Au service de ces dames

- Par l'auteur HDS cochonet -
Récit érotique écrit par cochonet [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
  • • 1 récit publié.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
  • • L'ensemble des récits érotiques de cochonet ont reçu un total de 2 902 visites.
Récit libertin : Au service de ces dames Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2023 dans la catégorie A dormir debout
Cette histoire de sexe a été affichée 2 902 fois depuis sa publication.

Couleur du fond :
Au service de ces dames
Ca faisait six mois que j’avais terminé mes études en communication et je n’avais toujours rien trouvé comme boulot stable. Rien que des intérims de quelques jours, pendant lesquels j’avais fait n’importe quel métier pour gagner quelques sous. Ce mardi là, en feuilletant un des « toutes boîtes » gratuit, j’ai lu « Société commerciale recherche collaborateur dynamique et motivé pour étoffer son équipe, bonne présentation exigée. » Suivait une invitation à prendre rendez-vous et un numéro de téléphone Je ne risquais pas grand-chose, sinon que la place soit déjà prise par un plus chanceux ou plus rapide que moi.
Je sonne, une voie féminine, assez distinguée, me répond que si je suis disponible je peux venir me présenter l’après-midi même, vers quatorze heures, au siège de la société qui se situe dans un quartier périphérique à dix minutes du centre-ville.
Treize heures quarante-cinq, je suis déjà dans la rue des Mésanges, c’est une banlieue cossue. En attendant l’heure, je fais les cent pas. C’est au numéro trente-sept, une maison des années vingt, assez grande, au milieu d’un jardin, sur la grille une plaque « SCALDIA, import-export » et une autre « I. BELLIER, docteur en Médecine, sur rendez-vous uniquement ». Je sonne, la voie de ce matin grésille dans le parlophone : « vous êtes attendu, entrez par le côté droit de la maison, la porte vitrée. Je perçois un léger balancement des rideaux au premier étage pendant que je traverse le jardin. L’accueil est bien sur le côté de la maison, une porte en verre donne sur un local de réception. Derrière un comptoir, une jeune femme en tablier blanc pianote un clavier d’ordinateur. Je me présente… Le tablier me répond : « Le Docteur Bellier va vous recevoir dans quelques instants… ». Je ne suis pas malade et n’ai point besoin du médecin, je le fais savoir. La secrétaire me sourit et m’explique que, depuis deux ans que son mari est décédé, Madame Bellier qui est dermatologue, gère l’entreprise de produits cosmétiques haut de gamme créée par son époux et, en même temps, son cabinet médical. « Instalez-vous et remplissez ce formulaire, c’est un curriculum vitae. Madame saura ainsi déjà un peu qui est en face d’elle. »
A quatorze heure cinq, l’interphone sonne et la secrétaire me montre la porte capitonnée. J’entre dans une pièce ouvrant sur le jardin par une grande fenêtre en saillie ou se situe le bureau ; dans le coin, à l’écart de la fenêtre, je remarque de suite l’équipement médical, armoire vitrée, table d’examen, lampe… tout y est. Le docteur Bellier me reçoit dans l’entrée et m’invite à m’assoir en face d’elle et s’installe derrière le bureau. Elle parcourt le questionnaire tout en me gratifiant d’un regard plein de curiosité. C’est une femme de quarante ans environ à l’allure sportive, plus élancée que vraiment mince. Sous son cache-poussière blanc qu’elle n’ pas pris la peine de fermer, elle porte une jupe droite anthracite et un chemisier clair, un collier coloré et des boucles d’oreilles assorties égaient cette tenue un peu sévère.
« Bien », me dit-elle après sa lecture, levant les yeux, « notre petite entreprise fabrique et distribue des produits de soins pour le corps et le visage ; ils sont très efficaces, de grande qualité, mais ils ne se conservent que peu de temps car fabriqués de façon artisanale. Nos produits sont adaptés à chaque client et fabriqués, selon une formule individualisée, dans un petit laboratoire privé en ville. Ces produits ne sont qu’une partie de l’ensemble du traitement que la société propose. Les femmes qui composent la quasi-totalité de notre clientèle ont besoin de nos produits mais bien plus encore d’être convaincues qu’elles sont toujours séduisantes voire désirables. L’emploi que je vous propose consiste à, d’une part à gérer le flux des préparations entre la prescription, la fabrication et la livraison et d’autre part en effectuant les livraisons de participer à l‘ensemble de notre démarche. Si cette participation n’est pas directement reprise dans le contrat, vous verrez, cependant, que vous en obtiendrez bien des avantages. » Elle me laissa quelques minutes pour lui donner une réponse de principe… Comme je n’avais guère d’autre opportunité j’ai accepté.
