Ancienne du Lycée
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Couleur du fond :
Ancienne du Lycée
Depuis mon mariage, il y a 6 ans, je ne vais plus aux réunion d’anciennes élèves du
lycée privée Sainte Marie. Mon mari ne m’a jamais interdit d’aller à ce genre de
réunion, eu contraire, il me pousse à aller revoir d’anciennes copines. J’hésite à me
rendre dans ce genre de réunion à cause des souvenirs qui restent de mes études:
j’étais en pension complète, donc je dormais dans une dortoir. Nous avions toutes
entre 16 et 20 ans, autrement dit nous étions à un âge où nos glandes parlaient de
plus en plus. La première semaine était calme, ce n’est qu’après que nous reprenions
toutes nos habitude de masturbation. Certaine même aller dans une autre lit, à la
rencontre d’une fille accueillante: C’est-ce qui se passait sur le lit voisin du mien:
dans la semi pénombre je pouvais voir deux corps en 69 qui se donnait du plaisir.
J’était excitée, je me calmais comme les autres avec mes doigts.
Un soir, je n’en pouvais plus, je me suis mêlée au jeux des voisines. J’ai jouis d’une
langue cette fois là. C’était excellent, presque tous les soirs je recommençais.
Ce n’est que pendant des vacances que je me suis faite dépucelée. J’ai eu un mal de
chien, ce qui ne m’a pas découragée: j’ai recommencé avec un autre garçon plus doué:
là pour le première fois j’ai joui avec une bite dans le ventre. Depuis j’aime trop
les queues pour changer.
Avant mon mariage j’ai bien baisé avec mon chéri. Il me la mettait partout où c’est
possible. Après le mariage nous avons continué dans ce genre d’entreprise de
jouissance. J’aimais, puisque j’arrivais à en jouir, le sucer longuement. La simple
présence de sa bite dans la bouche me faisait régulièrement partir, pas avec un
immense orgasme, mais j’en jouissais. Quand il me sodomise maintenant, c’est une
cérémonie particulière. Je le suce un instant juste avant qu’il vienne sur mon rectum.
Il est assez mouillé pour entrer. Bien sur il me fait toujours un peu mal en entrant:
j’adore avoir mal parce que de suite après, quand il est au fond je sens bien sa queue
et ses mouvements me font jouir. Ma jouissance culière est moins forte que la normale,
c’est pourquoi je me fait mettre toujours avant qu’il me baise. Parce qu’alors là, je
prends mon pied. Il le sait bien, le salaud. Comme il débande je me branle devant lui.
Il adore voir mes doigts dans ma chatte quand je me donne du plaisir. Ca le fait
bander, alors nous recommençons à baiser: il m’introduit sa bite dans le cul.
Pour en revenir à la réunion d’anciennes, il me force presque à y aller: pourtant il
sait fort bien ce que les nuits étaient. D’un coté il n’a pas tort j’y rencontrerai
des copines perdues de vues depuis longtemps.
Nous avons droit à une messe (normal dans un tel établissement): la suite est une
simple réunion apéritive, suivie d’un repas. Plus rien à voir avec la bouffe qu’on
nous servait: le repas est digne d’un bon restaurant. Je suis assises entre deux
copines dont une qui me faisait jouir. Entre les « qu’est que tu deviens, comment vas-
tu et est-ce que tu as des enfants« , arrive des évocations plus terre à terre.
Bien sur nos évoquons les étreintes, Martine avec nostalgie, alors que pour moi ce
n’est qu’un bon souvenir. A la mi repas, elle pose une main sur ma cuisse. De sa part
je sais ce que ça veut dire: elle a envie. Elle la monte sur ma jupe presque à hauteur
de mon entre jambes. Elle n’y reste qu’un instant avant d’enlever d’elle-même la main:
quelqu’un passait pour le service. Aussitôt tranquille elle remet à nouveau la main.
Je sens sa chaleur qui envahie ma chatte. Je fais celle qui ne ressent rien, alors que
j’ai envie que sa main soit sur mon corps. Je suis obligée de me lever pour aller aux
toilettes me soulager un peu: elle m’y suit.
