Au cinéma
Récit érotique écrit par Pcai [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-09-2008 dans la catégorie Plus on est
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Au cinéma
<p>Marie-Laure 42 ans et moi 49 ans sommes mariés depuis 15 ans. Marie-Laure est une belle femme blonde aux cheveux longs et aux yeux bleus sur laquelle se retournent assez fréquemment les H.
C’était un soir d’été il y a plusieurs années, mon épouse et moi avions décidés de sortir pour nous promener dans Paris. La journée avait été étouffante et la soirée s’annonçait assez lourde… Il est vrai que cet été ne nous avait pas habitués à cette chaleur trop rare pour l’époque. Marie-Laure, juchée sur des escarpins à hauts talons avait enfilé une jupe courte et ample blanche, sur son string minimaliste et un tee-shirt noir sur sa poitrine libre. Mon épouse sait que j’adore voir ses seins ainsi libérés, les imaginer accessibles et protégés. Pour ma part, je m’étais contenté d’un ensemble en lin beige.
Nous nous promenions dans les rues depuis une bonne heure et Marie-Laure commençait à fatiguer lorsqu’un orage nous surpris. Un cinéma à proximité nous sembla un refuge approprié. Nous nous engouffrâmes trempés dans le hall ou je prie deux billets sans avoir prêter attention au titre du film.
Nous entrâmes dans la salle obscure à tâtons… Sur la toile une femme nue se faisait prendre par plusieurs mâles bien membrés…. Nous comprîmes alors que nous étions dans un cinéma spécialisé…. Marie-Laure n’étant pas très adepte de ce type de films, me proposa de ressortir. Je lui fit alors remarquer qu’il pleuvait, qu’elle était fatiguée et que nous avions déjà payé nos places… Qu’en conséquence nous ne risquions rien de nous installer quelques minutes et que nous repartirions dès qu’elle sera reposée et en espérant que l’orage sera passé. Assurés, de repartir rapidement, nous nous installâmes proche de la sortie à l’avant dernier rang de la rangée du milieu. J’étais le long de l’allée et Marie-Laure à ma droite. Je commençais à m’intéresser au film, la femme était maintenant à genoux entourée de membres qu’elle suçait tour à tour…. Je me penchais à l’oreille de Marie-Laure et lui fit remarquer que je l’imaginerai bien dans cette situation… Elle me traita de cochon… Marie-Laure savait bien que c’était là un de mes fantasmes qu’elle ne partageait pas du tout, considérant qu’elle m’aimait et n’éprouvait pas l’envie d’un autre homme….Nous en avions souvent parlé, mais rien n’y faisait.. Par contre elle acceptait que nous alimentions nos ébats en faisant référence à cette situation. Marie-Laure posa alors sa main sur mon pantalon et j’eus le droit à un nouveau « Cochon, décidément cela te met en forme …. tu verras tout à l’heure à la maison ». Sa main continuait doucement à me caresser. Nos yeux s’étaient habitués à l’obscurité et nous distinguions plusieurs hommes dans la salle assez éloignés de nous. Marie-Laure venait de poser sa tête sur mon épaule et fixait l’écran tout en me massant légèrement l’entrejambe de sa main gauche. Mon bras droit sur son épaule, laissait libre ma main qui commença à s’amuser avec son sein droit, dont je sentais la pointe au travers du tissu de son tee-shirt. Cette caresse à le don de l’exciter au plus haut point. Marie-Laure aidée de son autre main, libera alors mon sexe et commença à me branler avec douceur…. Je fermais les yeux et avec mon bras je l’incitais à développer sa caresse…. Sa tête se fit moins lourde… Puis, je sentis ses cheveux caresser mon sexe avant de sentir une chaleur humide l’entourer…. Sa langue jouait avec mon gland puis sa bouche tout entière me prenait.. Quel bonheur !!!
Les yeux fermés je savourais ce moment intense. Ma main posée sur sa tête, rythmait la fellation.
