Après l'accrochage
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2011 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Après l'accrochage
Normalement je suis sage, normalement. Hier j’ai cédé à une tentation, je ne le regrette pas du tout. C’était trop bon. Je ne recommencerai, pas souvent. Je ne dis pas que de temps en temps, je ne me laisserai pas encore aller...
Comme tous les jeudi je vais faire le gros de mes courses au supermarché. Je pars tôt pour revenir tôt, je n’aime pas cette ambiance d’usine à vendre. Au retour j’ai un léger accrochage avec une voiture conduite par une femme. Elle n’a pas ses papiers pour remplir le constat. Je lui laisse mon adresse pour qu’elle puisse venir l’après midi pour remplir les papiers. J’ai pris toutes les précautions au cas où elle ferait faux bon.
J’ai de la chance, vers 15 heures, elle toque à la porte. Je l’entends à peine, étant dans le jardin. Nous ressortons pour voir encore les dégâts ! Pour elle ce n’est pas grave, alors que pour moi, j’ai une aile complètement défoncée. Revenues chez moi, nous remplissons soigneusement l’imprimé pour l’assurance. Cet incident est clos. Je peux la regarder enfin simplement, la colère m’a quitté.
Elle me fait part de ses regrets et de l’engueulade que son copain va lui passer. Je lui conseille de minimiser l’affaire, elle ne l’a pas fait exprès. Pour la rassurer je lui offre un café, café à ma façon : haut chaude avec du soluble. Si elle aime tant mieux. Je vais faire chauffer l’eau, quand je reviens elle s’est assise sur un fauteuil, sa robe est remontée presque à mi cuisses. Ce doit être involontaire. Pourtant quand je lui donne la tasse, elle s’arrange pour que le bas de sa robe monte encore plus haut : elle a de belle jambes. La surprise vient quand moi aussi je m’assois presque en face d’elle, je peux voir qu’elle ne porte pas de dessous.
Être presque nue m’arrive quand je désire que mon mari me fasse l’amour. Je ne peux rien lui dire. Elle a suivi mon regard et elle sait maintenant que j’ai vu son bijou. Petit à petit elle monte encore sa robe. Cette fois, sans que je sois en face d’elle je pourrai tout voir. Le bas de sa robe est à hauteur de l’aine. Je vois tout son sexe et son pubis. Elle est rasée, chose que je n’ai jamais osé faire. Ce que je trouve bien dans ce rasage est que je peu tout voir.
Je me fais du cinéma : elle va te proposer de coucher avec elle, elle va vouloir baiser avec mon mari (qui ne demanderai pas mieux certainement). Heureusement que nous commençons à bavarder d’accidents. Elle me raconte qu’elle n’est pas une bonne conductrice alors que pour autre chose, elle sait fort bien se débrouiller, surtout avec son ami, elle en rougit un peu. Je comprends qu’elle est une bonne baiseuse. Comme je me défends pas mal dans cette discipline, je lui demande ce qu’elle aime. Je pensais qu’elle allait me dire les façons de faire l’amour. C’est-ce qu’elle fait, avec force détails : comme elle aime sucer, être sucée, comment elle aime se faire mettre, devant, derrière, comment elle branle et comment elle aime être branlée, comment elle baise assez souvent avec une copine, que c’est agréable……….
Elle rentre dans de tels détails que je commence à mouiller.
Elle aussi doit mouiller, je le vois sur son sexe ouvert.
Elle me demande si ça ne ma dérange pas qu’elle se masturbe, elle en a trop envie. Elle n’attend pas ma réponse, elle repose son dos sur le dossier du fauteuil, ouvre ses jambes pour y mettre sa main. Elle se caresse le clitoris. C’est la première fois que je vois une fille se donner du plaisir, elle ne fait pas semblant, elle ferme les yeux, renverse sa tête en arrière, gémit doit jouir en cours pour reprendre aussitôt après.
Je ne peux pas tenir, à mon tour j’enlève mon string et pour être totalement à l’aise, comme je fais à chaque fois que je me masturbe je me déshabille. Elle me détaille longuement :
- Tu es excitante toute nue.
- Et toi qui te masturbe, tu l’es aussi.
- Moi c’est pas pareil, j’en avait besoin.
- C’est toi qui m’a excitée.
