Au magasin de Véro - histoire érotique

Il est 18h30. Je passe devant me magasin de Véro et je décide d’entrer. Il n’y a aucune cliente.
Véro me vois et vient vers moi. Elle m’embrasse et dit à sa vendeuse d’aller fermer le magasin. Elle me l’a présente. Elle se nome Karen et a 28 ans. Elle est asiatique, grande. Elle a de longs cheveux noirs qui lui arrivent presque jusqu’à la taille, des yeux magnifiques en amande, une bouche pulpeuse à souhait. Elle porte des bas résilles noirs, une jupe très courte en cuir rouge, un bustier en cuir noir. Sa poitrine est très imposante pour une femme aussi fine et élancée qu’elle.

Véro nous propose de passer à l’arrière du magasin. Là, il y a deux pièces. Une c’est son bureau et l’autre est meublée avec un grand lit. Il y a un bar avec deux chaises hautes, un canapé. Karen et moi prenons place sur les chaises et Véro passe derrière le bar et nous prépare un verre. Elle me dit : « J’ai raconté à Karen notre dernière soirée et elle a eu très envie de te connaître. Elle baise très bien tu verras ». Elle nous proposa de mieux faire connaissance pendant qu’elle va se changer dans le magasin.

Nous nous retrouvons seul Karen et moi. Elle me regarda en disant : « C’est vrai, j’adore baiser. J’avais très envie de le faire avec toi après ce que m’a raconté Véro. On le fait souvent elle et moi, mais j’aime bien mieux une bite que le gode ».
Elle se leva et vint m’embrasser, tout en me prenant ma queue au travers de mon pantalon. Puis elle me l’ouvrit et me le retira. Immédiatement elle me prit dans sa bouche. Elle me suçait goulûment et ses lèvres glissaient le long de ma queue. Je lui pris les cheveux pour mieux a guider tout en lui disant : « Oui, suce-moi bien, comme une bonne petite salope ».

Véro revint vers nous. Elle avait également mis des bas résilles, une cuissarde de cuir ouverte à l’entrejambes. En haut elle avait mis un soutien-gorge en lanière de cuir, laissant ses seins dégagés. Elle regardait Karen me sucer et vint me glisser à l’oreille : « Elle suce divinement, tu ne trouve pas ? ». Je lui répondis que c’était le paradis. Elle dit alors à Karen : « Applique-toi. Suce le lentement, doucement. Quand ça vient, tu ralentis pour mieux reprendre. Mais ne le fait pas jouir, je veux qu’il se vide sur nos visages ».

J’étais au bord de l’explosion et Karen me laissa. Véro la déshabilla, ne lui laissant que ses bas. Elle mit Karen face à moi et depuis derrière se mit à lui caresser sa poitrine tout en me disant : « Elle a vraiment des seins supers, c’est un délice que de les masser et de les téter, vient essayer. ». Je me suis levé de la chaise, j’ai retiré mon pull et j’ai pris l’un après l’autre ses tétons entre mes lèvres. Véro continuait de la peloter avec vigueur d’une main, l’autre lui massant sa chatte, qui était aussi rasée mais avec une jolie petite touffe sur son mont de Vénus.

Les deux femmes se mirent alors à genoux devant moi. Elles me prirent l’une après l’autre entre leurs lèvres, suçant ma verge comme un glace, puis Véro me dit : « Aller, masturbe-toi et vide-toi sur nos visage ». Je me suis mis à me masturber avec vigueur, regardant leurs visages. Elle étaient colées joues contre joues, la bouche grande ouverte et la langue bien en avant. Rapidement j’étais prêt, mon sperme gicla aspergeant largement leurs visages. Les deux se léchèrent mutuellement puis Karen lécha ma queue pour savourer les dernières gouttes de mon sperme. Tout en se levant, Véro me fit un clin d’œil en me disant : « Tu aimes bien baiser deux bonnes salope, ça te plait de te faire une vieille et une jeune en même temps, non ? ». Une seule réponse à cette remarque et elle fût oui.

Véro me dit : « Assied-toi sur le canapé, je vais préparer Karen pour toi ». Je me suis confortablement installé et les deux femmes se sont misent sur le lit. Véro pris un vibromasseur et un gode ceinture. Elle fixa ce dernier autour de sa taille. Lentement, elle ouvrit le sexe de Karen avec ses doigts et glissa le vibro dans sa chatte. Il se mis à le faire aller et venir lentement, puis plus rapidement. Karen gémissait de plaisir et hurlant à Véro : « Oui patronne, donne du plaisir à ta petite salope de Karen, fait-la jouir comme une chienne ». Karen pris alors ses chevilles avec ses mains et écarta ses jambes au maximum, tout en soulevant sa croupe.

Véro guida le gode vers l’anus de Karen et le plongea en elle d’un seul coup. Karen hurla de plaisir en suppliant Véro de lui enfiler le vibro dans sa chatte. Véro le planta profondément. Elle se mit à faire glisser le gode dans le cul de Karen et le vibro dans sa chatte. Karen se tordait de plaisir. Son orgasme fût très intense et je voyais sa sève couler hors de sa chatte, inondant le vibro. Véro me dit : « Vient t’allonger sur le lit, Karen va s’empaler sur toi et moi je t’offrirait ma chatte à sucer ».

Je m’exécutais. Allongé sur le dos, Véro vint déposer sa chatte sur ma bouche. Karen se mit sur moi et guida ma queue vers son anus et se planta sur moi d’un coup. Elle prit le vibro et l’introduisit dans sa chatte. Je sentais l’engin vibrer au travers de ses parois. Véro frottais son sexe sur ma bouche tout en se masturbant son imposant clitoris que parfois elle offrait à ma langue et à mes lèvres avides de le sucer. Je petit jeux dura un long moment pendant le quel Véro me disait : « Oui suce moi, met ta langue dans ma chatte, bois ma liqueur ». Karen elle, appuyée sur le dos de Véro, faisait aller et venir le vibro dans sa chatte et montait puis descendait le long de ma verge et hurlant : « J’aime, je veux baiser fort, stp jouis au fond de mon cul, je veux sentir ton sperme qui coule dans mes entrailles. Je veux que mon jus coule sur tes couilles, c’est trop bon ». Je me suis alors mis à sucer Véro très fort et Karen à se vibrer de plus en plus vite. Véro plaqua sa chatte sur ma bouche et m’offrit un torrent de sève qui coulait dans ma bouche, sur mes lèvres, j’en avais partout. Karen se planta très fort sur moi et je sentis alors couler sa liqueur sur mes couilles et entre mes fesses. Planté en elle j’éjaculais au fond de son cul, me vidant de ma semence en de longs jets. Nous venions de jouir les trois en même temps.

Nous sommes restés unis ainsi un long moment, puis Véro se releva et Karen aussi. Nous nous sommes alors installés sur le canapé et lentement nous avons repris nos esprits.

Karen me dit alors doucement à l’oreille, sans que Véro entende : « J’aimerais baiser avec trois hommes. Trouve deux copains et appelle-moi. ».

Il était 23h et je suis rentré chez moi.