Soudain, je sentis comme un léger frôlement, j’ouvrit les yeux pour découvrir que plusieurs hommes s’étaient rapprochés et nous regardaient. Je faillit avoir un mouvement de recule mais n’en fit rien. Marie-Laure qui ne s’était rendu compte de rien continuait à s’activer sur mon membre. Je regardais autour de moi, deux hommes étaient dans la rangé de devant et avaient sortis leur sexe qu’ils branlaient doucement en nous regardant. Deux autres étaient derrière et manipulant aussi leur engin, se penchaient pour mieux s’imprégner du spectacle. Tous me souriaient. Je décidais alors de ne pas bouger et de laisser Marie-Laure dans l’ignorance de ces spectateurs imprévus. Après quelques minutes de ce spectacle et avec l’assurance qu’aucun des spectateurs ne semblait vouloir s’engagé plus avant, je posais ma main gauche sur la tête de mon épouse afin d’éviter qu’elle ne lève la tête trop haut et s’aperçoive de ce qui se passait et fit glisser ma main droite sur sa nuque, puis son dos… Ma main s’insinua entre le tee-shirt et la ceinture de la jupe puis remontât entraînant sur son passage le fin tissu…. Je caressais son dos découvert…. Puis ma main glissa légèrement, pour dégager ses seins… Marie-Laure souleva légèrement son torse pour faciliter cette manœuvre et me laisser libre accès à son sein droit que je caressais délicatement, non s’en m’arranger pour le dégager le plus possible et ainsi l’offrir à la vue de mes compagnons imprévus…. Ils semblaient avoir tous compris et ne faisaient aucun bruit ou mouvement brusque afin d’éviter de se faire repérer…. Chacun essayant toutefois, d’en apercevoir le plus possible. Marie-Laure continuait à me sucer… Ma main droite délaissa alors le sein de mon épouse, pour refaire le chemin inverse et se retrouver à sa taille. Je continuais à descendre, jusqu’à arriver à la lisière de sa jupe blanche. Je remontais ma main, non sans accrocher au passage le bas du vêtement qui suivi le cheminement libérant les cuisses de ma femme, qui se souleva doucement permettant au tissu de continuer sa progression et de dégager ses fesses juste séparées par l’étroit tissu de son string. Un autre homme venait d’arriver dans notre rangée du côté de Marie-Laure… Ils étaient maintenant cinq hommes sexe sortis à se caresser en regardant mon épouse me tailler une pipe dans cette salle obscure. Trop c’est trop et l’homme positionné à côté de ma femme ne pu s’empêcher de porter sa main sur sa fesse droite. Le charme était rompu, ma femme sursauta et se redressa !!!!
Quel spectacle, Marie-Laure, les yeux grands ouverts, assise sur son siège, le tee-shirt relevé, les seins nus, la jupe remontée haut sur ces cuisses, entourée de ces hommes le sexe en main… « Ca ne va pas non !!! » dit-elle enfin, sans penser pour autant à se rajuster….
Pour toute réponse, je lui dis « je t’aime » et écrasait ses lèvres avec ma bouche….Ma main gauche entrepris à nouveau son sein droit… Ma femme essaya dans un premier temps de se dégager « non je ne veux pas », ma bouche repris possession de ses lèvres, ma langue entra en contact avec la sienne, puis Marie-Laure sembla abandonner la lutte pour répondre à mon baiser, dans un souffle je l’entendis me traiter de « salaud » puis ses mains se posèrent sur ma nuque, ses yeux se fermèrent, et sa bouche pris possession de la mienne dans un baiser fougueux où sa langue semblait vouloir se perdre au fond de ma gorge. Je me détachai de l’emprise de Marie-Laure qui resta alors assise au fond de son siège les yeux fermés. Je la regardai ainsi offerte à nos regards. Ce fut comme un signal, je vis les sexes se rapprocher de nous. Une main, qui n’était pas la mienne, s’empara de son sein droit et la caressa. Une autre pris possession de son sein gauche et lui administra le même traitement. Marie-Laure se laissait faire. Je vis alors les deux hommes derrière mon épouse approcher leur sexe encore plus près… Leur gland touchant les joues de ma femme. L’un des deux hommes posa alors sa main sur l’oreille gauche de mon épouse et lui fit pivoter légèrement la tête, jusqu’à ce que son gland gonflé de désir touche les lèvres de ma chérie… Là comme dans un rêve, je vis les lèvres de ma chère et tendre s’entrouvrir, sa langue sortir et lécher le haut de ce sexe doucement… puis sa main se porta sur le membre tendu, qu’elle caressa. Je voyais ses doigts courir sur la colonne de chair, faire disparaître, puis réapparaître le gland… Enfin, sa bouche s’ouvrit plus largement et je vis le gland entrer entre les lèvres de ma femme, puis lentement le membre pénétrer dans la bouche de Marie-Laure. Les yeux toujours fermés ma femme commença alors lentement, mais avec application à sucer cet inconnu. Quel spectacle de voir ce sexe sans tête baiser ainsi la bouche de Marie-Laure…. Je