Ana, la soumise (2)
Récit érotique écrit par Kastor [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 3 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Kastor ont reçu un total de 36 521 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 11 203 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Ana, la soumise (2)
Comme d’habitude, tu m’envoies un message pour me dire que tu es devant ma porte. Je sors t’ouvrir et te fais entrer. En bonne soumise, tu portes la tenue que je t’ai imposée à chacune de nos rencontres : une jupe très courte, un haut très décolleté et une paire de talons. Ton appétissante et imposante paire de seins est immanquable et me fait déjà gonfler la queue d’envie. D’autant plus que je te réserve un programme bien particulier qui m’excite beaucoup d’avance.
Comme à chaque séance, je m’assois sur le lit et te dis de venir te mettre debout face à moi. J’en profite pour peloter ton cul bien rebondi et tes énormes seins. Tu me présentes tes poignets, pensant que selon mon habitude je vais les attacher avec des Serflex. Pas cette fois. J’ai autre chose en tête pour toi.
Je t’ordonne de te tourner dos à moi et de te pencher en avant. Ton cul ressort bien sous ta jupe. Je te dis de la soulever lentement. Tu t’exécutes docilement. Une fois ta jupe remontée a la taille, je t’intime de poser tes mains sur la table basse face à toi et de bien écarter les jambes pour mieux t’offrir. Je vérifie que tu as bien respecté la consigne et que tu ne portes pas de culotte, et en profites pour bien écarter tes fesses. Je n’ai même pas besoin de te toucher pour constater que ta fente est déjà gluante de désir. Je sais que le trajet de métro te met dans tous tes états à chaque fois. Savoir que tu ne portes pas de culotte et que tu vas à ta séance de soumission te fait sentir salopissime. Tu sais que tous les mecs te matent dans cette tenue et ont envie de te baiser sans aucune retenue. Toi tu sais que tu es encore plus chienne que tout ce qu’ils peuvent imaginer et que tu vas être un jouet sexuel pour ton « maître » toute la soirée. Toutes ces pensées t’inondent la chatte. Cette fois-là, n’échappe pas à la règle et ta fente est remarquablement ouverte et trempée. Parfaite pour la suite des événements.
Je ne prends même pas le soin de passer un doigt ou deux dedans, et sors les boules de geishas qui te font tant jouir lors de nos séances. Je frotte la première sur ton trou pour bien l’imprégner de mouille et l’a fait rentrer sans aucune difficulté. La deuxième suit tout aussi facilement. Tu soupir doucement de les sentir s’enfoncer en toi. Enfin on te fouille la chatte. T’en voudrais tellement plus tout de suite, ton clito tendu n’attend que ça. Mais ce sera tout pour le moment.
Je t’attrape par les cheveux pour que tu viennes te positionner à genoux face à moi. Comme pour une fois tu n’as pas les mains attachées, elles se dirigent avec empressement sur la bosse de mon pantalon. Elles caressent ma queue à travers mon jean. Continuant à te tenir par les cheveux, je t’ordonne de sortir ma queue et de la branler doucement. Elle est tendue à fond et commence déjà à perler d’envie. Je vois ta bouche s’entrouvrir et respirer de plus en plus fort. Je sais que tu ne penses plus qu’à une chose : la prendre dans ta bouche avide. Je te retiens par les cheveux pour t’en empêcher, en te disant :
- « Non, pas encore ».
Je sens la frustration dans ton regard. Je t’explique alors la suite des événements :
- « Maintenant tu vas ressortir comme ça, la chatte à l’air et remplie par tes boules. Tu vas te poser à une table au bar du coin, commander un verre et m’envoyer un SMS quand ce sera fait. »
Ton incompréhension se lit sur ton visage. Tu ne sais pas du tout à quoi t’attendre. Je sais qu’une crainte t’envahit et va t’exciter encore plus d’ici quelques minutes.
- « Allez, c’est parti, dehors ! »
Surprise, tu t’exécutes, prends ton sac et sors.
