Antoine et Sophie 3 (la fin)
Récit érotique écrit par Maitre A [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Antoine et Sophie 3 (la fin)
L’acte constitutif
Sophie s’était endormie. Elle s’éveilla en sursaut pour constater la présence de Karine. Celle-ci lui sourit et lui dit :
« Je vois que tu as bien profité de cet intermède. Il est temps de manger quelque chose avant la suite. Je t’ai apporté un plateau. Manges et je viendrais te chercher dans un moment. »
Jetant un œil à sa montre, Sophie constata qu’il était près de 19h30. Karine lui avait apporté de quoi bien se restaurer. Environ 30mn plus tard, Karine était de retour. Toujours en tenue de Maîtresse, elle tenait un collier de cuir à la main, ainsi qu’une laisse de la même matière.
« Chaque fois que tu sera avec moi et, parfois, dans d’autres circonstances, tu devras porter ce collier. Approches que je te le mette… »
Sophie comprenait bien ce qui ce jouait. Docile, elle se laissa équiper et suivi sa Maîtresse qui la tenait en laisse. Dans le salon, il y avait deux hommes, dans la cinquantaine, pas très beaux, qui étaient assis sur un canapé de cuir.
« Messieurs, je vous présente Sophie, ma chienne soumise, qui va subir votre examen d’expertise. Si, comme je le crois, elle est déclarée apte, après cette séance, elle entrera, définitivement, dans cette catégorie qui vous plait tant. Il vous sera, donc, possible de profiter de son corps, moyennant une contribution qui vous est habituelle. Aussi, n’hésitez pas à lui faire subir un examen très consistant… »
Cette fois, Sophie savait que les choses allaient devenir très sérieuses. Les deux hommes se levèrent. Le plus imposant physiquement, lui ordonna de s’agenouiller et de les sucer conjointement. Dans la seconde, ils avaient sorti leur bite. L’une était très longue, l’autre, très épaisse. En pensant à celle de son mari, elle se dit que, décidément, il ne pourrait pas rivaliser avec eux. Il avait un sexe de longueur très banale et d’un diamètre très inférieur, même au moins gros des deux ! Elle commença à les sucer. Ils bandaient déjà bien, mais, rapidement, elle constata que ces deux queues étaient d’une dureté exceptionnelle. Karine avait prit une caméra numérique et elle filmait. Sophie avait un peu de mal à faire une gorge profonde avec la longue bite, qui devait avoisiner les 25 cm. Et la grosse lui faisait mal aux mâchoires.
« Messieurs, il est temps de vous équiper pour sonder ma petite chienne. Capotes obligatoires ! »
On lui ordonna de cesser et longue queue lui dit qu’elle devait venir s’empaler sur lui, en lui tournant le dos. Il s’allongea et elle s’installa à califourchon, enfonçant le sexe dans sa chatte très humide. Elle poussa un râle de contentement une fois la bite bien au fond de son vagin. Putain, qu’est qu’il la transperçait… L’homme la saisi par les seins et il la fit s’allonger sur lui. Alors, l’autre vint s’installer entre les jambes de son copain. Sophie fut surprise lorsqu’il lui saisit les chevilles et qu’il lui releva les jambes très hautes. Mais, elle comprit quand il plaça son gland à l’entrée de sa chatte, déjà occupée. Il ne lui fut pas très difficile de s’introduire dans ce vagin, contre la bite de son partenaire. Une double vaginale ! Incroyable ! Mais très vite, elle sentit qu’elle allait prendre un pied monumental. Grosse teub donnant le rythme, le trio commença une danse qui devait la faire jouir à plusieurs reprises, si fort, qu’elle cru mourir… Les deux hommes semblaient inépuisables. Grosse queue sortit de sa chatte et il lui ordonna de changer de sens. Elle pivota sur la longue bite et celui-ci l’attira contre lui, pour lui rouler une pelle, qu’elle ne put refuser. L’instant d’après, les mains de l’autre, lui écartèrent les fesses. Il glissa un, puis deux doigts dans son anus. Il avait mit du gel et elle savait qu’il voulait l’enculer. Mais, sa bite était si grosse qu’elle redoutait l’acte et elle pensa qu’il allait, au mieux, la déchirer.
