Attentions matinales - histoire érotique

J'ai toujours mis longtemps à trouver les illustrations à mes textes. La plupart du temps, elles ne sont qu'un compromis entre ce qu'internet peut me proposer et ce que mon esprit a imaginé... Compromis au goût de frustration. J'aurais adoré et je caresse toujours l'idée, de trouver des lecteurs qui partagent mes goûts pour ces mots et s'en amusent devant un objectif pour m'en confier leur version.... Cet exercice, basé sur une vidéo certes explicite mais restant à mon avis correcte (je pense que nous en faisons tous autant sans exagération !) a été un moyen de compenser au moins une fois, ce manque.

La lumière inonde la chambre. Dans la cuisine, Marion œuvre pour préparer le petit déjeuner. Sur le plateau de bois blanc, elle a déjà disposé un verre de jus d'orange et le couvert. Les fraises qu'elle a acheté la veille sont merveilleusement rouges, gorgées de soleil. Elle jette un œil discret vers le lit :
Nicolas dort encore à poings fermés. La pâte à gaufres est prête : elle en dispose un peu dans le moule. Pendant la cuisson, elle dispose quelques fraises sur une assiette blanche. Elle n'oubliera pas d'ajouter un peu de chantilly sur les gaufres encore chaudes, parsemées de quelques trainées de chocolat liquide. Une dernière inspection : tout est là. Sans un bruit, Marion prend le plateau et se dirige à pas de velours vers le lit. Sixième sens : Nicolas l'a sentie arriver et ouvre les yeux sur Marion qui l'accueille le sourire aux lèvres. Aussitôt, il se redressa et soulagea la jeune femme de son présent.
Un regard complice naquit à cet instant. Marion, libérée, se pencha vers Nicolas pour le saluer en l'embrassant. Elle s'assied sur le rebord du lit et amoureusement, se saisit du couteau. Elle découpa un bout de la gaufre qu'elle lui tendit. Pendant qu'il le savourait, Marion prit une fraise et la porta à la bouche de Nicolas. Tant de sollicitude de bon matin ! Nicolas était ravi. Il plongea l'index dans la chantilly et le dirigea vers les lèvres de Marion. Mais à son approche, elle engloutit avec gourmandise le doigt entier.

Nicolas saisit le plateau avec prudence et le déposa au pied du lit. Il put alors s'approcher de Marion pour lui témoigner d'un baiser langoureux en guise de remerciement.

Marion ne compta pas en rester là. Elle repoussa avec délicatesse son amant au fond de son lit pour, à son tour, l'embrasser. Nicolas n'eut pas beaucoup de difficulté à faire glisser les bretelles de son petit haut, dévoilant ainsi sa poitrine ferme. Il s'amusait de leur forme, ni trop grosse, ni trop petite. Sa main gauche erra vers le plateau jusqu'à ce qu'elle rencontre à nouveau la crème chantilly. Nicolas ne put s'empêcher d'en déposer quelques lichées sur la pointe du sein gauche de Marion. Le contact frais de la crème associé à la main câline de Nicolas fit tressaillir Marion. Sitôt apposé, il s'empresse de venir y goûter à pleine bouche. La fine couche eut du mal à satisfaire l'appétit grandissant de Nicolas.
Très vite, le téton ferme de Marion vint se poser sur sa langue gourmande. Marion eut envie de donner libre cours à leur envie mutuelle. Elle abandonna un instant le lit sous les yeux curieux de Nicolas qui
ne la lâchait pas du regard. Elle se dirigea vers la table de la cuisine et ramena d'un pas guilleret la
bombe de chantilly et la bouteille de chocolat liquide.

Nicolas saisit l'aérosol et déposa un généreux serpentin sucré sur l’aréole du sein. Il le mangea presque totalement. Du bout des doigts, il étala le reste sur la pointe du sein, tandis que Marion porta l'autre à la bouche. Nicolas aurait bien continué à jouer, mais Marion réclamait son tour.

Elle découcha le flacon de topping et marqua d'un "M" la poitrine de son amant. Volontairement, elle prolongea la dernière jambe de son initiale pour la laisser courir pile entre ses pectoraux. La voie était tracée. Elle s'allongea autant qu'elle le put et sa langue plongea dans le liquide sucré pour remonter jusqu'à sa source. Les deux amants explorèrent mutuellement leur corps pour en retirer chaque once de sucre.

Toutes ces manœuvres ont bien fini par éveiller les sens de Nicolas. La gentille serveuse n'est désormais plus qu'une proie. D'un mouvement de jambe, il la fait basculer sur le côté. Marion collabore sans la moindre résistance. Très vite, les quelques tissus qui pouvaient encore protéger leur pudeur disparaissent.

Prise dans son élan, Marion l'attend. Elle le veut, là, en elle. Mais Nicolas la repousse au fond du lit et se penche juste sur elle pour lui voler un dernier baiser. Sous son regard quémandeur, il s'éloigne de son visage en se redressant légèrement. Elle le voudrait, là, en elle. Marion est acculée dans le lit, à la merci de Nicolas.