Je te laisse de l’avance en fumant une clope, imaginant le bordel que ça doit être dans ta tête et entre tes cuisses. Je bande bien fort aussi.
Mon téléphone bip au bout de quelques minutes.
- « Ça y est ».
Je pianote mes consignes :
- « Va dans les toilettes pour femmes et attends que ça frappe à la porte ».
À mon tour je sors. Je parcours les quelques mètres pour aller au bar, me pose au comptoir et commande un demi. J’en bois 2-3 gorgées et me dirige vers les toilettes. Devant la porte des dames, je frappe. Tu ouvres rapidement. Je rentre, ferme la porte, le verrou et te saisis par les cheveux pour t’accroupir.
- « Ça t’a plu cette petite escapade avec les boules au fond de la chatte ? »
- « Oh oui monsieur » !
- « Tu es dans quel état » ?
- « Je me sens tellement salope ! Je suis trempé comme rarement ! »
- « Et bien maintenant tu vas enfin pouvoir me bouffer la queue comme une bonne soumise affamée de bite. »
- « Merci monsieur. »
Tu te jettes sur ma braguette comme une morte de faim. En deux secondes mon pantalon est à terre et mon caleçon baissé. Ma queue est déjà au plus profond de ta bouche avide et chaude. Tu me pompes avec un appétit hors norme. Une main me branle, l’autre empoigne mes couilles gonflées, et tu me suces goulûment de la façon la plus obscène que je t’ai vu faire. L’attente, la situation, les boules au fond de ta chatte te mettent dans un état second. Tu n’es plus qu’une salope assoiffée de sperme. Tu ne cherches même pas à prendre ton temps et à en profiter. Tes gémissements et tes regards implorent mon foutre. Tu ne penses plus qu’à ça, que je te remplisse la bouche de mon jus.
J’avais prévu ta réaction et c’est pourquoi j’ai gardé mes couilles pleines depuis près d’une semaine. Pour autant, la situation fait que je ne jouis pas aussi vite que je le pensais, malgré mon excitation et ma frustration. Tu dévores ma bite avec application et plus encore, sentant que je n’allais pas jouir en 2 secondes. Tu te rassasies au fur et à mesure des perles de jus qui s’échappe de ma bite. Le plaisir monte lentement, par paliers. Je sens que ça va être encore plus fort que ce que j’avais prévu.
- « Je vais pas tarder à gicler dans ta bouche de salope. Cette fois-ci, interdiction formelle d’avaler la moindre goutte. Dès que tu auras bien vidé mes couilles, ouvre la bouche pour que je vérifie. Compris ? »
Tu acquiesces de la tête tout en me pompant de plus belle pour me faire décharger, mais je sens la déception de ne pas pouvoir tout avaler de suite. L’ultime palier arrive et j’explose véritablement dans ta bouche. Les 3 premiers jets me surprennent moi-même par leurs intensités et leurs longueurs. Et je suis encore plus surpris d’en sentir encore tant d’autres suivre. J’ai rarement giclé aussi fort. Je vois tes yeux s’écarquiller de surprise et ta tête reculer pour gérer au mieux ce flot de foutre sans en perdre une seule goutte. La surprise et les premiers jets passés, tu couines de bonheur et finis d’éponger ma queue méthodiquement en aspirant les dernières gouttes et en pressant mes couilles. Quand tes lèvres quittent ma bite, tu marmonnes la bouche pleine de foutre et le regard luisant de satisfaction :
- « Hutain, la wache ! »
Je ricane tellement je suis moi aussi surpris d’avoir tellement lâché de jets et pour me remettre d’un tel orgasme.
- « Bordel, qu’est-ce que tu m’as fait gicler ! Putain c’était bon ! »
Le sourire aux lèvres, tu ouvres fièrement la bouche pour me montrer la quantité de plaisir que j’ai déchargé. Impressionnant.
