Un soir de déprime
Récit érotique écrit par Cureuil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un soir de déprime
<p>Je quittais le bureau sans vraiment avoir le moral. Rien n'avait été, et je me sentais frustré. Je décidais d'aller boire quelque chose au bistro avant de rentrer chez moi. Je m'assis à une table dans un coin et je commandais un thé froid.
J'allais partir, quand une femme, la quarantaine, de longs cheveux châtain s'installa à la table à côté de la mienne en me demandant si elle ne me dérangeait pas. Elle commanda aussi un thé froid et j'en repris un. Une fois servit elle entama la discutions.
- Je ne vous ai jamais vu ici, vous venez pour la première fois?
- Oui il n'y a qu'un mois que j'ai commencé de travailler dans le quartier.
- Moi j'ai le magasin de chaussure au coin de la rue et cela n'a pas très bien aujourd'hui.
- Moi aussi, pas mal de problèmes au travail.
- Vous habitez dans le coin?
- Oui, et vous?
- A deux pas, vous avez le temps? Je vous invite prendre un verre.
- Pourquoi pas.
Je la suivis et 5 minutes plus tard, nous entrions chez elle. Un superbe appartement, en attique.
- Allez au salon et mettez-vous à l'aise, j'arrive. Toujours du thé froid ?
- Oui, avec plaisir.
Je m'installais dans un superbe canapé en cuir, doux, souple et profond. Elle arriva avec deux verres et s'installa à coté de moi. Elle portait un chemisier de soie noire légèrement transparent et déboutonné jusqu'à ses seins, une jupe, noire aussi, finement fendue sur le devant. En s'asseyant sa jupe remonta légèrement me laissant admirer des jambes gainées d'une fine soie, toujours aussi noire. C'était des bas. Elle avait des escarpins à talon noués autour de ses chevilles.
Ses longs cheveux descendaient jusqu'à sa taille, ses yeux étaient d'un vert profond. Sa peau était fine et soyeuse.
Santé me dit-elle en levant son verre. Santé.
- Vous vivez seule ici?
- Oui, depuis 6 mois. Et vous, célibataire?
- Oui.
- Pas d'amie?
- Pas en ce moment et vous?
- Rien, le calme plat, mais quelque chose me dit que !!
- Que quoi?
- Je ne sais pas, plein de chose peuvent arriver.
Elle fermait légèrement ses paupières laissant son regard plonger dans le mien. En même temps, sa langue glissait légèrement sur sa lèvre supérieure.
- Si une chose arrivait, maintenant?
- La quelle, dites-moi
- L'envie de prendre votre verre
- Oui !
- De le poser sur la table
- D'accord
- De passer un bras derrière votre nuque
- Et?
Je posais mes lèvres sur les siennes. Sa langue fila chercher la mienne, s'y nouant dans un baiser torride. Je glissais une main sous sa jupe. Elle écarta ses jambes et me laissa venir sur son string, déjà tout humide. Entre deux baisers, elle me mordilla l'oreille en murmurant
- Baise-moi, comme une garce, prend-moi comme une chienne
- Oui, mais toi aussi j'ai envie que tu me suces, que ta bouche me pompe.
Brusquement, elle se leva, retira ses vêtements, ne gardant que ses bas et ses escarpins. Elle avait un corps sublime, des seins ni trop gros, ni trop petit. Sa chatte était rasée et elle n'avait qu'une légère touffe de poils sur son mot de Vénus. Elle se mit à genoux devant moi, retira mon t-shirt, mon pantalon et mon slip. Elle pris ma queue entre ses doigts et commença de me masturber lentement, puis de plus en plus vite. Par instant, sa langue léchait mon prépuce. Au bout de quelques minutes, elle me prit entre ses lèvres enfonçant mon dard profondément dans sa gorge. Elle se mit alors à me sucer avec force, mon pompant très fort. D'une main, elle continuait de me masturber et de l'autre, elle laissait ses doigts jouer avec sa chatte. Par moment, après les avoir introduit en elle, elle me les donnait à lécher. Ce jeu dura un long moment. Je ne tenais plus, je devais jouir. Elle le sentis et ouvrit alors sa bouche. Sous les caresses de sa main, je ne tenais plus ma queue était gonflée. J'explosais, inondant tout son visage de mon foutre. Avec un doigt elle s'essuya puis le mis dans sa bouche et elle m'embrassa avec fougue.
