Appelle moi Monsieur

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Appelle moi Monsieur Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-09-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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Appelle moi Monsieur
Il est devenu une institution presque depuis qu'il est apparu traînant dans les caves de la cité.

La première fois que deux rebeux l'ont croisé, cela les a fait rire et se sont moqués de ce vieux daron, qu'il trouvait certes vieux, mais moche également.
Les deux jeunes rebeux, Farid et Mourad ont dit des mots durs en le croisant, se moquant ouvertement de lui. Ricanant en le regardant :
-putain mon frère, tu te vois niquer un vieux comme ça ? a demandé Farid.
-moi ? j'm'en fous, ça doit entrer comme dans du beurre oui! répond Mourad.
-ouais mais t'as vu la gueule et putain il doit avoir 100 ans le daron! dit Farid en rigolant.
Pourtant ils auraient dû mieux regarder ce soit disant vieil homme car s'ils avaient croisé son regard....

Charles est certes un vieux monsieur qui doit approcher des 65 ans. Toujours bien habillé et pédé depuis toujours. Mais monsieur Charles est actif, actif dominateur et si beaucoup de mecs, de toutes races, de toutes couleurs ont pu voir son cul, ce n'était pas pour l'enculer mais pour lui bouffer avec la langue uniquement. Il en avait dressé du jeune mec et ce qu'il aimait c'était le récalcitrant qui en fait aimait se faire mater.

Il venait d'aménager dans la cité, ayant pris sa retraite récemment.
Il avait toujours entendu dire que ça niquait dans les caves alors il a voulu voir, mais croiser ces deux jeunes mâles impolis, l'avait fait réfléchir.
Bien sûr qu'ils lui plaisaient ces deux jeunes rebeux, soit disant indomptables mais il en avait tellement connus qui se voulaient macho et qui obéissaient au doigt et à l'œil, tout était dans le ton, dans le coup d'œil.
Ses besoins sexuels se faisaient de moins en moins ardents, mais c'est comme le sport, si tu veux rester au top, il faut t'entraîner, alors il avait décidé qu'il baiserait un mec chaque semaine...

Il avait aperçu Farid par sa fenêtre du 2ème étage, vu qu'il ne branlait rien, apparaissant à midi pour traîner dans le hall ou avec ses potes dans la cité.

Alors il a fait en sorte de le croiser plusieurs fois dans le hall et il a bien vu qu'il était surpris de le voir. Ce n'est pas lui qui a engagé la conversation, mais il voyait bien le petit sourire ironique qu'avait Farid quand il le regardait, devant penser que c'était un daron qui se fait trouer.

Il lui adressait de petits sourires sans rien dire et détournait le regard et ce n'est qu'à la troisième rencontre que Farid est tombé dans le panneau.

Monsieur Charles ouvrait sa boîte aux lettres et Farid s'est approché de lui, presque à le toucher et d'une voix moqueuse :
-alors le daron, tu cherches un zob pour ton vieux cul ?

Voilà ce qu'il attendait monsieur Charles, qui se redresse en se tournant vers Farid qui s'aperçoit que le vieux le dépasse en fait d'une tête, et ses mains, rapides comme l'éclair, viennent le saisir à sa veste de survêtement, les poings sous le menton, et apparemment sans difficulté le soulève de terre, le collant au mur à hauteur de ses yeux :
-appelle moi Monsieur quand tu t'adresses à moi jeune homme dit il d'une voix dure même si elle était basse.

Farid en écarquillait les yeux de surprise, n'osant même pas se débattre. Pourtant il ne tremblait pas le vieux daron et le maintenait toujours collé au mur, son regard perçait le sien.
-j'attends, tu avais une question à me poser Farid ?
Farid sent la chaleur l'envahir, il se met à transpirer et n'ose avouer qu'il a peur, si seulement un de ses potes arrivait. Mais personne ne vient à son secours.