Je trouve une place libre, au moment de fermer la porte Martine entre avec moi. Sa
bouche est vite sur la mienne. J’ouvre la mienne pour laisser passer sa langue. Elle
n’a rien perdu de son agilité. Je mouille encore plus. J’attendais qu’elle caresse ma
poitrine, elle soulève ma jupe pour chercher ma culotte et en passant en dessous
chercher mon bouton. Elle me branle lentement et je me laisse faire sans plus penser à
mon mari. Son doigt est dans mon puits très vite, elle le fait aller dans mon ventre.
Elle en rajoute un autre. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps. J’écarte bien
les cuisses quand je part comme elle le voulait. Mon orgasme est violent à cause de
l’étrangeté de la chose: dans les toilette du lycée !!!!
Je ne peux pas la laisser sans lui rendre le bienfait. Je la fais tourner pour avoir
son dos contre ma poitrine, je passe mes mains devant elle, sous la robe et je monte
le long de ses cuisses. Je suis un peu surprise quand je ne sens pas de sous vêtement.
Elle est également rasée. Son pubis est très doux. Mes doigts fouillent sa chatte.
Elle se donne à moi, je caresse son bouton pour avec l’autre main mettre un doigts
dans la chatte et deux autres dans son cul. Sa tête est posée sur mon épaules: elle
jouit.
Quand nous sortons des toilettes, elle me demande de venir chez elle en précisant bien
que c’est pour faire l’amour. Après ce que nous venons de vivre, j’accepte. Nous
n’allons au repas que pour un dessert vite avalé. Sans rien dire nous partons, juste
remarquée par la surveillante du dortoir qui entre nous s’amusait elle aussi avec des
élèves.
Son chez elle est une bonbonnière: meubles de styles, télé dernier modèle, etc.…..
Martine recommence à m’embrasser en me déshabillant. Je la laisse faire avec plaisir,
surtout plaisir futur que j’espère. Quand je suis totalement nue, il faut bien que je
la déshabille. Malgré les apparences, nous ne nous sommes jamais vue nues. Sa bouche
revient sur la mienne pour la quitter pour un baiser dans le cou et sur les pavillons
des oreilles: elle m’excite. Elle caresse mes seins comme je le lui fait.
Elle se colle à moi, pubis cotre pubis, seins contre seins: tout ce qui est érogène
est caressé, particulièrement les fesses et la fente. Elle me fait reculer un peu pour
s’occuper uniquement de mes seins: elle les caresse en tournant sur eux: mes tétons
sortent, elle en profite pour les caresser à sa façon, elle arrive à me donner un
léger orgasme.
Maintenant nous nous asseyons sur le bord du lit. Nous nous touchons les chattes, moi
en la branlant, elle en entrant dans mon puits. Elle me renverse, vient sur moi, comme
un homme, me fait écarter les jambes. Nos pubis sont joints: elle fait les mêmes
mouvements que ferait un homme: son bas ventre arrive contre mon clitoris. Je le sens
gonfler. Le plus surprenant est qu’elle me donne un bel orgasme. Je ne saurait lui
rendre la caresse. Alors elle se tourne pour venir sur moi. Sa tête est entre mes
jambes, son sexe contre ma bouche, enfin presque. Je suis obligée de lever la tête
pour la lécher, comme avant. Je retrouve son bon gout de cyprine et de femme en
chaleur. Sa langue fait se qu’elle veut dans ma chatte, je la sens d’abord sur le
clitoris où elle me fait jouir, par ses aller et venues sur moi. Ensuite elle change
complètement d’endroit: elle s’attaque à mes trous: je dis bien mes trous. J’ai
d’abord sa langue dans le vagin où elle fait des ravages en me donnant sans arrêt des
orgasmes en série. Enfin je sens son menton contre le puits, sa bouche est sur mon
anus. Mis à part mon mari, personne n’y a rien mit; Elle oui, sa langues se durcit
pour m’enculer un peu. Sentir ses mains écartant mes fesses et sa langue m’expédie
rapidement. Je me laisse faire, en participant quand même au 69.