le voyais sortir d’entre ses lèvres accompagné d’un léger filet de bave, puis pénétrer à chaque fois plus profondément dans la bouche de ma femme. Tout à cette vue, j’avais oublié les autres partenaires qui étaient maintenant tout autour de nous. Ceux de derrière avaient enjambé les sièges pour se trouver maintenant dans la même travée que nous. Celui qui était à côté de celui que suçait mon épouse avait pris la main de cette dernière et l’avait posée sur son sexe. Je voyais la main de ma chérie courir sur cette colonne de chair. Cette position avait pour conséquence de libérer la poitrine de Marie-Laure. Une main jouait avec le sein droit de ma femme, le soupesant, jouant avec le téton, tirant dessus, puis englobant le tout, pour revenir le soulever. Un homme me demanda s’il pouvait prendre ma place, que je lui cédais sans difficulté. Debout j’avais ainsi une meilleure vue de l’ensemble. A peine assis, je vis la bouche de cet homme de type maghrébin s’emparer du téton de Marie-Laure et le dévorer comme un mort de faim. Je sentis alors un frôlement sur ma jambe gauche, en me tournant je vis un homme de couleur qui s’agenouillait entre les jambes de ma femme. Je le vis remonter la jupe de Marie-Laure dévoilant ainsi ses cuisses. Puis il souleva légèreté ma femme et remonta complètement la jupe jusqu’à sa taille dévoilant son joli string. Il tira dessus et le fit glisser le long des jambes de Marie-Laure et me le tendit. Je le mis dans ma poche machinalement. Il écarta alors complètement les cuisses de Marie-Laure, ses doigts écartèrent ensuite ses lèvres intimes la dévoilant ainsi au plus profond, je vis alors un doigt, puis deux pénétrer la chatte de mon épouse…. Enfin, il se pencha et se jeta à langue perdue sur la chatte. Marie-Laure semblait aimer ce traitement car je l’entendais gémir. Je regardais alors la scène dans son ensemble. Marie-Laure jambe écartée se faisant bouffer la chatte, malaxer et sucer les seins, branlant une bite de sa main gauche, tout en suçant une belle queue….. Cette vision n’avait rien à envier au film porno qui continuait à défiler sur l’écran. Celui qui se faisait sucer me dit doucement, elle est belle et bonne ta salope…. Ce mot au lieu de me choquer me rendit fier…. C’est vrai qu’elle était belle ainsi, c’est vrai qu’elle était bonne, c’est vrai qu’elle était salope… Mais surtout c’est vrai qu’elle était Ma salope …..J’ai l’impression que ce fut comme un signal pour deux des compères car au bruit que fit Marie-Laure je compris que l’un déchargeait dans sa bouche tandis que le second lança de longs jets de sperme sur le visage de ma femme inondant son front, ses joues et ses cheveux de son plaisir….. Marie-Laure ouvrit alors les yeux et me regarda fixement un sourire aux lèvres…. Je voyais le sperme dégouliner lentement… elle en pris avec ses doigts avant qu’il ne lui tombe dans les yeux et porta sa main à sa bouche pour déguster ce nectar d’un soir. Puis Marie-Laure se redressa et s’approcha de mon sexe qui était toujours sorti de mon pantalon, elle posa sa main dessus, le pris en main et m’attira vers elle et me fit pénétrer sa bouche. L’homme de couleur s’arrangeât alors pour positionner ma femme de façon à ce qu’à genoux son sexe arrive juste à l’entrée de sa chatte… Je fut obliger de m’avancer, presque en équilibre, Marie-Laure refusant de me lâcher….. Grâce à la lumière du projecteur je pouvais voir la progression de cette colonne de chair sombre… qui s’approchait des poils blonds de la chatte de Marie-Laure…. Puis, je vis le gland écarter les lèvres intimes de ma femme et doucement mais inexorablement pénétrer au plus profond de mon épouse… Qui cessa momentanément de me sucer, comme pour mieux s’imprégner de chaque instant de cette progression…. Elle gémit quand il fut tout au fond d’elle… Elle repris alors mon sexe dans sa bouche pour me sucer avec violence….Le C que j’avais oublié s’était rapproché et Marie-Laure sortie mon sexe de sa bouche pour lui présenter… J’eus un geste de recul… mais ma femme me tenait bien et je sentis pour la première fois des lèvres d’homme autour de mon sexe et une langue s’enrouler autour de moi….J’étais gêné, mais cela était agréable….. puis alternativement, au rythme des pénétrations de Marie-Laure, mon sexe passa de la bouche de ma femme à celle de cet homme……pendant ce temps les mains de l’homme resté à droite s’amusaient toujours avec les seins de mon épouse ou parfois semblaient s’aventurer sous elle pour s’insinuer, je pense, entre ses fesses, voir s’introduire dans son puits secret. Les deux hommes qui avaient déjà joui nous quittèrent après nous avoir dit merci et non sans quelques commentaires du type « Qu’elle salope, t’a vu comme elle aime ça, allez-y les mecs niquez la bien profond…. ».