Il s'aperçoit que le daron a les yeux bleus, mais d'un bleu qu'il n'a jamais vu chez un céfran blond, lui a les cheveux plutôt blancs, et ses yeux lui font peur.
-alors ? dit monsieur Charles, ça vient cette question.
Farid n'arrive qu'à balbutier des syllabes sans suite et c'est comme si il était attiré par ce mec et en même temps en avait peur.
-alors c'est moi qui vais te poser une question jeune homme, Farid c'est bien toi ?

Il fait oui en clignant des yeux, ses beaux yeux noirs entourés de ses longs cils que les céfrans adorent. Il essaie d'adoucir son regard pour que le vieux le repose à terre, mais la question qui suit le cloue au mur.
-tu te fais baiser Farid ?

Il est comme tétanisé et fait non de la tête timidement.
-pourtant j'ai remarqué ton petit cul Farid et de la manière dont tu le balances, tu te fais enculer, tu sais à mon âge maintenant on remarque ça vite fait!
Il avait un sourire moqueur en disant cela.
-si tu veux on va comparer nos culs et tu verras la différence!

Là Farid est dépassé par les évènements, comparer nos culs arrive t-il à penser, d'un air éberlué.
Mais ce qui se passe après le fait douter encore plus.

Il est reposé à terre rapidement, les poings se retirent, mais une main saisit la sienne et il est entraîné vers les ascenseurs qui est là pour une fois. Monsieur Charles le pousse à l'intérieur sans ménagement, entre et appuie sur le 2ème en sortant ses clés. Ils arrivent rapidement à l'étage, sa main est reprise et il se retrouve au milieu d'une salle à manger, les bras ballants, regardant le vieux le mater en souriant.

Lui le beau rebeu, fier, macho, donnant des ordres, se moquant ouvertement de tout ce qui l'entoure... surtout quand son pote Mourad est là, mais à cet instant il se sent comme dans son enfance lorsqu'il avait fait une connerie et que son père ou sa mère allaient lui donner une correction. Il s'attend à recevoir des coups.

Mais la main qui arrive, lui caresse le visage avec de la part de Charles un regard vraiment moqueur, ironique.
-le jeune rebeu de cité va se foutre à poils et montrer ses trésors à Monsieur Charles.
-mais... commence Farid les yeux apeurés.
-tu t'es jamais mis à poils devant un vieux pour le niquer ? demande Monsieur Charles.

Farid baisse les yeux et enlève sa veste de survêt, retire son tee-shirt et montre son beau torse à monsieur Charles qui regarde sans aucune réaction.

Pourtant il a un beau corps Farid et beaucoup de mecs aiment le caresser, le lécher, sucer ses tétons pour l'exciter encore plus mais là c'est comme si le vieux n'était pas intéressé!
Il enlève ses TN, ses chaussettes, en rougissant car il sent l'odeur se répandre, baisse son survêt et apparait en caleçon mais c'est son zob qui l'a trahi. Il est raide son zob et ça fait piquet de tente.

Monsieur Charles lui fait signe de le retirer, il s'exécute... aucun mec ne résiste à son beau zob, bien raide, 22 cm de dureté, des bourses toujours bien pleines qui aiment donner leur jus.
Les yeux de monsieur Charles passent dessus, et d'une main le fait tourner pour admirer son cul. Une belle paire de fesses, hautes, fermes, lisses tout comme Monsieur Charles les aime.
Il s'approche, enveloppe Farid dans ses bras, se penche à son oreille :
-alors t'aimes ça te faire baiser ou t'es puceau du cul ?
Il sursaute Farid car il sent en même temps que Monsieur Charles bande, il sent un gros bâton se frotter au haut de ses fesses.

-Oui dit-il timidement dans un souffle, ça m'est arrivé.
-alors voilà le programme Farid, écoute moi bien, tu vas me déshabiller, me mettre nu, puis tu te mettras à genoux devant moi pour me montrer ce que tu sais faire avec ta bouche et ma queue, quand je le jugerais, tu te mettras à quatre pattes que j'observe ton beau cul, car tu as un beau cul Farid et je te baiserais comme jamais tu n'as été baisé jeune homme! Pas à la va vite comme tu fais dans les caves, mais je veux que tu sentes bien ma queue te donner le meilleur d'elle-même! Alors prêt jeune Homme ?
-oui dit il dans un souffle.
-oui qui ? demande Monsieur Charles en l'étouffant entre ses bras.
-oui monsieur! répond Farid du tac au tac.
Monsieur Charles lâche son étreinte, le fait retourner, se recule d'un pas :
-à toi de jouer.