J’ai pris dans ma bouche le clitoris de Martine, je le lèche aussi. J’entre ma langue
dans son con, c’est très doux, sauf un endroit légèrement rugueux: son point G. Je
dois le faire de l’effet puisque je sens les contractions fortes au début de son
orgasme. Je ne la suis pas sur son anus: ça m’écœure un peu.
Je sens sa cyprine partout sur mon visage, en guise de crème de beauté on doit faire
mieux, par exemple du sperme. Ca m’est égal, je l’ai faite jouir plusieurs fois, bien
mieux qu’avant; Elle m’a rendu la pareille avec plus de métier.
Elle avoue qu’elle est célibataire par choix, elle préfère les filles. Sa dernière
amante l’a quitté il y a quelques jours;. Si j’aime baiser avec elle, elle me veut
comme future maîtresse. Que répondre à cette demande, j’aime mon mari, j’aime la baise
avec lui, pourquoi pas avec elle aussi.
Ma décision est vite prise, je dis oui. Elle me prend dans ses bras. Pour me remercier
elle me propose une nouveauté: elle va mettre toute sa main dans le sexe. Je suis
curieuse de voir ce que ça donne. Elle noie totalement d’un liquide huileux, elle
entre les uns après les autres tous les doigts. Maintenant que même le pouce est en
moi, elle pousse à m’en faire mal toute sa main jusqu’au poignet. Elle reste immobile
un moment avant de commence de légers vas et viens; Elle me fait hurler de plaisir.
C’est la première fois que je ressent mon vagin plein à craquer. Maintenant je jouis
sans arrêt.
Pour me nettoyer, elle me fait prendre une douche comme j’aime, sauf que le jet d’eau
ce n’est ni mon mari ni moi qui le passons sur le clitoris. Je jouis une dernière fois
en ayant au fond du ventre encore envie de jouir. Mon mari va avoir une bonne ration
de sexe, surtout en me sodomisant, mon sexe est encore douloureux.
lycée privée Sainte Marie. Mon mari ne m’a jamais interdit d’aller à ce genre de
réunion, eu contraire, il me pousse à aller revoir d’anciennes copines. J’hésite à me
rendre dans ce genre de réunion à cause des souvenirs qui restent de mes études:
j’étais en pension complète, donc je dormais dans une dortoir. Nous avions toutes
entre 16 et 20 ans, autrement dit nous étions à un âge où nos glandes parlaient de
plus en plus. La première semaine était calme, ce n’est qu’après que nous reprenions
toutes nos habitude de masturbation. Certaine même aller dans une autre lit, à la
rencontre d’une fille accueillante: C’est-ce qui se passait sur le lit voisin du mien:
dans la semi pénombre je pouvais voir deux corps en 69 qui se donnait du plaisir.
J’était excitée, je me calmais comme les autres avec mes doigts.
Un soir, je n’en pouvais plus, je me suis mêlée au jeux des voisines. J’ai jouis d’une
langue cette fois là. C’était excellent, presque tous les soirs je recommençais.
Ce n’est que pendant des vacances que je me suis faite dépucelée. J’ai eu un mal de
chien, ce qui ne m’a pas découragée: j’ai recommencé avec un autre garçon plus doué:
là pour le première fois j’ai joui avec une bite dans le ventre. Depuis j’aime trop
les queues pour changer.
Avant mon mariage j’ai bien baisé avec mon chéri. Il me la mettait partout où c’est
possible. Après le mariage nous avons continué dans ce genre d’entreprise de
jouissance. J’aimais, puisque j’arrivais à en jouir, le sucer longuement. La simple
présence de sa bite dans la bouche me faisait régulièrement partir, pas avec un
immense orgasme, mais j’en jouissais. Quand il me sodomise maintenant, c’est une
cérémonie particulière. Je le suce un instant juste avant qu’il vienne sur mon rectum.
