Attouchements et masturbation
Récit érotique écrit par Otac [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Attouchements et masturbation
Jane et moi étions copains à cette époque depuis quelques années, nous avions tous les deux 20 ans et rien ne s'était jamais passé entre nous. Plutôt libertine et en avance sur les questions du sexe, Jane m'avait déjà plusieurs fois sérieusement excité en revanche ; j'ai souvent été pris d'érections incontrôlées en dansant serré avec elle, ce genre de chose... pas très grande, une belle poitrine assez grosse, bronzée et un superbe cul bombé, il y avait de quoi...
Ce jour là, nous avions passé la journée ensemble, et nous avions terminé chez elle pour passer la soirée. Après avoir un peu picolé on a fini par se mettre au lit : je me mets en caleçon, elle se change dans la salle de bain, culotte et petit débardeur sexy. La discussion a rapidement viré sur le sexe... elle commence à me parler de comment les mecs aiment se faire branler différemment, des tailles des bites... Comme j'adore entendre les filles parler de bites, je suis pris sous la couette d'une violente érection.
''Tu trouves ça beau une bite ?'' je fini par lui demander.
''Ah oui, c'est beau... tu la trouves belle la tienne ?''
''Oui je l'aime bien'' je réponds, sentant mon sexe tendu comme jamais.
Mais le ''montres la moi'' n'est pas venu comme j'espérais... on a encore discuté un peu, puis elle a fini par dire qu'elle voulait dormir. Ma frustration était à son comble, ma bite me faisait mal tellement je bandais, j'ai l'habitude de dormir sur le ventre et là, impossible !
Le temps a commencé à passer, mon sexe a un poil ramolli, mais je gardais les yeux grands ouverts. J'ai commencé à entendre Jane respirer plus fort : elle dormait, allongée juste à côté de moi mais la tête tournée à l'opposé, sur le dos, la couette au niveau du ventre. J'ai regardé ses seins moulés dans le débardeur, et je me suis rendu compte que ma main avait glissé en direction de mon caleçon : je me touchais à travers le tissu, et chaque effleurement de mon gland m'envoyait de grande bouffée d'excitation.
Pour la première fois je me touchais à côté d'une fille qui n'en était pas consciente... quelle plaisir, mon coeur battait à tout péter, dans un mélange d'excitation mais aussi de gène, le sentiment d'être un pervers...
L'idée me vint que je pourrais peut être toucher ses seins sans la réveiller : tout doucement ma main a glissé sur son débardeur pour tester son sommeil. Pas de réaction. Je caresse doucement un sein par dessus le tissu, puis l'autre. Je meurs de trouille qu'elle se réveille, mais c'est ma bite tendue qui me fait agir ! Je finis par passer ma main sous le débardeur, et m'aventure jusqu'à ce que mes doigts atteignent le téton.
Là, elle a un bref mouvement dans son sommeil, et je retire ma main en vitesse ! Elle se met sur le côté, mais fausse alerte, elle dort. Je décide de m'attaquer au bas : je caresse ses fesses qu'elle me présente, après avoir doucement descendu la couette. Je trouvait ce moment même plus excitant qui si nous couchions ensemble ! Ma main est remontée sur le devant, et, de moins en moins prudent, mes doigts se glissent sous sa culotte, découvrent une toison avant d'atteindre les lèvres ! Je suis resté deux secondes comme ça et ai retiré ma main, à bout de souffle ! Elle ne s'était pas réveillée !
Je suis alors passé à l'étape suivante. J'ai retiré mon caleçon, discrètement, et la vue de ma verge gonflée m'emplit de plaisir. J'ai commencé à m'astiquer en la regardant. A chaque aller-retour, j'étais près à tout lâcher, mais je voulais absolument faire durer. La main droite sur queue, ma main gauche est retournée en direction des fesses de Jane. Je me suis rapproché afin de passer très doucement mon gland sur la culotte...
