ANNE MA VOISINE
Récit érotique écrit par ARNO [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2008 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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ANNE MA VOISINE
L’HISTOIRE QUE JE VAIS VOUS RACONTER EST UNE HISTOIRE VRAIE QUE JE VEUX PARTAGER.
JE M’APPELLE ARNO MARIE DEUX ENFANTS. J’HABITE DANS L’EST DE LA FRANCE DANS UN PETIT LOTTISSEMENT AVEC DES VOISINS SYMPAS ET UNE VOISINE !!!
ELLE S APPELLE ANNE. MARIEE 3 ENFANTS BRUNE LES YEUX MARRONS UN CORPS BIEN PROPORTIONNE AVEC UN DE SES CULS ET SURTOUT UNE GROSSE PAIRE DE LOCHES QUI PENDENT LEGEREMENT AVEC JE PENSE DE GROSSES OREOLES TOUT CE QUE J’AIME.
JE LA MATTE COMME UN SALAUD LORSQUE L’ON SE REUNI POUR UN APERO OU UN REPAS DISCRETEMENT BIEN SUR.
JE ME SOUVIENS UN JOUR A LA PISCINE MUNICIPALE LA PREMIERE FOIS QUE JE LA VOIS EN MAILLOT AVEC SES GROSSES MAMELLES JE MATTE COMME UN FOU JE PARS AUX TOILETTES ET ME BRANLE POUR ME CALMER.
JE VOIS AUSSI TOUS CES COCHONS PERE DE FAMILLE COMME MOI QUI NE PEUVENT S EMPECHER DE REGARDER SES GROS SEINS.
DANS LES DOUCHES AVANT DE PARTIR JE ME RINCE L OEIL UNE DERNIERE FOIS ET JE PENSE QU’ELLE LE REMARQUE ET SE RETOURNE LA HONTE JE SUIS GENE.
ELLE ME FAIT FANTASMER ET IL M’ARRIVE DE ME BRANLER COMME UN ADO EN PENSANT A ELLE. MAIS ELLE EST TELLEMENT INACCESSIBLE JUSQU’A CE JOUR !!!
C’ETAIT UN LUNDI JE ROULE EN VILLE ET J’APERCOIS ANNE QUI MONTE EN VITESSE DANS UNE VOITURE. JE LE CONNAIS IL BOSSE AVEC ELLE. BIZARRE JE PENSE TOUT DE SUITE QU’ELLE EST INFIDELE ET LES SUIS EN VOITURE. APRES UNE DIZAINE DE KILOMETRES ILS TOURNENT DANS UNE IMPASSE EN PLEINE CAMPAGNE. JE COMPRENDS LES DEPASSE ET M’ARRETE PLUS LOIN.
JE LES REJOINS À PIED A TRAVERS UN PETIT BOIS QUI LONGE LA ROUTE. ILS S’EMBRASSENT DEBOUT CONTRE UN VIEUX BATIMENT JE SUIS ASSEZ LOIN MAIS JE VOIS TOUT. IL LUI MASSE LES SEINS LE SALAUD IL EST EXCITE LUI PELOTE LE CUL ET ELLE SE BAISSE. CE N’EST PAS VRAI! ELLE LE SUCE PENDANT 2 MINUTES TOUT JUSTE ET IL GEMIT LE SALAUD JE DEVINE QU’IL EJACULE DANS SA BOUCHE! AH LA SALOPE QUI AURAIT DIT!
JE M ECLIPSE AVEC MON PORTABLE A LA MAIN J’AI PRIS 2 PHOTOS OU ON LES DISTINGUE JE BANDE. JE VAIS LA FAIRE MARCHER.
PLUS FACILE A DIRE QU’A FAIRE ON VOIT CA QUE DANS LES FILMS DE CULS.
UN JOUR JE ME LANCE ON EST LUNDI ELLE NE BOSSE PAS. JE SONNE ELLE OUVRE ME FAIT LA BISE.
« SALUT RENTRE »
« UN CAFE »
NOUS VOILA A TABLE DANS SA CUISINE JE BANDE COMME J’AI JAMAIS BANDE JE CROIS.
OSE ! ALLEZ J’ATTAQUE
« JE T’AI VU L’AUTRE JOUR AVEC TON COLLEGUE DE BOULOT »
« AH ET ALORS »
« JE VOUS AI SUIVI J’AI DES PHOTOS » SON VISAGE CHANGE
« C’EST DEGUEULASSE » « NE DIT RIEN A PERSONNE S’IL TE PLAIT »
« CA N’AVAIT PAS L’AIR SI DEGUEULASSE QUE CA «
« C EST BON TU VEUX QUOI ALORS » ME DIT ELLE AGACEE
« LA MEME CHOSE » ELLE NE DIT RIEN MEME PAS DE COLERE
JE ME RAPPROCHE
« OK »
« GROS COCHON TOUS LES MEME OK MAIS UNE FOIS C’EST TOUT JE SUIS PAS UNE PUTE »
JE ME LEVE LA REGARDE ELLE A PAS L’AIR TROP FAROUCHE JE PASSE DERRIERE ELLE ET LUI CARESSE SES SEINS A TRAVERS SON CHEMISIER. PUTAIN MON REVE C EST BON JE LES MALAXE.