Elle se lève pour m’imiter et nue, elle recommence une autre masturbation. Cette fois elle n’est plus sur la fauteuil, elle s’approche de moi. Je vois sa chatte à deux doigts de mon visage. Elle prend ma tête pour la mettre contre son ventre :
- Suce moi.
- Je n’ai jamais fait une telle saloperie !
- Quand ton mari te suce, tu trouves que c’est une saloperie ?
- C’est pas pareil.
- Tu le suces et tu avales son sperme ?
- Bien sur.
- Ma cyprine est moins forte que le jus de ton mec, goute moi.
Je suis forcée de sortir un peu ma langue pour la poser sur le bouton. Je connais le gout de ma cyprine quand je me lèche les doigts en me branlant. Je suis étonnée de sentir pratiquement le même gout dans sa chatte. J’y suis, je continue. J’arrive à passer presque toute ma langue sur son clitoris. Je la passe tellement bien que je la fais jouir. J’en suis la première étonnée.
Elle s’accroupie devant moi, me fait ouvrir encore plus les cuisses, passe sa tête et me lèche le clitoris qu’un façon différente de mon mari. Je ne sais pas pourquoi je pose mes cuisses sur ses épaules, elle déplace à peine sa langue pour venir dans ma vulve. Elle semble chercher un endroit particulier. En attendant de le trouver, elle passe la langue dans tous les recoins de ma vulve. Elle arrive enfin à trouver ce qu’elle cherchait, elle allait trop loin. Maintenant qu’elle lèche simplement le point G je me laisse faire avec plaisir. Je ne sais combien de fois je jouis. Cette garce arrive à pose un doigts sur un de mes endroits sensible : mon anus, elle le caresse en faisant le tour. Elle fait comme mon mari, seulement voilà, c’est une femme qui me le fait, je me laisse aller selon ses volontés à jouir encore. Elle entre son doigt dans le cul au moment pile de mon orgasme, elle l’accentue ainsi.
Elle sort sa langue de mon con pour la poser sur mon anus, elle ne force pratiquement pas en la rentrant. Par contre elle me fait un bien fou. (je sais que je vais demander à mon mari de le faire). Ce n’est pas à proprement parlé une sodomie. C’est une caresse différente qui fait également jouir. Je n’en peux plus.
Elle n’a presque pas jouit :
- A toi de me faire jouir comme je te l’ai fait.
- Je ne sais pas sucer comme toi, tu es ma première femme.
- J’espère que je ne serai pas ta dernière.
- Je suis mariée.
- Et alors, tu n’es pas obligée de lui en parler !
Elle s’assoit sur le fauteuil, ouvre en grand ses cuisses. Je vois toute sa fente pleine de cyprine, elle doit réellement avoir envie de jouir avec moi. Je me lance dans son vagin où, à son inverse je trouve rapidement son point sensible. Il me semble que c’est un peu plus rugueux que le reste, ma langue ne sort pas de son con. Je la sens jouir quand autour de ma langue les spasmes de l‘orgasme arrivent. Je fais comme elle, je vais caresser son anus. J’en fais le tour mais je n’y tiens plus, il faut que j’entre mon doigt dans son cul, je le fait aller et venir. Il me semble qu’elle jouit sans cesse. En levant les yeux je vois qu’elle se caresse les seins.
J’ai mon nez entièrement dans son sexe : j’hume son odeur qui m’excite encore plus que se cyprine. Je me sens aussi salope qu’elle.
Quand elle me demande d’arrêter c’est pour que nous nous mettions en 69. Je n’ai rien contre le fait d’avoir ma langue sur son sexe, au contraire. Il me semble même que ma langue est plus efficace que la sienne. Je la fais jouir plus qu’elle ne me le fait.
Nous nous mettons presque assises jambes mêlées, sexe à sexe. Nos clitoris se touchent presque pendant qu’ils nous donnent ce nouveau plaisir. Je ne voudrai pas arrêter de baiser ainsi avec elle.
Le temps passant elle s’habille et part pour ne plus revenir, elle me laisse son numéro de portable. Nous pourrons baiser quand je le voudrai.
Quand mon mari entre, je suis toujours nue, assise sur le fauteuil. Il se demande ce qui se passe. Je ne veux rien lui cacher : je lui raconte mon aventure féminine. Je le vois bander. Il me baisera tout à l’heure....
