Au cinéma - histoire érotique

Nous voici maintenant arrivés au mois de juillet, période estivale durant laquelle, nos agendas respectifs ne nous permettaient pas de pouvoir nous retrouver comme chaque mois. Cependant, le besoin de se voir est si fort et le temps si long avant la prochaine fois, que nous avons finalement trouvé le moyen de poser deux jours de congés communs afin de se voir, prendre ce que nous pouvons, plutôt que de ne pas se voir du tout.

Je prends la route très tôt, en ce mardi matin, afin de profiter de mon tendre Amour le plus longtemps possible et je le retrouve environ deux heures après mon départ, sur le parking de l'hôtel qu'il m'a réservé. Quel bel hôtel ! Ce n'est pas notre petit chez nous, mais c'est un superbe hôtel, et pour vous dire la vérité, peux m'importe ou je dors, tant que je suis avec lui...

Il me prend tendrement dans ses bras, embrasse délicatement mon cou, mes lèvres, passe la main le long de ma colonne vertébrale, pour finalement caresser légèrement mes fesses. Puis, il me prend la main et me propose d'aller prendre un café au lounge de l'hôtel. Arrivés dans le hall, à la fois classe et moderne, il m'entraine vers l'accueil, car il souhaite vérifier que la réservation qu'il a faite est bien enregistrée, il veut que tout soit parfait.

Quelle belle surprise lorsque la personne lui répond que tout est en ordre, mais que si nous le souhaitons, il a des chambres de disponibles dès à présent et qu'il peut nous donner la carte immédiatement ! Ohhh, vous pensez bien qu'Alexandre a dit oui ! Pouvoir accéder à la chambre bien plus tôt que prévu est une vraie belle surprise, et aussitôt la porte franchie, porte la main sur ma gorge en me poussant contre le mur, plonge son regard noir dans le mien et me prends la bouche de sa langue comme son sexe pourrait le faire. Il me retourne ensuite face au mur et se plaque contre mes fesses, tandis qu'il pétrit mes seins tendus. J'en profite, petite diablesse que je peux être, pour me cambrer le plus fort possible et onduler le bassin contre son sexe, que je sens se tendre de plus en plus...

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Ce qui est très agréable, c'est qu'aussi bien dans notre relation D/s, que vanille, on y trouve la même intensité. Et là, dans ce moment et depuis plusieurs jours, j'avais très envie de dominer ma jolie fée, de jouer avec son corps, de l'emmener dans le plaisir, sous mon contrôle... Alors vous pensez bien que lorsque le réceptionniste m'a proposé une chambre déjà prête, je me voyais déjà serrer ma jolie fée contre moi, et jouer dès à présent avec ma soumise.

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Baissant son jean's, il se caresse un peu et me demande de me mettre à quatre pattes sur le bord du lit, ce que je fais immédiatement. Il s'approche de ma croupe.

- Je vais te baiser en levrette ma soumise... me dit-il... J'ai envie de te baiser comme cela.

Joignant l'acte à la parole, il entre en moi telle une épée glisse dans son fourreau, je suis déjà tellement mouillée qu'il rentre sans aucun effort et commence de doux va-et-vient. Que de sensations perdues que je retrouve en cet instant, moi qui n'est plus joui dans cette position depuis au moins vingt ans, sans avoir à m'aider en me caressant le clitoris. Mais ce que je ressens à ce moment-là, c'est un plaisir brut, aucune caresse n'est nécessaire pour aider l'excitation.

- C'est bon ! C'est tellement bon ! Oh oui, continu...

Sentant que la jouissance monte, fort, je m'incline légèrement vers l'avant et bouge en sens inverse de lui, augmentant ainsi l'intensité du plaisir... Je le sens, oui... Oui je vais jouir ! Ouiii....

Ohhh, quelle jouissance, quelles sensations oubliées retrouvées grâce à lui ! Mon Dieu, comme c'était bon, comme j'ai déjà hâte de recommencer... J'ai envie de m'occuper de lui à présent, faire durcir son sexe et le prendre en bouche. Je m'assois un instant au bord du lit et lui caresse les tétons, me penche pour lui aspirer le sexe, et après quelques va-et-vient, reviens jouer avec ses tétons du bout de mes doigts. Il m'ordonne alors de remonter un peu sur le lit et le voici qui me pénètre en missionnaire, le Dominant me veut comme cela, veut jouir en moi comme cela, alors il me prend et me pilonne en va-et-vient virulent, me pénétrant jusqu'à la garde !

