Anne et Jackie - histoire érotique

Dans le taxi, déjà, Anne demande des caresses précises, tant pis si la « chauffeuse » sens sa
cyprine, elle veut jouir avant d’arriver chez moi. Pour me forcer à la faire jouir, elle se met sur
moi, sort ma bite et me suce comme à son habitude: fort bien.
J’arrive à me débarrasser de sa bouche, non pas que je n’en ai pas envie, mais jouir, là devant
l’autre femme qui nous espionne dans le rétroviseur, c’est plus fort que moi. J’arrive à arranger ma
bite tant bien que mal: nous arrivons.
Dès le porche passé, Anne reprend, je ne sais pourquoi elle tient à me sucer. J’arrive à la
dissuader pour attendre que nous soyons dans mon appartement au 1° étage.
Devant ma porte, assise sur le paillasson, Jackie, mon ex depuis un mois. Anne ne se pose pas de
question, une autre femme ? Tant mieux, nous serons aussi bien à trois qu’à deux. Pour s’amuser,
elle prend Jackie par les chevilles pour la trainer à l’intérieur. Je connais assez Anne pour savoir
qu’elle aime ce qu’elle fait. Le temps de me retourner pour fermer la porte, je vois un spectacle
que beaucoup aimerai contempler: Anne est dans le compas des jambes de Jackie qui n’a pas l’air de
s’en plaindre. La robe est remontée bien au dessus le la taille, pas de sous vêtement apparent. Anne
admire le sexe de mon ex.
- Je ne pensais pas qu’un con soit aussi excitant.
- Tu as envie d’elle ?
- Pourquoi pas si elle veut.
Jackie nous écoute pour apprécier:
- Oui, j’aimerai gouter avec une autre femme.
- C’est vrai tu veux que je te caresse ?
- Et plus si tu veux.
Voilà deux nanas qui ne se connaissaient pas deux minutes avant qui sont prêtes à s’aimer. Et moi
alors ?
Elles s’en foutent visiblement. Anne trouve les agrafes qui tiennent la robe de Jackie, la lui
enlève: elle est nue dessous. C’est facile dans ces conditions.
Jackie se lève pour à son tour devenir une disciple d’Eve. Elle revient vers Jackie. Elles ne vont
pas se faire l’amour par terre, même sur un tapis ?
C’est mal les connaitre: j’ai baisé avec les deux pas ensemble, elles sont aussi dingues de plaisir
l’une que l’autre. C’est en plus leur premier essai en lesbianisme. C’est un fait qu’il nous ai
arrivé de faire l’amour à trois et qu’elles aiment ça, mais là elle ne se connaissent pas encore.
Ce que je crains arrive, elles restent sur le tapis.
Jackie, décidément est en veine de sucer un sexe, le mien tout à l’heure, celui de mon ex
maintenant, commence pas caresser les seins de Jackie. Elle les sucent savamment, comme si elle
n’avait jamais fait autre chose de sa vie. L’autre se laisse faire, profitant de la caresse pour
fermer le yeux. Anne change de seins. Elle veut faire le choses bien. Toutefois elle passe une main
sur le ventre de sa conquête. Elle la descend bien en dessous de ce que la morale permet. La main
passe entre les jambes caresse l’intérieur.
Elle sait bien peloter mon amie Anne. Jackie se laisse bercer par ce qu’elle ressent.
Les filles ne se rendent pas compte de mon état: j’ai la bite plus droite que jamais. Je suis obligé
de la sortir de son étui. Je voudrai bien baiser Anne qui ne se sert pas de son abricot fendu. C’est
bien la première fois qu’elle refuse une bite, elle ne me veut même plus dans la bouche.
Je n’ai plus qu’une solution me branler. Je ne sais ce qui me retient; la pudeur, je suis impudique
au possible; la honte de faire ça devant deux filles ? Je n’en sais rien, je reste comme je suis, nu
et bandant.
Anne termine la visite des cuisses de Jackie, elle est maintenant dans le vif du sujet. Elle fait le
tour du sexe pour aller plus haut: elle écarte les lèvres intimes pour faire ressortir le clitoris
qui de toute façon bande déjà un peu. Sa dextérité est remarquable: elle agit exactement comme elle
se fait devant moi.
