Appelle moi Madame 5
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2014 dans la catégorie Plus on est
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Appelle moi Madame 5
Aujourd’hui je vais sortir de la maison. Je dois faire des petites courses pour moi. Madame me prête une de ses robes. Je sens que je vais faire des ravages en ne portant que cette chose minuscule, à condition que je ne me fasse pas arrêter pour exhibitionnisme : par transparence on peut voir ma raie fessière, mon sexe, ma poitrine. Je n’espère qu’une seule chose c’est que ma cyprine ne se voit pas quand je vais jouir avec les boules de geisha.
C’est bon de prendre l’air sur sa chatte et ses fesses, en plus quand on a de la distraction dans son sexe. Je n’ai pas à aller bien loin : je suis obligée de m’appuyer aux murs quand les spasmes du plaisir viennent dans mon ventre. Je me retiens de gémir malgré les quelques sons qui sortent de ma gorge. C’est bon d’avoir des orgasmes forts devant les gens. S’ils savaient…
Je trouve un banc dans un jardin public où m’assoir un moment. Malgré moi j’écarte un peu les jambes ma chatte est visible. Un jeune d’une vingtaine d’année vient près de moi. A priori je n’ai rien à craindre de lui. Sauf qu’il est entreprenant à sa façon
- J’ai envie de vous.
- Que voulez vous que ça me fasse ?
- Vous êtes baisable, j’ai vu votre con, il est mouillé.
Je vais pour partir quand il me retient par le bras.
- Reste avec moi, je vais te montrer ma bite.
Sans que je puisse réagit il sort un bon morceau de pine qui bande. Je regarde son sexe avec un début de désir au fond de mon ventre. Seulement je pense que j’ai encore les boules de geisha. Tans pis et pour moi et pour lui.
Pour le faire tenir tranquille je prends sa bite à pleine main. Je le branle comme je sais faire, c’est-à-dire à long coups de va-et-vient pour arrêter complètement. Il se cambre sous ma caresse, je reprends jusqu’à son éjaculation. Il veut me récompenser en me masturbant. Je ne le veux pas, je suis nue, totalement nue dessous.
Je pars vers ma destination : il entre sa bite dans son pantalon. Je trouve en route le magasin de mode où Madame a acheté des gentillesses pour moi. J’entre à mon tour, en un instant je suis servie par une jeune demoiselle que je verrais bien avec moi dans un lit, c’est d’ailleurs (elle en rougit) ce que je lui dis en payant mon achat : un gode double à double usage, soit pour une femme qui peut ainsi se baiser et s’enculer, soit pour un couple pour pénétrer les divers trous que le bon dieu nous a donné.
J’entre un peu plus tard à la maison, Madame est seule, nue évidemment. Il est presque midi, je fais réchauffer de quoi manger pour que mes patrons passent à table. Pour ne pas avoir à changer de nappe après l’éjaculation de Monsieur je lui ai donné un mouchoir en papier: il a sourit.
La petite promenade m’a un peu fatiguée. Je me couche toujours nue, je ferme les yeux quand ma main trouve seule le passage pour le clitoris. Je me demande comment il se fait qu’il ne s’use pas à force de le caresser.
Bien sur Madame arrive à ce moment là.
- Tu te branle encore, pardon de te déranger, je voudrais savoir ce que tu as acheté.
- De quoi jouir ensemble toutes les deux.
- Montre-le-moi
Je sors le gode pour qu’elle le voit.
- On va se le mettre entre nous.
Sans aller plus loin elle se couche à mes cotés pour m’embrasser. Jo est une impulsive. Je sais qu’un d’un seul baiser sur ses seins, elle fera ce que je voudrais. Je veux que nous jouissions toutes les deux. Je choisi la vulve, elle veut se faire enculer.
Pas de problème. Je la fais coucher sur le ventre face à mon cul. Je mouille le gode le plus possible. Je commence à le rentrer dans l’anus. Madame commence déjà à gémir de plaisir. Je m’approche d’elle pour pouvoir recevoir dans mon ventre le reste du gode. Je le rentre dans ma vulve, je commence moi aussi à gémir. Je manœuvre le gode de ma main droite : la gauche est sur un sein que je triture. Jo me laisse faire ce que je veux : en matière de sexe, nous sommes aussi libérées l’une que l’autre. Je voudrais savoir :
- Dis-moi chérie (je me mets moi aussi à l’appeler ainsi) si tu faisais ça avec Monsieur, tu le lui mettras dans le cul. Il acceptera tu crois ?
- Je ne sais pas, je lui mets bien un doigt quand il me baise il l’accepte toujours.