Fixant son regard et ne le lâchant pas, je pose mes index sur le bout de ses tétons

- La vache, petite salope ! C'est bon, vas y continue !

Je bouge en rythme mon bassin pour accompagner ses coups de reins, le plaisir monte en moi, alors que je viens déjà de jouir fort... Mais je me focalise sur lui, l'encourage de mes gémissements.

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A ce moment, mes mains passent sur ses seins, descendent le long de ses flancs et passent sous ses fesses pour la coller contre moi. Je veux la prendre profondément, la maintenant contre moi, ouverte, offerte, totalement pénétrée. Je la regarde dans les yeux, nos bouches se touchent, nos langues se mêlent et la pénétration se fait double, dans son sexe et dans sa bouche, simultanément. Je la veux toute à moi, totalement.

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- Tu m'appartiens, et je te baise !

- Oh oui je t'appartiens, et oui tu me baises, tu me baises et tu me fais jouir !

- Ahrrrrr..... Un ultime coup de reins et un cri violent, rauque et guttural accompagnent sa jouissance qui fut très forte !

Repus de plaisir et dans les bras l'un de l'autre, Alexandre m'embrasse et caresse mes cheveux, tandis que mes doigts jouent dans les poils de son torse viril... Mon doux grizzly, comme j'aime à l'appeler...

Sortis de notre bulle, Alexandre me demande de me rhabiller, car il a prévu une surprise, me dit-il.

- Penses-tu pouvoir tenir une boule de geisha pendant plusieurs heures ? La plus lourde ?

- Oui bien sûr, je la supporte bien celle-ci

- Alors, va la mettre, et pas de culotte

J’obéis, bien sûr ! Je mets la boule de geisha, sans culotte... et nous sortons main dans la main, nous dirigeant vers sa voiture. En traversant le parking, il ne peut s'empêcher de me dire que nous allons au cinéma. Il a tout prévu et réservé deux places pour aller voir "Le comte de Monté Cristo". Quelle merveilleuse surprise ! Nous en avions parlé il y a quelques jours de cela, et il sait que j'ai beaucoup aimé la mini série de l'époque avec Gérard Depardieu, quelle douce attention... Doublement, car il sait que ce petit plaisir simple ne nous est pas vraiment permis lors de notre semaine mensuelle, il travaille toute la journée...

Le cinéma qu'il a choisi se trouve à environ trente minutes de route, il ne l'a pas choisi par hasard, je vais le découvrir bientôt !

Nous sommes près des barrières menant aux salles et nous attendons que l'on nous permette d'entrer, environ dix minutes encore... Ce temps est bien entendu mis à profit par Monsieur, pour me plaquer discrètement sur le mur, il met sa jambe presque entre les miennes, se penche vers mon oreille.

- Elle aime se faire frotter au cinéma la petite salope ! Je n'oublie pas qu'elle a une boule de geisha dans sa petite chatte toute humide, ma soumise... Tu es à moi... JE te touche... JE te baise... Tu es MA soumise, MA jolie fée...

- Oui Monsieur, vous seule posez les mains sur moi, vous seul me faites jouir, je suis à vous et je vous appartiens... Je suis toutes...

- Je suis sur que tu mouilles petite salope... J'ai envie de jouer avec tes seins. Tu n'as jamais joui avec tes seins... Je suis sûr que tu pourrais...

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Oui, discrètement, comme un couple très enlacé, je glisse mon genou entre ses cuisses que ma jolie fée soumise ouvre avec naturel et obéissance. Je cherche à caresser sa vulve. Je voudrais la voir un jour se caresser la vulve sur ma cuisse nue. Sentir sa chaleur, la regardant tantôt dans les yeux, tantôt sa fourche humide glissant sur ma cuisse... J'espère simplement qu'à ce moment-là, ma cuisse la caresse... Et je pense à la boule de geisha qu'elle porte pour moi... Et je plonge mon visage dans son cou, m'enivre de son parfum et goute sa peau de mes lèvres et de ma bouche... J'ai envie de la bouffer...

