Au revoir Camille, Carla complice et les autres

Récit érotique écrit par charmantquinqua [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Au revoir Camille, Carla complice et les autres
C’est la fin des vacances d’hiver, Camille est passée prendre ses affaires, elle nous quittera à la fin du we pour rejoindre la capitale. Elle a décroché un stage dans un grand cabinet d’avocat pour six mois. Nous passons un we tranquille, sage, quelques câlins tous les trois mais rien de bien extraordinaire. Carla est toute triste de voir son amie partir.
Je passe un accord avec elle en mettant fin à son bail, elle reste mais plus question de loyer, on s’entend bien, même très bien. On convient de passer des moments ensemble, comme bon nous semble, sans pression ni idée de couple, juste le plaisir, le jeu. Elle a envie de se laisser porter sans pression ni autre chose, selon ses envies. Cela me convient très bien.
La séparation avec Camille fut assez déchirante et elle a promis de revenir nous voir. La semaine passe, chacun à ses occupations, Carla dort avec moi et on se retrouve le soir pour de tendres retrouvailles. Vendredi soir elle reçoit un message d’une copine de fac, Aurore, 18 ans, une tête dans les études, elle n’a pensé qu’à ça, occultant les relations amoureuses, mais les hormones sont là…
Elles papotent toutes les deux et Carla lui propose de venir passer samedi soir avec nous. Elle m’explique qu’elle est encore vierge, que son mec insiste pour coucher avec elle, mais elle a peur de ne rien savoir faire, peur de le décevoir et surtout il ne sait pas qu’elle est vierge. Carla m’explique que la soirée doit la détendre, faire penser à autre chose et que l’on va en discuter pour la rassurer. Aucune arrière-pensée, du moi de mon côté.
18h, samedi soir, Aurore arrive et Carla va l’accueillir puis me la présente. Wahou, je découvre une poupée toute en jambes, des formes comme il faut, habillée simplement mais très féminine, un jean serré qui moule bien ses fesses, de hauts talons, et un pull top où l’on devine une poitrine haute ferme de taille très correctes, et libres, je vois une jeune fille naïve que l’on a envie de dorloter, ou plus.
Carla voit mon attirance et me souffle à l’oreille :
- Arrête de là regarder ainsi, tu vas bander. (ces mots contribuent effectivement à m’exciter)
Je me retourne vers Aurore et l’invite à venir au salon. L’apéro se passe tranquillement, entre rire, histoire de filles, les mains de Carla venant me caresser, Aurore qui fait mine de rien voir, et pourtant, au bout d’un moment pose la question à Carla :
- Toi et Eric, vous couchez ensembles ?
- (Carla) oui et franchement je n’ai plus envie d’aller voir les mecs de mon âge.
- (Aurore) ah oui à ce point. Je ne te contredis pas, tu sais que je suis vierge. Je n’ai même jamais fait une fellation, juste une branlette.
- (Carla) je te le prête si tu veux ce soir et je te guiderai.
Aurore ne dit rien et est passé du rose de ses joues à rouge tomate. Puis énorme rire de nous trois. Aurore n’était pas indifférente, elle se pinçait les lèvres, son bout de langue sortait de temps en temps mais elle essayait de ne rien faire voir. Je sentais ses jambes se croiser et décroiser sous la table. Carla s’est levé, m’a embrassé et a débarrassé la table.
- (Aurore) ça fait trop bizarre de vous voir ensemble
- (Carla) on est bien, c’est juste pour le sexe et le respect qu’il me porte sans jugement. Puis sans prévenir Carla se penche sur Aurore et l’embrasse goulument, Aurore est tétanisée, jamais elle n’avait embrassé une femme.
- (Carla) tu vois, c’est bon d’être libre.
Le repas c’est déroulé tranquillement, avec sourire, sous-entendu, mini câlins entre Carla et Aurore, et Carla et moi. Plusieurs fois j’ai sentir les jambes de Aurore sur les miennes, furtive, mais avec le regard qui suit.
Nous repassons au salon, je mets une musique tranquille, un bon Pink Floyd, un digestif. Carla vient dans le canapé à mes côtés, blottie contre moi, elle pose une main sur le haut de mon pantalon tout en discutant avec Aurore qui a bien vu le geste de Carla caressant mon sexe. De mon côté j’ai passé une main sous le teeshirt de Carla et caresse son sein. Sans se concerter, elle et moi on a décidé de chauffer d’intentions Aurore. Le champagne de l’apéro, suivi du vin à table ont chauffé ses sens, et je vois quelques gestes de sa main effleurer son entre jambes sur son jean, elle s’échauffe mais la timidité étant là, la gêne et l’entonnement ne lui permettent pas d’en faire plus. Sa culotte ou son string doivent être bien humide. Carla continue la discussion, lui demande si elle s’est déjà caressée devant un film ou comment ça se passe avec Thomas son mec. Aurore répond hésitante, que oui elle a déjà regardé un film et que cela ne l’a pas laissé froide, qu’avec Thomas, à part juste deux trois branlettes, il n’y a rien eu de plus, il est assez gauche et loin d’être coquin, et son sexe n’est pas extraordinaire.