Nous n’étions « plus » que quatre autour de ma femme. Moi, celui qui me suçait aidé de mon épouse, celui qui la baisait et un autre dont les mains parcourait le corps de Marie-Laure comme un explorateur.
Tous semblaient plus libres et osaient des commentaires de plus en plus crus en s’adressant à Marie-Laure ou à moi. Au lieu de nous choquer, cela semblait nous exciter, ce qui n’échappa pas à nos partenaires. Nous entendîmes ainsi le maghrébin me demander si j’aimais me faire sucer pendant que ma femme se faisait baiser comme une pute, celui qui la caressait commenter chaque partie de son corps « elle mouille la cochonne, elle aime bien que je lui caresse ses gros nichons et que je tire sur ses tétons, vas-y, chienne branles ma grosse bite »,. Quant au black, à chaque coup, il lui demandait si elle sentait sa grosse bite au fond de sa chatte et demandait à ma femme de lui répondre sur le même ton. J’entendais alors ma femme lui dire « Oui, vas-y défonces moi » langage peut habituel dans sa bouche. Puis, ce dernier me dit « ça te dérange si j’encule ta salope ». Je lui fit répondit que non, mais qu’il devait le demander à l’intéressée. Pour toute demande, il se contenta de sortir de la chatte de Marie-Laure, de la redresser, la retourner, de prendre sa place dans le fauteuil, d’attraper ma femme par la taille et de l’asseoir sur lui. Marie-Laure qui avait entendu la demande, se contenta de passer ses jambes de chaque côté des jambes du black et de se laisser faire. J’imaginais plus que je ne le voyais le sexe pénétrer le cul de ma femme, tant le visage de cette dernière peu habituée à offrir ce passage à un sexe de cette taille était crispé. Mais son « tortionnaire » semblait n’en avoir cure et faisant perdre un peu l’équilibre à mon épouse l’embrocha d’un seul coup. Marie-Laure émis un son bizarre la bouche ouverte, se retrouva assise complètement sur son partenaire, n’osant plus bouger. Celui qui me suçait en profita pour se glisser entre les jambes du black et présenter son sexe à l’entrée de la chatte de Marie-Laure que sa position présentait grande ouverte. Sans plus de formalités, il pénétra à son tour ma femme et entrepris de la baiser ainsi. De temps en temps, le black soulevait, Marie-Laure et la laissait retomber sur son sexe planté profondément en elle. Pendant ce temps, le troisième spectateur, s’était positionné debout sur le siège à côté de mon épouse et lui présentait son sexe à sucer. La position de mon épouse laissait souvent échapper ce membre de la bouche de Marie-Laure qui palliait cette situation avec sa main. Ce premier fut le premier du trio à abdiquer en laissant échapper de longs jets de sperme sur le visage de ma femme rejoignant ceux déjà reçus qui commençaient tout juste à sécher. Mon épouse semblait être une véritable pile électrique, elle semblait jouir sans discontinuer, se contentant entre deux soupirs de d’émettre pour toutes paroles des « oui, oui, encore etc… ». Puis, le maghrébin sorti à son tour de la chatte de Marie-Laure retira son préservatif et s’aidant de sa main déversa son plaisir sur les seins et la chatte de ma femme. Une fois terminé, il pris mon sexe et me branla en direction de ma femme en me disant, « vas-y gicles sur ta salope de femme », n’y tenant plus j’inondais à mon tour les seins et le corps de Marie-Laure. Mon plaisir semblait interminable tant mon jus était important. Enfin, le black souleva complètement ma femme, la retourna, retira son préservatif aussi et obligeant ma femme à se pencher, lui fourra sa bite dans la bouche en lui ordonnant «vas y bois salope ! ». Aux bruits que fit ma femme, je compris qu’il se déversait dans sa bouche. Il se leva et rassit ma femme dans son siège. Marie-Laure était là assise, nue, le visage, les seins et la chatte maculée de sperme devant quatre hommes, le pantalon en bas des jambes, le sexe pendant et luisant de sa mouille. Ce n’est qu’à ce moment que je me rendis compte que le film était terminé et la salle éclairée. Le projectionniste était debout dans l’allée et nous observait. Nous nous rhabillâmes précipitamment et sortîmes les uns après les autres. Lorsque Marie-Laure et moi passâmes devant le projectionniste, avec un grand sourire, il nous dit « revenez quand vous voulez, surtout si madame est toujours aussi chaude ». Ce n’est qu’à ce moment que je constatai qu’un un caméscope pendait dans sa main droite….