« Ne t’inquiète pas, ma belle, ils sont experts et ta rondelle ne souffrira pas trop d’un bon ramonage au gros calibre !!! Il t’arrivera d’en prendre de plus grosses, crois moi… »
Bientôt, le gland força sur son œillet et elle eut très mal quand il entra en elle. Les larmes aux yeux, elle s’efforça de ne pas manifester sa douleur. Sa Maîtresse le lui reprocherait ! Sophie sentait que par cet examen, elle passait à l’acte constitutif de ce qui allait être son nouveau statut. Une putain soumise à une Maîtresse exigeante et belle comme une déesse ! Elle voulait que Karine soit fière d’elle et la récompense après. Cette première double fut une épreuve qui lui procura un très bel orgasme, peu avant que les deux hommes ne jouissent dans leurs capotes… Sophie resta sans bouger, assommée par la jouissance, durant de longues minutes. Les deux hommes sortir leurs queues et Karine les nettoya, avec sa bouche. Comme grosse bite rebandait, elle lui enfila un préservatif et lui offrit son cul, qu’il défonça longuement, ce qui fit rebander son copain. Une fois équipé, il se joignit à eux et Karine fut prise en double. Ils finirent par une double anale, qui fit frissonner Sophie !
Les hommes prirent congé et Karine, se saisissant de la laisse, emmena Sophie dans une très belle salle de bain, pour une toilette très douce et intime, avec des caresses qui illuminèrent Sophie. Puis, elle décida qu’il était temps de partir. Sophie constata qu’il était près de minuit et qu’elles venaient de passer près d’une heure dans la salle d’eau !
« Nous allons allez dormir chez moi, ma chérie. Antoine devrait rentrer d’ici peu et je ne tiens pas à le voir ni a ce qu’il te baise comme il en aura envie. Nous verrons ça demain. Il faudra bien le remercier de nous avoir prêté sa maison et de nous avoir unies !!! »
Sophie pu remettre ses vêtements et Karine enfila un manteau léger. Puis, Sophie conduisant, elles allèrent chez Karine. Elle habitait un petit pavillon, en location précisa t elle, dans un lotissement très ordinaire. Une fois à l’intérieur, elle ordonna à Sophie de se mettre nue et lui remit sa laisse. Karine de déshabilla intégralement et elles allèrent se coucher.
La nuit fut longue et réparatrice. Quand Sophie ouvrir les yeux, elle constata qu’il était près de 10h. Karine, qui était aussi en train de se réveiller, lui sourit.
« Nous allons aller nous restaurer, je pense que tu as aussi faim que moi, non ? »
« Oui, j’ai assez faim, Maîtresse. »
« Très bien, je vois que tu as le bon reflex… Ici, tu resteras nue toute la journée. Avant toute chose, je dois t’équiper d’un plug anal. Ta rondelle est trop étroite et il faut que nous la travaillons quotidiennement ! Aller, mets toi à quatre pattes que je t’enfile ça dans le fion. »
Le plug était assez petit et il entra sans lubrification. Elles allèrent prendre un solide petit déjeuner. Karine avait remis la laisse à sa soumise et elle lui demanda de manger à ses pieds. Pour finir, Sophie du faire un cunnilingus jouissif à sa Maîtresse qui lui délivra une grosse quantité de mouille !
« Antoine viendra vers 13h. Il veut nous baiser toutes les deux pour solde de tout compte… J’ai bien envie d’en profiter pour te prendre pendant qu’il t’enculera ! J’ai un magnifique god ceinture qui va te régaler, ma salope !!! »
Antoine arriva un peu après l’heure prévue. Il alla directement dans la chambre, où Sophie l’attendait nue, allongée sur le grand lit. Karine l’accompagnait et elle retira ses vêtements puis elle s’agenouilla devant lui, pour lui tailler une pipe, qui impressionna Sophie. Karine avait une capacité buccale exceptionnelle ! Elle engouffrait la queue sans hésitation, même si, de toute évidence, elle n’aimait pas spécialement les hommes. Antoine ordonna à Sophie de se placer en levrette et il la pénétra puissamment. Il la fit jouir deux fois avant de prendre Karine, dans la même position. Il se vida les couilles dans le con de Karine, qui ne jouit pas.
