Anne a trop bu
Récit érotique écrit par Ardienmu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Anne a trop bu
Nous étions en train de faire nos courses en grande surface un matin car ma femme Anne travaillait l’après-midi. Elle avait trente ans à cette époque.
Il faisait assez beau pour un mois d’Avril alors elle portait sa mini robe noire et blanche zippée sur tout le haut, ses bottes noires à talons de dix centimètres.
Nous croisons le directeur de site de ma femme, Jérôme Dupuis, un homme très gros et proche de la retraite. Moi je continue les courses dans le rayon mais je les entends parler.
_ Bonjour Anne, comment allez-vous ce matin ?
_ Bien Monsieur, et vous ?
_ Toute en beauté aujourd’hui, j’espère que vous resterez habillée de la sorte cette après-midi pour la réunion.
Il lui fait la bise en la prenant par les hanches et lui fait des gros bisous sur les joues.
Ensuite il la déshabille du regard.
_ Les jupes courtes vous vont très bien vous savez ?
_ Merci Monsieur !
_ Si vous voulez, aujourd’hui je ne fais que la réunion, comme vous, je peux venir vous chercher et vous ramener.
_ Je sais pas trop Monsieur… _ Mais si, au contraire, on a jamais le temps de discuter. On va apprendre à se connaître. Quatorze heure chez vous, ok .
_ D’accord Monsieur.
_ A tout à l’heure. Conclut-il, et il part.
Nous finissons les courses et rentrons manger.
_ Je vais me changer et je pars. Me dit-elle.
_ Non, non, reste comme ça, ça te va bien !
_ Avec le gros porc de Jérôme, il va me mater toute l’après-midi !
_ Tu t’en occupes pas, c’est tout !
_ Alors d’accord, je vais me maquiller et je pars !
Elle s’est mise un puissant fart aux yeux et un rouge à lèvres grenas.
Lorsqu’elle revient à la maison, elle était hyper énervée.
Je lui sers un verre de punch pour la détendre.
Elle me raconte ce qu’il a voulu lui faire au retour.
_ Ce dégueulasse, il m’a posé une main sur ma cuisse et est remonté jusqu’au string, je lui en ai empêché et il m’a ouvert le zippe de ma robe à un feu rouge devant un bus ! Il m’a dit qu’il aimait bien exposer les femmes qui montent avec lui ! T’imagine le pervers ! Ensuite il a fait allusion aux hôtels, à mon physique tout le reste du chemin. Et le pompon, il a voulu qu’on s’embrasse pour se dire au revoir mais il a pas tourné la tête et il m’a embrassé sur la bouche ! Il a une haleine de chacal, beurk ! Plus jamais !
Plus elle racontait sa petite aventure, plus elle m’excitait.
Je lui reservais un deuxième puis un troisième et enfin un quatrième punch. Elle était toujours énervée mais à moitié saoule.
Je commençai à la caresser sur la robe, je trouvais ses tétons et lui vrillais pour bien l’exciter aussi.
_ Tu penses qu’il t’aurait baisée Jérôme ?
_ Oui le gros salaud !
Je lui resservis un dernier punch pour bien qu’elle soit bien docile.
Ensuite je la fis mettre debout et la tenue pour l’emmener face au miroir du couloir.
Je mis notre appareil photo qui fait caméra sur l’étagère face à nous et le mis en mode caméra.
_ C’est vrai que tu fais un peu salope, habillée comme ça !
Je la força à se regarder dans le miroir, juchée sur les talons de ses bottes avec sa mini-minirobe avec le zippe du haut ouvert sur plus de la moitié, découvrant une bonne partie de son petit soutien-gorge balconnet.
_ Dis-le que tu fais salope, dis-le !
_ Je, je fais salope… _ Continues, Ton directeur voulait te baiser comme la salope que tu es, Anne !
_ Oui, il voulait me baiser comme une salope, noooonnn…Anne était complètement saoule et dans un état second. Je pris un foulard et lui attachas les bras très haut dans le dos. Ce qui lui fit ressortir la poitrine. Ensuite je lui bandas les yeux.
Je lui massas les seins sur son soutien-gorge.
_ C’est moi, Jérôme, qui te tripote des beaux nichons de petite salope ! Je lui disElle tenta de se débattre.
_ non, no, non, laissez moi…Le fait de me faire passer pour lui en la violant m’excitait au plus haut point.
Je lui sorti la poitrine de son écrin et ouvrit sa robe jusqu’à la ceinture.
_ T’aime ça salope, de te faire malaxer les mamelles par ton directeur, hein ?
_ Nooooonnnn, laissez moi, je vous en pris, nooonnn !