Comme tous les jeudi je vais faire le gros de mes courses au supermarché. Je pars tôt pour revenir tôt, je n’aime pas cette ambiance d’usine à vendre. Au retour j’ai un léger accrochage avec une voiture conduite par une femme. Elle n’a pas ses papiers pour remplir le constat. Je lui laisse mon adresse pour qu’elle puisse venir l’après midi pour remplir les papiers. J’ai pris toutes les précautions au cas où elle ferait faux bon.
J’ai de la chance, vers 15 heures, elle toque à la porte. Je l’entends à peine, étant dans le jardin. Nous ressortons pour voir encore les dégâts ! Pour elle ce n’est pas grave, alors que pour moi, j’ai une aile complètement défoncée. Revenues chez moi, nous remplissons soigneusement l’imprimé pour l’assurance. Cet incident est clos. Je peux la regarder enfin simplement, la colère m’a quitté.
Elle me fait part de ses regrets et de l’engueulade que son copain va lui passer. Je lui conseille de minimiser l’affaire, elle ne l’a pas fait exprès. Pour la rassurer je lui offre un café, café à ma façon : haut chaude avec du soluble. Si elle aime tant mieux. Je vais faire chauffer l’eau, quand je reviens elle s’est assise sur un fauteuil, sa robe est remontée presque à mi cuisses. Ce doit être involontaire. Pourtant quand je lui donne la tasse, elle s’arrange pour que le bas de sa robe monte encore plus haut : elle a de belle jambes. La surprise vient quand moi aussi je m’assois presque en face d’elle, je peux voir qu’elle ne porte pas de dessous.
Être presque nue m’arrive quand je désire que mon mari me fasse l’amour. Je ne peux rien lui dire. Elle a suivi mon regard et elle sait maintenant que j’ai vu son bijou. Petit à petit elle monte encore sa robe. Cette fois, sans que je sois en face d’elle je pourrai tout voir. Le bas de sa robe est à hauteur de l’aine. Je vois tout son sexe et son pubis. Elle est rasée, chose que je n’ai jamais osé faire. Ce que je trouve bien dans ce rasage est que je peu tout voir.
Je me fais du cinéma : elle va te proposer de coucher avec elle, elle va vouloir baiser avec mon mari (qui ne demanderai pas mieux certainement). Heureusement que nous commençons à bavarder d’accidents. Elle me raconte qu’elle n’est pas une bonne conductrice alors que pour autre chose, elle sait fort bien se débrouiller, surtout avec son ami, elle en rougit un peu. Je comprends qu’elle est une bonne baiseuse. Comme je me défends pas mal dans cette discipline, je lui demande ce qu’elle aime. Je pensais qu’elle allait me dire les façons de faire l’amour. C’est-ce qu’elle fait, avec force détails : comme elle aime sucer, être sucée, comment elle aime se faire mettre, devant, derrière, comment elle branle et comment elle aime être branlée, comment elle baise assez souvent avec une copine, que c’est agréable……….
Elle rentre dans de tels détails que je commence à mouiller.
Elle aussi doit mouiller, je le vois sur son sexe ouvert.
Elle me demande si ça ne ma dérange pas qu’elle se masturbe, elle en a trop envie. Elle n’attend pas ma réponse, elle repose son dos sur le dossier du fauteuil, ouvre ses jambes pour y mettre sa main. Elle se caresse le clitoris. C’est la première fois que je vois une fille se donner du plaisir, elle ne fait pas semblant, elle ferme les yeux, renverse sa tête en arrière, gémit doit jouir en cours pour reprendre aussitôt après.
Je ne peux pas tenir, à mon tour j’enlève mon string et pour être totalement à l’aise, comme je fais à chaque fois que je me masturbe je me déshabille. Elle me détaille longuement :
- Tu es excitante toute nue.
- Et toi qui te masturbe, tu l’es aussi.
- Moi c’est pas pareil, j’en avait besoin.
- C’est toi qui m’a excitée.
Elle se lève pour m’imiter et nue, elle recommence une autre masturbation. Cette fois elle n’est plus sur la fauteuil, elle s’approche de moi. Je vois sa chatte à deux doigts de mon visage. Elle prend ma tête pour la mettre contre son ventre :
- Suce moi.