Entendant ça, Carla défait le bouton de mon pantalon, et sort mon sexe tout excité, bien dur, qui ne demandait que ça de sortir. La situation est chaude, Aurore ouvre de grand yeux, ne s’y attendant pas, se pince les lèvres en voyant Carla jouer avec et le caressant de sa langue.
Carla se lève et va s’assoir sur les genoux d’Aurore, l’enlace et l’embrasse tendrement. Elle relève son haut et nous découvre les seins d’Aurore quelle ne manque pas de couvrir de bisous, je me caresse un peu en les regardant, Que c’est beau. Carla continue de déshabiller Aurore qui se retrouve vite nue, Carla en fait autant et reprend sa position, à cheval sur les jambes d’Aurore, elles s’embrassent et Aurore se laisse aller à quelques caresses sur Carla.
Carla se relève et vient près de moi pour reprendre sa position en entrainant Aurore qui se place de l’autre côté. Carla me déshabille aussi puis entreprend une fellation dont elle a le secret. Aurore est là, à contempler la scène et se caresse d’une main. Carla se relève et attrape la tête d’Aurore pour l’entrainer vers mon sexe qui se présente au bord de ses lèvres qui s’entrouvrent doucement. Voilà je dépucelle sa bouche, sa langue tourne autour de mon gland, elle avale mon sexe qui touche sa gorge, pour me durcir encore plus, Carla me doigte l’anus, ce qui donne de suite une réaction. Je caresse Aurore, mes mains, une dans ses cheveux, l’autre sur ses fesses passe entre ses cuisses et trouve son clitoris tout dur, ses lèvres humides, et j’entends son souffle s’accélérer, elle arrête sa fellation, sa langue sur mon gland, savourant mes doigts qui pénètrent doucement en elle et qui s’arrête sur son hymen, je ne vais pas plus loin, pas encore. Elle reprend de me sucer, je sens le plaisir monter, je l’arrête, il est trop tôt, je veux jouir en elle, bien au fond et en grande quantité. Je lui dis de venir sur moi et de se guider à sa guise, ce qu’elle fait, je sens mon sexe à l’entrée de son antre, glisser tout seul, son sexe s’ouvre de plus en plus, je butte sur sa paroi qui s’ouvre et voilà je suis en elle, au fond. Elle gémit, se tortille, je la laisse faire, chercher elle-même son plaisir sur mon sexe, elle me griffe le dos, Carla lui caresse les seins et met un doigt dans son petit cul. Aurore est hors contrôle, je vais bientôt venir, je l’attrape par les hanches, me cale au plus profond et j’envoie mes jets de sperme en elle, elle crie, la voilà une femme. Nous restons un moment ainsi, Aurore se lève, et Carla l’amène à mon sexe afin qu’elle en goutte le jus qui en sort encore ainsi que celui qui était en elle coulant le long de mon sexe, de sa langue elle prend tout, Carla se place entre ses jambes et entreprend un long cunni comme elle adore les faire. Nous continuons un long moment nos caresse mutuelle, je reprends de la vigueur et commence à chauffer Carla qui a bien envie de me sentir aussi, c’est en levrette que je la prends pendant qu’elle continue de lécher et doigter Aurore, ça gémi, crie.
Aurore veut de nouveau me sentir, elle a envie de plus, je décide donc de la prendre dans la même position et c’est elle maintenant qui broute Carla, que de nouveauté pour elle en un soir. Son petit cul est magnifique, sa chatte si serrée m’avale littéralement. Je sens le plaisir monter de nouveau, je ralenti mais elle ne l’entend pas ainsi, elle bouge à tout va, puis se retire, se tourne et m’avale, cela ne manque pas de me faire jouir dans sa bouche, elle me regarde avec ce regard de remerciement, sort la langue et avale tout.
- Merci Eric dit-elle.
Elle continue encore malgré mon sexe qui se détend, c’est doux et chaud, j’adore. Elle joue avec, comme si elle avait une pépite entre les mains, passant entre ses doigts et sa bouche, le décalottant, la découverte pour elle. Elle s’allonge sans oublier de venir m’embrasser longuement, Et c’est dans les bras de Carla qu’elle s’endort….
