Après l'aqua gym
Récit érotique écrit par Mic79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Après l'aqua gym
Je vais régulièrement à l’aqua -gym, une fois par semaine, séance où généralement, il n’y a que des femmes de tout Age. Mais depuis trois semaines, un jeune homme est présent, très mignon ; nous nous croisons dans les vestiaires, avec toujours un gentil mot de sa part. hier matin, lors de mon départ, il m’a gentiment proposé de prendre un café ; c’est dans un café que nous nous retrouvons, en bavardant de tout et rien ; puis les dialogues deviennent plus charmeurs jusqu’au moment, où me mettant une main sur la cuisse, il m’avoue qu’il a envie de moi et sa min se fait plus pressante sur ma peau ;c’est finalement chez lui que je lui propose de lui appartenir, mais avant je lui dis je dois téléphoner à mon homme pour l’avertir rentre pas aussitôt car j’allais chez un ami et qu’il allait être de nouveau cocu. La surprise se lit sur le visage de mon futur amant, et je le rassure en lui expliquant que nous sommes libertins. Manifestement cela l’excite car il ne m’attend pas d’être chez lui pour me caresser sous ma jupe ; et en effet, il m’avoue que cela lui plait beaucoup de savoir que le faire cocu et qu’il le sache avant. Et en effet, il le sera pendant plus de deux heures ; c’est le récit de ma sortie que j’ai faite à mon retour à mon homme, qui m’attendait tout excité.
Stéphane est un beau garçon, que j’ai pu voir en slip de bain et constaté que le paquet enserré devait être de belle facture et quand il m’a proposé de prendre un pot, je savais déjà que j’allais lui appartenir ; j’en avais trop envie. Et sa main sur ma cuisse m’a confirmé la sienne ; alors que je t’appelais , il avait déjà investi mes fesses sous ma jupe, et tu t’imagines bien que je me suis laissée faire ; à peine arrivé chez lui, il m’a poussé sur son canapé et m’écartant les jambes, sa main a investi ma chatte, qui tu dois bien t’en douter était déjà humide ; me titillant le bouton ou me pénétrant deux doigts, il est vite arrivé à ses fins et ma cyprine s’est généreusement écoulée sur sa mains ; mon abricot s’ouvrait de plus en plus et c’est finalement assez rapidement qu’il a pu me lister complétement , s’étonnant de sa performance car c’était la première fois que ses doigts venaient toucher le fond de la matrice ; pour moi l’important, je jouissais sous ses doigts ravageurs ; quand il s’est retiré ma chatte béante réclamais une queue et sans attendre, lui baissant son jogging et son slip, je lui ai ordonné de me prendre. Je découvrais pour la première fois sa bite et je ne m’étais pas trompée ; un beau paquet de couille pleine sans aucun doute et un mandrin long et épais, le gland décalotté.
Je me suis allongée sur le canapé et ouvrant au maximum le triangle de mes cuisses, je lui ai ouvert le chemin de mon antre, écartant mes petites lèvres, décalottant ainsi mon petit bourgeon. M’agrippant aux hanches, il a investi ma chatte d’une seule poussée et malgré ma dilatation extrême, je n’ai pu retenir un petit cri, pas à cause de la douleur, mais de la puissance de la pénétration on ; son gland s’est enfoncé, sa queue m’a rempli complétement ; restant au fond de ma matrice quelques instants, il m’a dit que j’allais lui appartenir, qu’il allait me combler et que je pourrais te dire que tu es bien cocu.
Puis il a commencé à me pilonner, changeant de rythme, quittant mes hanches pour me triturer les pointes de seins, me traitant de petite salope. Tu sais que j’aime cela aussi bien d’avoir les pointes maltraitées, que de me faire traiter avec des mots crus et avec sa queue, de plus en plus grosse qui me baisait avec vigueur, je n’ai pas tardé à jouir bruyamment, l’excitant ainsi un peu plus ; soudain je l’ai senti se braquer et se retirant de mon ventre, il a éjaculé sur mon ventre, de nombreux jets, chauds, épais ; je n’ai pu retenir ma déception, j’aurais aimé qu’il me remplisse le ventre. J’avais encore envie de sa queue, et sans attendre, ma langue lui a nettoyé le gland, avant de l’emboucher, essayant de l’avaler le plus possible, encore bandé il s’est vite servi de ma bouche comme d’une chatte et il s’est branlé entre mes lèvres, alors que mes mains lui trituraient les couilles et même un doigt lui perforant l’anneau. Puis il m’a retourné, me mettant à genoux sur le canapé, il s’est à nouveau engagé dans ma chatte, puis bien au chaud, il s’est mis à me pilonner, ses couilles venant à chaque fois frappant à chaque fois mes fesses ; cette fois la possession est plus vigoureuse , mais aussi plus longue et me baisant sans retenu, il m’a fait jouir plusieurs fois et cette fois, il s’est vidé dans ma matrice , n’inondant de sa semence ; lorsque les jets m’ont frappé les parois, je n’ai pu retenir un long cri de bonheur, lui réclamant encore plus, m’offrant à son plaisir , et libérant bruyamment le mien quand il s’est retiré, tous les deux satisfaits, nous nous sommes enlacés, mais refusant ses baisers sur la bouche, que je te réserve ; devant son étonnement, je lui ai un peu expliqué nos jeux, à savoir que tu aimais m’offrir, me voir jouir avec un autre homme devant toi, où alors que tu n’es pas la et dans ce cas, je laisse mon téléphone totalement ouvert, où en te téléphonant comme tout à l’heure juste avant de le faire cocu.