Avec l'excitation, je prenais peu de précautions, et des doigts, je ramenais les bords de la culotte de sorte à faire comme un string : très doucement j'ai dégagé le tissu de la raie de Jane, et mon doigt est allé se poser sur son anus !
La réaction fut immédiate. J'ai entendu un grognement, et elle s'est redressée ! Elle a tourné la tête vers moi, au moment où je cherchais à planquer ma queue sous la couette. Je ne sais pas ce qu'elle a vu, elle s'est juste recouchée.
Un peu refroidit, très inquiet des conséquences pour le lendemain, je renfilais mon caleçon le plus discrètement possible, et tentait de m'endormir.
Il faisait jour quand je rouvrais les yeux, et Jane n'était plus au lit : j'entendis le bruit de la douche. Au moins elle ne m'avait pas directement foutu dehors. S'était elle rendue compte de tous mes attouchements ou non ? S'en souvenait-elle ? D'y repenser, je fut immédiatement repris d'érection ! Jane finissait sa douche, je me décidais à faire semblant de dormir, mais en tentant quelque chose quand même. Allongé un peu sur le côté, je posais la couette de sorte à découvrir mon caleçon, et laissais soigneusement dépassé mon gland et un bout de verge par l'ouverture ! Après avoir tripoté, je ne pouvais m'empêcher de m'exhiber !
Elle est entrée dans la chambre : j'entrouvrais un peu mes yeux, caché par mon bras : elle était en serviette, debout, elle s'est tournée et j'ai senti qu'elle eu un petit moment d'arrêt. Puis je la vois enfiler une culotte, elle s'assoie sur le lit. Je rouvre les yeux, la voilà seins nus à côté de moi ! Tellement excité, je me retourne sur le dos, et fit sortir mon sexe au maximum d'un petit mouvement de bassin. Je l'ai senti bouger, puis passer par dessus moi pour récupérer un truc sur la table à côté, en s'arrêtant quelques secondes ! Elle a pas pu retenir un petit rire, elle devait mater ! Elle se rallonge, puis je sens deux doigts effleurer ma verge, puis presser doucement dessus !
''Tu dors ?'' elle demande.
Je ne répond pas, fais toujours semblant. Je sais pas si j'étais très convaincant, toujours est-il qu'elle me saisit par la queue délicatement, pour entamer une douce et lente masturbation ! Je finis par réagir et entrouvre les yeux : nos regards se croisent, elle a ce même petit rire et se jette sur le lit, en s'allongeant sur le ventre comme pour cacher ses seins nus. Elle dit :
''Tu devrais finir, tu vas exploser !'' puis enfouie la tête dans son oreiller.
J'étais troublé de sa réaction, me sentant un peu ridicule, mais je n'en pouvais plus. J'ai enlevé mon caleçon, retiré la couette entièrement, et j'ai commencé à branler mon sexe à vif, en fixant ses seins écrasés par le matelas... alors elle a tourné la tête, et me dit doucement :
''Jouis sur mes fesses, t'as l'air de les aimer...''
Elle devait donc se souvenir de la nuit ! Il ne fallait pas me le dire deux fois, je me suis approché de Jane de façon à ce que mon gland touche sa culotte entre les fesses. Jane fermait les yeux, comme si elle dormait.
J'ai senti la jouissance monter, alors j'ai planté mon sexe entre ses fesses, repoussant le tissu vers son trou du cul, ma main rebondissait sur son cul à chaque aller-retour sur ma bite, je l'ai entendu pousser un petit gémissement, et j'ai tout lâché là, sur sa culotte ! Jouissance incroyable ! J'ai contemplé mon foutre entre ses fesses, puis me suis rallongé. Elle s'est levée en vitesse, direction la salle de bain, tout en glissant :
''On se voit un de ces jours'' en sortant de la pièce. J'ai compris qu'il fallait que je parte, me suis rhabillé, et j'ai quitté l'appart en vitesse.
