Anne découvre le plaisir dans l'adultère
Récit érotique écrit par AnneMariee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Anne découvre le plaisir dans l'adultère
Août 2022
Mardi
Anne était en vacances sur ce coin du littoral charentais depuis une semaine avec son mari. Entre eux il y avait de l’affection, peut-être aussi de l’amour mais plus de sexe. Ils n’avaient d’ailleurs pas fait l’ amour depuis plus d’un mot et encore une brève étreinte sans plaisir pour elle.
Elle avait participé à la vie du village et avait croisé plusieurs fois François. Un bel homme qui étrangement semblait la regarder avec intérêt, mais il était accompagné de sa femme, Valérie, une superbe femme grande, musclée très sympathique. Ils semblaient former le couple parfait.
Le lendemain elle serait seule son mari et presque tout le village vacances partaient à une excursion à La Rochelle en bus. Elle pourrait travailler à son livre scolaire seule. De toutes façons de la pluie était annoncé pour le lendemain.
La journée passa elle a lu, est allée nager avec son mari. Une association de lutte contre le sida fit de l’animation dans le village-vacances l’après-midi et distribua des préservatifs dans les boites aux lettres des bungalows. Anne se dit que ce n’était pas le bon endroit. Il n’y avait que tes couples stables apparemment.
Ils rentèrent ils regardèrent la télé. Après une brève toilette il s’est déshabillé pour se laver. Elle voyait ce corps qu’elle connaissait bien sans désir. Il mit son pyjama et alla se coucher, elle entendit ses ronflements. Elle lut encore un moment tandis que la nuit tombait. Elle eut envie de sortir prendre l’air.
Elle marcha un moment dans le village vacances. La nuit était tombée, mais elle était claire à cause de la pleine lune. Elle se dirigea vers la mer. Juste avant la plage, il y avait un dernier bungalow de la lumière perçait derrière les volets fermés sur la façade, le numéro 117 était inscrit sur la porte.
Sur le côté du bungalow à quelques mètres , mais sur la partie commune au village-vacance, il y avait un banc qui faisait face à la mer Elle s’assit dessus regardant les flots apaisants. Soudain elle entendit comme des bruits des chuchotements puis comme des coups. Elle ne réalisa pas tout de suite : un couple faisait l’amour. Elle commença à se lever pour partir, très gênée, mais elle ne le fit pas. La peur d’être vue partant … autre chose ? Elle resta assise. Les bruits s’intensifièrent, un homme et une femme échangeaient des paroles qu’elle ne comprenait pas. Les bruits de lit qui claque et grince s’intensifia, puis une femme se mit à haleter et à gémir. Soudain Anne sursauta au premier cri de la femme. Pendant longtemps le couple fit l’amour les cris de la femme changeaient d’intensité pour augmenter puis diminuer …. reprendre. Le temps passa 45 minutes ? Une heure plus ? Puis les cris de la femme atteignirent un paroxysme, l’homme cria lui aussi et le silence revint.
Anne resta comme figée un moment. Elle enviait cette femme. Quel amant elle avait ! Lentement elle se leva et prit le chemin de chez elle.
Troublée par ce qu’elle avait entendu, elle se doucha rapidement, passa son pyjama et se glissa dans le lit conjugal … elle mit du temps à s’endormir.
Mercredi
Anne se réveilla plusieurs fois dans la nuit. Elle se leva vers 8 heures en même temps que son mari. Elle enfila rapidement des vêtements et fila chercher du pain à la camionnette du boulanger ambulant ; Plusieurs personnes attendaient, parmi elle Valérie. Elle semblait rayonnante et fit un grand sourire à Anne :
« Bonjour voulez-bien »
« Oui et vous »
« Très bien à part le temps qui se dégrade on dit qu’il va pleuvoir cet après-midi ? Mais je pars à l’excursion. Vous y serez ? »
« Non, je veux rester un peu seule ».
Elles échangèrent d’autres banalités puis se saluèrent.
