Assouvissement d'un fantasme un peu forcé

- Par l'auteur HDS Nikola -
Récit érotique écrit par Nikola [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Assouvissement d'un fantasme un peu forcé Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-04-2006 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Assouvissement d'un fantasme un peu forcé
Je travaille dans une société d’informatique, j’ai 45 ans et je suis divorcé depuis 2 ans. Je n’ai connu que des femmes. J’aime les femmes et le contact avec un homme ne m’a jamais excité, au contraire.
Cependant il m’arrive de fantasmer, m’imaginant en train de me faire violer par un homme après l’avoir sucé. Sucer la queue d’un homme est une expérience qui revient souvent dans mes fantasmes mais sans que j’aie jamais oser faire la moindre démarche pour cela. C’est le principe du fantasme : ça s’imagine. De toute façon trop d’appréhensions et une énorme timidité m’ont toujours empêché de tenter quoique se soit en la matière.
Un jour, il était environ 17 heures et j’ai eu envie de m’exciter en lisant quelques histoires érotiques sur Internet. J’en ai lu plusieurs qui m’ont bien excitées et notamment celle qui racontait l’expérience réelle ou inventée d’un homme qui pour la première fois avait fait l’expérience de la sodomie et qui en avait retiré un plaisir extraordinaire.
C’est donc bien excité que j’ai décidé d’aller me soulager en me masturbant dans les toilettes.
Au moment où je pousse la porte des toilettes je m’aperçois qu’un de mes collègues est devant un lavabo en train de se laver les mains. C’est un commercial du groupe, de passage pour quelques semaines sur le site de notre département, avec lequel je n’ai jamais eu beaucoup de contacts. Je passe derrière lui et rentre dans un des deux toilettes en refermant derrière moi.
Je baisse mon pantalon en essayant de ne pas faire trop de bruit, je prend 2 ou 3 feuilles de papier, je m’en entoure le sexe pour ne pas risquer de tacher mes vêtements et commence à me masturber doucement en me remémorant les passages les plus croustillants des histoires que je viens de lire.
Il ne s’était pas passé plus de 30 secondes que j’entends qu’on frappe légèrement à la porte. Surpris, j’arrête tout et je m’immobilise pour rester dans un silence complet. J’hésite à répondre, étonné que quelqu’un puisse frapper à la porte de toilettes occupées surtout au sein d’une entreprise. J’ai d’abord cru à une erreur, que quelqu’un avait tapoté à la porte en passant sans penser que les toilettes était occupées mais lorsque j’entendis « allez, ouvre moi » mon cœur a bondi dans ma poitrine. Interloqué, ne sachant que répondre j’attends toujours en silence lorsque j’entend de nouveau « allez ouvre moi, je sais que tu te branles ».
Affolé, tout honteux je ne dis toujours rien, tout simplement parce que je ne sais pas quoi dire, lorsque j’entend, dis sur un ton plus ferme, « laisse moi rentrer ou je dis à tout le monde que tu te branles dans les chiottes ».
Alors là, je m’empresse de remonter mon pantalon, je me réajuste, je tire la chasse d’eau et j’ouvre avec la ferme intention de nier indiquant que j’étais tout simplement sur le trône en train de chier et que ces élucubrations n’avaient aucun sens.
Au moment ou je commence à entrouvrir la porte, je sens de l’autre coté une poussée et le commercial qui se lavait les mains lorsque je suis arrivé me pousse vers le fond des chiottes et referme la porte derrière lui.
Alors c’était bon ? Me demande t’il
Trop surpris par son intrusion je ne répond pas immédiatement et il me dit « c’est pas la peine de nier, je t’ai entendu, d’ailleurs tu bandes encore » et à ce moment, il met sa main sur mon pantalon à l’endroit ou effectivement mon sexe encore à moitié tendu fais une légère bosse.
Il me dit encore « écoute, tu m’obéis, tu fais tout ce que je te demande et je te jure que je ne dirais rien à personne ».
A ce moment, j’ai conscience que j’aurais pu m’en tenir à ma résolution de tout nier et de le traiter d’obsédé et de le menacer de lui faire une réputation de pédé qui vient harceler les honnêtes gens jusque dans les toilettes. Je suis convaincu qu’il n’aurait pas pris le risque et qu’il m’aurait rapidement foutu la paix. Mais voilà, me trouver dans cette situation, partagé entre la honte et une certaine excitation, je n’ai pas dis ce que j’avais l’intention de lui dire. Sans vraiment encore savoir pourquoi je me suis entendu lui répondre « d’accord mais n’en profite pas ». Après coup je me dis que dire « n’en profite pas » était particulièrement absurde dans cette situation mais l’émotion peut faire dire n’importe quoi.
