Attachée, forcée, fantasme du viol. Zone Rouge.
Récit érotique écrit par Misspluton [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-05-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Attachée, forcée, fantasme du viol. Zone Rouge.
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Tu te réveille, sans arriver à te rappeler t'être endormie. Ton dernier souvenir, c'est cette vanne blanche, dans laquelle tu es monté, pour te rendre au poste d'essence le plus près. Malheureusement, le visage de l'homme qui la conduisait, ne te revient pas en tête. Et tu es presque certaine qu'il n'y avait aucun nom de compagnie, ni sur la vanne, ni sur l'habit de l'homme.
Tu ne vois rien. Ta vue est bloquée par un bandeau, attaché autour de ta tête. Ta langue partage son espace avec un objet sphérique, fixé à ta tête également. Une boule, un baillon ? Quoi qu'il en soit, toute tentative d'utiliser tes cordes vocales serait innutile.
Tu reprend peu à peu tes esprits. Tu essaie de ramener tes bras à ta bouche, pour retirer cet objet, si inconfortable, mais quelque chose les maintiens en place.
La panique commence à se nicher au fond de toi. Tu analyse la situation, ta respiration s'accélère. Tu es attacher, à genoux. Tes chevilles sont fixés au sol, tout comme tes genoux. Tes bras sont attachés, à une barre de fer, qui semble fixé à quelque chose. Tes fesses sont relevés et le poids de ton corps repose sur cette barre de fer, qui maintiens le haut de ton corps légèrement plus bas que tes fesses.
Tu es complètement nue. C'est une évidence.
Tu réfléchis. Tu essaie de te souvenir. Mais la seule chose que contient ta mémoire, c'est d'etre monté dans cette vanne et d'avoir discuter avec cet homme, qui te semblait fort sympathique.
Tu sens sur ta fesse, une main se poser, ça te fait sursauter. Tu arrête de respirer, prise de panique. Et tandis que cette main glisse doucement sur ton dos, vers ta nuque, tu essaie de dégager tes mains. Ça semble être du cuir, qui te maintiens à cette barre. Tu n'arrive pas à t'en libéré et cette main glisse à présent dans tes cheveux. Ramassant tes cheveux en une poignée, il tire violemment, relevant ta tête. Tu sent son souffle sur ta joue.
Tu essaie de crier, mais ton baillon étouffe ton cris. Tenant ta tete relevé, il détache la boule et la remplace rapidement par un objet froid. Il maintient ta tête fortement, en attachant le nouvel objet.
Ta bouche ne ferme plus, ta langue parcourt l'anneau de métal, ton bandeau s'est légèrement déplacé. Tu ne vois pas grand chose, mais tu comprend que tu n'es pas fixée au sol. Tu es attachée à une table. Tandis qu'il relâche tes cheveux, tu relève ta tête et essaie de voir son visage. Il est nu.
Son membre s'avance vers toi et tu sent ses mains replacer doucement ton bandeau. Tu es plongée dans le noir à nouveau, ne sachant toujours pas qui s'apprête à te violer.
Tu l'entend inspirer fortement, il est satisfait. Il est excité. Tu t'imagine qu'il doit être en train de te regarder, complètement soumise à lui, à ses désirs.
Il se déplace derrière toi et tandis que tu suis ses mouvements, par ton seul sens disponible, tu l'entend brasser une bouteille. Il lubrifie quelque chose.
"Non, s'il te plait !" Tu cris au travers de ton anneau à pattes.
Il glisse des doigts glaciales de gelée lubrifiante, sur ton vagin. Écartant doucement tes lèvres et massant ta fente, de haut en bas, sans t'adresser la moindre réponse.
"Non ! ARRÊTE !" Tu proteste.
Ses doigts commencent doucement à te pénétrer, sans même tenir compte de tes cris.
"À L'AIDE ! AIDEZ MOI !" Tu cris de toute tes forces.
Tu l'entend inspirer. Il s'impatiente. Tes cris l'excite.
Ses doigts font des vas et vient en toi, tandis que son autre main semble occupé à lubrifier autre chose.
Tu tente à nouveau de libérer tes bras. Tu tire et tu secoue. Pas un minuscule lousse. C'est peine perdu. Il va te pénétré de force et tu ne pourras rien y faire pour l'en empêcher.
Ses doigts se retirent et des larmes de frustration commencent à couler sur tes joues. Il attache quelque chose à l'une de tes cuisses. Puis à l'autre cuisse. Il fixe une sorte de ceinture à tes hanches. Il rattache la ceinture aux gances attachés autour de tes cuisses et tu sens, un objet en silicone commencer à te pénétrer doucement. Il pousse l'objet contre ton point g et ressere les ceintures, qui servent à le maintenir en place, dans ton intimité. Ses doigts tourne doucement l'objet en toi et une vibration se met en marche. Un vibrateur, bien fixé pour tenir dans ton vagin, il te veux lubrifiée.