- Pas mal, je ne pensais pas que tu tiennes aussi longtemps.
- Tu es une suceuse en or
- Tu as aimé?
- Et comment. Je te ferais bien la même chose maintenant.
- Humm, comment?
- Allonge toi et écarte bien tes jambes
- Comme ça?
- Parfait.
Elle était allongée sur le canapé, une jambe posée sur le sol et l'autre sur le dossier. Sans attendre j'écartais son sexe et je posais mes langues dessus. Je suçais avec délice son clitoris, aspirait dans ma bouche ses lèvres et je laissais plonger ma langue profondément en elle. Elle était toute moite, sa sève coulait doucement dans ma bouche. Je glissai mon pouce en elle et mon index se mit à titiller son anus. Elle gémissait "oui, suce ta salope, enfonce ton doigt dans mon cul, c'est trop bon. Défonce-moi, prend-moi, baise-moi, fait-moi jouir". Je m'activais de plus en plus. Mon pouce planté dans sa grotte et mon index lui fouillant son merveilleux petit cul. Elle accompagnait mes mouvements en balançant son ventre qu'elle venait plaquer sur mes lèvres. Ma bouche courrait le long de son sexe, aspirant ses lèvres et ma langue tournaillant sur son clitoris. Au bout d'un moment, elle se crispa en hurlant "Ouiiii, je jouis". Un flot de sa liqueur coulant dans ma bouche et un autre inondant mon index. Avidement je bus tout ce jus qu'elle m'offrait, ne voulant rien perdre. Je m'écartais d'elle. Ses yeux étaient fermés et elle respirait rapidement. Ses doigts pinçaient ses mamelons.
En revenant à elle, elle me dit
- C'était trop bon,
- Tu as aimé?
- Difficile de dire non, et toi?
- Tu es une vraie fontaine quand tu jouis
- Je sais et c'est très rare que je jouisse aussi avec mon p'tit cul. Tu as eu de la chance.
- Un vrai régal.
Nous avons repris un verre, puis elle me dit
- Si on passait dans ma chambre?
- Pourquoi pas
Elle s'allongea sur son lit et sorti un sextoy en verre en me disant.
- Prend-le
- Et?
- J'ai deux petits trous qui ne demandent qu'à ce que l'on s'occupe d'eux.
- Devant, derrière?
- Amuse-toi avec les deux.
Elle replia ses jambes, les tenant avec ses mains sous les genoux. J'avais deux ravissants trous devant moi, ne demandant que du plaisir. J'écartais sa chatte avec mes doigts et j'y glissais le jouet. Je le faisais aller et venir, et je le tournais dans tous les sens. Parfois je le lui passais sur sa bouche et elle le léchait goulûment. Elle criait: "Encore, plante-le très au fond. plante-le fort, c'est bon, j'adore ça". Après un moment mes doigts prirent la place de l'engin que je glissais d'un coup entre ses cuisses. Là aussi je le tournait et le faisais aller et venir.
Je petit jeux avait raviver mon envie et la queue avait repris belle allure.
Elle me regardait derrière ses yeux mis clos
- Vient prend-moi, prend ta p'tit pute, je veux sentir ta bitte en moi
- Où?
- Partout. Je la veux dans mon cul, dans ma chatte.
- Je crois que je vais commencer par ta chatte, elle est toute humide et coulante.
- Ho oui, baise-moi.
Je glissais ma queue en elle. Mes mains agrippées à ses hanches. Je me démenais en elle m'enfonçant jusqu'à sa matrice. Puis je me retirais et d'un coup je me plantais jusqu'à mon aine entre ses fesses. Son cul était aussi tout humide et je la défonçais avec force. Je ressortais replongeais dans sa chatte et durant plus de dix minutes je passais d'un orifice à l'autre. Au moment de jouir elle me dit
- Vide-toi sur mes seins
- Tu veux?
- Oui, j'aime voir jouir une bitte
- Alors tiens
Je sortais d'elle te je me vidais en de longs et puissants jets arrosant son ventre et sa poitrine. A nouveau, elle s'essuya ave ses doigts, les portant ensuite à sa bouche. Je m'allongeais près d'elle, elle posa sa tête sur ma poitrine et une main sur ma queue. Nous nous sommes endormis ainsi.
