Anaïs & Lili
Récit érotique écrit par Natassya [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Couleur du fond :
Anaïs & Lili
Mon nom est Adélie. Mais tout le monde m'appelle Lili. Je travaille dans un salon de piercing et
tatouages,
c'est moi qui fait les trous dans votre jolie peau!
Je ne suis ni laide ni splendide, 1,70m 66kg avec un 90C-60-90, cheveux bleu vif coupés court et
tatouée-piercée
bien entendu. Nombril, langue et tous les piercings aux oreilles. Un grand tatouage de panthère
orne mon dos,
de la nuque jusqu'au bas des reins, une petite fée au creux de l'aine et un papillon sur le poignet
droit.
Les présentations faites, je vais vous raconter mon histoire.
Pour exercer le métier qui est le mien à présent, je devais suivre une formation pour les mesure
d'hygiène dans
un centre hospitalier.
J'y ai rencontré Anaïs,une infirmière qui est selon moi magnifique: 1,75m, brune aux yeux verts, 85B
un peu
androgyne et un sex appeal franchement dévastateur.
Après les échanges de numéros et plusieurs rendez vous, nous avons décidé de nous mettre ensemble.
Cela fait
six mois aujourd'hui que nous partageons notre nid d'amour, entre tendres calins et nuits torrides.
Mais revenons en à aujourd'hui. Notre petit anniversaire ne sera pas fêté: son travail est un tyran
et ses horaires
sont quasi impossibles.
Il est 19h, j'arrive enfin à notre petit trois pièces, perché au dernier étage d'un immeuble récent,
sans vis à vis.
Dans l'entrée, je pose ma veste et mon sac, entre dans le salon et balaye la pièce du regard: un
verre est posé,
moitié plein, sur la table basse en verre, le sac d'Anaïs est retourné sur le canapé comme jeté à la
va-vite, et ses
chaussures son en vrac devant la porte de notre chambre, entrouverte.
Je m'avance, silencieuse, dans la pièce pour me mettre en tenue décontractée. Elle est étendue sur
le lit, le drap
couvrant seulement le bas de son corps. Sur le dos, poitrine nue et arrogante, je devine un fin
boxer en dentelle
qui mord légèrement ses hanches. Je la regarde avec appétit, mais le souvenir du séjour avec ses
affaires partout
est une preuve de sa fatigue: dans son état normal, rien ne trainerai ou ne dépasserai d'un placard.
Je tourne le dos au lit tout proche et me déshabille, je garde seulement mon string et enfile une
longue chemise
noire en flanelle sans la fermer. J'adore sentir ma poitrine libre de tout soutient, etre visible ou
non suivant les
mouvements que je peux faire. J'attache mes cheveux en un chignon lache quand je sens ses lèvres
piquer ma
nuque de baisers tendres.
_Je t'ai réveillée? Je suis désolée...
Je m'abandonne à ses levres et ses caresses.
_Ne le soit pas ma belle. Je revais de toi. Te voir ainsi au réveil j'adore ça.
Elle se rallonge sur le lit en me faisant une place, ou je m'installe près d'elle, une de ses jambes
mellée aux
miennes. Une main sous sa tête, elle caresse une de mes seins distraitement de l'autre. Chacune de
ses caresses
même la plus innocente, me rend dingue, et elle le sait. Elle sourit en sentant mon téton durcir
sous ses doigts,
et me regarde alors que je ne peux retenir un gémissement:
_hmmm arrètes s'il te plait 'naïs.
_Lili embrasses moi chérie...
Nos lèvres sont rivées, sa langue force le passage et envahit ma bouche pour jouer avec la mienne.
Je la laisse
s'amuser avec le piercing de ma langue pendant que mes mains caressent ses hanches fines. Elle me
donne
envie d'elle. De lui donner du plaisir. De lui donner mon amour. De Tout. Mon désir est trop fort et
je ne peux
plus le contenir. Je memets sur elle, nos langues jouant toujours, ses mains sur mes seins, les
miennes occupées
à la mettre entièrement nue. D'une main, je tiens fermement ses bras au dessus de sa tête
l'empechant ainsi de
me caresser. Elle essaie de m'échapper en cambrant les reins et tirant sur ma main, m'offrant ainsi
sa poitrine
que je pars caresser de mes levres.
_Lili... Seigneur libères moi... Laisses moi te caresser je t'en supplie...
_Non tu me rends completement dingue, si tu continues je vais etre incontrolable...
Elle envoie un coup de reins pour se libérer sans succès:
_tu crois que je ne vais pas être incontrolable peut être? Je t'en supplie... J'ai envie de toi...
S'il te plait...
Elle est presque soumise, suppliante tant dans son regard que dans sa voix. Je ne l'ai jamais vue
comme ça.
Je libère ses bras et l'embrasse, d'abord tendrement, puis de plus en plus passionnément.
Elle m'enlève rapidement mon string et me laisse la chemise.
Nos mains parcourent le corps de l'autre, douces et légères puis dures et lourdes, alternant
pincements et
effleurements, de petites morsures de plaisir apparaissant au milieux des baisers.