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Les portes s'ouvrent et nous avançons main dans la main vers la salle. En entrant, je me laisse guider vers nos sièges... Nos sièges!! Quel euphémisme !! Je n'ai jamais vu un cinéma comme cela. Ce sont des fauteuils aussi large et profond que ceux que l'on peut avoir chez soi, ils ne sont pas alignés en rang d'oignons non plus, ils sont deux par deux avec un accoudoir amovible, ce qui fait comme un petit canapé, ultra confortable. Et en plus, de chaque côté, droite et gauche du "canapé" sont fixées des petites tablettes ovales, ce qui éloigne les voisins de chaque côté ! Pour l'intimité, c'est un concept génial, ils ont tout compris... Regarder un film superbe, blottie dans les bras de l'homme qu'on aime, un pur bonheur...

Une impression d'être à la maison, et la seule raison qui m'empêche de m'allonger la tête sur ses genoux, c'est que je n'aurais pas vu le film ... Dès que la lumière baisse, je suis installée la tête sur sa poitrine, tandis que lui pose la sienne sur sur la mienne. Il glisse doucement sa main gauche dans ma robe et commence à caresser doucement mon sein droit... J'ai des frissons qui me parcourent le corps, un délice mêlé d'interdits.

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Le cinéma est un des premiers lieux de caresses et de découverte lorsqu'on est adolescent. Mais adulte, cela peut devenir tout aussi excitant. J'espérai que la salle soit presque vide ce jour-là pour profiter encore plus de l'obscurité, mais non, nous sommes pour ainsi dire encerclés. Soit, nous resterons très discrets. Alors je glisse ma main sur son corsage, découvre les formes féminines de son anatomie puis glisse dans son corsage ou je rentre en contact direct avec sa peau. Je cherche le téton, l'aréole et avec un doigt puis deux caressent par-dessus le soutient gorge de dentelle. Le teton se tend, se gonfle comme ma verge et je prends plaisir à la caresser, là, simplement, comme un adolescent découvrant le corps de la femme. Un vrai plaisir, simple, et surtout, ce téton tendu, c'est que je lui donne aussi du plaisir. Alors je glisse sous le soutien-gorge, et ma main en coupe prend son sein généreux dans son intégralité. Mon index et mon majeur se substituent à des baguettes chinoises pour enserrer le téton tendu. J'adore lui caresser les seins...

A mon tour, je me dirige discrètement vers son téton droit et le titille... J'entends un léger râle sortir de sa gorge... il aime... Je m'encanaille un peu plus (n'oublions pas que je suis aussi une diablesse indisciplinée parfois...), en descendant vers son entrejambe et quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que sa braguette est déjà ouverte... sur son sexe déballé, car il n'a volontairement pas mis de boxer en quittant l'hôtel... Hummm... Je glisse mon pouce à l'intérieur de l'ouverture de son jean's, et mes autres doigts enserrent son sexe, de l'autre côté.

Lorsque ma coquine glisse sa main sur ma cuisse, entre mes cuisses et ouvre mon pantalon pour rentrer en contact avec ma verge, je maudis qu'il y ait des voisins pour ne pas me mettre plus à l'aise tant ma tête est en feu à ce moment-là. Je voudrais pouvoir l'ouvrir totalement, le baisser, laisser un accès libre à la délicieuse diablesse qu'elle sait être. Et moi aussi j'ai envie de la caresser, et après la découverte de son téton tendu, j'ai très envie de vérifier l'état de son clitoris, de sa vulve... Maudits voisins...

Commence alors un ballet de nos mains, de nos doigts, alternant tétons de l'un ou de l'autre, caresse et masturbation... J'entends ses râles de plaisir... il bande mon doux grizzly... Il accompagne mes mouvements en soulevant légèrement les fesses. Régulièrement, il chuchote à mon oreille, combien je suis une petite salope, qui se fait caresser dans un cinéma, combien je l'excite... J'arrive a prendre son pouce en bouche et son excitation lui fait prendre ma tête et la guider pour mimer une fellation gorge profonde... Comme j'aurais aimé pouvoir le sucer réellement, c'est mon seul regret... Mais pour le coup, nous nous serions fait surprendre... De la même façon, j'aurais aimé pouvoir le faire jouir, mais lui non plus n'avait pas la tête complètement libérée et pensait à nos voisins du dessus...

Je n’oublierai jamais cette première sortie au cinéma, le film était magnifique, c'est une chose, mais l'intimité et la joie d'être dans ses bras comme si nous étions chez nous dans notre salon sont indescriptibles...