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J'allais partir, quand une femme, la quarantaine, de longs cheveux châtain s'installa à la table à côté de la mienne en me demandant si elle ne me dérangeait pas. Elle commanda aussi un thé froid et j'en repris un. Une fois servit elle entama la discutions.
- Je ne vous ai jamais vu ici, vous venez pour la première fois?
- Oui il n'y a qu'un mois que j'ai commencé de travailler dans le quartier.
- Moi j'ai le magasin de chaussure au coin de la rue et cela n'a pas très bien aujourd'hui.
- Moi aussi, pas mal de problèmes au travail.
- Vous habitez dans le coin?
- Oui, et vous?
- A deux pas, vous avez le temps? Je vous invite prendre un verre.
- Pourquoi pas.
Je la suivis et 5 minutes plus tard, nous entrions chez elle. Un superbe appartement, en attique.
- Allez au salon et mettez-vous à l'aise, j'arrive. Toujours du thé froid ?
- Oui, avec plaisir.
Je m'installais dans un superbe canapé en cuir, doux, souple et profond. Elle arriva avec deux verres et s'installa à coté de moi. Elle portait un chemisier de soie noire légèrement transparent et déboutonné jusqu'à ses seins, une jupe, noire aussi, finement fendue sur le devant. En s'asseyant sa jupe remonta légèrement me laissant admirer des jambes gainées d'une fine soie, toujours aussi noire. C'était des bas. Elle avait des escarpins à talon noués autour de ses chevilles.
Ses longs cheveux descendaient jusqu'à sa taille, ses yeux étaient d'un vert profond. Sa peau était fine et soyeuse.
Santé me dit-elle en levant son verre. Santé.
- Vous vivez seule ici?
- Oui, depuis 6 mois. Et vous, célibataire?
- Oui.
- Pas d'amie?
- Pas en ce moment et vous?
- Rien, le calme plat, mais quelque chose me dit que !!
- Que quoi?
- Je ne sais pas, plein de chose peuvent arriver.
Elle fermait légèrement ses paupières laissant son regard plonger dans le mien. En même temps, sa langue glissait légèrement sur sa lèvre supérieure.
- Si une chose arrivait, maintenant?
- La quelle, dites-moi
- L'envie de prendre votre verre
- Oui !
- De le poser sur la table
- D'accord
- De passer un bras derrière votre nuque
- Et?
Je posais mes lèvres sur les siennes. Sa langue fila chercher la mienne, s'y nouant dans un baiser torride. Je glissais une main sous sa jupe. Elle écarta ses jambes et me laissa venir sur son string, déjà tout humide. Entre deux baisers, elle me mordilla l'oreille en murmurant
- Baise-moi, comme une garce, prend-moi comme une chienne
- Oui, mais toi aussi j'ai envie que tu me suces, que ta bouche me pompe.
Brusquement, elle se leva, retira ses vêtements, ne gardant que ses bas et ses escarpins. Elle avait un corps sublime, des seins ni trop gros, ni trop petit. Sa chatte était rasée et elle n'avait qu'une légère touffe de poils sur son mot de Vénus. Elle se mit à genoux devant moi, retira mon t-shirt, mon pantalon et mon slip. Elle pris ma queue entre ses doigts et commença de me masturber lentement, puis de plus en plus vite. Par instant, sa langue léchait mon prépuce. Au bout de quelques minutes, elle me prit entre ses lèvres enfonçant mon dard profondément dans sa gorge. Elle se mit alors à me sucer avec force, mon pompant très fort. D'une main, elle continuait de me masturber et de l'autre, elle laissait ses doigts jouer avec sa chatte. Par moment, après les avoir introduit en elle, elle me les donnait à lécher. Ce jeu dura un long moment. Je ne tenais plus, je devais jouir. Elle le sentis et ouvrit alors sa bouche. Sous les caresses de sa main, je ne tenais plus ma queue était gonflée. J'explosais, inondant tout son visage de mon foutre. Avec un doigt elle s'essuya puis le mis dans sa bouche et elle m'embrassa avec fougue.