Jackie n’a aucun moyen de résister. Elle rue un peu en jouissant, comme je l’ai vu faire avant. Son
amante n’en a pas finit: elle lui met deux doigts dans la gaine des plaisirs. Elle la branle encore
cette fois en l’embrassant encore.
Jackie n’a pas peur de se retourner pour prendre le dessus. Même si elle a la chatte occupée, elle
ne se gène pas pour essayer et réussir à branler Anne.
Elles se masturbent de concert: c’est de plus en plus chaud pour moi. J’ai besoin d’un endroit où
abriter paupol: mes mains, pas question, alors ailleurs dans un corps de femme.
Enfin elles bougent: elles se mettent en 69. C’est Jackie qui est dessus. Tant pis pour elle, je
vais la sodomiser, même si nous avons rompu depuis un mois. Je vais sur elle, je vais pour la lui
mettre quand Anne s’interpose: elle voit ma bite arriver sur le cul de sa nouvelle amie, elle prend
la cyprine dans la chatte de Jackie pour que je coulisse mieux. C’est vrai que j’entre facilement
dans ce rectum. Je le connaissais bien. Il me semble ne l’avoir jamais quitté.
Je suis tout au fond de son arrière train: elle ne sent plaint pas, au contraire puisqu’elle arrête
de sucer la chatte d’Anne un moment. Je me retiens pour ne pas jouir. Je sors de ce trou pour faire
durer le plaisir. Les deux filles jouissent pratiquement ensemble. Elles se relèvent en se donnant
la main. Je compte pour du beurre ou quoi ?
Elles vont dans la chambre, se couchent et me laisse la place entre elles.
Cette fois je suis enfin au centre de leurs attentions. Elles m’embrassent comme si c’était leurs
premières fois. Elles ne manquent pas de s’embrasser aussi juste au dessus de moi. Maintenant elles
s’occupent bien de moi. Jackie passe une main entre mes jambes, pendant qu’Anne prend ma bite: elle
la caresse pas comme pour une masturbation, plutôt pour un hors d’œuvre: elle me gratte à peine de
pubis avant de la prendre à pleine main pour la relâcher, pendant que mes couilles font l’attention
de Jackie.
Je bande de plus en plus. Enfin elles s’occupe de ma pine: elles se disputent presque le gland. Qui
n’a jamais eu deux bouches sur la bite est à plaindre. C’est une véritable festival: elle mettent
dans cette fellation tout leur art et Dieu sait si elle en ont. Elle savent s’arrêter pour que je ne
jouisse pas encore; je n’attends que ça: une bonne éjaculation.
Ainsi j’ai sur la bite une main de Jackie, sa bouche et celle d’Anne. Je ne vais pas tarder enfin à
jouir.
Les garces, elles me laisse tomber: c’est-ce que je crois:
Elle me couche bien comme il faut sur le dos, Anne vient sur moi, prend ma queue pour la poser sur
son cul, se laisse entrainer par la gravité pour l’avoir au plus profond de son ventre.
Jackie veut aussi profiter de moi: elle s’assois carrément sur ma bouche. Je peux refaire
connaissance avec les trésors de sa chatte: son clitoris, ses lèvres, son vagin et surtout son
anus. Je sais que si ma langue est à cet endroit elle va ouvrir d’elle-même son cul. Elle danse sur
ma langue pendant qu’Anne dans sur ma bite.
Cette fois je peux me laisser aller à jouir facilement. Je sens avec grand plaisir mon foutre
jaillir de ma bite.
Les filles restent comme elles sont: je suis prisonnier volontaire du sexe d’Anne. Même Jackie reste
sur ma bouche. Enfin elle se retourne pour rester quand même sur ma bouche, Anne libère ma pine que
Jackie prend dans sa bouche, elle me suce encore une fois. Tout son, art est déployée; elle me fait
bander très vite. Sa langue s’enroule sur le gland. C’est une spécialiste des bouches profondes. Je
me sens comme dans son con. Ses lèvres semblent avoir été crées pur mon plaisir.
Anne vient aider, elle pose un doigt sur mon cul, y entre une puis deux phalanges qu’elle fait aller
et venir dans le même rythme que la bouche qui me suce. Je vide le reste de sperme dans la bouche:
elles se le partage dans un long baiser.