Je l'ai revu le soir même avec des amis, mais on a pas reparlé de la nuit. Mais depuis, j'ai toujours pris un certain plaisir à me branler à côté d'une fille, qu'elle regarde ou qu'elle dorme à côté de moi.
Ce jour là, nous avions passé la journée ensemble, et nous avions terminé chez elle pour passer la soirée. Après avoir un peu picolé on a fini par se mettre au lit : je me mets en caleçon, elle se change dans la salle de bain, culotte et petit débardeur sexy. La discussion a rapidement viré sur le sexe... elle commence à me parler de comment les mecs aiment se faire branler différemment, des tailles des bites... Comme j'adore entendre les filles parler de bites, je suis pris sous la couette d'une violente érection.
''Tu trouves ça beau une bite ?'' je fini par lui demander.
''Ah oui, c'est beau... tu la trouves belle la tienne ?''
''Oui je l'aime bien'' je réponds, sentant mon sexe tendu comme jamais.
Mais le ''montres la moi'' n'est pas venu comme j'espérais... on a encore discuté un peu, puis elle a fini par dire qu'elle voulait dormir. Ma frustration était à son comble, ma bite me faisait mal tellement je bandais, j'ai l'habitude de dormir sur le ventre et là, impossible !
Le temps a commencé à passer, mon sexe a un poil ramolli, mais je gardais les yeux grands ouverts. J'ai commencé à entendre Jane respirer plus fort : elle dormait, allongée juste à côté de moi mais la tête tournée à l'opposé, sur le dos, la couette au niveau du ventre. J'ai regardé ses seins moulés dans le débardeur, et je me suis rendu compte que ma main avait glissé en direction de mon caleçon : je me touchais à travers le tissu, et chaque effleurement de mon gland m'envoyait de grande bouffée d'excitation.
Pour la première fois je me touchais à côté d'une fille qui n'en était pas consciente... quelle plaisir, mon coeur battait à tout péter, dans un mélange d'excitation mais aussi de gène, le sentiment d'être un pervers...
L'idée me vint que je pourrais peut être toucher ses seins sans la réveiller : tout doucement ma main a glissé sur son débardeur pour tester son sommeil. Pas de réaction. Je caresse doucement un sein par dessus le tissu, puis l'autre. Je meurs de trouille qu'elle se réveille, mais c'est ma bite tendue qui me fait agir ! Je finis par passer ma main sous le débardeur, et m'aventure jusqu'à ce que mes doigts atteignent le téton.
Là, elle a un bref mouvement dans son sommeil, et je retire ma main en vitesse ! Elle se met sur le côté, mais fausse alerte, elle dort. Je décide de m'attaquer au bas : je caresse ses fesses qu'elle me présente, après avoir doucement descendu la couette. Je trouvait ce moment même plus excitant qui si nous couchions ensemble ! Ma main est remontée sur le devant, et, de moins en moins prudent, mes doigts se glissent sous sa culotte, découvrent une toison avant d'atteindre les lèvres ! Je suis resté deux secondes comme ça et ai retiré ma main, à bout de souffle ! Elle ne s'était pas réveillée !
Je suis alors passé à l'étape suivante. J'ai retiré mon caleçon, discrètement, et la vue de ma verge gonflée m'emplit de plaisir. J'ai commencé à m'astiquer en la regardant. A chaque aller-retour, j'étais près à tout lâcher, mais je voulais absolument faire durer. La main droite sur queue, ma main gauche est retournée en direction des fesses de Jane. Je me suis rapproché afin de passer très doucement mon gland sur la culotte...
Avec l'excitation, je prenais peu de précautions, et des doigts, je ramenais les bords de la culotte de sorte à faire comme un string : très doucement j'ai dégagé le tissu de la raie de Jane, et mon doigt est allé se poser sur son anus !
La réaction fut immédiate. J'ai entendu un grognement, et elle s'est redressée ! Elle a tourné la tête vers moi, au moment où je cherchais à planquer ma queue sous la couette. Je ne sais pas ce qu'elle a vu, elle s'est juste recouchée.