Sa main glisse entre ses cuisses ouvertes. Ses doigts n'ont aucun mal à se frayer un chemin entre ses lèvres déjà ruisselantes de plaisir. Nicolas ne peut s'empêcher sous son regard, de dévorer sa poitrine.
Bientôt, n'y tenant plus, il disparaît entre ses jambes. Marion s'abandonne sous les assauts délicats de la langue curieuse. Son majeur et son index viennent se planter de part et d'autres de ses lèvres pour les ouvrir à la bouche gourmande de Nicolas.

Soudain, elle se rebelle. Elle se redresse et interrompt Nicolas. Elle saisit son visage d'une main pour le porter à la bouche et l'embrasser avec passion. Nicolas résiste et immobilise la jeune effrontée en s'allongeant sur elle. Marion en profite pour lui murmurer ses envies... Les jambes repliées, elle peut enfin l'accueillir en elle.

Ils se dévorent du regard, tandis que Nicolas œuvre en elle dans des mouvements amples. Elle n'a qu'une envie : le sentir au plus profond d'elle... Nicolas prend le rythme et bute à maintes reprises sur ses cuisses relevées.

Marion savoure ces moments. Elle voudrait l'avoir en elle tout entier. Elle aime sentir sa force, sa puissance se manifester entre ses jambes. Elle aime sentir son corps brûlant tout contre sa peau. Elle ne peut pas le voir, mais elle imagine bien son sexe entrer et sortir d'elle, dur et vaillant. Nicolas accélère encore, cogne contre son ventre... Marion ne veut pas qu'il jouisse, en tout cas, pas encore.

Elle le repousse sur le côté et prend le dessus.

A cheval sur lui, elle se laisse glisser sur son hampe virile. C'est elle désormais qui rythme leurs ébats.
Elle espère bien continuer à en profiter, mais elle souhaite aussi faire durer le plaisir. Elle alterne des va-et-vient déchaînés et des étreintes puissantes. Les deux mains sur les fesses, elle écarte autant faire ce peu ses lèvres pour accueillir encore mieux son homme. Elle n'a plus besoin d'ouvrir les yeux pour s'en convaincre. Il est ancré en elle. Une première vague la submerge alors que Nicolas la serre tout contre lui. Elle voudrait savourer chaque seconde de ce moment inattendu. Elle se défait péniblement de cette étreinte et arrive à faire allonger Nicolas. Lui continue à glisser en elle. Le visage de Marion se crispe, elle le supplie de ralentir, elle l'embrasse.

Marion reprend ses esprits. Elle reprend le contrôle. Nicolas est toujours en elle. Elle se redresse, fière.
Elle se remet à monter et descendre le long de sa verge qui ne démérite pas.

Nicolas prend le relais. Son bassin fait de petits mouvements d'avant en arrière. Marion prend ses doigts en bouche et les déguste avec gourmandise. Energiquement, elle plaqua l'autre main de Nicolas sur son sein gauche. A nouveau leur regards se croisent, se comprennent.

Marion s'échappe et se place à côté de Nicolas. D'un geste de la main, elle dégage le large rideau de ses cheveux qui occulte à ses yeux le sexe de Nicolas. Elle s'installe rapidement et le saisit de la main pour le porter en bouche. Maintenant, elle le dévore avec autant d'appétit qu'elle le désirait tout à l'heure en elle. Le choix est cornélien... La bouche de Nicolas l'appelle aussi... Elle décide alors d'y gouter tout en branlant énergiquement son sexe. Mais la sensation de l'avoir en elle lui manque déjà.
Elle s'offre alors une dernière chevauchée sur son étalon. Les sensations reviennent. Mais elle en veut plus, encore.

Elle s'abandonne sur le ventre, de côté, la jambe repliée. Elle tourne la tête en arrière et invite Nicolas.
Nicolas s'approche et la pénètre. La sensation est puissante. Ses cuisses ne sont désormais plus une entrave. Sa verge explore désormais des contrées jusque là inexplorées, vierges de tout plaisir.

Alors que Nicolas abuse de sa découverte, les deux amants peuvent à nouveau s'embrasser. Leur regards sont tantôt implorants, tantôt défiants. Chacun guette la faiblesse de l'autre, chacun cherche le plaisir de l'autre, et l'autre vers le sien. A ce jeu, Marion gagne la première. Nicolas a finalement trouvé la faiblesse dans l'armure.

Marion lâche enfin prise. Mais à ce jeu, il n'y a pas de perdant. Nicolas se retire et assoie Marion devant lui. Il saisit son visage à pleines mains et l'embrasse goulument. Marion épouse le mouvement initié par Nicolas et s'allonge sur le dos sans résister. Nicolas la couvre, et, les mains posés sur ses seins, ne manque pas une occasion pour l'embrasser.

Marion relève la jambe gauche et la place derrière la fesse de Nicolas. Elle l'attire encore en elle.
Nicolas s'exécute. Marion l'attend désormais. Nicolas accélère le rythme puis se retire en se redressant.
Sous les yeux de Marion, il saisit à pleines mains son sexe et commence à se masturber. Marion accueille avec soulagement le liquide blanchâtre qui macule désormais son bas ventre.

Les deux amants s'embrassent une dernière fois et s'écroulent. Nicolas vient se blottir dans le dos de Marion. La matinée a commencé sous de bons auspices...