- Pas mal, je ne pensais pas que tu tiennes aussi longtemps.
- Tu es une suceuse en or
- Tu as aimé?
- Et comment. Je te ferais bien la même chose maintenant.
- Humm, comment?
- Allonge toi et écarte bien tes jambes
- Comme ça?
- Parfait.
Elle était allongée sur le canapé, une jambe posée sur le sol et l'autre sur le dossier. Sans attendre j'écartais son sexe et je posais mes langues dessus. Je suçais avec délice son clitoris, aspirait dans ma bouche ses lèvres et je laissais plonger ma langue profondément en elle. Elle était toute moite, sa sève coulait doucement dans ma bouche. Je glissai mon pouce en elle et mon index se mit à titiller son anus. Elle gémissait "oui, suce ta salope, enfonce ton doigt dans mon cul, c'est trop bon. Défonce-moi, prend-moi, baise-moi, fait-moi jouir". Je m'activais de plus en plus. Mon pouce planté dans sa grotte et mon index lui fouillant son merveilleux petit cul. Elle accompagnait mes mouvements en balançant son ventre qu'elle venait plaquer sur mes lèvres. Ma bouche courrait le long de son sexe, aspirant ses lèvres et ma langue tournaillant sur son clitoris. Au bout d'un moment, elle se crispa en hurlant "Ouiiii, je jouis". Un flot de sa liqueur coulant dans ma bouche et un autre inondant mon index. Avidement je bus tout ce jus qu'elle m'offrait, ne voulant rien perdre. Je m'écartais d'elle. Ses yeux étaient fermés et elle respirait rapidement. Ses doigts pinçaient ses mamelons.
En revenant à elle, elle me dit
- C'était trop bon,
- Tu as aimé?
- Difficile de dire non, et toi?
- Tu es une vraie fontaine quand tu jouis
- Je sais et c'est très rare que je jouisse aussi avec mon p'tit cul. Tu as eu de la chance.
- Un vrai régal.
Nous avons repris un verre, puis elle me dit
- Si on passait dans ma chambre?
- Pourquoi pas
Elle s'allongea sur son lit et sorti un sextoy en verre en me disant.
- Prend-le
- Et?
- J'ai deux petits trous qui ne demandent qu'à ce que l'on s'occupe d'eux.
- Devant, derrière?
- Amuse-toi avec les deux.
Elle replia ses jambes, les tenant avec ses mains sous les genoux. J'avais deux ravissants trous devant moi, ne demandant que du plaisir. J'écartais sa chatte avec mes doigts et j'y glissais le jouet. Je le faisais aller et venir, et je le tournais dans tous les sens. Parfois je le lui passais sur sa bouche et elle le léchait goulûment. Elle criait: "Encore, plante-le très au fond. plante-le fort, c'est bon, j'adore ça". Après un moment mes doigts prirent la place de l'engin que je glissais d'un coup entre ses cuisses. Là aussi je le tournait et le faisais aller et venir.
Je petit jeux avait raviver mon envie et la queue avait repris belle allure.
Elle me regardait derrière ses yeux mis clos
- Vient prend-moi, prend ta p'tit pute, je veux sentir ta bitte en moi
- Où?
- Partout. Je la veux dans mon cul, dans ma chatte.
- Je crois que je vais commencer par ta chatte, elle est toute humide et coulante.
- Ho oui, baise-moi.
Je glissais ma queue en elle. Mes mains agrippées à ses hanches. Je me démenais en elle m'enfonçant jusqu'à sa matrice. Puis je me retirais et d'un coup je me plantais jusqu'à mon aine entre ses fesses. Son cul était aussi tout humide et je la défonçais avec force. Je ressortais replongeais dans sa chatte et durant plus de dix minutes je passais d'un orifice à l'autre. Au moment de jouir elle me dit
- Vide-toi sur mes seins
- Tu veux?
- Oui, j'aime voir jouir une bitte
- Alors tiens
Je sortais d'elle te je me vidais en de longs et puissants jets arrosant son ventre et sa poitrine. A nouveau, elle s'essuya ave ses doigts, les portant ensuite à sa bouche. Je m'allongeais près d'elle, elle posa sa tête sur ma poitrine et une main sur ma queue. Nous nous sommes endormis ainsi.
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