Je lui pinça les deux tétons assez violemment et lui répéta : _ T’aime ça salope, de te faire malaxer les mamelles par ton directeur, hein ? J’ai pas entendu !
_ oui, oui. Arretez, j’ai mal !
_ Je t’écoute, alors.
Je repris le malaxage, ses tétons étaient tout durs _ Oui j’aime me faire peloter par vous, Jérôme !
Ensuite je l’emmenas dans la chambre, la coucha sur le lit, toujours les bras attachés dans le dos et lui ligotas les jambes entièrement écartées aux pieds du lit. Je lui glissai un coussin sous les fesses pour bien la cambrer.
Son string rentrait entre ses lèvres et ses seins pointant vers le haut, Anne était à ma totale disposition.
Je collas ma bouche à sa vulve, et ma langue pénétra sa chatte, mes lèvres aspiraient son clitoris, j'ajoutai: "Anne...C'est Carré qui est en train de te violer la chatte avec sa langue."Mes mots eurent l'effet d'un électrochoc, la faisant sortir de sa torpeur.
Pendant les 5 minutes qui suivirent, elle ne cessa de répéter: "Non... non... je ne veux pas.... ARRÊTE, ARRÊTE, ARRÊTE!"Mais il était trop tard... je n'avais qu'une seule envie: la violer en personnifiant Carré.
Puis, lentement, progressivement, elle commença à mouiller et cessa de protester et de se débattre. Son clitoris, complètement décapuchonné, avait maintenant doublé de volume et sa cyprine inondait ma bouche.
Ses protestations laissèrent place à de petits gémissements... "Ah... Ah.... Ah"Anne était vaincue, sa volonté l'avait abandonnée, son corps la trahissait. Elle sentait monter cet orgasme auquel elle ne pouvait ni ne voulait se soustraire à l'image, selon les statistiques, de bien des femmes qui jouissent pendant leur viol.
"Pas si mal ce qu'il te fait, non? Il te suce bien, Carré? Veux-tu qu'il arrête?"(Elle eut un premier moment d'hésitation)"Tu veux qu'il arrête, Anne?"D'une voix à peine audible: "N... N... non..."J'ajoutai: "Dis lui de continuer..."(Elle hésita à nouveau)"Dis-lui, Anne... Dis-lui de continuer à ce vieux salaud..."Honteusement, elle murmura: "Con...Continue"...
"Continue qui?", demandai-je(Suivi d'un autre moment où elle hésita encore davantage)"Continue QUI?", insistai-jeD'une voix faible: "Con.. tinue... Si... Carré.""Répète: Continue à me sucer, Carré"Vaincue, dominée, humiliée, elle gémissa: "Con... conti... continue à me... à me sucer... Ca... Carré".
Anne allait jouir tout en imaginant se faire violer par Carré, ce vieux vicelard qui la dégoûtait.
Ses jambes se mirent à trembler, signe précurseur d'un orgasme à venir. Puis, d'un mouvement brusque, elle souleva les hanches et tenta vainement de refermer ses jambes ligotées aux chevilles pour emprisonner la bouche et la langue de Carré contre son sexe.
En poussant un long et puissant gémissement, elle se mit à jouir encore et encore...
Ne lui donnant pas le temps de reprendre son souffle, je guidai ma queue vers l'entrée de son sexe et me mit à frotter mon gland contre son clitoris en érection.
Anne. Il t'a donné du plaisir avec sa langue et maintenant il va te violer et te faire jouir avec sa grosse bite."Elle eut deux autres puissants orgasmes alors que Carré la pénétrait et la violait à travers moi.
Puis, toujours robe largement ouverte et attachée, j'approchai mon gland près de sa bouche, l'appuyant contre ses lèvres.
"Suce, suce le Carré, Anne".
Vaincue, brisée, elle ouvrit la bouche pour que ce gros cochon de Carré y fasse, à travers moi, glisser sa vieille queue.
Sa langue s'enroula contre son gros gland violacé en forme de champignon et elle commença à le sucer.
Complètement sous le joug de cet immonde pervers que j'incarnais, elle le laissa même, soumise et docile, éjaculer au fonds de sa gorge.
Anne, qui, quelques heures plus tôt, aurait été quasiment prête à porter plainte contre Carré l'avait laissé lui faire un cunni, la pénétrer`et jouir dans sa bouche avant d'avaler son foutre chaud et crémeux.
Il faisait assez beau pour un mois d’Avril alors elle portait sa mini robe noire et blanche zippée sur tout le haut, ses bottes noires à talons de dix centimètres.
Nous croisons le directeur de site de ma femme, Jérôme Dupuis, un homme très gros et proche de la retraite. Moi je continue les courses dans le rayon mais je les entends parler.