Ce n'est pas que ça dérange Farid de déshabiller un mec, il le fait bien avec Mourad, mais d'habitude les mecs montrent leur cul direct, rapidement. Là il découvre le corps de ce vieux... monsieur. Et au fur et à mesure que le corps apparait, il n'en revient pas, il n'a jamais vu autant de poils blancs sur la poitrine. Il ne peut s'empêcher de caresser en passant sur les tétons ériger. Le ventre est plat et bien dur.

Il est excité le vieux pense Farid, qui l'aide à retirer ses chaussures, ses chaussettes, défait la ceinture, enlève le pantalon et le boxer blanc semble bien rempli. Une longue et grosse barre file sur sa droite et la mouille doit couler vu la tâche qu'il y a à l'arrivée!

Il baisse rapidement le boxer libérant un monstre de bite, sûrement aussi longue que la sienne mais plus épaisse et Farid pense à son petit cul! Putain heureusement que Mourad est bien monté et qu'il a l'habitude de lui élargir le conduit, comme lui également!

Là il reconnait la queue du céfran, mais ce sont les poils blancs du pubis qui l'électrisent, il n'en avait jamais vu et machinalement passe sa main dedans, se saisit de la grosse queue pas décalottée, mais la mouille commence à sortir.
Il fait coulisser le prépuce, il trouve le gland beau, luisant, il a une belle forme, comme un cœur légèrement déformé. Une grosse veine passe sous ses doigts, il lève les yeux pour voir le vieux le regarder et cligne des yeux comme pour l'encourager.

Alors Farid ouvre la bouche, tire sa belle langue agile et la pointe vient se poser sur le méat pour enlever la mouille qu'il goûte. Il aime ça la mouille surtout celle de son pote Mourad, mais là celle de monsieur Charles, il la trouve à son goût, alors ses belles lèvres enveloppent le gland et il aspire, sa langue l'enveloppe, sa main serre cette grosse bite dont les doigts ne font pas le tour, et avec son autre main va soupeser les grosses couilles pendantes, les prenant dans sa main, les serrant tendrement.

D'un seul coup il comprend que tout lui plait chez ce vieux et il se met à le piper comme un fou, essayant d'avaler le tout, mais il se met à tousser, pleurer, cracher, la queue devient de plus en plus dure. Il sent que le vieux ne va pas tarder à donner sa sauce. Alors il accélère mais d'un seul coup il se sent soulever comme une plume, coller à monsieur Charles qui pose une main sur ses fesses, le doigt dans la raie et l'emmène dans la chambre.
-à quatre pattes jeune homme, montre moi ton trésor, écarte bien tes belles petites fesses.

Il obéit Farid comme s'il se trouvait dans un état second et Monsieur Charles voit l'anus palpiter devant lui.
Au premier coup d'œil il sait que Farid a l'habitude de prendre une queue, sûrement un gros zob pense t-il, celui de son copain Mourad...
La raie est lisse de poils, il passe son doigt, tâte l'anus, c'est souple, il appuie et c'est comme si il était avalé.

Mais ce qu'il aime monsieur Charles c'est goûter un cul, c'est sa langue qui est la juge!
Alors il ne se prive pas et au premier coup de langue, surprenant Farid qui pousse un long gémissement qui en fait ne s'arrête pas tant que la langue de monsieur Charles s'occupe de son petit cul.