« Pendant que je recharge, amusez vous entre filles… »
Karine sortit un gros god à ceinture d’un tiroir et elle le fixa à sa taille. Puis, elle l’enfila dans la chatte de Sophie et elle lui fit, durement, prendre son pied. Ensuite, Sophie du bouffer la chatte de Karine et elle lui donna un très bel orgasme. Comme Antoine rebandait, il demanda à Karine de lui offrir son cul. Pour cela, Karine voulu innover. Sophie fut placée au centre du lit. Karine lui releva les jambes très hautes et elle lui plaça l’énorme god sur la rondelle. Sophie ayant pris du très gros calibre avec les deux vieux, le god ne peina pas trop à l’enculer. Alors, Antoine fut invité à prendre place dans le cul de Karine. Il ne se fit pas prier et le trio entama une gigue incroyable, qui vit les deux filles jouir abondamment avant que l’homme ne se vide dans les reins de Karine… Sophie fut surprise de constater que sa Maîtresse jouissait du cul, mais pas de la chatte. Plus tard, elle apprendrait que cela venait du fait que Karine avait été enculée dès l’âge de 13 ans et pendant plus de 5 ans, par l’amant de sa mère. Il n’avait jamais prit sa chatte et elle avait beaucoup souffert avant de finir par jouir de ces rapports imposés !
Après une douche, Antoine déclara qu’il devait partir, car il avait une salope à visiter. Karine sembla heureuse de le voir partir si tôt. Elle emmena Sophie dans la salle de bain, où elle la doucha avec une tendresse étonnante. Puis, elle fit rhabiller sa soumise et lui ordonna de regagner son foyer.
« Bien entendu, je t’interdis de baiser avec ton cocu. S’il insiste, tu m’appelles et je te dirai si je t’autorise à lui céder et ce que tu peux lui faire. Ne t’avise pas de me désobéir ! Je le saurais et tu le regretteras quand je te punirais ! Vois tu, contrairement à ce que tu crois, ton mari sait parfaitement que tu es tombée dans mes griffes avec l’aide d’Antoine… Il est même l’instigateur de ce grand changement dans ta vie !!! »
Stupéfaite, Sophie quitta la maison de Karine et regagna son foyer, en pensant que son mari était fou de l’avoir, ainsi, pervertie….
Sophie s’était endormie. Elle s’éveilla en sursaut pour constater la présence de Karine. Celle-ci lui sourit et lui dit :
« Je vois que tu as bien profité de cet intermède. Il est temps de manger quelque chose avant la suite. Je t’ai apporté un plateau. Manges et je viendrais te chercher dans un moment. »
Jetant un œil à sa montre, Sophie constata qu’il était près de 19h30. Karine lui avait apporté de quoi bien se restaurer. Environ 30mn plus tard, Karine était de retour. Toujours en tenue de Maîtresse, elle tenait un collier de cuir à la main, ainsi qu’une laisse de la même matière.
« Chaque fois que tu sera avec moi et, parfois, dans d’autres circonstances, tu devras porter ce collier. Approches que je te le mette… »
Sophie comprenait bien ce qui ce jouait. Docile, elle se laissa équiper et suivi sa Maîtresse qui la tenait en laisse. Dans le salon, il y avait deux hommes, dans la cinquantaine, pas très beaux, qui étaient assis sur un canapé de cuir.
« Messieurs, je vous présente Sophie, ma chienne soumise, qui va subir votre examen d’expertise. Si, comme je le crois, elle est déclarée apte, après cette séance, elle entrera, définitivement, dans cette catégorie qui vous plait tant. Il vous sera, donc, possible de profiter de son corps, moyennant une contribution qui vous est habituelle. Aussi, n’hésitez pas à lui faire subir un examen très consistant… »
Cette fois, Sophie savait que les choses allaient devenir très sérieuses. Les deux hommes se levèrent. Le plus imposant physiquement, lui ordonna de s’agenouiller et de les sucer conjointement. Dans la seconde, ils avaient sorti leur bite. L’une était très longue, l’autre, très épaisse. En pensant à celle de son mari, elle se dit que, décidément, il ne pourrait pas rivaliser avec eux. Il avait un sexe de longueur très banale et d’un diamètre très inférieur, même au moins gros des deux ! Elle commença à les sucer. Ils bandaient déjà bien, mais, rapidement, elle constata que ces deux queues étaient d’une dureté exceptionnelle. Karine avait prit une caméra numérique et elle filmait. Sophie avait un peu de mal à faire une gorge profonde avec la longue bite, qui devait avoisiner les 25 cm. Et la grosse lui faisait mal aux mâchoires.