Devant son étonnement, je lui avoue que cette situation me convient très bien, car j’aime me faire prendre et quand je le fais devant mon homme, mon plaisir est encore plus grand ; je lui avoue aussi que même si je jouis beaucoup avec toi, ce n’est pas pareil avec mes amants, sans doute parce qu’alors je me sens plus libre, plus femme et peut être aussi car je sors des conventions. Mes révélations lui ont redonné vigueur et me prenant par la main, il m’entraine dans sa chambre ; je comprends vite que nous sommes partis pour une autre séance torride ; en effet, il me jette à plat ventre sur le lit, et m’écartant les globes, sa queue vient frotter sur mon sillon, puis son doigts s’infiltre dans ma chatte pour y prendre de la semence , puis il me titille l’anneau, le dilatant ; j’ai compris qu’il veut me sodomiser, et prenant mes fesses, je les écarte, lui offrant la vue de mon anneau qui se dilate petit à petit ; mais j’ai envie qu’il me prenne sans délais et je lui dit ; son gland , enduit de salive se positionne sur mon anneau et pousse doucement ; mais j’ai envie d plus, et reculant brusquement mon cul, je m’empale directement sur son mandrin ; la pénétration , même souhaitée est douloureuse, mais je serres les dents, lui réclamant au contraire qu’il m’encule puissamment ;mes propos le stimule et accroché à mon bassin , il me défonce le cul , se retirant parfois pour mieux me perforer ensuite, ; mais bien dilaté mon cul encaisse sans problème et mon plaisir monte ; je l’encourage, l’insulte, et le résultat est là ; sa sodomie est dévastatrice, mon anneau est dilaté et encaisse sans problème les coups de butoirs , déclenchant ma jouissance ; complète , puissante, elle se déchaine et je l’encourage, lui demandant plus de saillie, lui demandant de me remplir ; enfin , il éjacule, coulé à mon bassin , me traitant de petite pute, de petite salope aimant se faire défoncer ; je ne peux lui répondre car mon corps est pris de tremblement et je cris mon bonheur. Il me baise encore un long moment et quand sa queue se retire, un floc résonne, et sa semence s’écoule sur mon sillon ; un grand vide en moi, je m’écroule sur le lit ; quand je reprends mes esprits, je constate que cela fait plus de deux heures que je lui appartiens. Il veut me retenir, mais maintenant j’ai envie de toi, que tu me cajoles, que tu me lèches, que tu me prennes comme tu sais si bien le faire quand je me suis comportée en petite salope, pour mon plaisir, mais aussi pour le tien.
Stéphane est un beau garçon, que j’ai pu voir en slip de bain et constaté que le paquet enserré devait être de belle facture et quand il m’a proposé de prendre un pot, je savais déjà que j’allais lui appartenir ; j’en avais trop envie. Et sa main sur ma cuisse m’a confirmé la sienne ; alors que je t’appelais , il avait déjà investi mes fesses sous ma jupe, et tu t’imagines bien que je me suis laissée faire ; à peine arrivé chez lui, il m’a poussé sur son canapé et m’écartant les jambes, sa main a investi ma chatte, qui tu dois bien t’en douter était déjà humide ; me titillant le bouton ou me pénétrant deux doigts, il est vite arrivé à ses fins et ma cyprine s’est généreusement écoulée sur sa mains ; mon abricot s’ouvrait de plus en plus et c’est finalement assez rapidement qu’il a pu me lister complétement , s’étonnant de sa performance car c’était la première fois que ses doigts venaient toucher le fond de la matrice ; pour moi l’important, je jouissais sous ses doigts ravageurs ; quand il s’est retiré ma chatte béante réclamais une queue et sans attendre, lui baissant son jogging et son slip, je lui ai ordonné de me prendre. Je découvrais pour la première fois sa bite et je ne m’étais pas trompée ; un beau paquet de couille pleine sans aucun doute et un mandrin long et épais, le gland décalotté.
Je me suis allongée sur le canapé et ouvrant au maximum le triangle de mes cuisses, je lui ai ouvert le chemin de mon antre, écartant mes petites lèvres, décalottant ainsi mon petit bourgeon. M’agrippant aux hanches, il a investi ma chatte d’une seule poussée et malgré ma dilatation extrême, je n’ai pu retenir un petit cri, pas à cause de la douleur, mais de la puissance de la pénétration on ; son gland s’est enfoncé, sa queue m’a rempli complétement ; restant au fond de ma matrice quelques instants, il m’a dit que j’allais lui appartenir, qu’il allait me combler et que je pourrais te dire que tu es bien cocu.