Anne rentra au bungalow en le pain, elle déjeuna avec son mari. Puis celui-ci partit pour l’excursion.
Elle passa la matinée à travailler mais était parfois distraite par la scène qu’elle avait auditivement perçue la veille.
Mercredi
après-midi
Elle grignota un peu et vers 13 heures et décida d’aller faire un tour vers la mer. Le temps se gâtait, mais elle aurait peut-être le temps de marcher sur la plage et peut-être même de nager un peu. Elle mit son maillot de bain une pièce. Un modèle particulier qui se fermait avec une sorte de lacet dans le cou.
Elle sortit et marcha vers la plage. Étrangement celle-ci paraissait déserte, sans doute en raison de l’excursion, mais plus sûrement en raison des gros nuages noirs qui s’étendaient au-dessus de la mer.
Elle aperçut un homme au loin. Mais oui on dirait bien François. Il était assis dans le sable et se leva à son approche. Ils marchèrent l’un vers l’autre.
Les nuages progressaient dans le ciel.
François était torse nu. Elle le trouva très attirant avec ses larges épaules, ses poignée d’amour mais ses abdos puissants se devinant bien et son beau sourire.
Elle se sentit moche et peu désirable.
« Bonjour Anne.
- bonjour François, je me croyais seule. J’ai vu ta femme ce matin en prenant le pain elle m’a dit qu’elle partait en excursion je te croyais avec elle. »
Il sourit « Non il y avait la fenêtre de la chambre qui ne fermait plus j’ai du la réparer, tout comme notre lit. Mais vous n’êtes pas partis Gilles et toi.
- Gilles si mais moi j’avais envie de rester seule et je connais bien la ville. »
Le temps se gâtait de plus en plus.
Ils continuèrent à parler. Une tension sexuelle commençait à se nouer entre eux.
François sentait le début d’une érection espérant que cela ne se verrait pas.
Soudain le vent forcit. Anne frissonna.
« Ouh il commence à faire froid je vais rentrer »
Mais avant que François ne puisse répondre d’un seul coup, la pluie se mit à tomber. Aussitôt sans se concerter ils se mirent à courir vers le village-vacances sous un déluge. Ils arrivèrent près du premier bungalow, là ou elle avait entendu le couple faire l’amour. Le numéro 117 enlevait toute ambiguïté.
François s’arrêta devant prit la clé derrière le volet, et ouvrit la porte. Elle comprit aussitôt : le couple qui faisait l’amour était Valérie et François.
Elle s’arrêta. François lui cria :
« Viens, entre. »
Elle hésita un moment, mais frissonnante et dégoulinante elle se précipita dans le bungalow. Il referma la porte.
« Attends ». Lui dit-il.
Il alla dans la pièce à côté et revint presque aussitôt avec deux grandes serviette. Il en tendit une à Anne.
Elle était tendue. Ils commencèrent à s’essuyer en se regardant, face à face. François sentait l’érection revenir. Elle-même était partagée un sentiment de culpabilité et de désir mêlés. François s’essuyait le torse, essayant de cacher ce début d’érection avec sa serviette.
« Tu veux que je t’essuie le dos ? »
Avant même qu’elle puisse dire quoi que ce soit il se rapprocha d’elle et en la regardant dans les yeux il commença à lui essuyer l’arrière de la nuque.
Il voyait les seins d’Anne gonfler et dégonfler au rythme de sa respiration, signe d’appréhension de la suite et de désir.
« Tu es très belle
- merci. » Elle rougit.
A ce moment le désir prit le pas sur tout le reste il y avait là une femme et un homme qui se désiraient. Leurs lèvres se touchèrent, les langues se trouvèrent. Ils entamèrent un long baiser, enlacé s alors que la pluie crépitait sur le toit. Les langues tournaient l’une autour de l’autre dans une bouche puis dans l’autre. Un baiser sensuel, voluptueux, érotique. Anne sentait les picotements dans son bas-ventre. L’érection de François augmentait. Anne sentait sa virilité contre son corps ce qui accroissait son désir, elle lui montrait en accentuant le baiser.