Je descends la première vers son cou puis sa poitrine en baisers et coups de langue prometteurs pour
la
suite, continue sans m'arreter vers son ventre, passe en descendant loin sur ses cuisses puis
remonte me
faisant de plus en plus légère. Elle répond à ma caresse en écartant ses cuisses, impudique
invitation au
plaisir et à l'envie. Mes mains viennent caresser ses grandes lèvres déjà humides alors que
j'approche mon
visage de ce sexe aimé, jouant de mon souffle sur son clitoris gonflé. Lentement, je glisse deux
doigts en elle,
qui gémit et donne le rythme aux caresse avec ses coups de reins amples et doux. Je lèche tout
autour de
mes doigts évitant soigneusement sa tige que je garde pour plus tard. L'alliance de ma langue percée
et de
mes doigts lui arrachent bientot des cris, ma langue remplace mes doigts, ondoyante et tournoyante
comme une furie, je joue en elle, avec son plaisir. Elle appuie ma tete sur elle, criant son plaisir
en donnant
les derniers coups de bassins avant de s'écrouler épuisée par cet orgasme.
Gourmande, je lèche mes doigts et le tour de mes lèvres ou s'est étalé son plaisir. Je remonte
jusqu'à son
visage, qui affiche un grand sourire sous ses yeux pétillants.
À son tour elle me retourne sur le lit, prend mes levres avec force et douceur à la fois.
Ses mains précèdent ses levres et passent sur tout mon corps suivant sa descente, lente et
caressante.
De deux doigts fins, elle ouvre ma fente déjà humide du plaisir que je lui ai donné. Elle la lèche
tendrement avec
gourmandise, pince une des grandes lèvres et glisse sa langue en moi, bientot remplacée par un
doigt.
Elle remonte jusqu'à moi, sa main jouant encore un peu entre mes cuisses, puis elle positionne son
bassin pour
que nos deux sexes se touuchent. Lentement elle imprime le rythme à notre caresse intime, nos
regards se
croisent pour ne plus se quitter. Le rythme lent s'accélère peu à peu, nos respirations bruyantes
deviennent
plaintes de plaisir puis cris.
Comme possédées, l'une et l'autre nous crions notre plaisir quand la jouissance nous emporte. Elle
s'étend sur
moi, vidée, nos jambes mellées et nos sexes encores collés.
Elle lève son visage vers moi et m'embrasse.
_Joyeux 6mois ma princesse.
_Je t'aime Anaïs. Joyeux 6mois.
tatouages,
c'est moi qui fait les trous dans votre jolie peau!
Je ne suis ni laide ni splendide, 1,70m 66kg avec un 90C-60-90, cheveux bleu vif coupés court et
tatouée-piercée
bien entendu. Nombril, langue et tous les piercings aux oreilles. Un grand tatouage de panthère
orne mon dos,
de la nuque jusqu'au bas des reins, une petite fée au creux de l'aine et un papillon sur le poignet
droit.
Les présentations faites, je vais vous raconter mon histoire.
Pour exercer le métier qui est le mien à présent, je devais suivre une formation pour les mesure
d'hygiène dans
un centre hospitalier.
J'y ai rencontré Anaïs,une infirmière qui est selon moi magnifique: 1,75m, brune aux yeux verts, 85B
un peu
androgyne et un sex appeal franchement dévastateur.
Après les échanges de numéros et plusieurs rendez vous, nous avons décidé de nous mettre ensemble.
Cela fait
six mois aujourd'hui que nous partageons notre nid d'amour, entre tendres calins et nuits torrides.
Mais revenons en à aujourd'hui. Notre petit anniversaire ne sera pas fêté: son travail est un tyran
et ses horaires
sont quasi impossibles.
Il est 19h, j'arrive enfin à notre petit trois pièces, perché au dernier étage d'un immeuble récent,
sans vis à vis.
Dans l'entrée, je pose ma veste et mon sac, entre dans le salon et balaye la pièce du regard: un
verre est posé,
moitié plein, sur la table basse en verre, le sac d'Anaïs est retourné sur le canapé comme jeté à la
va-vite, et ses
chaussures son en vrac devant la porte de notre chambre, entrouverte.
Je m'avance, silencieuse, dans la pièce pour me mettre en tenue décontractée. Elle est étendue sur
le lit, le drap
couvrant seulement le bas de son corps. Sur le dos, poitrine nue et arrogante, je devine un fin
boxer en dentelle
qui mord légèrement ses hanches. Je la regarde avec appétit, mais le souvenir du séjour avec ses
affaires partout
est une preuve de sa fatigue: dans son état normal, rien ne trainerai ou ne dépasserai d'un placard.
Je tourne le dos au lit tout proche et me déshabille, je garde seulement mon string et enfile une
longue chemise
noire en flanelle sans la fermer. J'adore sentir ma poitrine libre de tout soutient, etre visible ou
non suivant les
mouvements que je peux faire. J'attache mes cheveux en un chignon lache quand je sens ses lèvres
piquer ma
nuque de baisers tendres.
_Je t'ai réveillée? Je suis désolée...
Je m'abandonne à ses levres et ses caresses.