Il est assez mouillé pour entrer. Bien sur il me fait toujours un peu mal en entrant:
j’adore avoir mal parce que de suite après, quand il est au fond je sens bien sa queue
et ses mouvements me font jouir. Ma jouissance culière est moins forte que la normale,
c’est pourquoi je me fait mettre toujours avant qu’il me baise. Parce qu’alors là, je
prends mon pied. Il le sait bien, le salaud. Comme il débande je me branle devant lui.
Il adore voir mes doigts dans ma chatte quand je me donne du plaisir. Ca le fait
bander, alors nous recommençons à baiser: il m’introduit sa bite dans le cul.
Pour en revenir à la réunion d’anciennes, il me force presque à y aller: pourtant il
sait fort bien ce que les nuits étaient. D’un coté il n’a pas tort j’y rencontrerai
des copines perdues de vues depuis longtemps.
Nous avons droit à une messe (normal dans un tel établissement): la suite est une
simple réunion apéritive, suivie d’un repas. Plus rien à voir avec la bouffe qu’on
nous servait: le repas est digne d’un bon restaurant. Je suis assises entre deux
copines dont une qui me faisait jouir. Entre les « qu’est que tu deviens, comment vas-
tu et est-ce que tu as des enfants« , arrive des évocations plus terre à terre.
Bien sur nos évoquons les étreintes, Martine avec nostalgie, alors que pour moi ce
n’est qu’un bon souvenir. A la mi repas, elle pose une main sur ma cuisse. De sa part
je sais ce que ça veut dire: elle a envie. Elle la monte sur ma jupe presque à hauteur
de mon entre jambes. Elle n’y reste qu’un instant avant d’enlever d’elle-même la main:
quelqu’un passait pour le service. Aussitôt tranquille elle remet à nouveau la main.
Je sens sa chaleur qui envahie ma chatte. Je fais celle qui ne ressent rien, alors que
j’ai envie que sa main soit sur mon corps. Je suis obligée de me lever pour aller aux
toilettes me soulager un peu: elle m’y suit.
Je trouve une place libre, au moment de fermer la porte Martine entre avec moi. Sa
bouche est vite sur la mienne. J’ouvre la mienne pour laisser passer sa langue. Elle
n’a rien perdu de son agilité. Je mouille encore plus. J’attendais qu’elle caresse ma
poitrine, elle soulève ma jupe pour chercher ma culotte et en passant en dessous
chercher mon bouton. Elle me branle lentement et je me laisse faire sans plus penser à
mon mari. Son doigt est dans mon puits très vite, elle le fait aller dans mon ventre.
Elle en rajoute un autre. Je sais que je ne vais pas tenir longtemps. J’écarte bien
les cuisses quand je part comme elle le voulait. Mon orgasme est violent à cause de
l’étrangeté de la chose: dans les toilette du lycée !!!!
Je ne peux pas la laisser sans lui rendre le bienfait. Je la fais tourner pour avoir
son dos contre ma poitrine, je passe mes mains devant elle, sous la robe et je monte
le long de ses cuisses. Je suis un peu surprise quand je ne sens pas de sous vêtement.
Elle est également rasée. Son pubis est très doux. Mes doigts fouillent sa chatte.
Elle se donne à moi, je caresse son bouton pour avec l’autre main mettre un doigts
dans la chatte et deux autres dans son cul. Sa tête est posée sur mon épaules: elle
jouit.
Quand nous sortons des toilettes, elle me demande de venir chez elle en précisant bien
que c’est pour faire l’amour. Après ce que nous venons de vivre, j’accepte. Nous
n’allons au repas que pour un dessert vite avalé. Sans rien dire nous partons, juste
remarquée par la surveillante du dortoir qui entre nous s’amusait elle aussi avec des
élèves.
Son chez elle est une bonbonnière: meubles de styles, télé dernier modèle, etc.…..