« SUCE MOI »
ELLE SE RETOURNE ET OUVRE MON PANTALON ET GOBE MON SEXE SANS RIEN DIRE. ELLE SUCE BIEN J’EN REVIENS PAS. JE SUIS EXCITE.
ON SE LEVE JE LUI MONTRE LE CANAPE. JE LUI DEFAIT SON SOUSTIF ET LA JE VOIS SES 2 GROSSES LOCHES COMME JE LES IMAGINE. JE LES SUCE LES LECHES. SON SLIP MAINTENANT.
« PUTAIN T’ES BONNE »
« TA GUEULE »
VOILA SA CHATTE. JE LA TOUCHE ELLE MOUILLE UN PEU. JE LA LECHE MAINTENANT ET ELLE GLOUSSE COMME POUR SE RETENIR DE JOUIR CETTE COCHONNE.
ET C EST PARTI ME VOILA DERRIERE ELLE ET JE LA PENETRE LA BOURRE COMME UN SALAUD PUTAIN C EST BON. ON S’ARRETE JE LUI MET UN DOIGT DANS LE CUL.
« PAS DE SODOMIE ME DIT ELLE »
OK C’EST DEJA PAS MAL ET JE LUI REPRENDS SA CHATTE ELLE MOUILLE PAS MAL MAINTENANT JE LUI REMET UN DOIGT DANS LE CUL EN MEME TEMPS. C’EST BON JE VAIS GICLER.
« SUCE MOI LA »
ELLE S EXECUTE ET ME SUCE JE LUI RENTRE MA BITE ENTIEREMENT DANS SA GUEULE.
« OH PUTAIN » JE LUI GICLE DANS LA BOUCHE C’EST TROP BON. ELLE RALE
« TU PEUX Y ALLER « ME DIT ELLE SIMPLEMENT JE N’INSISTE PAS.
VOILA MON HISTOIRE ON SE REVOIT TOUJOURS EN COUPLE MAIS CE N’EST PLUS PAREIL ANNE EST PLUS DISTANTE MAIS JE M’EN FOU SURTOUT JE PENSE QU’ELLE A APPRECIE AUSSI MAIS ON EN A JAMAIS REPARLE.
JE M’APPELLE ARNO MARIE DEUX ENFANTS. J’HABITE DANS L’EST DE LA FRANCE DANS UN PETIT LOTTISSEMENT AVEC DES VOISINS SYMPAS ET UNE VOISINE !!!
ELLE S APPELLE ANNE. MARIEE 3 ENFANTS BRUNE LES YEUX MARRONS UN CORPS BIEN PROPORTIONNE AVEC UN DE SES CULS ET SURTOUT UNE GROSSE PAIRE DE LOCHES QUI PENDENT LEGEREMENT AVEC JE PENSE DE GROSSES OREOLES TOUT CE QUE J’AIME.
JE LA MATTE COMME UN SALAUD LORSQUE L’ON SE REUNI POUR UN APERO OU UN REPAS DISCRETEMENT BIEN SUR.
JE ME SOUVIENS UN JOUR A LA PISCINE MUNICIPALE LA PREMIERE FOIS QUE JE LA VOIS EN MAILLOT AVEC SES GROSSES MAMELLES JE MATTE COMME UN FOU JE PARS AUX TOILETTES ET ME BRANLE POUR ME CALMER.
JE VOIS AUSSI TOUS CES COCHONS PERE DE FAMILLE COMME MOI QUI NE PEUVENT S EMPECHER DE REGARDER SES GROS SEINS.
DANS LES DOUCHES AVANT DE PARTIR JE ME RINCE L OEIL UNE DERNIERE FOIS ET JE PENSE QU’ELLE LE REMARQUE ET SE RETOURNE LA HONTE JE SUIS GENE.
ELLE ME FAIT FANTASMER ET IL M’ARRIVE DE ME BRANLER COMME UN ADO EN PENSANT A ELLE. MAIS ELLE EST TELLEMENT INACCESSIBLE JUSQU’A CE JOUR !!!
C’ETAIT UN LUNDI JE ROULE EN VILLE ET J’APERCOIS ANNE QUI MONTE EN VITESSE DANS UNE VOITURE. JE LE CONNAIS IL BOSSE AVEC ELLE. BIZARRE JE PENSE TOUT DE SUITE QU’ELLE EST INFIDELE ET LES SUIS EN VOITURE. APRES UNE DIZAINE DE KILOMETRES ILS TOURNENT DANS UNE IMPASSE EN PLEINE CAMPAGNE. JE COMPRENDS LES DEPASSE ET M’ARRETE PLUS LOIN.