- On pourra essayer ce soir ?
- Bien sur mon amour.
Sur ces mots faux sans doute je l’embrasse longuement en lui passant une main sur toute la chatte qui est drôlement mouillée.
Elle ne part pas, elle m’invite dans sa salle de bain où un jacuzzi est installé. Je ne connais pas l’utilisation sexuelle de cette baignoire japonaise. Toujours nue, elle ouvre les robinets. Quand l’engin est plein elle fait jaillir les bulles d’air avant de m’inviter à entrer. J’y suis bien avec ses bulles qui caressent tout mon corps. Jo est juste derrière moi, ses mains sur mes seins, sa bouche sur mon cou.
- Branle-toi, c’est bon de le faire là dedans.
- Et toi, amour ?
- Je me mettrai juste les pieds dans l’eau, tu pourras me sucer. J’ai besoin de ta langue sur ma chatte, mon amour chéri.
Nous échangeons des mots d’amour couramment. Je sens ses mains sur mes seins : elle me pelote un peu moins bien que Monsieur, mais qu’elle douceur. Je sais qu’elle regarde ma main qui dans ma chatte donne les plaisirs raffinés de la masturbation.
Enfin elle entre comme elle m’a dit : ses deux jambes sont près de moi, je me penche à peine pour avoir sa chatte sur ma bouche. Quel gout supérieur que sa cyprine : je ne m’en lasse pas. Elle jouit juste avant de se lever.
Quand Monsieur arrive nous sommes deux pour l’accueillir. Nous nous disons bonjour par un baiser sur la bouche et une caresse sur les sexes. Ce n’est qu’une habitude charmante à prendre. Madame commence à parler :
- Tu sais nous venons de baiser avec Suzanne.
- Vous êtes des salopes l’une et l’autre, et moi dans tout ça ?
- On a pensé à toi.
- Qu’est-ce que c’est.
- Tu verras après.
Ils passent à table, comme à tous les repas, Monsieur branle madame qui le lui rend ensuite. Je suis satisfaite quand Monsieur jouit dans le mouchoir en papier qu’il pose sur son assiette sale. Ouf un lavage de moins.
Monsieur demande à voir ce qui est pour lui. Jo lui montre le gode. Il ne comprend pas en quoi cet engin destiné aux femmes le concerne ;
- Regarde ce soir il sera dans ton cul.
- Et dans le mien, j’ajoute.
- Ou le mien complète Jo.
Et le soir la grande parade commence. C’est Monsieur qui s’en prend à moi :
- Viens sur ma bite, salope adorée. Je vais te baiser devant Jo.
Comme si c’était la première fois. Il reste sur sa chaise, je vais sur lui, les jambes ouvertes. Jo nous regarde en se caressant le cul. C’est vrai que Monsieur ne m’a pas baisé depuis au moins deux jours, même s’il m’a fisté le cul l’autre fois.
Je m’assois lentement sur sa bite toujours dure. Je ne sais pas comment il fait pour l’avoir si dure. Je ferme les yeux quand sa queue entre doucement dans mon ventre. Que c’est bon cette bite dans mon con.
Je la laisse entrer au fond, contre ma matrice. Il trouve un petit endroit que je ne connaissais pas encore, juste au fond. Le bout de son gland y frotte. Je me régale en jouissant plus fort. Je voudrais qu’il continue longtemps. Je le dis tout haut, Madame comprend
- Je chercherais avec le gode dans ta grotte, je te promets que je trouverais pour te faire jouir comme maintenant.
Arrive l’instant attendu. Je voulais le faire et c’est Jo qui s’en prend au cul de son mari. Il est sur le dos, la queue bien bandée, elle est en face de lui, assise pour le moment. Elle me demande de branler Gérard. Je le prends à pleine main droite. Je vais doucement pour ne pas le faire jouir avant l’heure Il me regarde en souriant :
- Tu sais que nous t’aimons tous les deux.
- Moi aussi je vous aime tous les deux, surtout quand nous baisons bien comme aujourd’hui.
- Parce que les autres jours on ne te baise pas bien, garce ?
- Si vous me baisez aussi bien l’un que l’autre.
Je ne mens pas en disant cela. C’est le premier couple que je sens de cette façon là et l’amour est venu s’insinuer entre nous, sans jalousie.
Pendant qu’il parle, Jo lentement lui a mouillé le rectum : je vois la quantité qu’elle a mise. Je continu à me branler, quand il a le gode presque totalement dans le cul il fait comme les femmes, il gémit en disant que c’est bon de se faire enculer. J’arrête la masturbation, la sodomie devrait suffire. Jo a pris sa part pour la mettre dans son con. Elle ouvre sa chatte quand ma langue va la sucer. Gérard jouit : son sperme se perd sur son ventre et la figure de Jo.