Martine recommence à m’embrasser en me déshabillant. Je la laisse faire avec plaisir,
surtout plaisir futur que j’espère. Quand je suis totalement nue, il faut bien que je
la déshabille. Malgré les apparences, nous ne nous sommes jamais vue nues. Sa bouche
revient sur la mienne pour la quitter pour un baiser dans le cou et sur les pavillons
des oreilles: elle m’excite. Elle caresse mes seins comme je le lui fait.
Elle se colle à moi, pubis cotre pubis, seins contre seins: tout ce qui est érogène
est caressé, particulièrement les fesses et la fente. Elle me fait reculer un peu pour
s’occuper uniquement de mes seins: elle les caresse en tournant sur eux: mes tétons
sortent, elle en profite pour les caresser à sa façon, elle arrive à me donner un
léger orgasme.
Maintenant nous nous asseyons sur le bord du lit. Nous nous touchons les chattes, moi
en la branlant, elle en entrant dans mon puits. Elle me renverse, vient sur moi, comme
un homme, me fait écarter les jambes. Nos pubis sont joints: elle fait les mêmes
mouvements que ferait un homme: son bas ventre arrive contre mon clitoris. Je le sens
gonfler. Le plus surprenant est qu’elle me donne un bel orgasme. Je ne saurait lui
rendre la caresse. Alors elle se tourne pour venir sur moi. Sa tête est entre mes
jambes, son sexe contre ma bouche, enfin presque. Je suis obligée de lever la tête
pour la lécher, comme avant. Je retrouve son bon gout de cyprine et de femme en
chaleur. Sa langue fait se qu’elle veut dans ma chatte, je la sens d’abord sur le
clitoris où elle me fait jouir, par ses aller et venues sur moi. Ensuite elle change
complètement d’endroit: elle s’attaque à mes trous: je dis bien mes trous. J’ai
d’abord sa langue dans le vagin où elle fait des ravages en me donnant sans arrêt des
orgasmes en série. Enfin je sens son menton contre le puits, sa bouche est sur mon
anus. Mis à part mon mari, personne n’y a rien mit; Elle oui, sa langues se durcit
pour m’enculer un peu. Sentir ses mains écartant mes fesses et sa langue m’expédie
rapidement. Je me laisse faire, en participant quand même au 69.
J’ai pris dans ma bouche le clitoris de Martine, je le lèche aussi. J’entre ma langue
dans son con, c’est très doux, sauf un endroit légèrement rugueux: son point G. Je
dois le faire de l’effet puisque je sens les contractions fortes au début de son
orgasme. Je ne la suis pas sur son anus: ça m’écœure un peu.
Je sens sa cyprine partout sur mon visage, en guise de crème de beauté on doit faire
mieux, par exemple du sperme. Ca m’est égal, je l’ai faite jouir plusieurs fois, bien
mieux qu’avant; Elle m’a rendu la pareille avec plus de métier.
Elle avoue qu’elle est célibataire par choix, elle préfère les filles. Sa dernière
amante l’a quitté il y a quelques jours;. Si j’aime baiser avec elle, elle me veut
comme future maîtresse. Que répondre à cette demande, j’aime mon mari, j’aime la baise
avec lui, pourquoi pas avec elle aussi.
Ma décision est vite prise, je dis oui. Elle me prend dans ses bras. Pour me remercier
elle me propose une nouveauté: elle va mettre toute sa main dans le sexe. Je suis
curieuse de voir ce que ça donne. Elle noie totalement d’un liquide huileux, elle
entre les uns après les autres tous les doigts. Maintenant que même le pouce est en
moi, elle pousse à m’en faire mal toute sa main jusqu’au poignet. Elle reste immobile
un moment avant de commence de légers vas et viens; Elle me fait hurler de plaisir.
C’est la première fois que je ressent mon vagin plein à craquer. Maintenant je jouis
sans arrêt.
Pour me nettoyer, elle me fait prendre une douche comme j’aime, sauf que le jet d’eau
ce n’est ni mon mari ni moi qui le passons sur le clitoris. Je jouis une dernière fois
en ayant au fond du ventre encore envie de jouir. Mon mari va avoir une bonne ration
de sexe, surtout en me sodomisant, mon sexe est encore douloureux.
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