoire que m'a raconté Julie, l'une de mes meilleures amies, je la retranscris ici pour elle.
Lorsque je vivais à Marseille, j'avais une amie qui habitait dans un quartier un peu chaud.
Un jour, j'ai ramené ma copine chez elle après un après-midi shopping. Je me suis garée dans le parking au sous sol de son immeuble, nous avons pris la cage d'escalier jusqu'au hall d'entrée car Marie voulait vérifier dans sa boîte aux lettres si elle avait du courrier et là nous sommes tombées sur 2 lascars qui squattaient. Dès qu'ils nous ont vu, ils nous ont sifflées:- Ca va les meufs? Vous êtes bonnes, bande de salopes.
Marie s'est énervée tout de suite.
- Mais sérieux, vous avez vu comment vous parlez, espèce de connard.
Je tente alors de la calmer.
- Laisse tomber, viens on se casse.
Nous rebroussons chemin et l'autre type nous balance:- C'est ça, barrez-vous si vous ne voulez pas qu'on vous baise sales pouffes.
Dans l'ascenseur qui nous menait à son étage, Marie était encore dans tous ses états.
- Putain ça me saoule de vivre ici, il n'y a que des connards comme ça.
- Je te comprends. Tu les avais déjà vu ceux-là ?
- Non, mais j'espère que je ne les reverrais pas, j'ai pas envie qu'ils me fassent chier comme ça à chaque fois.
- C'est dommage qu'ils soient cons, ils étaient plutôt mignons.
- Pfff, de toute façon, il n'y a qu'un truc qui les intéresse.
Elle n'avait pas tort, mais aussi curieux que ça puisse paraître, moi cela m'avait émoustillée.
A notre arrivée chez mon amie, nous nous sommes posées un peu, Marie s'était calmée et nous avons bu un thé en parlant d'autres choses. Mais j'avais du mal à être attentive à la conversation, je pensais à ces 2 gars. Des idées perverses traversaient mon esprit, à tel point que je sentais mon string s'humidifier au fil des minutes.
3/4 h plus tard, je suis sortie de chez Marie pour rentrer chez moi. J'ai repris l'ascenseur, j'ai descendu l'escalier menant au parking et là j'ai retrouvé les 2 racailles près d'une voiture, qui trafiquaient je ne sais pas quoi. Ils me remettent aussitôt et me regardent avec un air vicieux.
- Bah alors, tu as laissé tomber ta copine.
- Oui, je rentre chez moi.
- T'es sûre que tu ne veux pas rester avec nous, t'es trop fraîche, t'as une face de chienne, tu n'as pas envie qu'on te défonce comme une salope ?
L'un est un blanc, les cheveux bruns et courts, l'autre est un grand métisse au crâne rasé, les 2 me plaisent et mon envie de baiser me pousse à leur répondre favorablement.
- OK, je suis partante, on fait ça où ?
- On va te baiser ici, comme une bonne pute.
- Euh, vous êtes sûrs ? On va se faire griller par quelqu'un.
- Ta gueule, on s'en bat les couilles.
Ils s'approchent de moi et immédiatement ils sortent leur queue déjà en érection.
- Allez, suce-nous salope.
Leur façon de me traiter m'excite, je me plie à leur volonté en me mettant à genoux devant eux et je me saisis de leur manche pour les sucer l'un après l'autre.
- Ouais, comme ça, suce bien salope, me dit le métis.
- Toi t'aime la bite, me dit l'autre.
- Hum oui, elle est bonne ta bite, répondis-je en souriant.
Ils se déshabillent pendant que je les pompe et ils continuent de m'insulter. Cela me rend folle, je les suce, les branle, gobe leurs couilles comme une vorace pour les faire râler de plaisir.
- Espèce de chienne, fous-toi à poil, on va te baiser.
Je m'exécute sur le champ, ne gardant que mes bas-résille et mes chaussures à talons.
- Putain t'es vraiment trop bonne salope.
- Sa chatte est épilée entièrement, elle savait qu'elle allait se faire sauter.
Le blanc enfile une capote et m'oblige à me mettre à 4 pattes sur mon manteau, étalé au sol au préalable par son compère. Dès que je suis en position, le mec me pénètre et me baise rapidement en levrette pendant que je suce le métis. Je gémis comme une chienne, j'aime comment il me maltraite, il me lime bien fort en me claquant le cul.
- Oh oui, vas-y, continues, dis-je pour l'encourager.
- Tiens, prends ça salope, t'aime te faire défoncer hein ?
J'ai juste le temps de lui répondre oui, avant que son pote me fourre à nouveau sa bite dans ma bouche.
- Tiens, suce bien salope.
Quelques instants plus tard, le type décide de changer de position, il me veut sur lui. Je me mets à califourchon sur lui et je le chevauche énergiquement tout en suçant encore la queue du métis. Ce dernier grogne de plus en plus et soudain il explose dans ma bouche à ma grande surprise et j'avale son lait reproducteur sans sourciller, puis je le nargue.
