Au Cap
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-06-2013 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Au Cap
Un mal étrange taraude mon ventre. Je sais de quoi il s'agit, j'ai besoin de jouir, non pas de mes mains, mais d'une autre personne. Je peux aller me «donner» dans un bar quelconque où je trouverai bien chaussure à mon pied, pardon à mon sexe. Je l'ai trop souvent fait pour en être dégoûtée. D'accord j'y ai toujours trouvé un amant ou une amante. Je m'en veux d'en être réduite à me donner comme ça un peu à n'importe qui. Je décide de partir à la chasse moi même, trouver l'objet de mon plaisir. Je cherche une gode vivant.
Ne voyant personne qui me plaise, je me décide à changer totalement de lieu. Je vais directement au Cap. Il fait beau, chaud, la mer doit y être belle.
Je me trouve allongée au soleil, enduite de crème, me retournant de temps en temps pour ne pas carboniser. Je commence à cuire lorsqu'une âme charitable vient ouvrir près de moi un parasol. Je ne demande rien , je vais m'y réfugier. Une autre femme de mon âge, aussi nue que moi sourit en me voyant :
Tu as trop chaud ?
Comme toi, peut-être au même endroit.
Tu a chaud au cul ?
Oui.
Je connais un bon moyen pour éteindre ce genre d'incendie.
Le quel ?
Ne me dis pas que te ne le connais pas.
J'en connais plusieurs, mais avec des filles c'est plus simple et meilleur.
Tu penses comme moi.
Je suis à ses cotés, je ne m'éloigne pas. C'est elle qui a fait le premier pas, alors à elle de continuer, sinon, je me masturbe devant elle : je mouille assez pour ça.Elle comprend que si elle me veut il lui faut faire l'effort de me conquérir.
Tu sais, tu es la première depuis longtemps, depuis que je suis mariée.
Tu serais la première depuis une quinzaine de jours.
Tu veux qu'on le fasse ici ?
Devant les autres, pourquoi pas, j'aime montrer.
Sans plus attendre elle se penche prend ma bouche pour y mettre sa langue. Je la tiens par le cou, elle me prend par les épaules. Nos corps sont de plus en plus proches : je sens son coté contre mes seins. Ils durcissent en un rien de temps : il faut croire que j'avais encore plus envie que je le croyais.
Sa main survole un seins avant d'aller en bas, là où je brûle. J'écarte un peu les cuisses, juste pour lui laisser le passage. Elle s'insinue lentement. Je commence à ne plus tenir, vite qu'elle me branle. Mon ventre se lève vers la main qui vient sur le bouton. Il y a peut-être un bon moment qu'elle ne s'est pas amusée avec une autre, mais elle n'a pas perdu les façons de faire. Je gémis rapidement. Je ne fait que croire qu'elle me masturbe avec deux doigts. Je ferme les yeux pour bien goûter à ce plaisir inégalé des caresses féminines. Je force même pour ne pas partir dans un tourbillon de plaisir. Elle arrête :
Ne jouis pas trop vite, penses à moi.
Je te suce ?
Non, il y a trop de monde.Branles moi en même temps que moi.
Nous changeons de positions, couchées cote à cote, nos mains sur la chatte de l'autre. Si elle reprend là où elle était, je découvre, moi, toute sa nouveauté de chatte. Elle me semble encore plus mouillée que la mienne. Mes doigts glisse sur son sexe, surtout en direction de son vagin. Je la doigte un instant avant d'aller vers son petit trou. Elle ne fait rien pour m'interdire l'accès. J'entre un seul doigt que je fait aller et venir. Elle resserre des fois son anus autour du doigt, signe que ça lui plaît. Je laisse mon doigt à cet emplacement pour mettre le pouce sur le clitoris. Il est plus gros que le mien et plus sensible. J'entends son souffle aller en s'accélérant.
Dans un geste de pudeur elle pose un drap sur nous. Elle a raison, plusieurs personnes nous regardent. On doit voir, même avec le drap que nos mains caressent le corps de l'autre. C'est à ce moment qu'elle a des spasmes de jouissance. Son corps devient dur comme du bois pendant qu'elle gémit.J'en souffre puisqu'elle cesse ses caresses : ma chatte est sans mouvement au dessus d'elle. Enfin elle réalise qu'il faut bien qu'elle me donne ce qu'elle m'avait promis.