Puis il a commencé à me pilonner, changeant de rythme, quittant mes hanches pour me triturer les pointes de seins, me traitant de petite salope. Tu sais que j’aime cela aussi bien d’avoir les pointes maltraitées, que de me faire traiter avec des mots crus et avec sa queue, de plus en plus grosse qui me baisait avec vigueur, je n’ai pas tardé à jouir bruyamment, l’excitant ainsi un peu plus ; soudain je l’ai senti se braquer et se retirant de mon ventre, il a éjaculé sur mon ventre, de nombreux jets, chauds, épais ; je n’ai pu retenir ma déception, j’aurais aimé qu’il me remplisse le ventre. J’avais encore envie de sa queue, et sans attendre, ma langue lui a nettoyé le gland, avant de l’emboucher, essayant de l’avaler le plus possible, encore bandé il s’est vite servi de ma bouche comme d’une chatte et il s’est branlé entre mes lèvres, alors que mes mains lui trituraient les couilles et même un doigt lui perforant l’anneau. Puis il m’a retourné, me mettant à genoux sur le canapé, il s’est à nouveau engagé dans ma chatte, puis bien au chaud, il s’est mis à me pilonner, ses couilles venant à chaque fois frappant à chaque fois mes fesses ; cette fois la possession est plus vigoureuse , mais aussi plus longue et me baisant sans retenu, il m’a fait jouir plusieurs fois et cette fois, il s’est vidé dans ma matrice , n’inondant de sa semence ; lorsque les jets m’ont frappé les parois, je n’ai pu retenir un long cri de bonheur, lui réclamant encore plus, m’offrant à son plaisir , et libérant bruyamment le mien quand il s’est retiré, tous les deux satisfaits, nous nous sommes enlacés, mais refusant ses baisers sur la bouche, que je te réserve ; devant son étonnement, je lui ai un peu expliqué nos jeux, à savoir que tu aimais m’offrir, me voir jouir avec un autre homme devant toi, où alors que tu n’es pas la et dans ce cas, je laisse mon téléphone totalement ouvert, où en te téléphonant comme tout à l’heure juste avant de le faire cocu.
Devant son étonnement, je lui avoue que cette situation me convient très bien, car j’aime me faire prendre et quand je le fais devant mon homme, mon plaisir est encore plus grand ; je lui avoue aussi que même si je jouis beaucoup avec toi, ce n’est pas pareil avec mes amants, sans doute parce qu’alors je me sens plus libre, plus femme et peut être aussi car je sors des conventions. Mes révélations lui ont redonné vigueur et me prenant par la main, il m’entraine dans sa chambre ; je comprends vite que nous sommes partis pour une autre séance torride ; en effet, il me jette à plat ventre sur le lit, et m’écartant les globes, sa queue vient frotter sur mon sillon, puis son doigts s’infiltre dans ma chatte pour y prendre de la semence , puis il me titille l’anneau, le dilatant ; j’ai compris qu’il veut me sodomiser, et prenant mes fesses, je les écarte, lui offrant la vue de mon anneau qui se dilate petit à petit ; mais j’ai envie qu’il me prenne sans délais et je lui dit ; son gland , enduit de salive se positionne sur mon anneau et pousse doucement ; mais j’ai envie d plus, et reculant brusquement mon cul, je m’empale directement sur son mandrin ; la pénétration , même souhaitée est douloureuse, mais je serres les dents, lui réclamant au contraire qu’il m’encule puissamment ;mes propos le stimule et accroché à mon bassin , il me défonce le cul , se retirant parfois pour mieux me perforer ensuite, ; mais bien dilaté mon cul encaisse sans problème et mon plaisir monte ; je l’encourage, l’insulte, et le résultat est là ; sa sodomie est dévastatrice, mon anneau est dilaté et encaisse sans problème les coups de butoirs , déclenchant ma jouissance ; complète , puissante, elle se déchaine et je l’encourage, lui demandant plus de saillie, lui demandant de me remplir ; enfin , il éjacule, coulé à mon bassin , me traitant de petite pute, de petite salope aimant se faire défoncer ; je ne peux lui répondre car mon corps est pris de tremblement et je cris mon bonheur. Il me baise encore un long moment et quand sa queue se retire, un floc résonne, et sa semence s’écoule sur mon sillon ; un grand vide en moi, je m’écroule sur le lit ; quand je reprends mes esprits, je constate que cela fait plus de deux heures que je lui appartiens. Il veut me retenir, mais maintenant j’ai envie de toi, que tu me cajoles, que tu me lèches, que tu me prennes comme tu sais si bien le faire quand je me suis comportée en petite salope, pour mon plaisir, mais aussi pour le tien.
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