Apprendre le respect ... - histoire érotique

Il était minuit et demi, nous étions en voiture tous les deux, rentrant à la maison après une soirée dans un restaurant dansant ...je portais une robe fluide avec des bas couleur chair mais pas de culotte parce que tu m'avais ordonné de ne pas en porter ....plusieurs fois au cours de la soirée tu as discrètement glisser ta main sous la table pour enfoncer dans ma chatte humide un doigt puis deux puis trois ...cela m'a bcp excité....j'ai dansé, beaucoup dansé avec toi mais aussi avec un autre homme qui a profité que tu te sois absenté aux toilettes....à ton retour, me voir près d'un autre homme t'a de suite énervé pourtant je ne faisais que danser ...tu as croisé mon regard et m'a de suite fait comprendre que j'allais le regretter. J'ai compris alors que notre relation de dominant/dominée allait prendre vie cette nuit.

Peu de temps après nous avons quitté la soirée et, arrivé devant la voiture tu m'as plaqué contre la carrosserie, m'a embrassé passionnément puis tu as commencé à me doigter ... doucement d'abord ...je sentais le fruit de mon excitation couler le long de mes cuisses... Puis tu t'es fait plus violent ajoutant des doigts et me pénétrant avec plus d'ardeur jusqu'à m'enfoncer ta main toute entière dans la chatte ...mes jambes tremblaient de plaisir je voulais que tu me prennes là sur le parking mais tu as refusé tu m'a dis de monter dans la voiture en répétant que j'allais être punie pour le comportement d'effronté que j'avais eu.
Nous avons roulé jusqu'à chez nous... sans parler, sans musique, juste le silence et notre désir immense.
Tu as garé la voiture dans le garage, je suis sortie et me suis dirigée vers la porte du cellier mais tu m'as attrapé par le bras, tu l'as placé dans mon dos m'obligeant à avancer jusqu'au devant de la voiture... la tu as plaqué ma poitrine contre le capot, tu m'as écarté les jambes, tu a relevé ma robe sur mon dos, tu as ouvert ton pantalon, tu as saisi ta grosse queue et tu me l'as enfoncé dans ma chatte d'un coup fort, vigoureux, presque douloureux. Je me suis dit que si ça avait été dans mon cul je n'aurais pu réprimer un cri ...pensée prémonitoire...l'instant d'après tu me déchirais la rondelle avec une vigueur que je n'avais encore jamais connu ...j'ai crié...la douleur était fulgurante puis diffuse je pouvais la ressentir dans mon corps tout entier et en même temps ma chatte coulait de plus en plus.
Tu ne t'es pas arrêté là, excité de me voir avoir mal et d'aimer cela ... tu m'as défoncé ...en rythme prenant le temps entre chaque coup de rein de bien me laisser sentir cette force, ce désir bestial que tu avais pour moi...tes coups de queue étaient comme des coups de fouets ... j'aurais pu les compter... je me suis dis que cette punition était divine ...tu me traitais de petite pute, de salope qui ne pouvait pas s'empêcher de charmer d'autres hommes dès que tu avais le dos tourné... me disant que j'allais apprendre à qui j'appartenais et combien j'allais regretter de t'avoir défié.
Décidément j'aimais beaucoup ta façon de me montrer que j'étais tienne ...continuant de me pilonner, tu m'as annoncé que je prendrai autant de coups de fouet que de coups de queue que j'aurai pris jusqu'à ce que tu jouisses dans mon cul de salope ...je frissonnais de désir...ou de peur, je ne sais pas... mais l'annonce de la punition eu pour effet immédiat de me donner un orgasme très fort très intense un vrai orgasme du cul, sans stimulation de mon clito puisque depuis quelques semaines déjà je n'ai plus le droit de me toucher sans que tu m'y autorises ...Cette orgasme a augmenté ton excitation et comme tu me l'avais annoncé tu as éjaculé dans mon gros cul de chienne ....j'avais chaud ...très chaud, je ne sais pas si c'était l'excitation, la moiteur d'une soirée d'été ou la chaleur du moteur mais la transpiration perlait sur mon corps tout entier ...je rêvais de prendre une douche et de t'embrasser alors que tu te retirais de mon cul, mais tu m'as refusé tes lèvres ...tu m'as dit que tu m'embrasserais une fois que je serais lavée du désir de ces hommes de la soirée, que j'avais volontairement provoqué en dansant. Je me dirigeais alors vers la salle de bain mais une nouvelle fois tu m'as stoppé, tu m'as attrapé par les cheveux et m'a conduite dans notre chambre. Tu m'as ordonné de me déshabiller entièrement, de me mettre à quatre pattes la poitrine contre le sol, le cul bien remonté et de t'attendre sans bouger.
Tu es allé à la cuisine, boire un verre d'eau je pense, puis tu es revenu et a ouvert notre tiroir à jouets...tu as choisi le fouet à plusieurs lanières et l'a fait glisser le long de ma colonne vertébrale puis tu m'as demandé combien de coups je devais recevoir. Je n'en avais aucune idée, j'avais tellement perdu pied lors de l'orgasme que j'étais Incapable de dire si tu m'avais pilonné 10, 30 ou 50 fois. Je répondis donc que je te laissais décider du nombre de coups que je devais recevoir pour me laver de ma provocation. Ce serait donc 30..que je devrais compter à voix haute ..je pensais alors que heureusement pour moi je t'excitais bcp et que tu n'avais pas eu besoin de me baiser lgtps avant d'éjaculer ...perdu dans mes pensées le premier coup claqua sur mes fesses mordant mes chairs et marquant déjà d'un voile rouge mon cul de salope ...tu enchaînais les coups tandis que je les comptais à voix haute ...je savais que plus on avançait plus je me rapprochais de tes bras et de tes baisers ...comme j'aimais être à toi, comme j'aimais ressentir l'intensité de ton amour quand tu me fouettais ...30...C'était le dernier coup mais j'aurais pu compter encore longtemps tellement ce que nous partagions alors à ce moment là était unique et nous liait ...tu m'as relevé avec tendresse, m'as conduit dans la salle de bain et m'as lavé avec douceur prenant soin d'à peine effleurer mes fesses rougies par le cuir...je me suis glissée dans les draps et suis venue me blottir contre toi, recevant tes baisers... te les rendant avec amour et passion.

Mon amour, mon maître, ma vie