- « C’est bien tu es une bonne soumise et une bonne suceuse. Garde bien tout. Maintenant je vais sortir et m’installer à la table où tu t’es posée. Tu me retrouves tout de suite après. Interdiction formelle d’avaler quoi que ce soit ! Compris ? »
Tu acquiesces de la tête. Et je sens imperceptiblement que tu viens de comprendre ce que cela impliquait. Tu vas devoir traverser entièrement la salle du bar dans une tenue ultra salope, sans string, la chatte remplie par les boules de geishas et la bouche remplie à ras bord d’une quantité impressionnante de foutre. Je te vois blêmir et, avec un grand sourire, je sors des toilettes.
Je me dirige vers le comptoir, récupère mon verre et vais m’installer à ta table. Le bar n’est pas très plein. Je te vois sortir des toilettes précisément au moment ou le barman, lui, y rentre.
- « Excusez-moi mademoiselle. »
- « … »
Tu baisses la tête, le laisses passer et traverses la salle sans regarder autour de toi. Quand tu t’assois en face de moi, tu es rouge écarlate. Tu es au comble de l’excitation que peut provoquer la honte dans ce genre de situation. Tu me regardes en suppliant pour que cela s’arrête. Je suis hilare et très fière de mon coup. Je regarde rapidement derrière toi. Une table de six jeunes est non loin de nous, faisant bien assez de bruit pour que tu sentes qu’il y a du monde à proximité.
- « Tu es pressée de tout avaler, hein ? »
Tu acquiesces avec empressement.
- « Il faut d’abord que je sois bien sûr que tu n’as pas triché. »
Tu passes par toutes les couleurs.
- « Ouvre la bouche ! »
Tu es prise d’une grande hésitation doublée d’inquiétude. Tu essaies d’évaluer au bruit si nos voisins peuvent deviner ce que tu vas faire.
- « Allez ! »
Tu t’exécutes timidement, en tâchant d’adopter la position la plus discrète pour le faire. Je vois qu’il y a toujours cette abondante quantité de foutre qui remplit ta bouche.
- « Très bien, tu as vraiment été une bonne soumise jusqu’au bout. Avale ! »
Et au milieu de ce bar, devant tout le monde, je te vois déglutir avec difficulté, empressement et satisfaction cette quantité mémorable de sperme. Tu dois t’y reprendre à plusieurs fois pour que tout passe et une gorgée de Coca est la bienvenue pour finir le travail.
Comme à chaque séance, je m’assois sur le lit et te dis de venir te mettre debout face à moi. J’en profite pour peloter ton cul bien rebondi et tes énormes seins. Tu me présentes tes poignets, pensant que selon mon habitude je vais les attacher avec des Serflex. Pas cette fois. J’ai autre chose en tête pour toi.
Je t’ordonne de te tourner dos à moi et de te pencher en avant. Ton cul ressort bien sous ta jupe. Je te dis de la soulever lentement. Tu t’exécutes docilement. Une fois ta jupe remontée a la taille, je t’intime de poser tes mains sur la table basse face à toi et de bien écarter les jambes pour mieux t’offrir. Je vérifie que tu as bien respecté la consigne et que tu ne portes pas de culotte, et en profites pour bien écarter tes fesses. Je n’ai même pas besoin de te toucher pour constater que ta fente est déjà gluante de désir. Je sais que le trajet de métro te met dans tous tes états à chaque fois. Savoir que tu ne portes pas de culotte et que tu vas à ta séance de soumission te fait sentir salopissime. Tu sais que tous les mecs te matent dans cette tenue et ont envie de te baiser sans aucune retenue. Toi tu sais que tu es encore plus chienne que tout ce qu’ils peuvent imaginer et que tu vas être un jouet sexuel pour ton « maître » toute la soirée. Toutes ces pensées t’inondent la chatte. Cette fois-là, n’échappe pas à la règle et ta fente est remarquablement ouverte et trempée. Parfaite pour la suite des événements.