_Ne le soit pas ma belle. Je revais de toi. Te voir ainsi au réveil j'adore ça.
Elle se rallonge sur le lit en me faisant une place, ou je m'installe près d'elle, une de ses jambes
mellée aux
miennes. Une main sous sa tête, elle caresse une de mes seins distraitement de l'autre. Chacune de
ses caresses
même la plus innocente, me rend dingue, et elle le sait. Elle sourit en sentant mon téton durcir
sous ses doigts,
et me regarde alors que je ne peux retenir un gémissement:
_hmmm arrètes s'il te plait 'naïs.
_Lili embrasses moi chérie...
Nos lèvres sont rivées, sa langue force le passage et envahit ma bouche pour jouer avec la mienne.
Je la laisse
s'amuser avec le piercing de ma langue pendant que mes mains caressent ses hanches fines. Elle me
donne
envie d'elle. De lui donner du plaisir. De lui donner mon amour. De Tout. Mon désir est trop fort et
je ne peux
plus le contenir. Je memets sur elle, nos langues jouant toujours, ses mains sur mes seins, les
miennes occupées
à la mettre entièrement nue. D'une main, je tiens fermement ses bras au dessus de sa tête
l'empechant ainsi de
me caresser. Elle essaie de m'échapper en cambrant les reins et tirant sur ma main, m'offrant ainsi
sa poitrine
que je pars caresser de mes levres.
_Lili... Seigneur libères moi... Laisses moi te caresser je t'en supplie...
_Non tu me rends completement dingue, si tu continues je vais etre incontrolable...
Elle envoie un coup de reins pour se libérer sans succès:
_tu crois que je ne vais pas être incontrolable peut être? Je t'en supplie... J'ai envie de toi...
S'il te plait...
Elle est presque soumise, suppliante tant dans son regard que dans sa voix. Je ne l'ai jamais vue
comme ça.
Je libère ses bras et l'embrasse, d'abord tendrement, puis de plus en plus passionnément.
Elle m'enlève rapidement mon string et me laisse la chemise.
Nos mains parcourent le corps de l'autre, douces et légères puis dures et lourdes, alternant
pincements et
effleurements, de petites morsures de plaisir apparaissant au milieux des baisers.
Je descends la première vers son cou puis sa poitrine en baisers et coups de langue prometteurs pour
la
suite, continue sans m'arreter vers son ventre, passe en descendant loin sur ses cuisses puis
remonte me
faisant de plus en plus légère. Elle répond à ma caresse en écartant ses cuisses, impudique
invitation au
plaisir et à l'envie. Mes mains viennent caresser ses grandes lèvres déjà humides alors que
j'approche mon
visage de ce sexe aimé, jouant de mon souffle sur son clitoris gonflé. Lentement, je glisse deux
doigts en elle,
qui gémit et donne le rythme aux caresse avec ses coups de reins amples et doux. Je lèche tout
autour de
mes doigts évitant soigneusement sa tige que je garde pour plus tard. L'alliance de ma langue percée
et de
mes doigts lui arrachent bientot des cris, ma langue remplace mes doigts, ondoyante et tournoyante
comme une furie, je joue en elle, avec son plaisir. Elle appuie ma tete sur elle, criant son plaisir
en donnant
les derniers coups de bassins avant de s'écrouler épuisée par cet orgasme.
Gourmande, je lèche mes doigts et le tour de mes lèvres ou s'est étalé son plaisir. Je remonte
jusqu'à son
visage, qui affiche un grand sourire sous ses yeux pétillants.
À son tour elle me retourne sur le lit, prend mes levres avec force et douceur à la fois.
Ses mains précèdent ses levres et passent sur tout mon corps suivant sa descente, lente et
caressante.
De deux doigts fins, elle ouvre ma fente déjà humide du plaisir que je lui ai donné. Elle la lèche
tendrement avec
gourmandise, pince une des grandes lèvres et glisse sa langue en moi, bientot remplacée par un
doigt.
Elle remonte jusqu'à moi, sa main jouant encore un peu entre mes cuisses, puis elle positionne son
bassin pour
que nos deux sexes se touuchent. Lentement elle imprime le rythme à notre caresse intime, nos
regards se
croisent pour ne plus se quitter. Le rythme lent s'accélère peu à peu, nos respirations bruyantes
deviennent
plaintes de plaisir puis cris.
Comme possédées, l'une et l'autre nous crions notre plaisir quand la jouissance nous emporte. Elle
s'étend sur
moi, vidée, nos jambes mellées et nos sexes encores collés.
Elle lève son visage vers moi et m'embrasse.
_Joyeux 6mois ma princesse.
_Je t'aime Anaïs. Joyeux 6mois.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
histoire pleine de tendresse entre deux femmes. Entre elles, elles savent exactement les caresses qui les font jouir. Cette histoire n'est absolument pas vulgaire mais au contraire, pleine d'amour, plus peut-être, qu'entre une femme et un homme.
Magnifique histoire d'amour pur entre 2 femmes. Rien d'obcène ou de vulgaire dans ce récit, non rien que de l'amour partagé.
Merci à vous mes chéries.
Merci à vous mes chéries.