Appelle moi Madame 2
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2014 dans la catégorie Plus on est
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Appelle moi Madame 2
Le lendemain matin je reprends mon service normalement. Madame me regarde à peine, Monsieur est le même : il ne sait rien. Je prépare le repas de midi. Monsieur et Madame s’amusent toujours comme à tous les repas, Madame se fait masturber et elle branle Monsieur : je retrouve toujours une tâche de sperme.
Hier elle m’avait dit que nous reprendrions nos jeux cet après midi. En espérant que nous arrivions à nous aimer encore, toujours admiratrice de la masturbation dès ce matin en me réveillant, je suis passée sous la douche. Une fois l’eau à la bonne température, je me suis glissée sous le jet qui m’a éclaboussé partout. J’ai pris le jet dans ma main, je l’ai dirigé sur ma chatte. J’aime cette sensation de me faire jouir sans me toucher. Je me laisse aller complètement, au point de m’assoir, les jambes ouvertes avec seulement le jet que je dirige avec les pieds.
Maintenant je suis prête, même si Madame veux s’amuser comme hier. Le repas se passe comme d’habitude, je vais même me masturber dans la cuisine en les voyant se branler comme ils font. J’envie un peu ma patronne Jo qui dispose du corps de son mari et du mien. J’ai bien réfléchi depuis hier, si Monsieur venait à nous surprendre je le laisserai me faire ce qu’il veut : c’est un bel homme sexy.
Mon service terminé je retourne dans ma chambre. Comme hier j’ai envie de me branler. Je le fais sans crainte : même si Madame me voit, elle ne pourra rien me dire puisqu’elle me l’a fait elle-même hier. Malheureusement aujourd’hui je n’ai pas de chance, je jouis juste avant qu’elle vienne me chercher.
Ce qui me surprend est sa tenue : si hier elle était vêtue normalement, aujourd’hui elle ne porte que son peignoir transparent, ouvert sur son corps. Elle est magnifique.
- Allons Suzanne, venez dans ma chambre.
Elle accompagne sa demande d’un geste sur ma chatte. Elle passe une main sous ma jupe pour aller chercher mon clitoris qu’elle effleure à peine, manière de dire je vais te faire jouir.
Dans la chambre elle enlève elle-même son peignoir, m’embrasse avant d’aller plus loin. Nos langues se reconnaissent. Elle m’enlève les quelques vêtements que je porte pour apparaitre dans la tenue d’Eve. Comme elle est assise et moi encore debout, elle pose sa langue sur les lèvres de mon sexe. Je mouille déjà depuis un moment. J’écarte les jambes pour faciliter son entrée.
- Eh bien Suzanne, c’est à toi de me faire du bien.
- Oui Madame……pardon Jo.
- Je préfère : quand nous nous amusons je suis Jo. Viens sur le lit à coté de moi, branlons nous ensemble.
Décidément elle ne pense qu’à ça, un peu comme moi d’ailleurs ; même si j’aimerai bien avoir une bite dans mon ventre : elle a sa dose avec son mari. Elle pourrait me le prêter un peu de temps en temps.
Pour le moment, j’ai sa main sur ma chatte. Elle me masturbe fort bien, elle entre trois doigts dans le vagin, ce que je lui rends : elle est au moins aussi mouillée que moi. Je me penche vers sa poitrine pour sucer ses tétons qui bandent fort. Elle a des besoins supérieurs à ceux d’hier.
- Jo, j’ai envie de te sucer.
- Oui, Suzanne suce moi bien, mets aussi des doigts dans mon con.
Je n’hésite pas, je la renverse sur le lit, je me mets entre ses jambes pour voir encore son sexe merveilleux. Je dispose ses jambes sur mes épaules, ma tête est rapidement sur son trésor. Je la lèche depuis l’anus jusqu’au bouton. Là je reste collée à elle, ma langue seule bouge. Mon index retourne comme hier sur son anus. Trempée comme elle est je ne prends aucune précaution. Mon doigt entre plus que facilement. Je branle son cul comme elle aime. Mes aller et venues durent longtemps. Elle soupire plus qu’hier, sans doute le plaisir d’être avec une fille qui la satisfait. Je la fait jouir plusieurs fois :
- Arrête maintenant, faisons un bon 69.