Le fait de prononcer ces paroles a été pour moi comme si je m’étais débarrassé brusquement de ma personnalité pour me livrer complètement aux désirs de cet homme.
Je ne sais toujours pas comment j’ai pu si facilement me laisser faire, probablement parce que mes lectures d’histoires érotiques avaient ravivé mes fantasmes et certainement aussi parce qu’il n’était que de passage dans notre département et que je n’étais pas amené à travailler avec lui.
Je sentais peut être intuitivement que c’était pour moi l’occasion d’assouvir ce vieux fantasme de soumission par un homme et que si je réfléchissais trop j’allais peut être passer le reste de ma vie à le regretter.
« D’accord, ne t ‘inquiète pas, tu verras je suis certain que tu trouveras ça très agréable » m’a t’il répondu. « Allez enlève ton pantalon ».
Dans un état presque second j’ai enlevé mon pantalon en prenant soin de le plier et de poser dans un coin. Alors il s’est agenouillé et a empoigné mon sexe dans mon slip. A moitié bandé, il l’a pris dans sa bouche et l’a sucé pendant quelques secondes. Puis rapidement, il a baissé mon slip jusqu’à mes chevilles.
Il m’a fait asseoir, les fesses nues sur le siège dont le battant avait été rabattu. Il baissé son pantalon et exhibé un sexe assez long et bien épais qu’il a présenté à ma bouche en me disant « suce moi ». C’était la première fois que je touchais le sexe d’un autre homme et à plus forte raison que je le prenais dans ma bouche. Drôle de sensation, très excitante, il bandait bien et je me suis surpris moi même à essayer de bien faire les choses en le masturbant doucement et en serrant mes lèvres le plus fermement possible sur sa hampe tout en lui caressant doucement les couilles de l’autre main.
Il semblait apprécier, il a commencé par me dire « c’est bon continue, tu suces comme une vrais salope, c’est bon ». Au bout de quelques minutes je l’ai sentis se durcir de plus en plus et il m’arrêté d’un geste. Il m’a dis « tu vois que ce n’est pas si désagréable que ça et maintenant passons aux choses sérieuses ».
Il n’était pas très difficile de deviner ce qu’il entendait par là. Mais je ne lui répondis pas, j’étais de toute façon incapable de dire un mot.
A sa demande, je me suis levé puis il m’a retourné et en m’appuyant sur le dos m’a fais pencher, les mains posées sur le battant des toilettes. Cette position, le cul en l’air, offert, à provoquée en moi une brusque montée d’excitation. Enfin j’allais assouvir mon fantasme, découvrir la sodomie ! Mais en même temps j’avais honte, j’étais entièrement soumis et j’appréhendais : est ce que j’aurais mal, est ce que j’allais en retirer du plaisir ?
Je lui ai dis « doucement, je ne l’ai jamais fait » et il m’a répondu « y a un début à tout ».
Son ton a commencé à se durcir lorsqu’il m’a dis « tend bien ton cul et détend toi ». Puis il s’est baissé, j’ai sentis ses mains m’écarter les fesses puis sa langue a commencé à me lécher l’anus. A ce moment j’ai commencé à ressentir une sorte de petit picotement. Après avoir introduit de la salive dans mon petit trou, je l’ai sentis introduire un premier doigt, qu’il a remué dans mon cul en faisant des cercles, puis se fut un deuxième qui est venu le rejoindre. J’avais un peu mal et mon excitation commençait à retomber. Plus difficilement, il a remué ses deux doigts et essayé d’en introduire un troisième. Ce fut difficile, ça ne passait pas, il me faisait vraiment mal et je lui ai dis, alors il m’a répondu « tant pis pour toi, je vais te défoncer le cul espèce de salope ».
