Aspirateur de zobs - histoire érotique

C'était un samedi après midi, je revenais de faire mes courses quand mon rebeu préféré est venu me rendre visite pour plus, bien entendu.

J'habitais à cette époque, depuis peu, dans une tour au milieu de pavillons. J'habitais au 15ème étage et l'on voyait tout ce qui se passait dans les jardins. C'était assez marrant de voir vivre les gens.
Peu de temps après mon arrivée, j'ai été dragué honteusement par un rebeu timide. Il m'a suivi dans le magasin, regardant les mêmes choses que moi et me fixant tout le temps. Je sentais son regard me détailler. Je l'ai observé à la dérobée pour voir que c'était un petit mec comme je les aime, fin, sourire aux lèvres. J'ai eu envie d'en découvrir plus de lui, ses vêtements amples ne me permettant pas d'apprécier son corps, il était plus petit que moi.

J'ai fait demi tour dans les rayons, me trouvant nez à nez avec lui, apprécier ses beaux yeux noirs avec de longs cils. Son trouble de se retrouver face à moi, en rougir presque, j'avoue qu'il m'a beaucoup amusé et on a fini par se parler, des banalités, mais il restait à côté de moi. Quand on est arrivé aux caisses j'ai commencé à faire la queue. Il a été déposé le panier qu'il tenait avec trois bricoles et est sorti pour m'attendre à la sortie et me suivre jusqu'à l'entrée de la tour.
-t'habites là ? demande t-il.
-oui et toi ?
-moi aussi a t-il dit en baissant la tête.
-alors ça fera pas jaser si on entre tous les deux, moi c'est Fabrice, j'ai dit en lui tendant la main , qu'il a pris de suite.
-moi c'est Abdel Karim me répond il avec un sourire à me faire bander.

Il avait des yeux coquins, fiers, vicieux avec un petit sourire encore plus.
On est entré dans la tour.
-je t'invite boire un café ?
-si tu veux dit il en allant vers l'ascenseur moi je suis au 11ème et toi ?
-15ème.
Il appuie sur le bouton et nous voilà parti en voyage. La suite s'est fait rapidement tellement il avait autant envie de baiser que moi.

Et il a pris l'habitude de venir le samedi après midi, venir faire des câlins, faire des bisous. Me baiser et se faire baiser, ça j'apprécie avec un rebeu, en fait beaucoup le font mais il ne faut pas le dire…
On s'aimait pendant deux heures. Il avait un zob dans la normale mais qui jutait énormément c'était un plaisir de le voir jouir et de l'entendre.
Puis on parlait pendant quelques temps. Il aimait bien poser des questions, curieux comme une vieille chouette, mais ce samedi là après avoir joui tous les deux plusieurs fois, il ne disait rien.
-tu dis plus rien Abdel ?
-je réfléchis… j'hésite.
-à quoi Karim ?

J'aimais bien séparer ses deux prénoms, et quand il m'a demandé pourquoi, je lui ai répondu en riant que, comme ça j'avais l'impression d'avoir des rebeu jumeaux. Il avait beaucoup ri et c'était devenu un jeu entre nous.
-t'as pas eu le temps de connaitre Sergio qui habitait au 10ème ?
-non ça me dit rien pourquoi ?
-t'es déjà allé traîner dans les caves de la tour ?
-ben non, je sais que j'en ai une, mais j'ai pas l'intention de m'en servir.
-ok ok alors tu sais pas ce qui s'y passe.
Je l'ai regardé sans répondre.

Il souriait ce coquin pour m'appâter.
-alors raconte voyou au lieu de me faire languir!
-si je te le dis, après ça va te plaire, enfin peut être et tu ne voudras plus me voir.
Je me suis jeté sur lui, le chatouillant sur les côtes.
-pourquoi j'irais voir ailleurs alors que j'ai des jumeaux dans mon lit, deux beaux petits mecs que j'adore et qui m'adorent aussi.
-ah ils te l'ont dit ?
-ben ils reviennent c'est un signe non ?
-oui t'es pas comme les autres, t'es pas comme Sergio.
-mais y va me raconter ce voyou!
Et là je le chatouille, lui fait des bisous dans le cou. Il se tortille comme un ver de terre en riant. Il finit par m'envelopper de ses bras et me serre contre lui, sa bouche cherche la mienne et on s'embrasse comme des amoureux. Ses mains descendent dans mon dos, me caressant les fesses, j'aime ses mains douces et chaudes.
-bon alors ? tu veux que je te raconte ?
-ben oui.
-alors met toi sur le côté, tu m'écrases le céfran.

Je donne un coup de reins, écrasant nos queues l'une sur l'autre et je me mets sur le côté, en le prenant dans mes bras.
-je t'écoute attentivement dis je sérieusement en lui faisant un bisou.
-donc tu ne sais pas ce qu'il se passe dans les caves surtout les vendredi et samedi soir.
-je t'écoute Abdel
-c'est Karim qui parle dit il en riant. T'as vu le nombre d'arabes qu'il y a dans l'immeuble ? pas mal de jeunes mecs, de beaux mecs même et les rebeux aiment bien baiser alors quand ils peuvent trouver une victime ils l'emmènent à la cave, enfin dans les caves.
-t'as fait ça toi ?