Je ne prends même pas le soin de passer un doigt ou deux dedans, et sors les boules de geishas qui te font tant jouir lors de nos séances. Je frotte la première sur ton trou pour bien l’imprégner de mouille et l’a fait rentrer sans aucune difficulté. La deuxième suit tout aussi facilement. Tu soupir doucement de les sentir s’enfoncer en toi. Enfin on te fouille la chatte. T’en voudrais tellement plus tout de suite, ton clito tendu n’attend que ça. Mais ce sera tout pour le moment.
Je t’attrape par les cheveux pour que tu viennes te positionner à genoux face à moi. Comme pour une fois tu n’as pas les mains attachées, elles se dirigent avec empressement sur la bosse de mon pantalon. Elles caressent ma queue à travers mon jean. Continuant à te tenir par les cheveux, je t’ordonne de sortir ma queue et de la branler doucement. Elle est tendue à fond et commence déjà à perler d’envie. Je vois ta bouche s’entrouvrir et respirer de plus en plus fort. Je sais que tu ne penses plus qu’à une chose : la prendre dans ta bouche avide. Je te retiens par les cheveux pour t’en empêcher, en te disant :
- « Non, pas encore ».
Je sens la frustration dans ton regard. Je t’explique alors la suite des événements :
- « Maintenant tu vas ressortir comme ça, la chatte à l’air et remplie par tes boules. Tu vas te poser à une table au bar du coin, commander un verre et m’envoyer un SMS quand ce sera fait. »
Ton incompréhension se lit sur ton visage. Tu ne sais pas du tout à quoi t’attendre. Je sais qu’une crainte t’envahit et va t’exciter encore plus d’ici quelques minutes.
- « Allez, c’est parti, dehors ! »
Surprise, tu t’exécutes, prends ton sac et sors.
Je te laisse de l’avance en fumant une clope, imaginant le bordel que ça doit être dans ta tête et entre tes cuisses. Je bande bien fort aussi.
Mon téléphone bip au bout de quelques minutes.
- « Ça y est ».
Je pianote mes consignes :
- « Va dans les toilettes pour femmes et attends que ça frappe à la porte ».
À mon tour je sors. Je parcours les quelques mètres pour aller au bar, me pose au comptoir et commande un demi. J’en bois 2-3 gorgées et me dirige vers les toilettes. Devant la porte des dames, je frappe. Tu ouvres rapidement. Je rentre, ferme la porte, le verrou et te saisis par les cheveux pour t’accroupir.
- « Ça t’a plu cette petite escapade avec les boules au fond de la chatte ? »
- « Oh oui monsieur » !
- « Tu es dans quel état » ?
- « Je me sens tellement salope ! Je suis trempé comme rarement ! »
- « Et bien maintenant tu vas enfin pouvoir me bouffer la queue comme une bonne soumise affamée de bite. »
- « Merci monsieur. »
Tu te jettes sur ma braguette comme une morte de faim. En deux secondes mon pantalon est à terre et mon caleçon baissé. Ma queue est déjà au plus profond de ta bouche avide et chaude. Tu me pompes avec un appétit hors norme. Une main me branle, l’autre empoigne mes couilles gonflées, et tu me suces goulûment de la façon la plus obscène que je t’ai vu faire. L’attente, la situation, les boules au fond de ta chatte te mettent dans un état second. Tu n’es plus qu’une salope assoiffée de sperme. Tu ne cherches même pas à prendre ton temps et à en profiter. Tes gémissements et tes regards implorent mon foutre. Tu ne penses plus qu’à ça, que je te remplisse la bouche de mon jus.
J’avais prévu ta réaction et c’est pourquoi j’ai gardé mes couilles pleines depuis près d’une semaine. Pour autant, la situation fait que je ne jouis pas aussi vite que je le pensais, malgré mon excitation et ma frustration. Tu dévores ma bite avec application et plus encore, sentant que je n’allais pas jouir en 2 secondes. Tu te rassasies au fur et à mesure des perles de jus qui s’échappe de ma bite. Le plaisir monte lentement, par paliers. Je sens que ça va être encore plus fort que ce que j’avais prévu.