_ Bonjour Anne, comment allez-vous ce matin ?
_ Bien Monsieur, et vous ?
_ Toute en beauté aujourd’hui, j’espère que vous resterez habillée de la sorte cette après-midi pour la réunion.
Il lui fait la bise en la prenant par les hanches et lui fait des gros bisous sur les joues.
Ensuite il la déshabille du regard.
_ Les jupes courtes vous vont très bien vous savez ?
_ Merci Monsieur !
_ Si vous voulez, aujourd’hui je ne fais que la réunion, comme vous, je peux venir vous chercher et vous ramener.
_ Je sais pas trop Monsieur… _ Mais si, au contraire, on a jamais le temps de discuter. On va apprendre à se connaître. Quatorze heure chez vous, ok .
_ D’accord Monsieur.
_ A tout à l’heure. Conclut-il, et il part.
Nous finissons les courses et rentrons manger.
_ Je vais me changer et je pars. Me dit-elle.
_ Non, non, reste comme ça, ça te va bien !
_ Avec le gros porc de Jérôme, il va me mater toute l’après-midi !
_ Tu t’en occupes pas, c’est tout !
_ Alors d’accord, je vais me maquiller et je pars !
Elle s’est mise un puissant fart aux yeux et un rouge à lèvres grenas.
Lorsqu’elle revient à la maison, elle était hyper énervée.
Je lui sers un verre de punch pour la détendre.
Elle me raconte ce qu’il a voulu lui faire au retour.
_ Ce dégueulasse, il m’a posé une main sur ma cuisse et est remonté jusqu’au string, je lui en ai empêché et il m’a ouvert le zippe de ma robe à un feu rouge devant un bus ! Il m’a dit qu’il aimait bien exposer les femmes qui montent avec lui ! T’imagine le pervers ! Ensuite il a fait allusion aux hôtels, à mon physique tout le reste du chemin. Et le pompon, il a voulu qu’on s’embrasse pour se dire au revoir mais il a pas tourné la tête et il m’a embrassé sur la bouche ! Il a une haleine de chacal, beurk ! Plus jamais !
Plus elle racontait sa petite aventure, plus elle m’excitait.
Je lui reservais un deuxième puis un troisième et enfin un quatrième punch. Elle était toujours énervée mais à moitié saoule.
Je commençai à la caresser sur la robe, je trouvais ses tétons et lui vrillais pour bien l’exciter aussi.
_ Tu penses qu’il t’aurait baisée Jérôme ?
_ Oui le gros salaud !
Je lui resservis un dernier punch pour bien qu’elle soit bien docile.
Ensuite je la fis mettre debout et la tenue pour l’emmener face au miroir du couloir.
Je mis notre appareil photo qui fait caméra sur l’étagère face à nous et le mis en mode caméra.
_ C’est vrai que tu fais un peu salope, habillée comme ça !
Je la força à se regarder dans le miroir, juchée sur les talons de ses bottes avec sa mini-minirobe avec le zippe du haut ouvert sur plus de la moitié, découvrant une bonne partie de son petit soutien-gorge balconnet.
_ Dis-le que tu fais salope, dis-le !
_ Je, je fais salope… _ Continues, Ton directeur voulait te baiser comme la salope que tu es, Anne !
_ Oui, il voulait me baiser comme une salope, noooonnn…Anne était complètement saoule et dans un état second. Je pris un foulard et lui attachas les bras très haut dans le dos. Ce qui lui fit ressortir la poitrine. Ensuite je lui bandas les yeux.
Je lui massas les seins sur son soutien-gorge.
_ C’est moi, Jérôme, qui te tripote des beaux nichons de petite salope ! Je lui disElle tenta de se débattre.
_ non, no, non, laissez moi…Le fait de me faire passer pour lui en la violant m’excitait au plus haut point.
Je lui sorti la poitrine de son écrin et ouvrit sa robe jusqu’à la ceinture.
_ T’aime ça salope, de te faire malaxer les mamelles par ton directeur, hein ?
_ Nooooonnnn, laissez moi, je vous en pris, nooonnn !
Je lui pinça les deux tétons assez violemment et lui répéta : _ T’aime ça salope, de te faire malaxer les mamelles par ton directeur, hein ? J’ai pas entendu !
_ oui, oui. Arretez, j’ai mal !
_ Je t’écoute, alors.
Je repris le malaxage, ses tétons étaient tout durs _ Oui j’aime me faire peloter par vous, Jérôme !
Ensuite je l’emmenas dans la chambre, la coucha sur le lit, toujours les bras attachés dans le dos et lui ligotas les jambes entièrement écartées aux pieds du lit. Je lui glissai un coussin sous les fesses pour bien la cambrer.