Enfin, essoufflés ils s’arrêtèrent. Il regarda dans yeux et passa ma main dans son cou il tira sur le fil et délicatement descendit le haut du maillot de main d’Anne. Il fit des baisers sur les épaules nues puis continua le lent effeuillage dévoilant les seins puis le ventre en la caressant et en lui faisant des baisers. Il le descendit jusqu’au nombril puis au pubis.
« Tu es belle. »
De fait, jamais elle ne s’était sentie aussi belle, aussi désirable, aussi femme.
Laissant le maillot de bain pendre à sa taille, lentement il remonta le long du corps, lui faisant des bisous et la caressant, du pubis au cou en t’attardant sur les seins. Elle ferma les yeux, roucoulant, caressant les épaules de son amant. Il redescendit et s’agenouilla devant elle il posa des mains de chaque côté du maillot et a fixa du regard. Puis en regardant le bas-ventre d’Anne, il fit descendre le maillot de bain, dévoilant son intimité. Il le descendit complètement elle leva une jambe puis l’autre pour qu’il le lui retire complètement. Il regarda la toison fournie de la femme puis attrapa la serviette et en la regardant à nouveau dans les yeux, il entreprit de lui sécher les fesses et le bas ventre. Il passa doucement la serviette sur le sexe, s’attardant entre les jambes. Elle les écarta légèrement l’encourageant dans cette voie. Il laissa tomber la serviette et de ces mains lui caressa son intimité. Nul doute que l’humidité de son sexe venait du désir et non plus de l’eau de pluie.
Il la caressa doucement, écartant légèrement ses lèvres de ses doigts. Elle haleta et gémit.
Il se releva. Il aurait voulu lui demander de retirer son maillot de bain, mais il savait par expérience qu’il ne fallait pas en demander de trop à une femme mariée qui trompait pour la première fois son mari. Il le retira lui-même. Le sexe jaillit, tendu.
Il l’enserra contre son corps, poitrine contre poitrine, elle sentait son sexe contre son ventre. Ils reprirent un baser encore plus torride.
Maintenant, elle n’avait plus qu’un désir qui lui brûlait les entrailles : qu’il la prenne, qu’il fasse d’elle sa femme, qu’ils deviennent un couple.
Il sentait cela à son attitude à sa façon de le coller au baiser qu’elle lui faisait. ‘était sa langue à elle qui maintenant menait le bal.
Lentement tout en l’embrassant il la mena vers la chambre. Ils se retrouvèrent sur le lit. Là-même ou il ,avait fait l’amour si longuement et à plusieurs reprises avec sa femme la ville au soir et dans la nuit.
Ils s’embrassèrent se caressaient. Elle était sur le dos Il s’allongea contre elle ; Il lui caressa le visage :
« Tu es belle. »
d’une main il jouait avec ses poils pubiens.
« Je veux te faire l’amour, tu veux »
Elle tourna la tête vers lui :
« Oui »
Il se leva très rapidement et revint avec deux échantillons de préservatifs.
Il retira l’emballage d’un et l’enfila sur son sexe, tandis qu’elle le regardait faire.
Il se plaça au-dessus d’elle pour lui faire l’amour. Il lui embrassa le cou les seins puis avança et guida son sexe à l’entrée de son vagin.
Il entra dans son sexe bien préparé, le plus loin possible et sans bouger chercha sa langue pour un nouveau baiser. Elle lui enlaçait la poitrine pendant l baiser. Son plaisir était déjà intense. Elle sentit déjà les prémisses légers d’un orgasme.
Il poussa doucement sur son bassin en restant au fond puis petit à petit de plus en plus puissamment commença le va-et-vient. Il se redressa sur les mains pour pouvoir la dévisager.