Langue agile, qui à l'aide de la salive entre dans l'anus et Farid pense que personne n'est allé aussi loin dans son cul avec une langue.
Et quand monsieur Charles le doigte, avec tact et savoir, Farid se sent inondé de chaleur, de bien être, il tend bien son petit cul et les doigts vont encore plus loin. Il pousse de petits cris, mais il tire sur ses fesses pour les ouvrir encore plus.
Monsieur Charles observe l'anus qui ne se referme pas.

Il pose son gland décalotté dessus. Il voit Farid bien se positionner, attendant la suite... Monsieur Charles le prend en haut des fesses et le tire à lui doucement, il voit son gland forcer le sphincter, l'ouvrir, le recouvrir lentement pendant que Farid secoue sa tête dans tous les sens en poussant des gémissements et des petits cris. Le gland avance, le sphincter s'ouvre de plus en plus et d'un seul coup glisse et le sphincter l'emprisonne.

Farid se redresse en hurlant avançant ses fesses sur la queue qui glisse dans son conduit et ses fesses viennent se coller aux poils blancs et durant cette pénétration Farid n'a pas arrêté son cri.

Il sent les mains de Monsieur Charles remonter sur son corps en le collant à lui, sa grosse queue palpite dans son conduit serré. Les mains caressent son torse, son ventre, passent dans ses poils, effleurent sa queue sans vraiment la toucher et remontent pour venir tripoter ses tétons durs comme de l'acier.
-mais c'est gourmand un jeune rebeu! dit la voix chaude de monsieur Charles.

Il se sent bien Farid le dos collé au torse de monsieur Charles. Il bande comme jamais il n'a bandé avec une bite au fond de son cul. Même quand Mourad le nique, il débande au départ, mais là c'est le contraire, il bande toujours!
-je vais te baiser mon jeune ami et te donner la semence d'un vieux daron qui n'a jamais pris une bite dans son cul.

Il est surpris Farid, car il se souvient de ce qu'il disait avec Mourad, il avait entendu le vieux! Mais putain qu'il était bien, enfin pour l'instant...
Car il sent la grosse queue bouger en lui, se retirer lentement ne laissant que le gland et revenir au fond d'un coup de reins, le faisant encore hurler en même temps que Monsieur Charles le projetait en avant pour le saisir aux hanches et les va-et-vient se sont intensifiés. Il n'a pas arrêté de crier, gueuler, hurler mais jamais n'a cherché à se défaire de l'emprise de monsieur Charles.

Sa grosse queue naviguait en lui comme si elle était chez elle et les sensations qu'il avait ne ressemblaient à aucune de celles que Mourad pouvait lui procurer. Là il s'offrait vraiment Farid et était heureux de le faire.

Il a bien senti plusieurs fois la grosse queue se raidir, comme s'il allait juter, mais il s'arrêtait quelques instants en le caressant et il repartait de plus belle jusqu'à ce qu'il se raidisse et que Farid sente le jus brûlant se répandre en lui, lui réchauffant l'ensemble du conduit. Une seule giclée et il se sentait rempli complètement.

Il est surpris quand la grosse queue de monsieur Charles sort de son cul, il donne une petit claque dessus :
-tourne toi jeune homme.
Farid obéit et se retrouve devant la grosse queue décalottée, rouge vif et la main de monsieur Charles la tient serrée.
-ouvre la bouche et tire la langue jeune homme.

C'étaient des ordres, mais Farid n'avait pas envie de désobéir, pensant qu'il voulait se faire sucer, mais monsieur Charles pose son gland sur sa langue, sa main sur sa tête.
-avale tout jeune homme!
Et Farid sent une giclée arriver sur sa langue couler dessus pour aller dans sa gorge, il lève les yeux pour voir le tête souriante de monsieur Charles.

La première giclée était assez forte, mais après c'est comme un robinet laisser ouvert qui coule en permanence et Farid a bien cru qu'il allait se noyer dans une telle quantité de sperme qui coulait en lui.
Il avait pris son zob en main et commençait à se branler, mais la voix de monsieur Charles l'a interrompu.
-laisse ton zob tranquille jeune homme!