Son string rentrait entre ses lèvres et ses seins pointant vers le haut, Anne était à ma totale disposition.
Je collas ma bouche à sa vulve, et ma langue pénétra sa chatte, mes lèvres aspiraient son clitoris, j'ajoutai: "Anne...C'est Carré qui est en train de te violer la chatte avec sa langue."Mes mots eurent l'effet d'un électrochoc, la faisant sortir de sa torpeur.
Pendant les 5 minutes qui suivirent, elle ne cessa de répéter: "Non... non... je ne veux pas.... ARRÊTE, ARRÊTE, ARRÊTE!"Mais il était trop tard... je n'avais qu'une seule envie: la violer en personnifiant Carré.
Puis, lentement, progressivement, elle commença à mouiller et cessa de protester et de se débattre. Son clitoris, complètement décapuchonné, avait maintenant doublé de volume et sa cyprine inondait ma bouche.
Ses protestations laissèrent place à de petits gémissements... "Ah... Ah.... Ah"Anne était vaincue, sa volonté l'avait abandonnée, son corps la trahissait. Elle sentait monter cet orgasme auquel elle ne pouvait ni ne voulait se soustraire à l'image, selon les statistiques, de bien des femmes qui jouissent pendant leur viol.
"Pas si mal ce qu'il te fait, non? Il te suce bien, Carré? Veux-tu qu'il arrête?"(Elle eut un premier moment d'hésitation)"Tu veux qu'il arrête, Anne?"D'une voix à peine audible: "N... N... non..."J'ajoutai: "Dis lui de continuer..."(Elle hésita à nouveau)"Dis-lui, Anne... Dis-lui de continuer à ce vieux salaud..."Honteusement, elle murmura: "Con...Continue"...
"Continue qui?", demandai-je(Suivi d'un autre moment où elle hésita encore davantage)"Continue QUI?", insistai-jeD'une voix faible: "Con.. tinue... Si... Carré.""Répète: Continue à me sucer, Carré"Vaincue, dominée, humiliée, elle gémissa: "Con... conti... continue à me... à me sucer... Ca... Carré".
Anne allait jouir tout en imaginant se faire violer par Carré, ce vieux vicelard qui la dégoûtait.
Ses jambes se mirent à trembler, signe précurseur d'un orgasme à venir. Puis, d'un mouvement brusque, elle souleva les hanches et tenta vainement de refermer ses jambes ligotées aux chevilles pour emprisonner la bouche et la langue de Carré contre son sexe.
En poussant un long et puissant gémissement, elle se mit à jouir encore et encore...
Ne lui donnant pas le temps de reprendre son souffle, je guidai ma queue vers l'entrée de son sexe et me mit à frotter mon gland contre son clitoris en érection.
Anne. Il t'a donné du plaisir avec sa langue et maintenant il va te violer et te faire jouir avec sa grosse bite."Elle eut deux autres puissants orgasmes alors que Carré la pénétrait et la violait à travers moi.
Puis, toujours robe largement ouverte et attachée, j'approchai mon gland près de sa bouche, l'appuyant contre ses lèvres.
"Suce, suce le Carré, Anne".
Vaincue, brisée, elle ouvrit la bouche pour que ce gros cochon de Carré y fasse, à travers moi, glisser sa vieille queue.
Sa langue s'enroula contre son gros gland violacé en forme de champignon et elle commença à le sucer.
Complètement sous le joug de cet immonde pervers que j'incarnais, elle le laissa même, soumise et docile, éjaculer au fonds de sa gorge.
Anne, qui, quelques heures plus tôt, aurait été quasiment prête à porter plainte contre Carré l'avait laissé lui faire un cunni, la pénétrer`et jouir dans sa bouche avant d'avaler son foutre chaud et crémeux.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
A la base elle a dit mais apparemment certaines personnes ne comprennent pas le mot NON.
Elles mériteraient de se faire attacher sur 1 chaise le cul a l’air entrain de se le faire niquer elles comprendraient leurs douleurs !!!
Elles mériteraient de se faire attacher sur 1 chaise le cul a l’air entrain de se le faire niquer elles comprendraient leurs douleurs !!!
Bonjour.
Vivement la suite...
L'invitation de Mr Carré un soir à la maison, par exemple, pour satisfaire les fantasmes de monsieur et pousser Anne dans ses retranchements.
A bientôt de vous lire.
Cordialement.
Vivement la suite...
L'invitation de Mr Carré un soir à la maison, par exemple, pour satisfaire les fantasmes de monsieur et pousser Anne dans ses retranchements.
A bientôt de vous lire.
Cordialement.