Elle haletait la bouche ouverte agrippant le drap de ma main gauche, gémissait. Il accentua le va-et-vient la vitesse, variant l’intensité et la profondeur. Le lit claquait et grinçait au milieu du bruit fait par la pluie qui tombait au dehors. Elle haletait et hoquetait de plus en plus, les gémissements devenaient plus intenses. Elle sentait un gouffre s’ouvrir qui l’appelait elle tenta de résister mais le plaisir fit le plus fort :
« aaaah »
Son premier cri l’encouragea et il continua très vigoureusement. Elle sentit les spasmes monter dans son ventre par vague augmenter et diminuer mais le plaisir restait intense après ce premier orgasme. Il continua lui arrachant des cris à chaque poussée. Puis il se retira et lui prit les jambes qu’il plaça sur ses épaules et la reprit ainsi s’allongeant sur elle.
Il poussait très fort à chaque fois. Son corps était repoussé sous ses assauts. Il poussait encore quand il était au fond.
Le lit claquait, grinçait, Français ahanait, Anne criait. Plusieurs fois, elle sentit des orgasmes.
Elle perdait contact avec la réalité, elle n’était que plaisir. Son corps se tendit dans des spasmes et des contractions. Elle étendit à peine son amant qui criait au moment même ou il jouissait. Elle voyait les étoiles.
Il se retira. Le corps d’Anne tremblait complètement. Les jambes agitées de soubresauts.
Elle ne pensait plus à rien, le corps en sueur, le sexe béant, inondé de sa jouissance. Elle était bien ……. Elle était devenue femme.
Elle mit très longtemps à retrouver ses esprits. Elle tourna la tête vers son amant. Son regard était empreint d’un mélange étrange fait de surprise, de reconnaissance et un on ne sait quoi … pas de l’amour, quoique …
Elle articula « Ohh chéri. »
Mardi
Anne était en vacances sur ce coin du littoral charentais depuis une semaine avec son mari. Entre eux il y avait de l’affection, peut-être aussi de l’amour mais plus de sexe. Ils n’avaient d’ailleurs pas fait l’ amour depuis plus d’un mot et encore une brève étreinte sans plaisir pour elle.
Elle avait participé à la vie du village et avait croisé plusieurs fois François. Un bel homme qui étrangement semblait la regarder avec intérêt, mais il était accompagné de sa femme, Valérie, une superbe femme grande, musclée très sympathique. Ils semblaient former le couple parfait.
Le lendemain elle serait seule son mari et presque tout le village vacances partaient à une excursion à La Rochelle en bus. Elle pourrait travailler à son livre scolaire seule. De toutes façons de la pluie était annoncé pour le lendemain.
La journée passa elle a lu, est allée nager avec son mari. Une association de lutte contre le sida fit de l’animation dans le village-vacances l’après-midi et distribua des préservatifs dans les boites aux lettres des bungalows. Anne se dit que ce n’était pas le bon endroit. Il n’y avait que tes couples stables apparemment.
Ils rentèrent ils regardèrent la télé. Après une brève toilette il s’est déshabillé pour se laver. Elle voyait ce corps qu’elle connaissait bien sans désir. Il mit son pyjama et alla se coucher, elle entendit ses ronflements. Elle lut encore un moment tandis que la nuit tombait. Elle eut envie de sortir prendre l’air.
Elle marcha un moment dans le village vacances. La nuit était tombée, mais elle était claire à cause de la pleine lune. Elle se dirigea vers la mer. Juste avant la plage, il y avait un dernier bungalow de la lumière perçait derrière les volets fermés sur la façade, le numéro 117 était inscrit sur la porte.