Il rougit.
-j'y suis allé l'année dernière, je n'y suis plus retourné et depuis que je te connais je préfère venir te voir ici, j'aime mieux ton lit mon céfran préféré.
-préféré ? ça veut dire que tu en vois d'autres ?
Il rougit encore plus.
-tu veux pas savoir la suite de l'histoire ?
-t'as pas répondu à ma question Abdel Karim.
-fais pas ton jaloux Fabrice non j'en vois pas d'autres. Tu me suffis amplement tu le sais très bien que je t'adore.
-bon alors continue ton histoire jeune rebeu que j'aime!

Il rigole.
-donc, voilà, l'année dernière quand j'ai su ce qu'il se passait à la cave je suis allé voir. C'était simple on était une douzaine de rebeux et des céfrans venaient on ne sait d'où nous sucer et se faire baiser alors je peux te dire que certains prenaient cher! mais ils venaient pour ça aussi et y'avait pas que des jeunes. J'me souviens d'un vieux il voulait deux zob dans son vieux cul! fallait l'entendre comme il gueulait et je peux te dire que j'en ai lâché du bon jus dans les culs et les bouches des mecs qui venaient.
-et, entre rebeux ? vous baisiez ?
-ça va pas! y sont pas pédés!

Et il éclate de rire..
-bah tu sais bien comment sont les rebeux si tu niques avec un rebeu c'est en scred mec que tes potes ne le sachent jamais tu donnes pas ton cul devant tout le monde.
-mais toi je te connais bien maintenant, je suis sûr que tu avais repéré un rebeu qui te plaisait.
C'est beau quand il rougit Abdel Karim.
-oui mais j'ai jamais pu rien faire avec lui en tête à tête, il n'a jamais voulu venir chez moi. Par contre j'ai baisé avec lui le même cul et avoir mon zob se frotter contre le sien, si t'avais vu comme je bandais ce jour là!
-plus qu'avec moi ? j'ai demandé prenant l'air inquiet.
-t'es bête quand tu t'y mets Fabrice, c'est pas pareil.
-et Sergio dont tu m'as parlé il vient faire quoi dans l'histoire..?
-ben 6 mois avant son déménagement, on l'a vu arriver un soir dans la cave. Il faisait son timide, un beau mec tout blond, tout mignon. Tu penses que les zob des rebeux n'étaient pas en berne. On les a sorti pour lui montrer la marchandise, on était trois l'un à côté de l'autre et le voilà qu'il se met à genoux dans la cave, prend un zob dans chaque main et se met à sucer le troisième. Moi il me branlait, j'ai adoré la douceur de sa main et quand il m'a sucé! quel talent il avait ce mec!

En peu de temps il nous a vidé tous les trois sans en perdre une seule goutte. Kader qui se trouvait là, l'a traité de salope, il souriait et ce petit con a baissé son pantalon. Il n'avait pas de boxer, il s'est tourné et nous a offert son cul que l'on a baisé chacun notre tour et il est parti pour revenir le lendemain où on était cinq. Il nous a encore vidangé et offert son cul.
-ben dis doc, c'était un gourmand ce Sergio, alors ça t'a plu mon petit voyou ?
-ben tiens! tu sais à cette époque je draguais pas beaucoup et c'est pas comme maintenant où j'ai un beau céfran qui veut bien de moi. Alors tu penses que j'en ai profité mais c'était un gourmand le mec!
-il venait souvent ?
-tu parles! tous les vendredis et les samedis et naturellement ça c'est su. On était de plus en plus nombreux et je me souviens un vendredi soir, on était 15. Deux mecs étaient passés avant lui, ils avaient sucé chacun deux ou trois mecs et ils s'étaient barrés mais quand Sergio est arrivé qu'il a vu tous les mecs, il nous a regardé en souriant et en disant "faut que je vous suce tous ?" il a enlevé son pantalon, s'est mis nu et a commencé le marathon mec! il nous a tous sucé jusqu'à recevoir la sauce et ce soir là il a dû se prendre 6 ou 7 zob dans son petit cul et il n'avait pas l'air crevé. C'est ce soir là que Farid lui a trouvé son surnom.
Abdel Karim me regarde en souriant.
-alors c'est quoi ? j'ai demandé.
-tu ne devines pas ?
-ben on peut en trouver, mais vas y.
-l'aspirateur de zobs! et il éclate de rire.