- Déjà ? T'es un rapide toi.
- Ta gueule connasse, je me suis vidé les couilles, c'est tout ce que je voulais.
- Ok, bah heureusement que ton pote assure, prends des notes, ça ne te fera pas de mal.
Il se met en retrait et reste nous mater pendant que son pote continue de me baiser. Je me mets dos à mon cavalier, empalée sur sa bonne queue bien raide, je me baise vigoureusement en me tenant à ses chevilles pendant que ce salaud me donne des grosses fessées en m'insultant de tous les noms.
- Putain, j'ai jamais vu une salope comme toi, on va te présenter à nos potes, tout le quartier va te défoncer.
Je ne dis rien, seules mes plaintes de plaisir se font entendre, je suis terriblement excitée, je mouille comme une folle en imaginant tout un tas de mecs se servir de moi pour vider leurs couilles. Toutes ces pensées me font délirer et je pars dans un orgasme incroyable. Je jouis bruyamment alors que mon amant du moment continue de me pilonner.
- Alors elle est bonne ma chatte ?
- Ouais putain elle est trop bonne, t'es vraiment une grosse chienne, tu m'excites trop.
- Bah qu'est ce que t'attends pour balancer la purée ?
- Ca va venir, mets-toi à genoux, je vais te gicler dessus.
En parfaite petite chienne soumise, j'obéis et je me mets en position pendant que le lascar se relève. Il se met debout devant moi, retire la capote et il se branle rapidement pour arroser mes seins de foutre chaud. Je le regarde dans les yeux en caressant mes seins pour étaler son jus et il me dit:- Alors ça t'a plu ?
- Oui, tu m'as bien défoncée comme une salope, comme tu me l'avais promis.
- Et ta copine, elle aime la bite aussi ?
- Pas autant que moi, il n'y a qu'une salope dans la bande et elle est devant toi.
Le métis me tend un papier avec un numéro de téléphone.
- Tiens, prend-le, comme ça tu nous appelle dès que tu as envie de te faire défoncer.
- Ok merci. Bon bah les gars, c'est pas que je ne vous aime pas, mais je dois y aller maintenant.
- T'inquiète, nous aussi on s'arrache.
Ils sont ainsi partis pendant que je finissais de me rhabiller et je suis rentrée chez moi, heuseuse d'avoir pris mon pied, mais je ne les ai jamais rappelés.
Fin.
Lorsque je vivais à Marseille, j'avais une amie qui habitait dans un quartier un peu chaud.
Un jour, j'ai ramené ma copine chez elle après un après-midi shopping. Je me suis garée dans le parking au sous sol de son immeuble, nous avons pris la cage d'escalier jusqu'au hall d'entrée car Marie voulait vérifier dans sa boîte aux lettres si elle avait du courrier et là nous sommes tombées sur 2 lascars qui squattaient. Dès qu'ils nous ont vu, ils nous ont sifflées:- Ca va les meufs? Vous êtes bonnes, bande de salopes.
Marie s'est énervée tout de suite.
- Mais sérieux, vous avez vu comment vous parlez, espèce de connard.
Je tente alors de la calmer.
- Laisse tomber, viens on se casse.
Nous rebroussons chemin et l'autre type nous balance:- C'est ça, barrez-vous si vous ne voulez pas qu'on vous baise sales pouffes.
Dans l'ascenseur qui nous menait à son étage, Marie était encore dans tous ses états.
- Putain ça me saoule de vivre ici, il n'y a que des connards comme ça.
- Je te comprends. Tu les avais déjà vu ceux-là ?
- Non, mais j'espère que je ne les reverrais pas, j'ai pas envie qu'ils me fassent chier comme ça à chaque fois.
- C'est dommage qu'ils soient cons, ils étaient plutôt mignons.
- Pfff, de toute façon, il n'y a qu'un truc qui les intéresse.
Elle n'avait pas tort, mais aussi curieux que ça puisse paraître, moi cela m'avait émoustillée.
A notre arrivée chez mon amie, nous nous sommes posées un peu, Marie s'était calmée et nous avons bu un thé en parlant d'autres choses. Mais j'avais du mal à être attentive à la conversation, je pensais à ces 2 gars. Des idées perverses traversaient mon esprit, à tel point que je sentais mon string s'humidifier au fil des minutes.
3/4 h plus tard, je suis sortie de chez Marie pour rentrer chez moi. J'ai repris l'ascenseur, j'ai descendu l'escalier menant au parking et là j'ai retrouvé les 2 racailles près d'une voiture, qui trafiquaient je ne sais pas quoi. Ils me remettent aussitôt et me regardent avec un air vicieux.
- Bah alors, tu as laissé tomber ta copine.
- Oui, je rentre chez moi.