Après un passage aux toilettes pour remettre un peu d’ordre dans notre aspect, nous rentrâmes en silence et avec un plein d’images dans la tête. Je pense bientôt retourner dans ce cinéma pour demander à projectionniste une copie de son film… qui sait contre quoi ou contre qui ???
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C’était un soir d’été il y a plusieurs années, mon épouse et moi avions décidés de sortir pour nous promener dans Paris. La journée avait été étouffante et la soirée s’annonçait assez lourde… Il est vrai que cet été ne nous avait pas habitués à cette chaleur trop rare pour l’époque. Marie-Laure, juchée sur des escarpins à hauts talons avait enfilé une jupe courte et ample blanche, sur son string minimaliste et un tee-shirt noir sur sa poitrine libre. Mon épouse sait que j’adore voir ses seins ainsi libérés, les imaginer accessibles et protégés. Pour ma part, je m’étais contenté d’un ensemble en lin beige.
Nous nous promenions dans les rues depuis une bonne heure et Marie-Laure commençait à fatiguer lorsqu’un orage nous surpris. Un cinéma à proximité nous sembla un refuge approprié. Nous nous engouffrâmes trempés dans le hall ou je prie deux billets sans avoir prêter attention au titre du film.
Nous entrâmes dans la salle obscure à tâtons… Sur la toile une femme nue se faisait prendre par plusieurs mâles bien membrés…. Nous comprîmes alors que nous étions dans un cinéma spécialisé…. Marie-Laure n’étant pas très adepte de ce type de films, me proposa de ressortir. Je lui fit alors remarquer qu’il pleuvait, qu’elle était fatiguée et que nous avions déjà payé nos places… Qu’en conséquence nous ne risquions rien de nous installer quelques minutes et que nous repartirions dès qu’elle sera reposée et en espérant que l’orage sera passé. Assurés, de repartir rapidement, nous nous installâmes proche de la sortie à l’avant dernier rang de la rangée du milieu. J’étais le long de l’allée et Marie-Laure à ma droite. Je commençais à m’intéresser au film, la femme était maintenant à genoux entourée de membres qu’elle suçait tour à tour…. Je me penchais à l’oreille de Marie-Laure et lui fit remarquer que je l’imaginerai bien dans cette situation… Elle me traita de cochon… Marie-Laure savait bien que c’était là un de mes fantasmes qu’elle ne partageait pas du tout, considérant qu’elle m’aimait et n’éprouvait pas l’envie d’un autre homme….Nous en avions souvent parlé, mais rien n’y faisait.. Par contre elle acceptait que nous alimentions nos ébats en faisant référence à cette situation. Marie-Laure posa alors sa main sur mon pantalon et j’eus le droit à un nouveau « Cochon, décidément cela te met en forme …. tu verras tout à l’heure à la maison ». Sa main continuait doucement à me caresser. Nos yeux s’étaient habitués à l’obscurité et nous distinguions plusieurs hommes dans la salle assez éloignés de nous. Marie-Laure venait de poser sa tête sur mon épaule et fixait l’écran tout en me massant légèrement l’entrejambe de sa main gauche. Mon bras droit sur son épaule, laissait libre ma main qui commença à s’amuser avec son sein droit, dont je sentais la pointe au travers du tissu de son tee-shirt. Cette caresse à le don de l’exciter au plus haut point. Marie-Laure aidée de son autre main, libera alors mon sexe et commença à me branler avec douceur…. Je fermais les yeux et avec mon bras je l’incitais à développer sa caresse…. Sa tête se fit moins lourde… Puis, je sentis ses cheveux caresser mon sexe avant de sentir une chaleur humide l’entourer…. Sa langue jouait avec mon gland puis sa bouche tout entière me prenait.. Quel bonheur !!!
Les yeux fermés je savourais ce moment intense. Ma main posée sur sa tête, rythmait la fellation.