A ce moment j’ai sentis son sexe se presser contre mon anus. Ce fut laborieux j’étais trop serré alors il ajouté de la salive et pressé de plus en plus fort et j’ai sentis soudain que son gland avait passé mon œillet. La sensation était plus douloureuse que jouissive et j’appréhendais la suite. Je lui répétais « doucement, doucement » mais il devenait de plus en plus impatient et forçait de plus en plus. Tout à coup, il m’a empoigné les hanches encore plus fermement et a poussé brutalement d’un coup sec. J’ai eu mal, Je me suis retenu de crier, après tout, nous étions dans les toilettes et n’importe qui pouvait entrer sans crier gare. Une fois qu’il a bien été calé au fond de moi, il m’a laissé le temps de m’accoutumer et la douleur s’est un peu estompée. Puis je l’ai sentis m’écarter les fesses et il a commencé un mouvement de va et vient qui au bout d’un moment m’a procuré d’étranges sensations. C’est vraiment à ce moment que j’ai pris conscience que je me faisais enculer, que je me faisais pénétrer à fond d’une manière complètement soumise. A partir de ce moment j’ai commencé à sentir le plaisir monter, je ne bandais pas pour autant mais je sentais mon anus se dilater de plus en plus et les va et vient se faire de plus facilement. Je ne pouvais m’empêcher de gémir doucement ce qui renforçait se sentiment d’être dans la peau d’une femme soumise. Il me disait « c’est bon hein ! T’aime ça te faire défoncer le cul ! » ou « je te l’avais dis que tu aimerais ça tu vas voir tu en redemanderas ».
Il a continué à me prendre de cette manière, entrant à fond puis sortant presque de mon cul, tout en m’écartant les fesses et en me répétant « putain qu’est ce qu’il est bon ce cul …qu’est ce qu’il est bon ! »….pendant ce qui m’a semblé une éternité puis j’ai sentis des spasmes et un liquide chaud se déverser au fond de moi pendant qu’il gémissait en essayant de ne pas faire trop de bruit. Après avoir soufflé quelques secondes, il s’est retiré assez brusquement, s’est rhabillé sans dire un mot, m’a donné une tape sur les fesses puis est sorti des toilettes laissant la porte ouverte derrière lui.
Je n’ai pas bougé immédiatement, encore sous le choc puis réalisant que la porte était entrouverte je me suis redressé pour la fermer rapidement.
Ensuite je me suis adossé contre le mur, incapable bouger.
Je n’avais pas éjaculé, et je suis resté immobile dans cette position, le cul en feu. Je sentais son sperme couler par mon anus que j’imaginais entrouvert, attendant de me remettre un peu de mes émotions. J’avais du mal à réaliser ce qui venait de se passer.
Je me suis masturbé avec encore en tête ce qui venait de m’arriver et j’ai joui comme j’avais encore rarement joui. Un plaisir intense, une éjaculation puissante.
Je me suis rhabillé, un peu engourdi, puis je suis allé me passer le visage sous l’eau pour avoir l’air un peu présentable avant de retourner à mon bureau.
Lorsque je suis sortis des toilettes j’étais persuadé que n’importe qui me croisant se dirait « tiens celui la il vient de se faire enculer », j’étais honteux et persuadé que cela apparaissait clairement sur mon visage, j’avais l’impression de marcher bizarrement du fait mon cul douloureux..
Heureusement je n’ai croisé personne. Arrivant à mon bureau j’ai trouvé un mail de mon collègue avec simplement ces mots « demain 17 heures même endroit »
Sur le moment je me suis dis « non mais ça va pas ! » l’excitation retombé, la honte avait pris le dessus mais le lendemain j’y suis retourné. Il n’est pas resté très longtemps chez nous mais suffisamment pour m’avoir repris 5 fois. A chaque fois c’était le même scénario, nous nous retrouvions en silence dans les toilettes, je le suçais et il m’enculait.
Certaines fois, les toilettes d’à coté ont été occupées, je me forçais à ne faire aucun bruit mais une fois il m’a dit à l’oreille « peut être que notre voisin aimerait participer, tu veux que je l’appelle ? Quand il y en a pour 1 il y en a pour 10 ». Je n’ai pas répondu, mais ces paroles m’excitaient. Je les imaginais se relayer dans mon cul ou dans ma bouche. Bien entendu, il n’a rien dit mais depuis, m’imaginer pris par 2 hommes contribue largement à alimenter mes fantasmes.
J’aime toujours les femmes plus que tout et rien que la pensée d’embrasser un homme me dégoûte mais cette expérience de soumission à un homme a été très forte peut être parce qu’elle est restée sur un plan purement sexuelle sans aucun sentiment.

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