- Je n’ai jamais fait une telle saloperie !
- Quand ton mari te suce, tu trouves que c’est une saloperie ?
- C’est pas pareil.
- Tu le suces et tu avales son sperme ?
- Bien sur.
- Ma cyprine est moins forte que le jus de ton mec, goute moi.
Je suis forcée de sortir un peu ma langue pour la poser sur le bouton. Je connais le gout de ma cyprine quand je me lèche les doigts en me branlant. Je suis étonnée de sentir pratiquement le même gout dans sa chatte. J’y suis, je continue. J’arrive à passer presque toute ma langue sur son clitoris. Je la passe tellement bien que je la fais jouir. J’en suis la première étonnée.
Elle s’accroupie devant moi, me fait ouvrir encore plus les cuisses, passe sa tête et me lèche le clitoris qu’un façon différente de mon mari. Je ne sais pas pourquoi je pose mes cuisses sur ses épaules, elle déplace à peine sa langue pour venir dans ma vulve. Elle semble chercher un endroit particulier. En attendant de le trouver, elle passe la langue dans tous les recoins de ma vulve. Elle arrive enfin à trouver ce qu’elle cherchait, elle allait trop loin. Maintenant qu’elle lèche simplement le point G je me laisse faire avec plaisir. Je ne sais combien de fois je jouis. Cette garce arrive à pose un doigts sur un de mes endroits sensible : mon anus, elle le caresse en faisant le tour. Elle fait comme mon mari, seulement voilà, c’est une femme qui me le fait, je me laisse aller selon ses volontés à jouir encore. Elle entre son doigt dans le cul au moment pile de mon orgasme, elle l’accentue ainsi.
Elle sort sa langue de mon con pour la poser sur mon anus, elle ne force pratiquement pas en la rentrant. Par contre elle me fait un bien fou. (je sais que je vais demander à mon mari de le faire). Ce n’est pas à proprement parlé une sodomie. C’est une caresse différente qui fait également jouir. Je n’en peux plus.
Elle n’a presque pas jouit :
- A toi de me faire jouir comme je te l’ai fait.
- Je ne sais pas sucer comme toi, tu es ma première femme.
- J’espère que je ne serai pas ta dernière.
- Je suis mariée.
- Et alors, tu n’es pas obligée de lui en parler !
Elle s’assoit sur le fauteuil, ouvre en grand ses cuisses. Je vois toute sa fente pleine de cyprine, elle doit réellement avoir envie de jouir avec moi. Je me lance dans son vagin où, à son inverse je trouve rapidement son point sensible. Il me semble que c’est un peu plus rugueux que le reste, ma langue ne sort pas de son con. Je la sens jouir quand autour de ma langue les spasmes de l‘orgasme arrivent. Je fais comme elle, je vais caresser son anus. J’en fais le tour mais je n’y tiens plus, il faut que j’entre mon doigt dans son cul, je le fait aller et venir. Il me semble qu’elle jouit sans cesse. En levant les yeux je vois qu’elle se caresse les seins.
J’ai mon nez entièrement dans son sexe : j’hume son odeur qui m’excite encore plus que se cyprine. Je me sens aussi salope qu’elle.
Quand elle me demande d’arrêter c’est pour que nous nous mettions en 69. Je n’ai rien contre le fait d’avoir ma langue sur son sexe, au contraire. Il me semble même que ma langue est plus efficace que la sienne. Je la fais jouir plus qu’elle ne me le fait.
Nous nous mettons presque assises jambes mêlées, sexe à sexe. Nos clitoris se touchent presque pendant qu’ils nous donnent ce nouveau plaisir. Je ne voudrai pas arrêter de baiser ainsi avec elle.
Le temps passant elle s’habille et part pour ne plus revenir, elle me laisse son numéro de portable. Nous pourrons baiser quand je le voudrai.
Quand mon mari entre, je suis toujours nue, assise sur le fauteuil. Il se demande ce qui se passe. Je ne veux rien lui cacher : je lui raconte mon aventure féminine. Je le vois bander. Il me baisera tout à l’heure....
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sublime comme presque tous les autres textes, courts,avec des détails qui me font mouiller immédiatement. Bravo.
Vraiment bien racontée. les situations ne sont excitantes qu'avec des détails
Merci madame
Merci madame