Soudain, je sentis comme un léger frôlement, j’ouvrit les yeux pour découvrir que plusieurs hommes s’étaient rapprochés et nous regardaient. Je faillit avoir un mouvement de recule mais n’en fit rien. Marie-Laure qui ne s’était rendu compte de rien continuait à s’activer sur mon membre. Je regardais autour de moi, deux hommes étaient dans la rangé de devant et avaient sortis leur sexe qu’ils branlaient doucement en nous regardant. Deux autres étaient derrière et manipulant aussi leur engin, se penchaient pour mieux s’imprégner du spectacle. Tous me souriaient. Je décidais alors de ne pas bouger et de laisser Marie-Laure dans l’ignorance de ces spectateurs imprévus. Après quelques minutes de ce spectacle et avec l’assurance qu’aucun des spectateurs ne semblait vouloir s’engagé plus avant, je posais ma main gauche sur la tête de mon épouse afin d’éviter qu’elle ne lève la tête trop haut et s’aperçoive de ce qui se passait et fit glisser ma main droite sur sa nuque, puis son dos… Ma main s’insinua entre le tee-shirt et la ceinture de la jupe puis remontât entraînant sur son passage le fin tissu…. Je caressais son dos découvert…. Puis ma main glissa légèrement, pour dégager ses seins… Marie-Laure souleva légèrement son torse pour faciliter cette manœuvre et me laisser libre accès à son sein droit que je caressais délicatement, non s’en m’arranger pour le dégager le plus possible et ainsi l’offrir à la vue de mes compagnons imprévus…. Ils semblaient avoir tous compris et ne faisaient aucun bruit ou mouvement brusque afin d’éviter de se faire repérer…. Chacun essayant toutefois, d’en apercevoir le plus possible. Marie-Laure continuait à me sucer… Ma main droite délaissa alors le sein de mon épouse, pour refaire le chemin inverse et se retrouver à sa taille. Je continuais à descendre, jusqu’à arriver à la lisière de sa jupe blanche. Je remontais ma main, non sans accrocher au passage le bas du vêtement qui suivi le cheminement libérant les cuisses de ma femme, qui se souleva doucement permettant au tissu de continuer sa progression et de dégager ses fesses juste séparées par l’étroit tissu de son string. Un autre homme venait d’arriver dans notre rangée du côté de Marie-Laure… Ils étaient maintenant cinq hommes sexe sortis à se caresser en regardant mon épouse me tailler une pipe dans cette salle obscure. Trop c’est trop et l’homme positionné à côté de ma femme ne pu s’empêcher de porter sa main sur sa fesse droite. Le charme était rompu, ma femme sursauta et se redressa !!!!
Quel spectacle, Marie-Laure, les yeux grands ouverts, assise sur son siège, le tee-shirt relevé, les seins nus, la jupe remontée haut sur ces cuisses, entourée de ces hommes le sexe en main… « Ca ne va pas non !!! » dit-elle enfin, sans penser pour autant à se rajuster….
Pour toute réponse, je lui dis « je t’aime » et écrasait ses lèvres avec ma bouche….Ma main gauche entrepris à nouveau son sein droit… Ma femme essaya dans un premier temps de se dégager « non je ne veux pas », ma bouche repris possession de ses lèvres, ma langue entra en contact avec la sienne, puis Marie-Laure sembla abandonner la lutte pour répondre à mon baiser, dans un souffle je l’entendis me traiter de « salaud » puis ses mains se posèrent sur ma nuque, ses yeux se fermèrent, et sa bouche pris possession de la mienne dans un baiser fougueux où sa langue semblait vouloir se perdre au fond de ma gorge. Je me détachai de l’emprise de Marie-Laure qui resta alors assise au fond de son siège les yeux fermés. Je la regardai ainsi offerte à nos regards. Ce fut comme un signal, je vis les sexes se rapprocher de nous. Une main, qui n’était pas la mienne, s’empara de son sein droit et la caressa. Une autre pris possession de son sein gauche et lui administra le même traitement. Marie-Laure se laissait faire. Je vis alors les deux hommes derrière mon épouse approcher leur sexe encore plus près… Leur gland touchant les joues de ma femme. L’un des deux hommes posa alors sa main sur l’oreille gauche de mon épouse et lui fit pivoter légèrement la tête, jusqu’à ce que son gland gonflé de désir touche les lèvres de ma chérie… Là comme dans un rêve, je vis les lèvres de ma chère et tendre s’entrouvrir, sa langue sortir et lécher le haut de ce sexe doucement… puis sa main se porta sur le membre tendu, qu’elle caressa. Je voyais ses doigts courir sur la colonne de chair, faire disparaître, puis réapparaître le gland… Enfin, sa bouche s’ouvrit plus largement et je vis le gland entrer entre les lèvres de ma femme, puis lentement le membre pénétrer dans la bouche de Marie-Laure. Les yeux toujours fermés ma femme commença alors lentement, mais avec application à sucer cet inconnu. Quel spectacle de voir ce sexe sans tête baiser ainsi la bouche de Marie-Laure…. Je le voyais sortir d’entre ses lèvres accompagné d’un léger filet de bave, puis pénétrer à chaque