Je passe un accord avec elle en mettant fin à son bail, elle reste mais plus question de loyer, on s’entend bien, même très bien. On convient de passer des moments ensemble, comme bon nous semble, sans pression ni idée de couple, juste le plaisir, le jeu. Elle a envie de se laisser porter sans pression ni autre chose, selon ses envies. Cela me convient très bien.
La séparation avec Camille fut assez déchirante et elle a promis de revenir nous voir. La semaine passe, chacun à ses occupations, Carla dort avec moi et on se retrouve le soir pour de tendres retrouvailles. Vendredi soir elle reçoit un message d’une copine de fac, Aurore, 18 ans, une tête dans les études, elle n’a pensé qu’à ça, occultant les relations amoureuses, mais les hormones sont là…
Elles papotent toutes les deux et Carla lui propose de venir passer samedi soir avec nous. Elle m’explique qu’elle est encore vierge, que son mec insiste pour coucher avec elle, mais elle a peur de ne rien savoir faire, peur de le décevoir et surtout il ne sait pas qu’elle est vierge. Carla m’explique que la soirée doit la détendre, faire penser à autre chose et que l’on va en discuter pour la rassurer. Aucune arrière-pensée, du moi de mon côté.
18h, samedi soir, Aurore arrive et Carla va l’accueillir puis me la présente. Wahou, je découvre une poupée toute en jambes, des formes comme il faut, habillée simplement mais très féminine, un jean serré qui moule bien ses fesses, de hauts talons, et un pull top où l’on devine une poitrine haute ferme de taille très correctes, et libres, je vois une jeune fille naïve que l’on a envie de dorloter, ou plus.
Carla voit mon attirance et me souffle à l’oreille :
- Arrête de là regarder ainsi, tu vas bander. (ces mots contribuent effectivement à m’exciter)
Je me retourne vers Aurore et l’invite à venir au salon. L’apéro se passe tranquillement, entre rire, histoire de filles, les mains de Carla venant me caresser, Aurore qui fait mine de rien voir, et pourtant, au bout d’un moment pose la question à Carla :
- Toi et Eric, vous couchez ensembles ?
- (Carla) oui et franchement je n’ai plus envie d’aller voir les mecs de mon âge.
- (Aurore) ah oui à ce point. Je ne te contredis pas, tu sais que je suis vierge. Je n’ai même jamais fait une fellation, juste une branlette.
- (Carla) je te le prête si tu veux ce soir et je te guiderai.
Aurore ne dit rien et est passé du rose de ses joues à rouge tomate. Puis énorme rire de nous trois. Aurore n’était pas indifférente, elle se pinçait les lèvres, son bout de langue sortait de temps en temps mais elle essayait de ne rien faire voir. Je sentais ses jambes se croiser et décroiser sous la table. Carla s’est levé, m’a embrassé et a débarrassé la table.
- (Aurore) ça fait trop bizarre de vous voir ensemble
- (Carla) on est bien, c’est juste pour le sexe et le respect qu’il me porte sans jugement. Puis sans prévenir Carla se penche sur Aurore et l’embrasse goulument, Aurore est tétanisée, jamais elle n’avait embrassé une femme.
- (Carla) tu vois, c’est bon d’être libre.
Le repas c’est déroulé tranquillement, avec sourire, sous-entendu, mini câlins entre Carla et Aurore, et Carla et moi. Plusieurs fois j’ai sentir les jambes de Aurore sur les miennes, furtive, mais avec le regard qui suit.
Nous repassons au salon, je mets une musique tranquille, un bon Pink Floyd, un digestif. Carla vient dans le canapé à mes côtés, blottie contre moi, elle pose une main sur le haut de mon pantalon tout en discutant avec Aurore qui a bien vu le geste de Carla caressant mon sexe. De mon côté j’ai passé une main sous le teeshirt de Carla et caresse son sein. Sans se concerter, elle et moi on a décidé de chauffer d’intentions Aurore. Le champagne de l’apéro, suivi du vin à table ont chauffé ses sens, et je vois quelques gestes de sa main effleurer son entre jambes sur son jean, elle s’échauffe mais la timidité étant là, la gêne et l’entonnement ne lui permettent pas d’en faire plus. Sa culotte ou son string doivent être bien humide. Carla continue la discussion, lui demande si elle s’est déjà caressée devant un film ou comment ça se passe avec Thomas son mec. Aurore répond hésitante, que oui elle a déjà regardé un film et que cela ne l’a pas laissé froide, qu’avec Thomas, à part juste deux trois branlettes, il n’y a rien eu de plus, il est assez gauche et loin d’être coquin, et son sexe n’est pas extraordinaire.