« Messieurs, il est temps de vous équiper pour sonder ma petite chienne. Capotes obligatoires ! »
On lui ordonna de cesser et longue queue lui dit qu’elle devait venir s’empaler sur lui, en lui tournant le dos. Il s’allongea et elle s’installa à califourchon, enfonçant le sexe dans sa chatte très humide. Elle poussa un râle de contentement une fois la bite bien au fond de son vagin. Putain, qu’est qu’il la transperçait… L’homme la saisi par les seins et il la fit s’allonger sur lui. Alors, l’autre vint s’installer entre les jambes de son copain. Sophie fut surprise lorsqu’il lui saisit les chevilles et qu’il lui releva les jambes très hautes. Mais, elle comprit quand il plaça son gland à l’entrée de sa chatte, déjà occupée. Il ne lui fut pas très difficile de s’introduire dans ce vagin, contre la bite de son partenaire. Une double vaginale ! Incroyable ! Mais très vite, elle sentit qu’elle allait prendre un pied monumental. Grosse teub donnant le rythme, le trio commença une danse qui devait la faire jouir à plusieurs reprises, si fort, qu’elle cru mourir… Les deux hommes semblaient inépuisables. Grosse queue sortit de sa chatte et il lui ordonna de changer de sens. Elle pivota sur la longue bite et celui-ci l’attira contre lui, pour lui rouler une pelle, qu’elle ne put refuser. L’instant d’après, les mains de l’autre, lui écartèrent les fesses. Il glissa un, puis deux doigts dans son anus. Il avait mit du gel et elle savait qu’il voulait l’enculer. Mais, sa bite était si grosse qu’elle redoutait l’acte et elle pensa qu’il allait, au mieux, la déchirer.
« Ne t’inquiète pas, ma belle, ils sont experts et ta rondelle ne souffrira pas trop d’un bon ramonage au gros calibre !!! Il t’arrivera d’en prendre de plus grosses, crois moi… »
Bientôt, le gland força sur son œillet et elle eut très mal quand il entra en elle. Les larmes aux yeux, elle s’efforça de ne pas manifester sa douleur. Sa Maîtresse le lui reprocherait ! Sophie sentait que par cet examen, elle passait à l’acte constitutif de ce qui allait être son nouveau statut. Une putain soumise à une Maîtresse exigeante et belle comme une déesse ! Elle voulait que Karine soit fière d’elle et la récompense après. Cette première double fut une épreuve qui lui procura un très bel orgasme, peu avant que les deux hommes ne jouissent dans leurs capotes… Sophie resta sans bouger, assommée par la jouissance, durant de longues minutes. Les deux hommes sortir leurs queues et Karine les nettoya, avec sa bouche. Comme grosse bite rebandait, elle lui enfila un préservatif et lui offrit son cul, qu’il défonça longuement, ce qui fit rebander son copain. Une fois équipé, il se joignit à eux et Karine fut prise en double. Ils finirent par une double anale, qui fit frissonner Sophie !
Les hommes prirent congé et Karine, se saisissant de la laisse, emmena Sophie dans une très belle salle de bain, pour une toilette très douce et intime, avec des caresses qui illuminèrent Sophie. Puis, elle décida qu’il était temps de partir. Sophie constata qu’il était près de minuit et qu’elles venaient de passer près d’une heure dans la salle d’eau !
« Nous allons allez dormir chez moi, ma chérie. Antoine devrait rentrer d’ici peu et je ne tiens pas à le voir ni a ce qu’il te baise comme il en aura envie. Nous verrons ça demain. Il faudra bien le remercier de nous avoir prêté sa maison et de nous avoir unies !!! »
Sophie pu remettre ses vêtements et Karine enfila un manteau léger. Puis, Sophie conduisant, elles allèrent chez Karine. Elle habitait un petit pavillon, en location précisa t elle, dans un lotissement très ordinaire. Une fois à l’intérieur, elle ordonna à Sophie de se mettre nue et lui remit sa laisse. Karine de déshabilla intégralement et elles allèrent se coucher.
La nuit fut longue et réparatrice. Quand Sophie ouvrir les yeux, elle constata qu’il était près de 10h. Karine, qui était aussi en train de se réveiller, lui sourit.