- T'es sûre que tu ne veux pas rester avec nous, t'es trop fraîche, t'as une face de chienne, tu n'as pas envie qu'on te défonce comme une salope ?
L'un est un blanc, les cheveux bruns et courts, l'autre est un grand métisse au crâne rasé, les 2 me plaisent et mon envie de baiser me pousse à leur répondre favorablement.
- OK, je suis partante, on fait ça où ?
- On va te baiser ici, comme une bonne pute.
- Euh, vous êtes sûrs ? On va se faire griller par quelqu'un.
- Ta gueule, on s'en bat les couilles.
Ils s'approchent de moi et immédiatement ils sortent leur queue déjà en érection.
- Allez, suce-nous salope.
Leur façon de me traiter m'excite, je me plie à leur volonté en me mettant à genoux devant eux et je me saisis de leur manche pour les sucer l'un après l'autre.
- Ouais, comme ça, suce bien salope, me dit le métis.
- Toi t'aime la bite, me dit l'autre.
- Hum oui, elle est bonne ta bite, répondis-je en souriant.
Ils se déshabillent pendant que je les pompe et ils continuent de m'insulter. Cela me rend folle, je les suce, les branle, gobe leurs couilles comme une vorace pour les faire râler de plaisir.
- Espèce de chienne, fous-toi à poil, on va te baiser.
Je m'exécute sur le champ, ne gardant que mes bas-résille et mes chaussures à talons.
- Putain t'es vraiment trop bonne salope.
- Sa chatte est épilée entièrement, elle savait qu'elle allait se faire sauter.
Le blanc enfile une capote et m'oblige à me mettre à 4 pattes sur mon manteau, étalé au sol au préalable par son compère. Dès que je suis en position, le mec me pénètre et me baise rapidement en levrette pendant que je suce le métis. Je gémis comme une chienne, j'aime comment il me maltraite, il me lime bien fort en me claquant le cul.
- Oh oui, vas-y, continues, dis-je pour l'encourager.
- Tiens, prends ça salope, t'aime te faire défoncer hein ?
J'ai juste le temps de lui répondre oui, avant que son pote me fourre à nouveau sa bite dans ma bouche.
- Tiens, suce bien salope.
Quelques instants plus tard, le type décide de changer de position, il me veut sur lui. Je me mets à califourchon sur lui et je le chevauche énergiquement tout en suçant encore la queue du métis. Ce dernier grogne de plus en plus et soudain il explose dans ma bouche à ma grande surprise et j'avale son lait reproducteur sans sourciller, puis je le nargue.
- Déjà ? T'es un rapide toi.
- Ta gueule connasse, je me suis vidé les couilles, c'est tout ce que je voulais.
- Ok, bah heureusement que ton pote assure, prends des notes, ça ne te fera pas de mal.
Il se met en retrait et reste nous mater pendant que son pote continue de me baiser. Je me mets dos à mon cavalier, empalée sur sa bonne queue bien raide, je me baise vigoureusement en me tenant à ses chevilles pendant que ce salaud me donne des grosses fessées en m'insultant de tous les noms.
- Putain, j'ai jamais vu une salope comme toi, on va te présenter à nos potes, tout le quartier va te défoncer.
Je ne dis rien, seules mes plaintes de plaisir se font entendre, je suis terriblement excitée, je mouille comme une folle en imaginant tout un tas de mecs se servir de moi pour vider leurs couilles. Toutes ces pensées me font délirer et je pars dans un orgasme incroyable. Je jouis bruyamment alors que mon amant du moment continue de me pilonner.
- Alors elle est bonne ma chatte ?
- Ouais putain elle est trop bonne, t'es vraiment une grosse chienne, tu m'excites trop.
- Bah qu'est ce que t'attends pour balancer la purée ?
- Ca va venir, mets-toi à genoux, je vais te gicler dessus.
En parfaite petite chienne soumise, j'obéis et je me mets en position pendant que le lascar se relève. Il se met debout devant moi, retire la capote et il se branle rapidement pour arroser mes seins de foutre chaud. Je le regarde dans les yeux en caressant mes seins pour étaler son jus et il me dit:- Alors ça t'a plu ?
- Oui, tu m'as bien défoncée comme une salope, comme tu me l'avais promis.
- Et ta copine, elle aime la bite aussi ?
- Pas autant que moi, il n'y a qu'une salope dans la bande et elle est devant toi.
Le métis me tend un papier avec un numéro de téléphone.
- Tiens, prend-le, comme ça tu nous appelle dès que tu as envie de te faire défoncer.
- Ok merci. Bon bah les gars, c'est pas que je ne vous aime pas, mais je dois y aller maintenant.
- T'inquiète, nous aussi on s'arrache.
Ils sont ainsi partis pendant que je finissais de me rhabiller et je suis rentrée chez moi, heuseuse d'avoir pris mon pied, mais je ne les ai jamais rappelés.
Fin.
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