fois plus profondément dans la bouche de ma femme. Tout à cette vue, j’avais oublié les autres partenaires qui étaient maintenant tout autour de nous. Ceux de derrière avaient enjambé les sièges pour se trouver maintenant dans la même travée que nous. Celui qui était à côté de celui que suçait mon épouse avait pris la main de cette dernière et l’avait posée sur son sexe. Je voyais la main de ma chérie courir sur cette colonne de chair. Cette position avait pour conséquence de libérer la poitrine de Marie-Laure. Une main jouait avec le sein droit de ma femme, le soupesant, jouant avec le téton, tirant dessus, puis englobant le tout, pour revenir le soulever. Un homme me demanda s’il pouvait prendre ma place, que je lui cédais sans difficulté. Debout j’avais ainsi une meilleure vue de l’ensemble. A peine assis, je vis la bouche de cet homme de type maghrébin s’emparer du téton de Marie-Laure et le dévorer comme un mort de faim. Je sentis alors un frôlement sur ma jambe gauche, en me tournant je vis un homme de couleur qui s’agenouillait entre les jambes de ma femme. Je le vis remonter la jupe de Marie-Laure dévoilant ainsi ses cuisses. Puis il souleva légèreté ma femme et remonta complètement la jupe jusqu’à sa taille dévoilant son joli string. Il tira dessus et le fit glisser le long des jambes de Marie-Laure et me le tendit. Je le mis dans ma poche machinalement. Il écarta alors complètement les cuisses de Marie-Laure, ses doigts écartèrent ensuite ses lèvres intimes la dévoilant ainsi au plus profond, je vis alors un doigt, puis deux pénétrer la chatte de mon épouse…. Enfin, il se pencha et se jeta à langue perdue sur la chatte. Marie-Laure semblait aimer ce traitement car je l’entendais gémir. Je regardais alors la scène dans son ensemble. Marie-Laure jambe écartée se faisant bouffer la chatte, malaxer et sucer les seins, branlant une bite de sa main gauche, tout en suçant une belle queue….. Cette vision n’avait rien à envier au film porno qui continuait à défiler sur l’écran. Celui qui se faisait sucer me dit doucement, elle est belle et bonne ta salope…. Ce mot au lieu de me choquer me rendit fier…. C’est vrai qu’elle était belle ainsi, c’est vrai qu’elle était bonne, c’est vrai qu’elle était salope… Mais surtout c’est vrai qu’elle était Ma salope …..J’ai l’impression que ce fut comme un signal pour deux des compères car au bruit que fit Marie-Laure je compris que l’un déchargeait dans sa bouche tandis que le second lança de longs jets de sperme sur le visage de ma femme inondant son front, ses joues et ses cheveux de son plaisir….. Marie-Laure ouvrit alors les yeux et me regarda fixement un sourire aux lèvres…. Je voyais le sperme dégouliner lentement… elle en pris avec ses doigts avant qu’il ne lui tombe dans les yeux et porta sa main à sa bouche pour déguster ce nectar d’un soir. Puis Marie-Laure se redressa et s’approcha de mon sexe qui était toujours sorti de mon pantalon, elle posa sa main dessus, le pris en main et m’attira vers elle et me fit pénétrer sa bouche. L’homme de couleur s’arrangeât alors pour positionner ma femme de façon à ce qu’à genoux son sexe arrive juste à l’entrée de sa chatte… Je fut obliger de m’avancer, presque en équilibre, Marie-Laure refusant de me lâcher….. Grâce à la lumière du projecteur je pouvais voir la progression de cette colonne de chair sombre… qui s’approchait des poils blonds de la chatte de Marie-Laure…. Puis, je vis le gland écarter les lèvres intimes de ma femme et doucement mais inexorablement pénétrer au plus profond de mon épouse… Qui cessa momentanément de me sucer, comme pour mieux s’imprégner de chaque instant de cette progression…. Elle gémit quand il fut tout au fond d’elle… Elle repris alors mon sexe dans sa bouche pour me sucer avec violence….Le C que j’avais oublié s’était rapproché et Marie-Laure sortie mon sexe de sa bouche pour lui présenter… J’eus un geste de recul… mais ma femme me tenait bien et je sentis pour la première fois des lèvres d’homme autour de mon sexe et une langue s’enrouler autour de moi….J’étais gêné, mais cela était agréable….. puis alternativement, au rythme des pénétrations de Marie-Laure, mon sexe passa de la bouche de ma femme à celle de cet homme……pendant ce temps les mains de l’homme resté à droite s’amusaient toujours avec les seins de mon épouse ou parfois semblaient s’aventurer sous elle pour s’insinuer, je pense, entre ses fesses, voir s’introduire dans son puits secret. Les deux hommes qui avaient déjà joui nous quittèrent après nous avoir dit merci et non sans quelques commentaires du type « Qu’elle salope, t’a vu comme elle aime ça, allez-y les mecs niquez la bien profond…. ».
Nous n’étions « plus » que quatre autour de ma femme. Moi, celui qui me suçait aidé de mon épouse, celui qui la baisait et un autre dont les mains parcourait le corps de Marie-Laure comme un explorateur.