Tandis que tu lutte contre cette vibration délectable, il rassemble doucement tes cheveux en une queue de cheval, qu'il aggrippe fermement et il pénètre dans ta bouche. Tu essaie de reculer ta tête, mais sa main maintient bien ta tête, tu secoue tes bras, dans un désespoir, pour te libérer et tu essaie de repousser son membre hors de ta bouche, avec ta langue. Il coulisse en toi et son souffle s'accélère. Son pénis viole ta bouche et son vibrateur prepare ton vagin.
Il soupire de satisfaction, il accélère son rythme, laissant ta salive s'échapper de ta bouche et couler sur ton menton. Ses poussées sont de plus en plus violentes dans ta bouche, ton vagin devient de plus en plus mouillé, les vibrations t'excitent et tu te rapproche de la jouissance. Perdue entre le plaisir que te procure son jouet en toi et le dedains de son membre qui grossit contre ta langue protestante. Ton vagin commence à se resserrer sur l'objet de tes plaisirs et ta gorge laisse passer des gemissements, etouffés par sa queue.
"T'es une belle salope" dit il.
Il se retire de ta bouche. Sa voix est celle de l'homme de la vanne. Tu en es certaine maintenant. Il détache les sangles à tes cuisses et la ceinture, laissant le vibrateur en toi, il commence à le faire coulisser.
Ça t'excite encore plus et tu te sent grimper, très rapidement, en route vers l'orgasme. Il pose un doigt lubrifié sur ton anus, tout en bougeant le jouet sur un rythme de jouissance. Tu essaie d'ettouffer tes gémissements, tandis que tu es tout près d'exploser. Puis il retire son objet vibrant, t'interdisant l'orgasme.
Tu n'as pas le droit de jouir.
Son doigt s'insère dans ton trou vierge, alors qu'il fait doucement glisser son pénis sur ton vagin.
"Non, fais pas ça, s'il te plait." Tu supplie au bout de ton souffle.
"Empeche moi !" Lance-t-il fièrement.
Ton corps en entier est attaché selon son désir et le moindre mouvement est impossible.
Il attend un instant. Son membre prêt à te pénétré, poussant contre l'entrée de ta fente. Son membre s'insère violemment dans ton intimité très bien lubrifié. Ses mains s'aggrippe à tes fesses et il coulisse dans ta cyprine. Touchant le fond à chaque poussée, tes protestations l'excitant d'avantage, il te viole et tu aime ça.
Son doigt sort de ton petit trou et il le remplace par un objet froid, lubrifié et un peu plus gros.
Il te pistonne, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Ses doigts posé sur l'objet dans ton cul, le fait tourner. Il commence à te donner des claques sur les fesses, faisant vibré l'objet. Ses coups de hanches t'excite et tes doigts se resserrent contre la barre de fer. Tu te bat contre cette jouissance. L'objet dans ton anus, qui tourne te procure un melange de douleur et plaisir. Il pousse sur l'objet avec une main et attrappe tes cheveux avec l'autre main, sans s'arrêter de te pistoner. Son membre durcit en toi. Tu le sent quand il touche le fond de ton vagin. Tout d'un coup, il retire ce qu'il avait forcé dans ton anus et dépose de la gelé lubrifiante. Il retire son pénis de ton intimité et le pose à l'entrée de ton trou vierge, mélangeant le lubrifiant sur ton anus avec sa queue.
"NON PAS CA !" tu cris.
Il te pénètre doucement. Tu resserre sur lui. La douleur est atroce.
"Laisse la entrer. Détend toi et accepte ton viol. Ça fera pas mal si tu la prend. Prend la toute." Te dit il.
Tu ferme fort les yeux et tâche de te détendre, pour ne plus avoir mal.
"Ouai, c'est ça Saloppe. Hmmm prend la toute."Ses mains se resserre sur tes fesses, alors qu'il te devierge le cul, contre ta volonté et tu commence à aimer ça.
Son membre bouge doucement en toi, élargissant ton trou. Plus tu te détend, plus il accélère. Il aime ça et tu le sent. Ses coups s'accélère de plus en plus, ses doigts resserrent de plus en plus tes fesses et son souffle est complètement saccadé.
Il retire son pénis de ton anus et le remet dans ta fente. Il donne quelques coups et le remet dans ton petit trou. Puis retourne dans ton vagin. Et tandis que son petit jeu te donne des sensations agréables, il recommence à te pistoner, penetrant à présent ton vagin. T'emmenant au bord de la jouissance.