- « Je vais pas tarder à gicler dans ta bouche de salope. Cette fois-ci, interdiction formelle d’avaler la moindre goutte. Dès que tu auras bien vidé mes couilles, ouvre la bouche pour que je vérifie. Compris ? »
Tu acquiesces de la tête tout en me pompant de plus belle pour me faire décharger, mais je sens la déception de ne pas pouvoir tout avaler de suite. L’ultime palier arrive et j’explose véritablement dans ta bouche. Les 3 premiers jets me surprennent moi-même par leurs intensités et leurs longueurs. Et je suis encore plus surpris d’en sentir encore tant d’autres suivre. J’ai rarement giclé aussi fort. Je vois tes yeux s’écarquiller de surprise et ta tête reculer pour gérer au mieux ce flot de foutre sans en perdre une seule goutte. La surprise et les premiers jets passés, tu couines de bonheur et finis d’éponger ma queue méthodiquement en aspirant les dernières gouttes et en pressant mes couilles. Quand tes lèvres quittent ma bite, tu marmonnes la bouche pleine de foutre et le regard luisant de satisfaction :
- « Hutain, la wache ! »
Je ricane tellement je suis moi aussi surpris d’avoir tellement lâché de jets et pour me remettre d’un tel orgasme.
- « Bordel, qu’est-ce que tu m’as fait gicler ! Putain c’était bon ! »
Le sourire aux lèvres, tu ouvres fièrement la bouche pour me montrer la quantité de plaisir que j’ai déchargé. Impressionnant.
- « C’est bien tu es une bonne soumise et une bonne suceuse. Garde bien tout. Maintenant je vais sortir et m’installer à la table où tu t’es posée. Tu me retrouves tout de suite après. Interdiction formelle d’avaler quoi que ce soit ! Compris ? »
Tu acquiesces de la tête. Et je sens imperceptiblement que tu viens de comprendre ce que cela impliquait. Tu vas devoir traverser entièrement la salle du bar dans une tenue ultra salope, sans string, la chatte remplie par les boules de geishas et la bouche remplie à ras bord d’une quantité impressionnante de foutre. Je te vois blêmir et, avec un grand sourire, je sors des toilettes.
Je me dirige vers le comptoir, récupère mon verre et vais m’installer à ta table. Le bar n’est pas très plein. Je te vois sortir des toilettes précisément au moment ou le barman, lui, y rentre.
- « Excusez-moi mademoiselle. »
- « … »
Tu baisses la tête, le laisses passer et traverses la salle sans regarder autour de toi. Quand tu t’assois en face de moi, tu es rouge écarlate. Tu es au comble de l’excitation que peut provoquer la honte dans ce genre de situation. Tu me regardes en suppliant pour que cela s’arrête. Je suis hilare et très fière de mon coup. Je regarde rapidement derrière toi. Une table de six jeunes est non loin de nous, faisant bien assez de bruit pour que tu sentes qu’il y a du monde à proximité.
- « Tu es pressée de tout avaler, hein ? »
Tu acquiesces avec empressement.
- « Il faut d’abord que je sois bien sûr que tu n’as pas triché. »
Tu passes par toutes les couleurs.
- « Ouvre la bouche ! »
Tu es prise d’une grande hésitation doublée d’inquiétude. Tu essaies d’évaluer au bruit si nos voisins peuvent deviner ce que tu vas faire.
- « Allez ! »
Tu t’exécutes timidement, en tâchant d’adopter la position la plus discrète pour le faire. Je vois qu’il y a toujours cette abondante quantité de foutre qui remplit ta bouche.
- « Très bien, tu as vraiment été une bonne soumise jusqu’au bout. Avale ! »
Et au milieu de ce bar, devant tout le monde, je te vois déglutir avec difficulté, empressement et satisfaction cette quantité mémorable de sperme. Tu dois t’y reprendre à plusieurs fois pour que tout passe et une gorgée de Coca est la bienvenue pour finir le travail.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Kastor
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...