antoinette la soubrette 3/3 - histoire érotique

Eve était à genoux sur la table derrière moi et me retenait passant son bras autour de mon cou, cécile elle, a attraper mes tétons et en entrepris de les pincer, les tordre et me les allonger jusqu'à un point incroyable, j'avais déjà des seins proéminant pour un mec mais alors la pour le coup c'était impressionnant Eve me ricanait dans les oreilles
- oh bon sang les gros nichons de salope t'a pas honte putasse , la prochaine fois on te collera un bonnet d'âne sur le crane et je te claquerais cul pour t'entendre braire comme une ânesse , cécile qui avait fini par lâcher mes tétons qu'elle avait d'ailleurs bien déformer s'esclaffa
- ah oui parfait, antoinette l'ânesse, ça te va bien aussi
je sentait qu'elle me regardait et moi je regardait ma queue toujours aussi dure et tendue
- ohlala ma pauvre ta la bite toute dure hein, t'aimerais bien qu'on joue avec, eh ben non ce sera pour une autre fois, Eve doit partir, t'en sera pour t'astiquer toute seule chez toi ma grosse larve.
- ah oui bon sang t'a raison je me sauve je vais être en retard.
elle a filer comme le vent me laissant seul avec ma reine mais elle m'annonça qu'elle en avait marre , elle m'attrapa par les couilles pour me décoller de la table et me tirer jusqu'à la porte d'entrée
- bien je suis satisfaite de cette première fois entre nous, tu t'es avérée être encore plus larve que je l'imaginais c'est parfait
- merci mademoiselle
- ouais bon je vais à nouveau être très claire Eve t'a trouvé un bon surnom, donc dorénavant tu t'appellera antoinette quand je t'appellerai par son surnom tu livreras ton gros cul ici vite fait
surtout tu ne détrompera personne qui t'appellera par ton surnom bien au contraire ce sera la preuve que cette personne saura ce que tu es , tu diras même merci à cette personne pour t'avoir nommer selon ta condition et à juste place, t'a vraie place de larve , dernière chose les boules de geishas que tu as dans le fion devrons y rester jusqu'à nouvel ordre et au minimum 7 jours durant, retrait temporaire autoriser pour le passage aux toilettes mais ensuite retour immédiat dans ton trou, je peux mandater Eve à tous moments pour vérification, tu devras lui présenter ton cul bien écarté à deux mains , tout est clair grosse larve?
- oui mademoiselle tout est clair
- encore heureux, il me semble que je m'exprime distinctement donc je te conseille de ne pas me faire perdre mon temps ni jamais me faire répéter mes ordres, je t'ai asse vue, donc tu sors comme tu es entrée
elle ouvrit la porte et je sortais donc à 4 pattes , une fois sur le palier je ne vit pas mes vetements , cécile s'aperçu également de leurs disparitions, je voyait a son sourire qu'elle avait compris voir même qu'elle était à l'origine de cette disparition , elle s'accouda à la rambarde de son palier et me désigna le hall en bas, j'avançait toujours à 4 pattes et vit à travers les barreaux mes fringues éparpillés le long de la cage d'ascenseur
- Eve vraiment qu'elle vilaine fille
cécile ria de bon cœur, son rire résonna quelques secondes avant qu'elle ne claque sa porte, je me précipitait en bas descendant les marches 4 à 4, les boules de geishas vibrait dans mon cul , je m'habillait en vitesse, sauf slip et chaussettes qui avaient complètement disparues , je boutonnait ma chemise quand j'entendit
- t'as de la chance qu'elle n'est pas embarqué toutes tes fringues
ma reine était accouder à sa rambarde du 5ème , je dis
- oui mademoiselle, vous la remercierez pour moi s'il vous plait de m'avoir laisser chaussures, pantalon et chemise,
- je n'y manquerais pas, au fait j'espère que tu sais attraper je vais cracher alors ouvre ton bec en grand et sois précis
sur ce elle c'est raclée la gorge et un gros glaviot à chuter du 5ème, une demi réussite j'en ai pris autant sur le nez que dans la bouche , je me léchait les lèvres
- la grosse larve comment tu t'appelles déjà ?
- antoinette mademoiselle;
- bien aller fiche le camp
je suis sortie dans la rue dans un état second, fébrile et pas encore tout a fait conscient de commencer une nouvelle vie mais ensuite dans la rue, les boules de geishas me rappelaient constamment leur présence et j'avais cette honteuse sensation comme durant tout le trajet du retour en bus que tous les passants que je croisais savaient parfaitement que je me trimbalait avec une grosse paire de boule de geishas dans le trou du cul mais cela ne risquait pas de s'arranger puisque je partait pour rester rempli 7 jours.
antoinette.