Tu te réveille, sans arriver à te rappeler t'être endormie. Ton dernier souvenir, c'est cette vanne blanche, dans laquelle tu es monté, pour te rendre au poste d'essence le plus près. Malheureusement, le visage de l'homme qui la conduisait, ne te revient pas en tête. Et tu es presque certaine qu'il n'y avait aucun nom de compagnie, ni sur la vanne, ni sur l'habit de l'homme.
Tu ne vois rien. Ta vue est bloquée par un bandeau, attaché autour de ta tête. Ta langue partage son espace avec un objet sphérique, fixé à ta tête également. Une boule, un baillon ? Quoi qu'il en soit, toute tentative d'utiliser tes cordes vocales serait innutile.
Tu reprend peu à peu tes esprits. Tu essaie de ramener tes bras à ta bouche, pour retirer cet objet, si inconfortable, mais quelque chose les maintiens en place.
La panique commence à se nicher au fond de toi. Tu analyse la situation, ta respiration s'accélère. Tu es attacher, à genoux. Tes chevilles sont fixés au sol, tout comme tes genoux. Tes bras sont attachés, à une barre de fer, qui semble fixé à quelque chose. Tes fesses sont relevés et le poids de ton corps repose sur cette barre de fer, qui maintiens le haut de ton corps légèrement plus bas que tes fesses.
Tu es complètement nue. C'est une évidence.
Tu réfléchis. Tu essaie de te souvenir. Mais la seule chose que contient ta mémoire, c'est d'etre monté dans cette vanne et d'avoir discuter avec cet homme, qui te semblait fort sympathique.
Tu sens sur ta fesse, une main se poser, ça te fait sursauter. Tu arrête de respirer, prise de panique. Et tandis que cette main glisse doucement sur ton dos, vers ta nuque, tu essaie de dégager tes mains. Ça semble être du cuir, qui te maintiens à cette barre. Tu n'arrive pas à t'en libéré et cette main glisse à présent dans tes cheveux. Ramassant tes cheveux en une poignée, il tire violemment, relevant ta tête. Tu sent son souffle sur ta joue.
Tu essaie de crier, mais ton baillon étouffe ton cris. Tenant ta tete relevé, il détache la boule et la remplace rapidement par un objet froid. Il maintient ta tête fortement, en attachant le nouvel objet.
Ta bouche ne ferme plus, ta langue parcourt l'anneau de métal, ton bandeau s'est légèrement déplacé. Tu ne vois pas grand chose, mais tu comprend que tu n'es pas fixée au sol. Tu es attachée à une table. Tandis qu'il relâche tes cheveux, tu relève ta tête et essaie de voir son visage. Il est nu.
Son membre s'avance vers toi et tu sent ses mains replacer doucement ton bandeau. Tu es plongée dans le noir à nouveau, ne sachant toujours pas qui s'apprête à te violer.
Tu l'entend inspirer fortement, il est satisfait. Il est excité. Tu t'imagine qu'il doit être en train de te regarder, complètement soumise à lui, à ses désirs.
Il se déplace derrière toi et tandis que tu suis ses mouvements, par ton seul sens disponible, tu l'entend brasser une bouteille. Il lubrifie quelque chose.
"Non, s'il te plait !" Tu cris au travers de ton anneau à pattes.
Il glisse des doigts glaciales de gelée lubrifiante, sur ton vagin. Écartant doucement tes lèvres et massant ta fente, de haut en bas, sans t'adresser la moindre réponse.
"Non ! ARRÊTE !" Tu proteste.
Ses doigts commencent doucement à te pénétrer, sans même tenir compte de tes cris.
"À L'AIDE ! AIDEZ MOI !" Tu cris de toute tes forces.
Tu l'entend inspirer. Il s'impatiente. Tes cris l'excite.
Ses doigts font des vas et vient en toi, tandis que son autre main semble occupé à lubrifier autre chose.
Tu tente à nouveau de libérer tes bras. Tu tire et tu secoue. Pas un minuscule lousse. C'est peine perdu. Il va te pénétré de force et tu ne pourras rien y faire pour l'en empêcher.
Ses doigts se retirent et des larmes de frustration commencent à couler sur tes joues. Il attache quelque chose à l'une de tes cuisses. Puis à l'autre cuisse. Il fixe une sorte de ceinture à tes hanches. Il rattache la ceinture aux gances attachés autour de tes cuisses et tu sens, un objet en silicone commencer à te pénétrer doucement. Il pousse l'objet contre ton point g et ressere les ceintures, qui servent à le maintenir en place, dans ton intimité. Ses doigts tourne doucement l'objet en toi et une vibration se met en marche. Un vibrateur, bien fixé pour tenir dans ton vagin, il te veux lubrifiée.