- Comme tu veux, faisons le durer, pas court comme hier.
- Si tu veux
Nous voilà enfin réunies par les langues et les doigts. J’aime bien sa langue dans ma chatte, ainsi que ses doigts qui fouillent mon cul. Moi, j’essaie comme hier d’entrer ma langue dans son rectum : elle ouvre son cul pour me faciliter l’introduction du bout de langue. Cette simili sodomie la fait jouir, elle aime bien se servir du cul.
Elle me le rend en mettant plusieurs doigts dans le mien. Bien sur je jouis.
Arrive un moment où je ne sais pas exactement ce qu’elle veut me faire, elle entre deux doigts dans le vagin elle en rentre un autre puis tous, je sens mon vagin se distendre complètement. Je me rends compte enfin qu’elle me fait une chose que je ne connais pas encore, toute sa main est dans mon ventre. Elle a tout mis jusqu’à mis avant bras. J’ai un peu mal et pourtant je ressens un plaisir immense. Je jouis plusieurs fois ainsi. Je cri ma jouissance, ce cri amène Monsieur.
- Que faites-vous ?
- Tu vois nous baisons. Tu veux te payer la bonne ?
- Elle me plaît assez, je vais la farcir devant toi.
- Attention elle a le con occupé par ma main ?
- Tu ne changeras jamais, tu aimes les filles.
- Toi non sans doute.
- Toi, je te baiserais après elle.
La main sort de mon ventre. Je regarde Monsieur qui se met nu. Belle bite en tout cas, s’il me la met je sais que je vais bien jouir.
Jo me fait coucher à plat dos, j’écarte les jambes, remises de mes émotions, mon vagin a reprit sa forme normale. Jo est juste à mes coté pour m’embrasser encore. Monsieur, lui vient sur moï pour me caresser les seins et l’intérieur des cuisses. Je sens bien sa main qui cherche mon intimité. Il est un peu moins doux que Jo, mais c’est un homme.
- Tu as aimé ce que t’a fait Jo ?
- Oui Monsieur.
- Non Gérard. Monsieur se sera après.
- Bien Gérard, J’ai adoré cette façon de me branler : Jo m’a faite jouir plusieurs fois rien qu’avec sa main.
- Tu sais comme ça s’appelle ?
- Non
- Elle t’a fisté. Nous pouvons te le faire devant et derrière. Jo adore que je la fiste derrière.
Je ne savais pas.
- Tu apprendras pas mal de chose avec nous, surtout avec Jo qui est la reine de la baise.
- Elle m’a appris à baiser une femme, j’aime bien, je préférerais maintenant ta bite.
Je viens te la mettre, tu la veux où ?
- Devant la première fois.
- Et ensuite au cul, je suppose. Tu es aussi corrompue que ma femme.
En attendant il vient sur moi sans se coucher. Il tient sur ses bras pour voir comment je réagis. Qu’il me mette la queue ça me suffit. Il me la met facilement : il est dur comme une barre de fer. Elle fait du bien par où elle passe, je la sens approfondir ma chatte ; il me semble que personne ne m’a jamais baisé tellement il me la met bien. J’accompagne ses va-et-vient je jouis plusieurs fois sans qu’il y prête attention. Il me finit en fanfare : je cri dans la dernière jouissance. Jo m’embrasse pendant la durée de l’accouplement.
Il me tourne sur le ventre. Je sens qu’il écarte les fesses. Je force pour ouvrir mon cul : je dois bien y arriver puisqu’il m’encule facilement. Je sens la main de Jo qui passe dessous pour venir me caresser le clito. Je suis terrassée par l’orgasme qui suit. Je suis totalement hors course. Je reste sur le lit pour voir ce couple faire l’amour normalement, si normalité existe dans cette maison.