Entendant ça, Carla défait le bouton de mon pantalon, et sort mon sexe tout excité, bien dur, qui ne demandait que ça de sortir. La situation est chaude, Aurore ouvre de grand yeux, ne s’y attendant pas, se pince les lèvres en voyant Carla jouer avec et le caressant de sa langue.
Carla se lève et va s’assoir sur les genoux d’Aurore, l’enlace et l’embrasse tendrement. Elle relève son haut et nous découvre les seins d’Aurore quelle ne manque pas de couvrir de bisous, je me caresse un peu en les regardant, Que c’est beau. Carla continue de déshabiller Aurore qui se retrouve vite nue, Carla en fait autant et reprend sa position, à cheval sur les jambes d’Aurore, elles s’embrassent et Aurore se laisse aller à quelques caresses sur Carla.
Carla se relève et vient près de moi pour reprendre sa position en entrainant Aurore qui se place de l’autre côté. Carla me déshabille aussi puis entreprend une fellation dont elle a le secret. Aurore est là, à contempler la scène et se caresse d’une main. Carla se relève et attrape la tête d’Aurore pour l’entrainer vers mon sexe qui se présente au bord de ses lèvres qui s’entrouvrent doucement. Voilà je dépucelle sa bouche, sa langue tourne autour de mon gland, elle avale mon sexe qui touche sa gorge, pour me durcir encore plus, Carla me doigte l’anus, ce qui donne de suite une réaction. Je caresse Aurore, mes mains, une dans ses cheveux, l’autre sur ses fesses passe entre ses cuisses et trouve son clitoris tout dur, ses lèvres humides, et j’entends son souffle s’accélérer, elle arrête sa fellation, sa langue sur mon gland, savourant mes doigts qui pénètrent doucement en elle et qui s’arrête sur son hymen, je ne vais pas plus loin, pas encore. Elle reprend de me sucer, je sens le plaisir monter, je l’arrête, il est trop tôt, je veux jouir en elle, bien au fond et en grande quantité. Je lui dis de venir sur moi et de se guider à sa guise, ce qu’elle fait, je sens mon sexe à l’entrée de son antre, glisser tout seul, son sexe s’ouvre de plus en plus, je butte sur sa paroi qui s’ouvre et voilà je suis en elle, au fond. Elle gémit, se tortille, je la laisse faire, chercher elle-même son plaisir sur mon sexe, elle me griffe le dos, Carla lui caresse les seins et met un doigt dans son petit cul. Aurore est hors contrôle, je vais bientôt venir, je l’attrape par les hanches, me cale au plus profond et j’envoie mes jets de sperme en elle, elle crie, la voilà une femme. Nous restons un moment ainsi, Aurore se lève, et Carla l’amène à mon sexe afin qu’elle en goutte le jus qui en sort encore ainsi que celui qui était en elle coulant le long de mon sexe, de sa langue elle prend tout, Carla se place entre ses jambes et entreprend un long cunni comme elle adore les faire. Nous continuons un long moment nos caresse mutuelle, je reprends de la vigueur et commence à chauffer Carla qui a bien envie de me sentir aussi, c’est en levrette que je la prends pendant qu’elle continue de lécher et doigter Aurore, ça gémi, crie.
Aurore veut de nouveau me sentir, elle a envie de plus, je décide donc de la prendre dans la même position et c’est elle maintenant qui broute Carla, que de nouveauté pour elle en un soir. Son petit cul est magnifique, sa chatte si serrée m’avale littéralement. Je sens le plaisir monter de nouveau, je ralenti mais elle ne l’entend pas ainsi, elle bouge à tout va, puis se retire, se tourne et m’avale, cela ne manque pas de me faire jouir dans sa bouche, elle me regarde avec ce regard de remerciement, sort la langue et avale tout.
- Merci Eric dit-elle.
Elle continue encore malgré mon sexe qui se détend, c’est doux et chaud, j’adore. Elle joue avec, comme si elle avait une pépite entre les mains, passant entre ses doigts et sa bouche, le décalottant, la découverte pour elle. Elle s’allonge sans oublier de venir m’embrasser longuement, Et c’est dans les bras de Carla qu’elle s’endort….
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle délicieuse suite...
C'est un fantasme que je ne vivrais jamais, de prendre l'hymen d'une belle demoiselle...
Merci
Cyrille
C'est un fantasme que je ne vivrais jamais, de prendre l'hymen d'une belle demoiselle...
Merci
Cyrille