Quand le robinet fut fermé... Farid s'est redressé pour regarder monsieur Charles qui avait le sourire. Ses mains sont venues encadrer son visage, le caressant, l'approche du sien et les vieilles lèvres s'emparent des siennes... Mais Farid ne voit plus l'âge de monsieur Charles, ses mains se posent sur son corps qu'il caresse, les corps se rapprochent, les langues se mélangent, Farid ferme les yeux et déguste autant qu'il est dégusté.

Les mains de monsieur Charles passent en caresses sur son dos, ses petites fesses que machinalement il tend. Il est à genoux sur le lit et monsieur Charles le fait tomber en arrière si bien qu'il se retrouve à genoux, le dos collé au matelas et le zob raide comme un piquet.
La main de monsieur Charles s'en empare, le branle doucement, de l'autre main enveloppe les couilles, il se penche et sa bouche remplace sa main.

Comme s'il n'y avait aucune difficulté il avale le gros zob et se met à le piper comme il adore le faire, arrachant encore quelques cris à Farid qui en fait hurle quand il jouit dans la bouche du vieux Charles qui n'en perd pas une goutte.

Son zob libéré de la bouche, Farid commence à respirer plus normalement, mais même pas 10 secondes après, la bouche de monsieur Charles repart à l'attaque pour le sucer encore de la même façon.
Il vient de juter Farid et sent que ses couilles sont encore pleines et il adore la bouche, la langue, les lèvres de monsieur Charles. Il bande encore dur, son zob ressemble à du granit et quand il sent le doigt de Monsieur Charles entrer dans son cul, il ne sait plus de quel côté il a le plus de plaisir.

Le long doigt touche la bosse de la prostate, le zob sursaute, les sensations se répandent dans le corps et il sent que la jute revient. Le doigt quitte la bosse... les sensations s'envolent mais quand il revient c'est comme si elles était décuplées... Il gémit, pousse de petits cris, essaie de se tortiller avec le doigt dans le cul, la pipe s'accélère, le doigt appuie encore plus sur la bosse et c'est de nouveau le hurlement quand il jouit encore de longues giclées dans la bouche chaude de monsieur Charles.

Le doigt se retire, la bouche également et Farid croit que son cœur va éclater tellement il bat dans sa poitrine.
Il voit monsieur Charles s'allonger près de lui.

Il remet ses jambes droites et en se tournant, machinalement vient se lover contre le corps de ce vieux monsieur Charles, posant sa tête sur son épaule, le bras entoure son torse.
Ils reprennent leurs esprits et, surprenant monsieur Charles :
-merci monsieur Charles, je n'avais jamais tant eu de plaisirs avec un mec, pardon un monsieur!

Le bras de monsieur Charles se referme sur Farid, le collant encore plus à lui :
-pourtant tu as encore plein de choses à apprendre jeune homme, mais tu es doué!
Farid le regarde :
-si j'étais votre élève monsieur Charles, vous pourriez m'apprendre les autres choses...
-d'accord dit monsieur Charles, mais faudra m'obéir en tout ce que que je te demanderais!
-oui monsieur Charles je le ferais.
-ne pas être jaloux!

Farid le regarde étonné.
-je ne suis pas jaloux, pourquoi vous me dites ça ?
-parce que j'aime bien quand on est 3, que j'ai deux mecs à ma dispo, tu connaîtrais un autre qui m'obéirait ?
Farid le fixe sans répondre, il pense bien à Mourad...
-ton copain Mourad, tu baises bien avec lui ?
-oui
-tu le baises ?
-oui dit Farid.
-eh bien tu vois, on a trouvé notre 3ème... cela te fait plaisir jeune homme ?
-oui j'aime beaucoup Mourad, mais on ne sera jamais plus que tous les deux ?
-tu préférerais ?
-j'sais pas, mais vous avez dit que j'avais des choses à apprendre, alors j'aimerais bien qu'on ne soit que tous les deux pour les apprendre!

Monsieur Charles était heureux, sa retraite commençait bien avec ces jeunes rebeux, curieux, gourmands... Il avait de quoi passer le temps!

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