Je rigole également.
-tu sais c'était exactement ça il aspirait tout le Sergio. Ah ça il aimait la queue le mec! dit Abdel Karim rêveur et toi? ça te donne pas envie d'aller voir dans la cave ?
Je me redresse au dessus de lui lui caresse la joue, le tiens par le menton.
-moi ? j'ai le zob d'Abdel et le cul de Karim à m'occuper je trouve que c'est bien suffisant pour un petit céfran comme moi.
-c'est sûr hein ?
-oui c'est sûr oh j'aime bien quand tu fais ton jaloux comme ça!
-ben j'aimerais pas que tous ces bouffons de la tour viennent te visiter ton petit cul et qu'ils te fassent avaler leur zob.
-t'inquiète pas mon petit chéri je n'ai pas l'intention d'y aller.
Je m'arrête de parler, en le fixant.
-sauf si bien sûr tu ne serais pas assez performant à mon goût.
Il me retourne sur le lit, vient sur moi, m'écrasant de son petit poids.
-et tu oses me traiter de voyou! mais c'est toi le plus voyou de nous deux, alors tu veux quoi ?
-on a joui deux fois, tu peux le faire une troisième ? j'ai demandé tout sourire aux lèvres.

Il n'a pas répondu, m'a embrassé passionnément, j'adore ses soupirs, sa langue qui joue avec la mienne, nos sexes qui roulent l'un sur l'autre, ses lèvres qui descendent sur mon torse me mord les tétons me faisant crier, m'inonde le nombril et vient me lécher les poils du pubis, mes poils blonds qu'il adore. Il passe ses doigts dedans, soulève ma queue, finit de la décalotter, joue avec le prépuce en approchant sa langue, attendre que la mouille perle et donner ses coups de langue, l'avaler jusqu'au fond de sa grotte chaude et me piper comme un chef!

Il relève souvent les yeux pour me regarder lâche ma queue, soulève mes jambes, me bouffe les couilles et descend sur mon petit cul chaud. J'aime sa langue passer dans la raie, titiller l'anus qui se laisse apprivoiser, se détendre et s'ouvrir sous ses coups de langue.
Il cale mes jambes sur ses épaules, je sens son zob se caler sur mon trou. Il se redresse en se penchant sur moi, son gland commence à entrer. Je vois ses beaux yeux noirs me fixer.
-je vais te niquer beau céfran et après tu me le fais, tu me donnes ton jus bien au fond comme j'aime! le programme te va ?
J'ai souri et j'ai crié car son gland était entré et d'un coup de reins il l'enfonce, s'allongeant sur moi. J'arrive à soulever la tête et lui fait un bisou sur les lèvres mais son beau sgeg commence son voyage. J'aime sa façon de niquer, il est doux, même quand il va fort on a l'impression qu'il fait toujours attention à moi et ce jour là ses coups de reins sont restés plus lents que d'habitude comme s'il voulait me le faire apprécier et j'ai surtout apprécier quand il s'est vidé de ses longues giclées chaudes qui inondent mon petit cul sont magnifiques.

Haletant il s'écroule sur moi. Je sens son zob sortir lentement et aussitôt il roule sur le côté les pattes en l'air son beau petit cul bien ouvert.
Je me relève, me mets à genoux juste devant sa tête.
-suce la queue du céfran le rebeu de cave!
Il rigole en prenant ma queue en bouche et l'enduit de salive, pendant que ma main fouille son petit cul, trouant de suite l'anus qui s'ouvre sous mes deux doigts.
-ça ira comme ça! t'es bien ouvert jeune rebeu! est ce que tu aimerais te faire ramoner par la queue d'un céfran ? alors je vais te la donner le rebeu! tiens bien tes jambes et ouvre ton petit cul.

Il avait le sourire, jusqu'à ce qu'il grimace quand mon gland a passé le cap et, comme lui d'un coup de reins je me suis inséré en lui bien au fond, bien au chaud.
J'étais au dessus de lui, le fixant.
-il aime ça se faire niquer le petit rebeu surtout quand c'est un céfran qui nique son petit trou chaud. Tu sais qu'on est bien dans ton petit trou. Tu sens ma queue comme elle glisse bien? je vais ramoner le conduit mon petit chéri. Je vais te faire passer l'envie d'aller à la cave.
Il pouffe de rire.
-j'y vais plus à la cave.

Je n'ai pas répondu et je l'ai baisé comme j'aime, comme il aime pour lui offrir sa récompense jouir dans son petit cul qui serre tant ma queue est un vrai plaisir et une vraie délivrance. M'écrouler sur lui, sentir ses jambes se refermer sur mes reins, me retenir prisonnier à lui pour qu'il m'embrasse et me caresse comme il veut.
Me libérer, pour qu'on se retrouve dans les bras l'un de l'autre à se regarder dans les yeux. J'aime caresser son visage tendrement, en lui faisant de petits bisous.
-je n'arrive pas à choisir dis je tout bas en le fixant.
-quoi ? dit il d'un air interrogatif.
-si j'aime plus Abdel ou Karim.
Il rigole.
-alors je crois que j'aime en fait Abdel Karim dis je en déposant mes lèvres sur les siennes.
-moi aussi je… et non je te le dirais pas, après tu vas être intenable!
Sa langue s'enfonce dans ma bouche et on roule sur le lit dans tous les sens en riant.

J'adore les samedis après midi.