J’en profite pour le lécher. Il est toujours aussi bon. Il doit rester plein d’aventures à vivre en ménage à trois.
C’est bon de prendre l’air sur sa chatte et ses fesses, en plus quand on a de la distraction dans son sexe. Je n’ai pas à aller bien loin : je suis obligée de m’appuyer aux murs quand les spasmes du plaisir viennent dans mon ventre. Je me retiens de gémir malgré les quelques sons qui sortent de ma gorge. C’est bon d’avoir des orgasmes forts devant les gens. S’ils savaient…
Je trouve un banc dans un jardin public où m’assoir un moment. Malgré moi j’écarte un peu les jambes ma chatte est visible. Un jeune d’une vingtaine d’année vient près de moi. A priori je n’ai rien à craindre de lui. Sauf qu’il est entreprenant à sa façon
- J’ai envie de vous.
- Que voulez vous que ça me fasse ?
- Vous êtes baisable, j’ai vu votre con, il est mouillé.
Je vais pour partir quand il me retient par le bras.
- Reste avec moi, je vais te montrer ma bite.
Sans que je puisse réagit il sort un bon morceau de pine qui bande. Je regarde son sexe avec un début de désir au fond de mon ventre. Seulement je pense que j’ai encore les boules de geisha. Tans pis et pour moi et pour lui.
Pour le faire tenir tranquille je prends sa bite à pleine main. Je le branle comme je sais faire, c’est-à-dire à long coups de va-et-vient pour arrêter complètement. Il se cambre sous ma caresse, je reprends jusqu’à son éjaculation. Il veut me récompenser en me masturbant. Je ne le veux pas, je suis nue, totalement nue dessous.
Je pars vers ma destination : il entre sa bite dans son pantalon. Je trouve en route le magasin de mode où Madame a acheté des gentillesses pour moi. J’entre à mon tour, en un instant je suis servie par une jeune demoiselle que je verrais bien avec moi dans un lit, c’est d’ailleurs (elle en rougit) ce que je lui dis en payant mon achat : un gode double à double usage, soit pour une femme qui peut ainsi se baiser et s’enculer, soit pour un couple pour pénétrer les divers trous que le bon dieu nous a donné.
J’entre un peu plus tard à la maison, Madame est seule, nue évidemment. Il est presque midi, je fais réchauffer de quoi manger pour que mes patrons passent à table. Pour ne pas avoir à changer de nappe après l’éjaculation de Monsieur je lui ai donné un mouchoir en papier: il a sourit.
La petite promenade m’a un peu fatiguée. Je me couche toujours nue, je ferme les yeux quand ma main trouve seule le passage pour le clitoris. Je me demande comment il se fait qu’il ne s’use pas à force de le caresser.
Bien sur Madame arrive à ce moment là.
- Tu te branle encore, pardon de te déranger, je voudrais savoir ce que tu as acheté.
- De quoi jouir ensemble toutes les deux.
- Montre-le-moi
Je sors le gode pour qu’elle le voit.
- On va se le mettre entre nous.
Sans aller plus loin elle se couche à mes cotés pour m’embrasser. Jo est une impulsive. Je sais qu’un d’un seul baiser sur ses seins, elle fera ce que je voudrais. Je veux que nous jouissions toutes les deux. Je choisi la vulve, elle veut se faire enculer.
Pas de problème. Je la fais coucher sur le ventre face à mon cul. Je mouille le gode le plus possible. Je commence à le rentrer dans l’anus. Madame commence déjà à gémir de plaisir. Je m’approche d’elle pour pouvoir recevoir dans mon ventre le reste du gode. Je le rentre dans ma vulve, je commence moi aussi à gémir. Je manœuvre le gode de ma main droite : la gauche est sur un sein que je triture. Jo me laisse faire ce que je veux : en matière de sexe, nous sommes aussi libérées l’une que l’autre. Je voudrais savoir :
- Dis-moi chérie (je me mets moi aussi à l’appeler ainsi) si tu faisais ça avec Monsieur, tu le lui mettras dans le cul. Il acceptera tu crois ?
- Je ne sais pas, je lui mets bien un doigt quand il me baise il l’accepte toujours.
- On pourra essayer ce soir ?
- Bien sur mon amour.
Sur ces mots faux sans doute je l’embrasse longuement en lui passant une main sur toute la chatte qui est drôlement mouillée.