« Nous allons aller nous restaurer, je pense que tu as aussi faim que moi, non ? »
« Oui, j’ai assez faim, Maîtresse. »
« Très bien, je vois que tu as le bon reflex… Ici, tu resteras nue toute la journée. Avant toute chose, je dois t’équiper d’un plug anal. Ta rondelle est trop étroite et il faut que nous la travaillons quotidiennement ! Aller, mets toi à quatre pattes que je t’enfile ça dans le fion. »
Le plug était assez petit et il entra sans lubrification. Elles allèrent prendre un solide petit déjeuner. Karine avait remis la laisse à sa soumise et elle lui demanda de manger à ses pieds. Pour finir, Sophie du faire un cunnilingus jouissif à sa Maîtresse qui lui délivra une grosse quantité de mouille !
« Antoine viendra vers 13h. Il veut nous baiser toutes les deux pour solde de tout compte… J’ai bien envie d’en profiter pour te prendre pendant qu’il t’enculera ! J’ai un magnifique god ceinture qui va te régaler, ma salope !!! »
Antoine arriva un peu après l’heure prévue. Il alla directement dans la chambre, où Sophie l’attendait nue, allongée sur le grand lit. Karine l’accompagnait et elle retira ses vêtements puis elle s’agenouilla devant lui, pour lui tailler une pipe, qui impressionna Sophie. Karine avait une capacité buccale exceptionnelle ! Elle engouffrait la queue sans hésitation, même si, de toute évidence, elle n’aimait pas spécialement les hommes. Antoine ordonna à Sophie de se placer en levrette et il la pénétra puissamment. Il la fit jouir deux fois avant de prendre Karine, dans la même position. Il se vida les couilles dans le con de Karine, qui ne jouit pas.
« Pendant que je recharge, amusez vous entre filles… »
Karine sortit un gros god à ceinture d’un tiroir et elle le fixa à sa taille. Puis, elle l’enfila dans la chatte de Sophie et elle lui fit, durement, prendre son pied. Ensuite, Sophie du bouffer la chatte de Karine et elle lui donna un très bel orgasme. Comme Antoine rebandait, il demanda à Karine de lui offrir son cul. Pour cela, Karine voulu innover. Sophie fut placée au centre du lit. Karine lui releva les jambes très hautes et elle lui plaça l’énorme god sur la rondelle. Sophie ayant pris du très gros calibre avec les deux vieux, le god ne peina pas trop à l’enculer. Alors, Antoine fut invité à prendre place dans le cul de Karine. Il ne se fit pas prier et le trio entama une gigue incroyable, qui vit les deux filles jouir abondamment avant que l’homme ne se vide dans les reins de Karine… Sophie fut surprise de constater que sa Maîtresse jouissait du cul, mais pas de la chatte. Plus tard, elle apprendrait que cela venait du fait que Karine avait été enculée dès l’âge de 13 ans et pendant plus de 5 ans, par l’amant de sa mère. Il n’avait jamais prit sa chatte et elle avait beaucoup souffert avant de finir par jouir de ces rapports imposés !
Après une douche, Antoine déclara qu’il devait partir, car il avait une salope à visiter. Karine sembla heureuse de le voir partir si tôt. Elle emmena Sophie dans la salle de bain, où elle la doucha avec une tendresse étonnante. Puis, elle fit rhabiller sa soumise et lui ordonna de regagner son foyer.
« Bien entendu, je t’interdis de baiser avec ton cocu. S’il insiste, tu m’appelles et je te dirai si je t’autorise à lui céder et ce que tu peux lui faire. Ne t’avise pas de me désobéir ! Je le saurais et tu le regretteras quand je te punirais ! Vois tu, contrairement à ce que tu crois, ton mari sait parfaitement que tu es tombée dans mes griffes avec l’aide d’Antoine… Il est même l’instigateur de ce grand changement dans ta vie !!! »
Stupéfaite, Sophie quitta la maison de Karine et regagna son foyer, en pensant que son mari était fou de l’avoir, ainsi, pervertie….
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une fin en queue de poisson qui coupe toute l’intrigue principale: la femme va t elle quitter son mari et lui va t il decouvrir le pot aux roses !
Peu intéressante… personnage trop classique, , la seule trame c est la perversion de la femme qui surprise a la fin on apprend que le mari est l’instigateur….
Merci pour ce dernier épisode, à la hauteur des deux précédents
plaisir de vous lire bientôt
un admirateur de vos textes
B.
plaisir de vous lire bientôt
un admirateur de vos textes
B.