Sur le côté du bungalow à quelques mètres , mais sur la partie commune au village-vacance, il y avait un banc qui faisait face à la mer Elle s’assit dessus regardant les flots apaisants. Soudain elle entendit comme des bruits des chuchotements puis comme des coups. Elle ne réalisa pas tout de suite : un couple faisait l’amour. Elle commença à se lever pour partir, très gênée, mais elle ne le fit pas. La peur d’être vue partant … autre chose ? Elle resta assise. Les bruits s’intensifièrent, un homme et une femme échangeaient des paroles qu’elle ne comprenait pas. Les bruits de lit qui claque et grince s’intensifia, puis une femme se mit à haleter et à gémir. Soudain Anne sursauta au premier cri de la femme. Pendant longtemps le couple fit l’amour les cris de la femme changeaient d’intensité pour augmenter puis diminuer …. reprendre. Le temps passa 45 minutes ? Une heure plus ? Puis les cris de la femme atteignirent un paroxysme, l’homme cria lui aussi et le silence revint.
Anne resta comme figée un moment. Elle enviait cette femme. Quel amant elle avait ! Lentement elle se leva et prit le chemin de chez elle.
Troublée par ce qu’elle avait entendu, elle se doucha rapidement, passa son pyjama et se glissa dans le lit conjugal … elle mit du temps à s’endormir.
Mercredi
Anne se réveilla plusieurs fois dans la nuit. Elle se leva vers 8 heures en même temps que son mari. Elle enfila rapidement des vêtements et fila chercher du pain à la camionnette du boulanger ambulant ; Plusieurs personnes attendaient, parmi elle Valérie. Elle semblait rayonnante et fit un grand sourire à Anne :
« Bonjour voulez-bien »
« Oui et vous »
« Très bien à part le temps qui se dégrade on dit qu’il va pleuvoir cet après-midi ? Mais je pars à l’excursion. Vous y serez ? »
« Non, je veux rester un peu seule ».
Elles échangèrent d’autres banalités puis se saluèrent.
Anne rentra au bungalow en le pain, elle déjeuna avec son mari. Puis celui-ci partit pour l’excursion.
Elle passa la matinée à travailler mais était parfois distraite par la scène qu’elle avait auditivement perçue la veille.
Mercredi
après-midi
Elle grignota un peu et vers 13 heures et décida d’aller faire un tour vers la mer. Le temps se gâtait, mais elle aurait peut-être le temps de marcher sur la plage et peut-être même de nager un peu. Elle mit son maillot de bain une pièce. Un modèle particulier qui se fermait avec une sorte de lacet dans le cou.
Elle sortit et marcha vers la plage. Étrangement celle-ci paraissait déserte, sans doute en raison de l’excursion, mais plus sûrement en raison des gros nuages noirs qui s’étendaient au-dessus de la mer.
Elle aperçut un homme au loin. Mais oui on dirait bien François. Il était assis dans le sable et se leva à son approche. Ils marchèrent l’un vers l’autre.
Les nuages progressaient dans le ciel.
François était torse nu. Elle le trouva très attirant avec ses larges épaules, ses poignée d’amour mais ses abdos puissants se devinant bien et son beau sourire.
Elle se sentit moche et peu désirable.
« Bonjour Anne.
- bonjour François, je me croyais seule. J’ai vu ta femme ce matin en prenant le pain elle m’a dit qu’elle partait en excursion je te croyais avec elle. »
Il sourit « Non il y avait la fenêtre de la chambre qui ne fermait plus j’ai du la réparer, tout comme notre lit. Mais vous n’êtes pas partis Gilles et toi.
- Gilles si mais moi j’avais envie de rester seule et je connais bien la ville. »
Le temps se gâtait de plus en plus.
Ils continuèrent à parler. Une tension sexuelle commençait à se nouer entre eux.
François sentait le début d’une érection espérant que cela ne se verrait pas.
Soudain le vent forcit. Anne frissonna.
« Ouh il commence à faire froid je vais rentrer »
Mais avant que François ne puisse répondre d’un seul coup, la pluie se mit à tomber. Aussitôt sans se concerter ils se mirent à courir vers le village-vacances sous un déluge. Ils arrivèrent près du premier bungalow, là ou elle avait entendu le couple faire l’amour. Le numéro 117 enlevait toute ambiguïté.
