ANAÏS II

- Par l'auteur HDS Monsieur Pat -
Auteur homme.
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Récit libertin : ANAÏS   II Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2007 dans la catégorie Dominants et dominés
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ANAÏS II
Le lendemain dans le train, ce fut Anaïs qui évoqua la journée passée, elle ne regrettait rien de ce qui s’était déroulé. Je pense même que cette expérience la libéra de ses complexes. Elle avoua au creux de mon oreille :

- J’ai pris la même habitude que Florence, et même davantage.
- Explique moi.
- J’ai décidé de ne plus porter de sous vêtements.
- Et c’est quoi le plus ?
- Je me suis totalement épilée pour être plus douce.

N’y croyant pas, je lui fis répéter, en croyant que j’avais rêvé. Elle me confirma qu’elle était aussi nue qu’au jour de sa naissance.

- Montre moi cela, remonte ta jupe. Exigeai je d’elle.

Je ne pensais pas qu’elle le ferait, bien qu’il n’y ait que peu de monde autour de nous, juste un jeune homme sur la banquette voisine.
Elle jeta un œil rapide sur le côté, et vit que le garçon dormait, elle commença alors à remonter lentement sa jupe sur ses cuisses. Lorsqu’elle fut assez remontée, je remarquai que notre voisin ne dormait plus, et regardait précisément les cuisses d’ Anaïs. Cette dernière ne s’était aperçu de rien. Je posai mes mains sur ses cuisses et lui écartai doucement les genoux.

- Je veux voir si tu es vraiment douce.

Je retroussai davantage la jupe, et ma main remonta alors vers son ventre pour la caresser, à mon plus grand étonnement elle se laissa faire. Lorsque j’arrivai à son petit bouton, j’accentuai la caresse avec la ferme attention de lui donner du plaisir. Je ne pus m’empêcher de lui dire :

- Le garçon à côté de nous ne dort plus et te regarde.

Elle voulu rabattre sa jupe et refermer ces cuisses.

- Non. Lui dis je fermement. Je vais continuer, et toi tu vas le regarder.

De ma main libre, je lui tournai la tête en lui ordonnant d’ouvrir les yeux. Elle regarda alors le voisin fixement, avec un air de défi. Quelques secondes plus tard, je la sentis jouir sans que rien ne transparaisse dans son attitude. Il était temps, notre train arrivait à destination. En descendant, le jeune homme eu cent fois l’air plus gêné qu’ Anaïs. D’autant qu’une bosse déformait son pantalon, et qu’ Anaïs se vengeait en regardant cette bosse avec insistance. Le garçon avait disparu avant que nous ne soyons sorti de la gare.

Nos voyages de cette fin de semaine se déroulèrent comme auparavant, c'est-à-dire en conversations banales, sans allusion à ce qui avait pu se passer les jours précédents.

L’épisode le plus chaud se déroula le mercredi suivant. Les trains ne sont guère fréquentés ces jour là : beaucoup de femmes ne travaillent pas et les jeunes n’ont pas de cours. Ce mercredi là j’étais arrivé particulièrement en avance, et marchais de long en large sur le quai en attendant Anaïs. J’aperçus alors le jeune homme qui avait assisté à notre petit spectacle la semaine d’avant. Je m’approchai de lui d’un air bien décidé.

- Bonjour, j’espère que le spectacle que tu as vu l’autre jour t’a plu ?

Il m’avait bien entendu reconnu, mais n’osait que dire.

- Si tu veux en voir un autre, trouve toi seul dans un compartiment.

Sans lui laisser le temps de me répondre, je me dirigeai là où nous avions l’habitude de nous attendre Anaïs et moi. Elle arriva quelques minutes plus tard, bien sûr je ne lui parlai pas de la rencontre que j’avais fait l’instant d’avant.

Lorsque le train arriva, je montai dans notre voiture habituelle mais me dirigeai immédiatement vers celle qui avait des compartiments. Anaïs parut surprise par ce changement, mais me suivi sans commentaires. Je scrutai tous les compartiments en espérant trouver celui avec notre jeune homme, je n’étais pas vraiment certain qu’il ait répondu favorablement à mon attente. Je le trouvai enfin, et m’effaçai pour laisser Anaïs entrer la première. En reconnaissant le garçon, elle me regarda avec un sourire, et compris spontanément pourquoi nous n’avions pas pris nos places habituelles. Je l’invitai à s’ asseoir juste à côté de lui, elle ne semblait attendre que cela.

Une fois le train parti vers sa destination, et le contrôleur passé vérifier nos billets, je passai à l’attaque. Je caressai le visage d’ Anaïs, et laissai ma main descendre petit à petit vers son chemisier, comme si nous ayons été seuls. Le premier bouton ne résista que quelques secondes à mes mains expertes, les autres suivirent immédiatement. Je dégageai la première épaule pour mettre un sein à nu, le deuxième se trouva dans la même situation l’instant d’après. Anaïs, qui était restée jusqu’à présent impassible, dégagea ses bras des manches en laissant son chemisier tomber derrière elle, et se retrouva à demi nue entre moi et notre voisin.

Ce dernier était aussi immobile, mais ne perdait pas une miette du spectacle, et laissait transparaître une certaine émotion. Lorsque je posai une main sur les genoux d’ Anaïs, je m’ aperçu qu’elle avait déjà posé une des siennes sur un genou du jeune homme. Comme la dernière fois, je lui écartai doucement les genoux, et lui retroussai au maximum la jupe. Alors que ma main progressait le long de sa cuisse, la sienne fit de même jusqu’à s’arrêter sur la bosse déformant le pantalon de son voisin. Mes caresses se firent plus précises au creux de son intimité, la main d’Anaïs s’était déjà infiltrée dans le pantalon ouvert, et massait ouvertement le sexe tendu à travers l’étoffe du boxer. Anaïs ne se retint pas comme la dernière fois, et laissa éclater bruyamment son plaisir, le jeune homme fit de même. Alors qu’elle reprenait doucement ses esprits, le jeune voisin partit comme un boulet dans le couloir. Je suppose qu’il alla directement dans les toilettes pour nettoyer les traces de son bonheur. Anaïs me sauta au cou, et m’embrassa passionnément dans un signe que je pris comme un tendre remerciement.

Quand le jeune homme revint rhabillé et apparemment détendu, Anaïs et moi étions sagement assis à deviser comme s’il ne s’était rien passé. Il se souviendrait longtemps de ce voyage là.

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