Un peu refroidit, très inquiet des conséquences pour le lendemain, je renfilais mon caleçon le plus discrètement possible, et tentait de m'endormir.
Il faisait jour quand je rouvrais les yeux, et Jane n'était plus au lit : j'entendis le bruit de la douche. Au moins elle ne m'avait pas directement foutu dehors. S'était elle rendue compte de tous mes attouchements ou non ? S'en souvenait-elle ? D'y repenser, je fut immédiatement repris d'érection ! Jane finissait sa douche, je me décidais à faire semblant de dormir, mais en tentant quelque chose quand même. Allongé un peu sur le côté, je posais la couette de sorte à découvrir mon caleçon, et laissais soigneusement dépassé mon gland et un bout de verge par l'ouverture ! Après avoir tripoté, je ne pouvais m'empêcher de m'exhiber !
Elle est entrée dans la chambre : j'entrouvrais un peu mes yeux, caché par mon bras : elle était en serviette, debout, elle s'est tournée et j'ai senti qu'elle eu un petit moment d'arrêt. Puis je la vois enfiler une culotte, elle s'assoie sur le lit. Je rouvre les yeux, la voilà seins nus à côté de moi ! Tellement excité, je me retourne sur le dos, et fit sortir mon sexe au maximum d'un petit mouvement de bassin. Je l'ai senti bouger, puis passer par dessus moi pour récupérer un truc sur la table à côté, en s'arrêtant quelques secondes ! Elle a pas pu retenir un petit rire, elle devait mater ! Elle se rallonge, puis je sens deux doigts effleurer ma verge, puis presser doucement dessus !
''Tu dors ?'' elle demande.
Je ne répond pas, fais toujours semblant. Je sais pas si j'étais très convaincant, toujours est-il qu'elle me saisit par la queue délicatement, pour entamer une douce et lente masturbation ! Je finis par réagir et entrouvre les yeux : nos regards se croisent, elle a ce même petit rire et se jette sur le lit, en s'allongeant sur le ventre comme pour cacher ses seins nus. Elle dit :
''Tu devrais finir, tu vas exploser !'' puis enfouie la tête dans son oreiller.
J'étais troublé de sa réaction, me sentant un peu ridicule, mais je n'en pouvais plus. J'ai enlevé mon caleçon, retiré la couette entièrement, et j'ai commencé à branler mon sexe à vif, en fixant ses seins écrasés par le matelas... alors elle a tourné la tête, et me dit doucement :
''Jouis sur mes fesses, t'as l'air de les aimer...''
Elle devait donc se souvenir de la nuit ! Il ne fallait pas me le dire deux fois, je me suis approché de Jane de façon à ce que mon gland touche sa culotte entre les fesses. Jane fermait les yeux, comme si elle dormait.
J'ai senti la jouissance monter, alors j'ai planté mon sexe entre ses fesses, repoussant le tissu vers son trou du cul, ma main rebondissait sur son cul à chaque aller-retour sur ma bite, je l'ai entendu pousser un petit gémissement, et j'ai tout lâché là, sur sa culotte ! Jouissance incroyable ! J'ai contemplé mon foutre entre ses fesses, puis me suis rallongé. Elle s'est levée en vitesse, direction la salle de bain, tout en glissant :
''On se voit un de ces jours'' en sortant de la pièce. J'ai compris qu'il fallait que je parte, me suis rhabillé, et j'ai quitté l'appart en vitesse.
Je l'ai revu le soir même avec des amis, mais on a pas reparlé de la nuit. Mais depuis, j'ai toujours pris un certain plaisir à me branler à côté d'une fille, qu'elle regarde ou qu'elle dorme à côté de moi.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
moi,je ne suis pas pret pour me branler; je me branle!!!
SUPER TEXTE
Jolie histoire je suis prêt à me branler maintenant