François s’arrêta devant prit la clé derrière le volet, et ouvrit la porte. Elle comprit aussitôt : le couple qui faisait l’amour était Valérie et François.
Elle s’arrêta. François lui cria :
« Viens, entre. »
Elle hésita un moment, mais frissonnante et dégoulinante elle se précipita dans le bungalow. Il referma la porte.
« Attends ». Lui dit-il.
Il alla dans la pièce à côté et revint presque aussitôt avec deux grandes serviette. Il en tendit une à Anne.
Elle était tendue. Ils commencèrent à s’essuyer en se regardant, face à face. François sentait l’érection revenir. Elle-même était partagée un sentiment de culpabilité et de désir mêlés. François s’essuyait le torse, essayant de cacher ce début d’érection avec sa serviette.
« Tu veux que je t’essuie le dos ? »
Avant même qu’elle puisse dire quoi que ce soit il se rapprocha d’elle et en la regardant dans les yeux il commença à lui essuyer l’arrière de la nuque.
Il voyait les seins d’Anne gonfler et dégonfler au rythme de sa respiration, signe d’appréhension de la suite et de désir.
« Tu es très belle
- merci. » Elle rougit.
A ce moment le désir prit le pas sur tout le reste il y avait là une femme et un homme qui se désiraient. Leurs lèvres se touchèrent, les langues se trouvèrent. Ils entamèrent un long baiser, enlacé s alors que la pluie crépitait sur le toit. Les langues tournaient l’une autour de l’autre dans une bouche puis dans l’autre. Un baiser sensuel, voluptueux, érotique. Anne sentait les picotements dans son bas-ventre. L’érection de François augmentait. Anne sentait sa virilité contre son corps ce qui accroissait son désir, elle lui montrait en accentuant le baiser.
Enfin, essoufflés ils s’arrêtèrent. Il regarda dans yeux et passa ma main dans son cou il tira sur le fil et délicatement descendit le haut du maillot de main d’Anne. Il fit des baisers sur les épaules nues puis continua le lent effeuillage dévoilant les seins puis le ventre en la caressant et en lui faisant des baisers. Il le descendit jusqu’au nombril puis au pubis.
« Tu es belle. »
De fait, jamais elle ne s’était sentie aussi belle, aussi désirable, aussi femme.
Laissant le maillot de bain pendre à sa taille, lentement il remonta le long du corps, lui faisant des bisous et la caressant, du pubis au cou en t’attardant sur les seins. Elle ferma les yeux, roucoulant, caressant les épaules de son amant. Il redescendit et s’agenouilla devant elle il posa des mains de chaque côté du maillot et a fixa du regard. Puis en regardant le bas-ventre d’Anne, il fit descendre le maillot de bain, dévoilant son intimité. Il le descendit complètement elle leva une jambe puis l’autre pour qu’il le lui retire complètement. Il regarda la toison fournie de la femme puis attrapa la serviette et en la regardant à nouveau dans les yeux, il entreprit de lui sécher les fesses et le bas ventre. Il passa doucement la serviette sur le sexe, s’attardant entre les jambes. Elle les écarta légèrement l’encourageant dans cette voie. Il laissa tomber la serviette et de ces mains lui caressa son intimité. Nul doute que l’humidité de son sexe venait du désir et non plus de l’eau de pluie.
Il la caressa doucement, écartant légèrement ses lèvres de ses doigts. Elle haleta et gémit.
Il se releva. Il aurait voulu lui demander de retirer son maillot de bain, mais il savait par expérience qu’il ne fallait pas en demander de trop à une femme mariée qui trompait pour la première fois son mari. Il le retira lui-même. Le sexe jaillit, tendu.
Il l’enserra contre son corps, poitrine contre poitrine, elle sentait son sexe contre son ventre. Ils reprirent un baser encore plus torride.
Maintenant, elle n’avait plus qu’un désir qui lui brûlait les entrailles : qu’il la prenne, qu’il fasse d’elle sa femme, qu’ils deviennent un couple.