Elle reprend ses caresses sur le clitoris et dans le vagin. Je lui demande :
J'en veux aussi dans le cul.
Elle obéit aussitôt : un seul doigt caresse le tour de l'anus, puis selon son désir, elle entre deux doigts dans le cul. Je sursaute au début puis je prend mon plaisir. C'est bon d'avoir ses doigts dans mon ventre. J'aime la sodomie, je la réclame toujours quand j'ai un amant, mais avec elle c'est différent. Elle entre en écartant les doigts, elle élargi mon cul selon ses vœux. Avant de continuer, elle met ses doigts dans sa bouche pour les mouiller pour recommencer, cette fois en les enfonçant au maximum. En reconnaissance mon cul en jouit. Ce plaisir que j'ignorais en partie me force à lui en faire autant.
Elle ne veut plus que nous restions sur le plage. Nous retournons en ville: nous habitons à deux pas l'une de l'autre. Son mari n'est pas là, elle pense que nous pouvons baiser chez elle. Mais si son époux rentre à l'improviste, il voudrait me baiser aussi. Je n'ai rien contre, au contraire une bite ne me fait jamais peur, au contraire, mais elle ?
Finalement nous allons chez moi. Nous n'avons qu'à enlever la petite robe que nous portons pour être à nouveau collées. C'est plus sérieux ; j'ai sorti les deux godes : je vais la baiser ou l'enculer, comme elle veux. Pour moi, c'est son libre choix, qu'elle me fasse jouir c'est tout. Au lit nous nous couchons la tête aux pieds pour être prêtes à un 69. Je la couche sur le dos, je vais sur elle. En prenant son con sur ma bouche, je lui donne le mien. Nos langues sont libres de faire ce qu'elle aiment dans la chatte de l'autre. Je sens la sienne dans le vagin à la recherche de mon point G pendant que je lèche le clitoris. Elle est toujours autant mouillée, je me régale d'avaler sa cyprine, surtout quand elle jouit. Presque à chaque orgasme de l'une répond celui de l'autre. Nous passons au stade supérieur en nous servant des godes pour pénétrer l'autre. Pour elle c'est la première fois qu'elle se fait enculer et sucer à la fois. Pour moi, c'est relativement courant. Ce qui est excitant est de voir entrer le gode dans le cul de l'autre.
Le soleil se couche quand nous nous arrêtons. Maintenant qu'elle sait où j'habite elle vient souvent, une fois par semaine quand son mari n'est pas là. Nous en sommes arrivées à nous fister presque à chaque fois : elle aime ça plus que moi qui reste classique.
Ne voyant personne qui me plaise, je me décide à changer totalement de lieu. Je vais directement au Cap. Il fait beau, chaud, la mer doit y être belle.
Je me trouve allongée au soleil, enduite de crème, me retournant de temps en temps pour ne pas carboniser. Je commence à cuire lorsqu'une âme charitable vient ouvrir près de moi un parasol. Je ne demande rien , je vais m'y réfugier. Une autre femme de mon âge, aussi nue que moi sourit en me voyant :
Tu as trop chaud ?
Comme toi, peut-être au même endroit.
Tu a chaud au cul ?
Oui.
Je connais un bon moyen pour éteindre ce genre d'incendie.
Le quel ?
Ne me dis pas que te ne le connais pas.
J'en connais plusieurs, mais avec des filles c'est plus simple et meilleur.
Tu penses comme moi.
Je suis à ses cotés, je ne m'éloigne pas. C'est elle qui a fait le premier pas, alors à elle de continuer, sinon, je me masturbe devant elle : je mouille assez pour ça.Elle comprend que si elle me veut il lui faut faire l'effort de me conquérir.
Tu sais, tu es la première depuis longtemps, depuis que je suis mariée.
Tu serais la première depuis une quinzaine de jours.
Tu veux qu'on le fasse ici ?
Devant les autres, pourquoi pas, j'aime montrer.
Sans plus attendre elle se penche prend ma bouche pour y mettre sa langue. Je la tiens par le cou, elle me prend par les épaules. Nos corps sont de plus en plus proches : je sens son coté contre mes seins. Ils durcissent en un rien de temps : il faut croire que j'avais encore plus envie que je le croyais.