Tous semblaient plus libres et osaient des commentaires de plus en plus crus en s’adressant à Marie-Laure ou à moi. Au lieu de nous choquer, cela semblait nous exciter, ce qui n’échappa pas à nos partenaires. Nous entendîmes ainsi le maghrébin me demander si j’aimais me faire sucer pendant que ma femme se faisait baiser comme une pute, celui qui la caressait commenter chaque partie de son corps « elle mouille la cochonne, elle aime bien que je lui caresse ses gros nichons et que je tire sur ses tétons, vas-y, chienne branles ma grosse bite »,. Quant au black, à chaque coup, il lui demandait si elle sentait sa grosse bite au fond de sa chatte et demandait à ma femme de lui répondre sur le même ton. J’entendais alors ma femme lui dire « Oui, vas-y défonces moi » langage peut habituel dans sa bouche. Puis, ce dernier me dit « ça te dérange si j’encule ta salope ». Je lui fit répondit que non, mais qu’il devait le demander à l’intéressée. Pour toute demande, il se contenta de sortir de la chatte de Marie-Laure, de la redresser, la retourner, de prendre sa place dans le fauteuil, d’attraper ma femme par la taille et de l’asseoir sur lui. Marie-Laure qui avait entendu la demande, se contenta de passer ses jambes de chaque côté des jambes du black et de se laisser faire. J’imaginais plus que je ne le voyais le sexe pénétrer le cul de ma femme, tant le visage de cette dernière peu habituée à offrir ce passage à un sexe de cette taille était crispé. Mais son « tortionnaire » semblait n’en avoir cure et faisant perdre un peu l’équilibre à mon épouse l’embrocha d’un seul coup. Marie-Laure émis un son bizarre la bouche ouverte, se retrouva assise complètement sur son partenaire, n’osant plus bouger. Celui qui me suçait en profita pour se glisser entre les jambes du black et présenter son sexe à l’entrée de la chatte de Marie-Laure que sa position présentait grande ouverte. Sans plus de formalités, il pénétra à son tour ma femme et entrepris de la baiser ainsi. De temps en temps, le black soulevait, Marie-Laure et la laissait retomber sur son sexe planté profondément en elle. Pendant ce temps, le troisième spectateur, s’était positionné debout sur le siège à côté de mon épouse et lui présentait son sexe à sucer. La position de mon épouse laissait souvent échapper ce membre de la bouche de Marie-Laure qui palliait cette situation avec sa main. Ce premier fut le premier du trio à abdiquer en laissant échapper de longs jets de sperme sur le visage de ma femme rejoignant ceux déjà reçus qui commençaient tout juste à sécher. Mon épouse semblait être une véritable pile électrique, elle semblait jouir sans discontinuer, se contentant entre deux soupirs de d’émettre pour toutes paroles des « oui, oui, encore etc… ». Puis, le maghrébin sorti à son tour de la chatte de Marie-Laure retira son préservatif et s’aidant de sa main déversa son plaisir sur les seins et la chatte de ma femme. Une fois terminé, il pris mon sexe et me branla en direction de ma femme en me disant, « vas-y gicles sur ta salope de femme », n’y tenant plus j’inondais à mon tour les seins et le corps de Marie-Laure. Mon plaisir semblait interminable tant mon jus était important. Enfin, le black souleva complètement ma femme, la retourna, retira son préservatif aussi et obligeant ma femme à se pencher, lui fourra sa bite dans la bouche en lui ordonnant «vas y bois salope ! ». Aux bruits que fit ma femme, je compris qu’il se déversait dans sa bouche. Il se leva et rassit ma femme dans son siège. Marie-Laure était là assise, nue, le visage, les seins et la chatte maculée de sperme devant quatre hommes, le pantalon en bas des jambes, le sexe pendant et luisant de sa mouille. Ce n’est qu’à ce moment que je me rendis compte que le film était terminé et la salle éclairée. Le projectionniste était debout dans l’allée et nous observait. Nous nous rhabillâmes précipitamment et sortîmes les uns après les autres. Lorsque Marie-Laure et moi passâmes devant le projectionniste, avec un grand sourire, il nous dit « revenez quand vous voulez, surtout si madame est toujours aussi chaude ». Ce n’est qu’à ce moment que je constatai qu’un un caméscope pendait dans sa main droite….
Après un passage aux toilettes pour remettre un peu d’ordre dans notre aspect, nous rentrâmes en silence et avec un plein d’images dans la tête. Je pense bientôt retourner dans ce cinéma pour demander à projectionniste une copie de son film… qui sait contre quoi ou contre qui ???
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