Tandis que tu lutte contre cette vibration délectable, il rassemble doucement tes cheveux en une queue de cheval, qu'il aggrippe fermement et il pénètre dans ta bouche. Tu essaie de reculer ta tête, mais sa main maintient bien ta tête, tu secoue tes bras, dans un désespoir, pour te libérer et tu essaie de repousser son membre hors de ta bouche, avec ta langue. Il coulisse en toi et son souffle s'accélère. Son pénis viole ta bouche et son vibrateur prepare ton vagin.
Il soupire de satisfaction, il accélère son rythme, laissant ta salive s'échapper de ta bouche et couler sur ton menton. Ses poussées sont de plus en plus violentes dans ta bouche, ton vagin devient de plus en plus mouillé, les vibrations t'excitent et tu te rapproche de la jouissance. Perdue entre le plaisir que te procure son jouet en toi et le dedains de son membre qui grossit contre ta langue protestante. Ton vagin commence à se resserrer sur l'objet de tes plaisirs et ta gorge laisse passer des gemissements, etouffés par sa queue.
"T'es une belle salope" dit il.
Il se retire de ta bouche. Sa voix est celle de l'homme de la vanne. Tu en es certaine maintenant. Il détache les sangles à tes cuisses et la ceinture, laissant le vibrateur en toi, il commence à le faire coulisser.
Ça t'excite encore plus et tu te sent grimper, très rapidement, en route vers l'orgasme. Il pose un doigt lubrifié sur ton anus, tout en bougeant le jouet sur un rythme de jouissance. Tu essaie d'ettouffer tes gémissements, tandis que tu es tout près d'exploser. Puis il retire son objet vibrant, t'interdisant l'orgasme.
Tu n'as pas le droit de jouir.
Son doigt s'insère dans ton trou vierge, alors qu'il fait doucement glisser son pénis sur ton vagin.
"Non, fais pas ça, s'il te plait." Tu supplie au bout de ton souffle.
"Empeche moi !" Lance-t-il fièrement.
Ton corps en entier est attaché selon son désir et le moindre mouvement est impossible.
Il attend un instant. Son membre prêt à te pénétré, poussant contre l'entrée de ta fente. Son membre s'insère violemment dans ton intimité très bien lubrifié. Ses mains s'aggrippe à tes fesses et il coulisse dans ta cyprine. Touchant le fond à chaque poussée, tes protestations l'excitant d'avantage, il te viole et tu aime ça.
Son doigt sort de ton petit trou et il le remplace par un objet froid, lubrifié et un peu plus gros.
Il te pistonne, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Ses doigts posé sur l'objet dans ton cul, le fait tourner. Il commence à te donner des claques sur les fesses, faisant vibré l'objet. Ses coups de hanches t'excite et tes doigts se resserrent contre la barre de fer. Tu te bat contre cette jouissance. L'objet dans ton anus, qui tourne te procure un melange de douleur et plaisir. Il pousse sur l'objet avec une main et attrappe tes cheveux avec l'autre main, sans s'arrêter de te pistoner. Son membre durcit en toi. Tu le sent quand il touche le fond de ton vagin. Tout d'un coup, il retire ce qu'il avait forcé dans ton anus et dépose de la gelé lubrifiante. Il retire son pénis de ton intimité et le pose à l'entrée de ton trou vierge, mélangeant le lubrifiant sur ton anus avec sa queue.
"NON PAS CA !" tu cris.
Il te pénètre doucement. Tu resserre sur lui. La douleur est atroce.
"Laisse la entrer. Détend toi et accepte ton viol. Ça fera pas mal si tu la prend. Prend la toute." Te dit il.
Tu ferme fort les yeux et tâche de te détendre, pour ne plus avoir mal.
"Ouai, c'est ça Saloppe. Hmmm prend la toute."Ses mains se resserre sur tes fesses, alors qu'il te devierge le cul, contre ta volonté et tu commence à aimer ça.
Son membre bouge doucement en toi, élargissant ton trou. Plus tu te détend, plus il accélère. Il aime ça et tu le sent. Ses coups s'accélère de plus en plus, ses doigts resserrent de plus en plus tes fesses et son souffle est complètement saccadé.
Il retire son pénis de ton anus et le remet dans ta fente. Il donne quelques coups et le remet dans ton petit trou. Puis retourne dans ton vagin. Et tandis que son petit jeu te donne des sensations agréables, il recommence à te pistoner, penetrant à présent ton vagin. T'emmenant au bord de la jouissance.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Long, très long pour un seul type qui la viole !