Il sentait cela à son attitude à sa façon de le coller au baiser qu’elle lui faisait. ‘était sa langue à elle qui maintenant menait le bal.
Lentement tout en l’embrassant il la mena vers la chambre. Ils se retrouvèrent sur le lit. Là-même ou il ,avait fait l’amour si longuement et à plusieurs reprises avec sa femme la ville au soir et dans la nuit.
Ils s’embrassèrent se caressaient. Elle était sur le dos Il s’allongea contre elle ; Il lui caressa le visage :
« Tu es belle. »
d’une main il jouait avec ses poils pubiens.
« Je veux te faire l’amour, tu veux »
Elle tourna la tête vers lui :
« Oui »
Il se leva très rapidement et revint avec deux échantillons de préservatifs.
Il retira l’emballage d’un et l’enfila sur son sexe, tandis qu’elle le regardait faire.
Il se plaça au-dessus d’elle pour lui faire l’amour. Il lui embrassa le cou les seins puis avança et guida son sexe à l’entrée de son vagin.
Il entra dans son sexe bien préparé, le plus loin possible et sans bouger chercha sa langue pour un nouveau baiser. Elle lui enlaçait la poitrine pendant l baiser. Son plaisir était déjà intense. Elle sentit déjà les prémisses légers d’un orgasme.
Il poussa doucement sur son bassin en restant au fond puis petit à petit de plus en plus puissamment commença le va-et-vient. Il se redressa sur les mains pour pouvoir la dévisager.
Elle haletait la bouche ouverte agrippant le drap de ma main gauche, gémissait. Il accentua le va-et-vient la vitesse, variant l’intensité et la profondeur. Le lit claquait et grinçait au milieu du bruit fait par la pluie qui tombait au dehors. Elle haletait et hoquetait de plus en plus, les gémissements devenaient plus intenses. Elle sentait un gouffre s’ouvrir qui l’appelait elle tenta de résister mais le plaisir fit le plus fort :
« aaaah »
Son premier cri l’encouragea et il continua très vigoureusement. Elle sentit les spasmes monter dans son ventre par vague augmenter et diminuer mais le plaisir restait intense après ce premier orgasme. Il continua lui arrachant des cris à chaque poussée. Puis il se retira et lui prit les jambes qu’il plaça sur ses épaules et la reprit ainsi s’allongeant sur elle.
Il poussait très fort à chaque fois. Son corps était repoussé sous ses assauts. Il poussait encore quand il était au fond.
Le lit claquait, grinçait, Français ahanait, Anne criait. Plusieurs fois, elle sentit des orgasmes.
Elle perdait contact avec la réalité, elle n’était que plaisir. Son corps se tendit dans des spasmes et des contractions. Elle étendit à peine son amant qui criait au moment même ou il jouissait. Elle voyait les étoiles.
Il se retira. Le corps d’Anne tremblait complètement. Les jambes agitées de soubresauts.
Elle ne pensait plus à rien, le corps en sueur, le sexe béant, inondé de sa jouissance. Elle était bien ……. Elle était devenue femme.
Elle mit très longtemps à retrouver ses esprits. Elle tourna la tête vers son amant. Son regard était empreint d’un mélange étrange fait de surprise, de reconnaissance et un on ne sait quoi … pas de l’amour, quoique …
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Superbe histoire. Le ressenti est bien mis en lumière. Du classique qui fait du bien ....
Le plaisir de l adultère et puis vient le moment ou le mari apparait et là on ne rit plus et vlan c est le divorce pour la conne .
Sinon si elle s’emmerde elle divorce.
On sent du vécu chez Anne. Je la trouve touchante par ses hésitations. En plus c'est du sexe responsable (avec préservatif), une belle histoire mais à mon avis, cela ne va pas en rester là !!!
Une belle histoire bien écrite.
Le ressenti d'Anne est bien décrit.
Le ressenti d'Anne est bien décrit.