Pourtant j’ai la surprise le soir au repas : ils sont toujours nus, ils se branlent devant moi. Je dois maintenant les servir nue, rester nue toute la journée, à leur service en cas d’envie de baise. Surtout en trio. Finalement je suis bien dans cette maison, payée, « habillée » nourrie et baisée souvent. ? Que demander de mieux.
Hier elle m’avait dit que nous reprendrions nos jeux cet après midi. En espérant que nous arrivions à nous aimer encore, toujours admiratrice de la masturbation dès ce matin en me réveillant, je suis passée sous la douche. Une fois l’eau à la bonne température, je me suis glissée sous le jet qui m’a éclaboussé partout. J’ai pris le jet dans ma main, je l’ai dirigé sur ma chatte. J’aime cette sensation de me faire jouir sans me toucher. Je me laisse aller complètement, au point de m’assoir, les jambes ouvertes avec seulement le jet que je dirige avec les pieds.
Maintenant je suis prête, même si Madame veux s’amuser comme hier. Le repas se passe comme d’habitude, je vais même me masturber dans la cuisine en les voyant se branler comme ils font. J’envie un peu ma patronne Jo qui dispose du corps de son mari et du mien. J’ai bien réfléchi depuis hier, si Monsieur venait à nous surprendre je le laisserai me faire ce qu’il veut : c’est un bel homme sexy.
Mon service terminé je retourne dans ma chambre. Comme hier j’ai envie de me branler. Je le fais sans crainte : même si Madame me voit, elle ne pourra rien me dire puisqu’elle me l’a fait elle-même hier. Malheureusement aujourd’hui je n’ai pas de chance, je jouis juste avant qu’elle vienne me chercher.
Ce qui me surprend est sa tenue : si hier elle était vêtue normalement, aujourd’hui elle ne porte que son peignoir transparent, ouvert sur son corps. Elle est magnifique.
- Allons Suzanne, venez dans ma chambre.
Elle accompagne sa demande d’un geste sur ma chatte. Elle passe une main sous ma jupe pour aller chercher mon clitoris qu’elle effleure à peine, manière de dire je vais te faire jouir.
Dans la chambre elle enlève elle-même son peignoir, m’embrasse avant d’aller plus loin. Nos langues se reconnaissent. Elle m’enlève les quelques vêtements que je porte pour apparaitre dans la tenue d’Eve. Comme elle est assise et moi encore debout, elle pose sa langue sur les lèvres de mon sexe. Je mouille déjà depuis un moment. J’écarte les jambes pour faciliter son entrée.
- Eh bien Suzanne, c’est à toi de me faire du bien.
- Oui Madame……pardon Jo.
- Je préfère : quand nous nous amusons je suis Jo. Viens sur le lit à coté de moi, branlons nous ensemble.
Décidément elle ne pense qu’à ça, un peu comme moi d’ailleurs ; même si j’aimerai bien avoir une bite dans mon ventre : elle a sa dose avec son mari. Elle pourrait me le prêter un peu de temps en temps.
Pour le moment, j’ai sa main sur ma chatte. Elle me masturbe fort bien, elle entre trois doigts dans le vagin, ce que je lui rends : elle est au moins aussi mouillée que moi. Je me penche vers sa poitrine pour sucer ses tétons qui bandent fort. Elle a des besoins supérieurs à ceux d’hier.
- Jo, j’ai envie de te sucer.
- Oui, Suzanne suce moi bien, mets aussi des doigts dans mon con.
Je n’hésite pas, je la renverse sur le lit, je me mets entre ses jambes pour voir encore son sexe merveilleux. Je dispose ses jambes sur mes épaules, ma tête est rapidement sur son trésor. Je la lèche depuis l’anus jusqu’au bouton. Là je reste collée à elle, ma langue seule bouge. Mon index retourne comme hier sur son anus. Trempée comme elle est je ne prends aucune précaution. Mon doigt entre plus que facilement. Je branle son cul comme elle aime. Mes aller et venues durent longtemps. Elle soupire plus qu’hier, sans doute le plaisir d’être avec une fille qui la satisfait. Je la fait jouir plusieurs fois :
- Arrête maintenant, faisons un bon 69.