Elle ne part pas, elle m’invite dans sa salle de bain où un jacuzzi est installé. Je ne connais pas l’utilisation sexuelle de cette baignoire japonaise. Toujours nue, elle ouvre les robinets. Quand l’engin est plein elle fait jaillir les bulles d’air avant de m’inviter à entrer. J’y suis bien avec ses bulles qui caressent tout mon corps. Jo est juste derrière moi, ses mains sur mes seins, sa bouche sur mon cou.
- Branle-toi, c’est bon de le faire là dedans.
- Et toi, amour ?
- Je me mettrai juste les pieds dans l’eau, tu pourras me sucer. J’ai besoin de ta langue sur ma chatte, mon amour chéri.
Nous échangeons des mots d’amour couramment. Je sens ses mains sur mes seins : elle me pelote un peu moins bien que Monsieur, mais qu’elle douceur. Je sais qu’elle regarde ma main qui dans ma chatte donne les plaisirs raffinés de la masturbation.
Enfin elle entre comme elle m’a dit : ses deux jambes sont près de moi, je me penche à peine pour avoir sa chatte sur ma bouche. Quel gout supérieur que sa cyprine : je ne m’en lasse pas. Elle jouit juste avant de se lever.
Quand Monsieur arrive nous sommes deux pour l’accueillir. Nous nous disons bonjour par un baiser sur la bouche et une caresse sur les sexes. Ce n’est qu’une habitude charmante à prendre. Madame commence à parler :
- Tu sais nous venons de baiser avec Suzanne.
- Vous êtes des salopes l’une et l’autre, et moi dans tout ça ?
- On a pensé à toi.
- Qu’est-ce que c’est.
- Tu verras après.
Ils passent à table, comme à tous les repas, Monsieur branle madame qui le lui rend ensuite. Je suis satisfaite quand Monsieur jouit dans le mouchoir en papier qu’il pose sur son assiette sale. Ouf un lavage de moins.
Monsieur demande à voir ce qui est pour lui. Jo lui montre le gode. Il ne comprend pas en quoi cet engin destiné aux femmes le concerne ;
- Regarde ce soir il sera dans ton cul.
- Et dans le mien, j’ajoute.
- Ou le mien complète Jo.
Et le soir la grande parade commence. C’est Monsieur qui s’en prend à moi :
- Viens sur ma bite, salope adorée. Je vais te baiser devant Jo.
Comme si c’était la première fois. Il reste sur sa chaise, je vais sur lui, les jambes ouvertes. Jo nous regarde en se caressant le cul. C’est vrai que Monsieur ne m’a pas baisé depuis au moins deux jours, même s’il m’a fisté le cul l’autre fois.
Je m’assois lentement sur sa bite toujours dure. Je ne sais pas comment il fait pour l’avoir si dure. Je ferme les yeux quand sa queue entre doucement dans mon ventre. Que c’est bon cette bite dans mon con.
Je la laisse entrer au fond, contre ma matrice. Il trouve un petit endroit que je ne connaissais pas encore, juste au fond. Le bout de son gland y frotte. Je me régale en jouissant plus fort. Je voudrais qu’il continue longtemps. Je le dis tout haut, Madame comprend
- Je chercherais avec le gode dans ta grotte, je te promets que je trouverais pour te faire jouir comme maintenant.
Arrive l’instant attendu. Je voulais le faire et c’est Jo qui s’en prend au cul de son mari. Il est sur le dos, la queue bien bandée, elle est en face de lui, assise pour le moment. Elle me demande de branler Gérard. Je le prends à pleine main droite. Je vais doucement pour ne pas le faire jouir avant l’heure Il me regarde en souriant :
- Tu sais que nous t’aimons tous les deux.
- Moi aussi je vous aime tous les deux, surtout quand nous baisons bien comme aujourd’hui.
- Parce que les autres jours on ne te baise pas bien, garce ?
- Si vous me baisez aussi bien l’un que l’autre.
Je ne mens pas en disant cela. C’est le premier couple que je sens de cette façon là et l’amour est venu s’insinuer entre nous, sans jalousie.
Pendant qu’il parle, Jo lentement lui a mouillé le rectum : je vois la quantité qu’elle a mise. Je continu à me branler, quand il a le gode presque totalement dans le cul il fait comme les femmes, il gémit en disant que c’est bon de se faire enculer. J’arrête la masturbation, la sodomie devrait suffire. Jo a pris sa part pour la mettre dans son con. Elle ouvre sa chatte quand ma langue va la sucer. Gérard jouit : son sperme se perd sur son ventre et la figure de Jo.
J’en profite pour le lécher. Il est toujours aussi bon. Il doit rester plein d’aventures à vivre en ménage à trois.
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