Sa main survole un seins avant d'aller en bas, là où je brûle. J'écarte un peu les cuisses, juste pour lui laisser le passage. Elle s'insinue lentement. Je commence à ne plus tenir, vite qu'elle me branle. Mon ventre se lève vers la main qui vient sur le bouton. Il y a peut-être un bon moment qu'elle ne s'est pas amusée avec une autre, mais elle n'a pas perdu les façons de faire. Je gémis rapidement. Je ne fait que croire qu'elle me masturbe avec deux doigts. Je ferme les yeux pour bien goûter à ce plaisir inégalé des caresses féminines. Je force même pour ne pas partir dans un tourbillon de plaisir. Elle arrête :
Ne jouis pas trop vite, penses à moi.
Je te suce ?
Non, il y a trop de monde.Branles moi en même temps que moi.
Nous changeons de positions, couchées cote à cote, nos mains sur la chatte de l'autre. Si elle reprend là où elle était, je découvre, moi, toute sa nouveauté de chatte. Elle me semble encore plus mouillée que la mienne. Mes doigts glisse sur son sexe, surtout en direction de son vagin. Je la doigte un instant avant d'aller vers son petit trou. Elle ne fait rien pour m'interdire l'accès. J'entre un seul doigt que je fait aller et venir. Elle resserre des fois son anus autour du doigt, signe que ça lui plaît. Je laisse mon doigt à cet emplacement pour mettre le pouce sur le clitoris. Il est plus gros que le mien et plus sensible. J'entends son souffle aller en s'accélérant.
Dans un geste de pudeur elle pose un drap sur nous. Elle a raison, plusieurs personnes nous regardent. On doit voir, même avec le drap que nos mains caressent le corps de l'autre. C'est à ce moment qu'elle a des spasmes de jouissance. Son corps devient dur comme du bois pendant qu'elle gémit.J'en souffre puisqu'elle cesse ses caresses : ma chatte est sans mouvement au dessus d'elle. Enfin elle réalise qu'il faut bien qu'elle me donne ce qu'elle m'avait promis.
Elle reprend ses caresses sur le clitoris et dans le vagin. Je lui demande :
J'en veux aussi dans le cul.
Elle obéit aussitôt : un seul doigt caresse le tour de l'anus, puis selon son désir, elle entre deux doigts dans le cul. Je sursaute au début puis je prend mon plaisir. C'est bon d'avoir ses doigts dans mon ventre. J'aime la sodomie, je la réclame toujours quand j'ai un amant, mais avec elle c'est différent. Elle entre en écartant les doigts, elle élargi mon cul selon ses vœux. Avant de continuer, elle met ses doigts dans sa bouche pour les mouiller pour recommencer, cette fois en les enfonçant au maximum. En reconnaissance mon cul en jouit. Ce plaisir que j'ignorais en partie me force à lui en faire autant.
Elle ne veut plus que nous restions sur le plage. Nous retournons en ville: nous habitons à deux pas l'une de l'autre. Son mari n'est pas là, elle pense que nous pouvons baiser chez elle. Mais si son époux rentre à l'improviste, il voudrait me baiser aussi. Je n'ai rien contre, au contraire une bite ne me fait jamais peur, au contraire, mais elle ?
Finalement nous allons chez moi. Nous n'avons qu'à enlever la petite robe que nous portons pour être à nouveau collées. C'est plus sérieux ; j'ai sorti les deux godes : je vais la baiser ou l'enculer, comme elle veux. Pour moi, c'est son libre choix, qu'elle me fasse jouir c'est tout. Au lit nous nous couchons la tête aux pieds pour être prêtes à un 69. Je la couche sur le dos, je vais sur elle. En prenant son con sur ma bouche, je lui donne le mien. Nos langues sont libres de faire ce qu'elle aiment dans la chatte de l'autre. Je sens la sienne dans le vagin à la recherche de mon point G pendant que je lèche le clitoris. Elle est toujours autant mouillée, je me régale d'avaler sa cyprine, surtout quand elle jouit. Presque à chaque orgasme de l'une répond celui de l'autre. Nous passons au stade supérieur en nous servant des godes pour pénétrer l'autre. Pour elle c'est la première fois qu'elle se fait enculer et sucer à la fois. Pour moi, c'est relativement courant. Ce qui est excitant est de voir entrer le gode dans le cul de l'autre.
Le soleil se couche quand nous nous arrêtons. Maintenant qu'elle sait où j'habite elle vient souvent, une fois par semaine quand son mari n'est pas là. Nous en sommes arrivées à nous fister presque à chaque fois : elle aime ça plus que moi qui reste classique.
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