JE LES REJOINS À PIED A TRAVERS UN PETIT BOIS QUI LONGE LA ROUTE. ILS S’EMBRASSENT DEBOUT CONTRE UN VIEUX BATIMENT JE SUIS ASSEZ LOIN MAIS JE VOIS TOUT. IL LUI MASSE LES SEINS LE SALAUD IL EST EXCITE LUI PELOTE LE CUL ET ELLE SE BAISSE. CE N’EST PAS VRAI! ELLE LE SUCE PENDANT 2 MINUTES TOUT JUSTE ET IL GEMIT LE SALAUD JE DEVINE QU’IL EJACULE DANS SA BOUCHE! AH LA SALOPE QUI AURAIT DIT!
JE M ECLIPSE AVEC MON PORTABLE A LA MAIN J’AI PRIS 2 PHOTOS OU ON LES DISTINGUE JE BANDE. JE VAIS LA FAIRE MARCHER.
PLUS FACILE A DIRE QU’A FAIRE ON VOIT CA QUE DANS LES FILMS DE CULS.
UN JOUR JE ME LANCE ON EST LUNDI ELLE NE BOSSE PAS. JE SONNE ELLE OUVRE ME FAIT LA BISE.
« SALUT RENTRE »
« UN CAFE »
NOUS VOILA A TABLE DANS SA CUISINE JE BANDE COMME J’AI JAMAIS BANDE JE CROIS.
OSE ! ALLEZ J’ATTAQUE
« JE T’AI VU L’AUTRE JOUR AVEC TON COLLEGUE DE BOULOT »
« AH ET ALORS »
« JE VOUS AI SUIVI J’AI DES PHOTOS » SON VISAGE CHANGE
« C’EST DEGUEULASSE » « NE DIT RIEN A PERSONNE S’IL TE PLAIT »
« CA N’AVAIT PAS L’AIR SI DEGUEULASSE QUE CA «
« C EST BON TU VEUX QUOI ALORS » ME DIT ELLE AGACEE
« LA MEME CHOSE » ELLE NE DIT RIEN MEME PAS DE COLERE
JE ME RAPPROCHE
« OK »
« GROS COCHON TOUS LES MEME OK MAIS UNE FOIS C’EST TOUT JE SUIS PAS UNE PUTE »
JE ME LEVE LA REGARDE ELLE A PAS L’AIR TROP FAROUCHE JE PASSE DERRIERE ELLE ET LUI CARESSE SES SEINS A TRAVERS SON CHEMISIER. PUTAIN MON REVE C EST BON JE LES MALAXE.
« SUCE MOI »
ELLE SE RETOURNE ET OUVRE MON PANTALON ET GOBE MON SEXE SANS RIEN DIRE. ELLE SUCE BIEN J’EN REVIENS PAS. JE SUIS EXCITE.
ON SE LEVE JE LUI MONTRE LE CANAPE. JE LUI DEFAIT SON SOUSTIF ET LA JE VOIS SES 2 GROSSES LOCHES COMME JE LES IMAGINE. JE LES SUCE LES LECHES. SON SLIP MAINTENANT.
« PUTAIN T’ES BONNE »
« TA GUEULE »
VOILA SA CHATTE. JE LA TOUCHE ELLE MOUILLE UN PEU. JE LA LECHE MAINTENANT ET ELLE GLOUSSE COMME POUR SE RETENIR DE JOUIR CETTE COCHONNE.
ET C EST PARTI ME VOILA DERRIERE ELLE ET JE LA PENETRE LA BOURRE COMME UN SALAUD PUTAIN C EST BON. ON S’ARRETE JE LUI MET UN DOIGT DANS LE CUL.
« PAS DE SODOMIE ME DIT ELLE »
OK C’EST DEJA PAS MAL ET JE LUI REPRENDS SA CHATTE ELLE MOUILLE PAS MAL MAINTENANT JE LUI REMET UN DOIGT DANS LE CUL EN MEME TEMPS. C’EST BON JE VAIS GICLER.
« SUCE MOI LA »
ELLE S EXECUTE ET ME SUCE JE LUI RENTRE MA BITE ENTIEREMENT DANS SA GUEULE.
« OH PUTAIN » JE LUI GICLE DANS LA BOUCHE C’EST TROP BON. ELLE RALE
« TU PEUX Y ALLER « ME DIT ELLE SIMPLEMENT JE N’INSISTE PAS.
VOILA MON HISTOIRE ON SE REVOIT TOUJOURS EN COUPLE MAIS CE N’EST PLUS PAREIL ANNE EST PLUS DISTANTE MAIS JE M’EN FOU SURTOUT JE PENSE QU’ELLE A APPRECIE AUSSI MAIS ON EN A JAMAIS REPARLE.
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Les avis des lecteurs
Texte en majuscules : à ne jamais faire ! De plus, mal orthographié. Cela dit ce souvenir sympathique aurait mérité un récit moins grossier.