- Comme tu veux, faisons le durer, pas court comme hier.
- Si tu veux
Nous voilà enfin réunies par les langues et les doigts. J’aime bien sa langue dans ma chatte, ainsi que ses doigts qui fouillent mon cul. Moi, j’essaie comme hier d’entrer ma langue dans son rectum : elle ouvre son cul pour me faciliter l’introduction du bout de langue. Cette simili sodomie la fait jouir, elle aime bien se servir du cul.
Elle me le rend en mettant plusieurs doigts dans le mien. Bien sur je jouis.
Arrive un moment où je ne sais pas exactement ce qu’elle veut me faire, elle entre deux doigts dans le vagin elle en rentre un autre puis tous, je sens mon vagin se distendre complètement. Je me rends compte enfin qu’elle me fait une chose que je ne connais pas encore, toute sa main est dans mon ventre. Elle a tout mis jusqu’à mis avant bras. J’ai un peu mal et pourtant je ressens un plaisir immense. Je jouis plusieurs fois ainsi. Je cri ma jouissance, ce cri amène Monsieur.
- Que faites-vous ?
- Tu vois nous baisons. Tu veux te payer la bonne ?
- Elle me plaît assez, je vais la farcir devant toi.
- Attention elle a le con occupé par ma main ?
- Tu ne changeras jamais, tu aimes les filles.
- Toi non sans doute.
- Toi, je te baiserais après elle.
La main sort de mon ventre. Je regarde Monsieur qui se met nu. Belle bite en tout cas, s’il me la met je sais que je vais bien jouir.
Jo me fait coucher à plat dos, j’écarte les jambes, remises de mes émotions, mon vagin a reprit sa forme normale. Jo est juste à mes coté pour m’embrasser encore. Monsieur, lui vient sur moï pour me caresser les seins et l’intérieur des cuisses. Je sens bien sa main qui cherche mon intimité. Il est un peu moins doux que Jo, mais c’est un homme.
- Tu as aimé ce que t’a fait Jo ?
- Oui Monsieur.
- Non Gérard. Monsieur se sera après.
- Bien Gérard, J’ai adoré cette façon de me branler : Jo m’a faite jouir plusieurs fois rien qu’avec sa main.
- Tu sais comme ça s’appelle ?
- Non
- Elle t’a fisté. Nous pouvons te le faire devant et derrière. Jo adore que je la fiste derrière.
Je ne savais pas.
- Tu apprendras pas mal de chose avec nous, surtout avec Jo qui est la reine de la baise.
- Elle m’a appris à baiser une femme, j’aime bien, je préférerais maintenant ta bite.
Je viens te la mettre, tu la veux où ?
- Devant la première fois.
- Et ensuite au cul, je suppose. Tu es aussi corrompue que ma femme.
En attendant il vient sur moi sans se coucher. Il tient sur ses bras pour voir comment je réagis. Qu’il me mette la queue ça me suffit. Il me la met facilement : il est dur comme une barre de fer. Elle fait du bien par où elle passe, je la sens approfondir ma chatte ; il me semble que personne ne m’a jamais baisé tellement il me la met bien. J’accompagne ses va-et-vient je jouis plusieurs fois sans qu’il y prête attention. Il me finit en fanfare : je cri dans la dernière jouissance. Jo m’embrasse pendant la durée de l’accouplement.
Il me tourne sur le ventre. Je sens qu’il écarte les fesses. Je force pour ouvrir mon cul : je dois bien y arriver puisqu’il m’encule facilement. Je sens la main de Jo qui passe dessous pour venir me caresser le clito. Je suis terrassée par l’orgasme qui suit. Je suis totalement hors course. Je reste sur le lit pour voir ce couple faire l’amour normalement, si normalité existe dans cette maison.
Pourtant j’ai la surprise le soir au repas : ils sont toujours nus, ils se branlent devant moi. Je dois maintenant les servir nue, rester nue toute la journée, à leur service en cas d’envie de baise. Surtout en trio. Finalement je suis bien dans cette maison, payée, « habillée » nourrie et baisée souvent. ? Que demander de mieux.
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