Nous avons rédigé et signé le contrat de travail et rempli divers documents. « Il ne reste plus qu’une formalité, » me dit-elle « la visite médicale d’embauche… Je vous suggère, puisque je suis médecin, d’y procéder de suite ; vous pourrez ainsi commencerez dès demain. » Je ne sais pas trop quoi répondre, elle doit prendre mon silence pour un acquiescement et commence à me poser les questions classiques, maladies et opérations antérieures, si je fume… petit à petit l’interrogatoire aborde des sujets plus intimes Elle me désigne le fond de la pièce, et un paravent… « Ne gardez que le slip » puis elle sort…
J‘ai vite fait de me débarrasser et me voilà en slip heureusement, elle ne verra pas les trous dans mes chaussettes. La porte s’ouvre, le pas n’est pas le même, plus feutré, c’est la secrétaire et son tablier blanc qui me tend un gobelet, « vous allez me donner un échantillon d’urine, il y a une toilette derrière cette porte, quand vous avez fini nous pourrons continuer». Que n’ais-je bu un verre d’eau, ou deux, avant de venir ici ! Enfin au bout de quelques instant, et avec l’aide du chant du robinet, je parviens à donner quelques gouttes. Je sors et tend le récipient dont le contenu est aussitôt scruté, mesuré et analysé. Elle m’invite à m’approcher de la zone d’examen et me montre une balance surmontée d’une toise. Elle note mon poids et ma taille ainsi que les résultats du test d’urine puis elle s’installe à une petite table pendant que la patronne m’invite à la rejoindre. L’examen commence, classique, après la prise de tension elle ausculte mon cœur et mes poumons, respirez, fort et par la bouche, ne respirez plus… alors qu’elle écoute mon palpitant, comme par mégarde un ongle vient titiller mon mamelon, je ne puis réprimer un frisson. «Tout ça est très bien installez-vous sur la table »… . Elle tapote mon abdomen puis le palpe plus intensément… « Nous allons terminer par un examen pratique… la participation à notre démarche thérapeutique implique de temps à autre vous accordiez vos faveurs à l’une de nos patiente en manque de mâle hommage. » Elle saisi l’élastique de mon caleçon, je n’ai pas le temps de dire ouf que je suis à poil et qu’elle me palpe le service trois pièces. La main est à la fois douce et ferme, je réagis aussitôt, par une forte érection. Bien fait-elle, voyons maintenant si vous savez vous retenir… ses doigts montent et descendent le long de mon membre en érection… je me concentre pour éviter de me répandre. Au bout de quelques instants, elle s’arrête. « Fort bien » me dit-elle. «Vos parents ont eu l’excellente idée de vous faire circoncire, ce qui favorise l’endurance ; il y reste juste un détail, pour honorer les patientes vous serez plus à l’aise si vous êtes glabre, sans pilosité, vous serez plus élégant et vous éviterez de transporter des hôtes indésirables. Mêmes dans les milieux les plus huppés on a parfois des surprises…. Nathalie, veux tu m’aider à raser notre nouveau collègue » Elle extrait de la table deux repose-pied que je n’avais pas aperçu et y dépose mes talons. « Ne bouge plus, tu permets que je te tutoie, maintenant que tu es de la maison. Ce sera plus facile et nous ne risquerons pas de te blesser. » Nathalie c’est approchée, une bombe de mousse dans une main, dans l’autre un rasoir à jeter. Elle étale la mousse depuis le nombril jusqu’au coccyx. Elle a le toucher plus délicat que la doctoresse qui s’éloigne et sort, en partant elle nous gratifie d’un « je vous laisse, à demain huit heure trente» Nathalie a saisi le rasoir et fauche minutieusement ma toison… le triangle devant, les deux orphelines, la hampe et elle termine par le tour de ma petite rosace. Pendant que Nathalie se déplaçait autour de moi j’ai pu constater qu’elle ne porte que sa lingerie sous la blouse… je suis de plus en plus excité et ma main s’arrange pour frôler le haut de sa jambe. Nathalie n’est pas du tout contrariée et il me semble même qu’elle accentue le contact entre sa cuisse et ma main. Je remonte vers sa petite culotte, en fait un string ultra mini qui, de plus, est trempé. Au contact de mon doigt, Nathalie écarte imperceptiblement les jambes et me glisse à l’oreille « je vois que notre traitement vous fait déjà de l’effet » Oh oui qu’il me fait de l’effet, je n’ai jamais ressenti avec autant d’acuité le frôlement de ses mains sur mon sexe, moralité je bande comme rarement. Pendant ce temps je ne reste pas inactif, mon index s’insinue dans sa petite grotte et découvre immédiatement un clitoris hypersensible. Saisissant une cuvette remplie d’eau tiède Nathalie commence par me rincer avec un gant de toilette avant de me sécher avec un drap éponge étonnamment doux. Pendant que Nathalie s’occupe de moi, je m’occupe d’elle ; mes doigt font rouler le petit bouton d’amour et s’insinuent entre les nymphes pour explorer sa grotte d’amour. Nathalie m’adresse un sourire d’encouragement. Ma main redouble d’activité. « Je vais vous passer un baume qui apaisera le feu du rasoir, ça vous fera un bien fou » Nathalie étale le gel, c’est un peu froid ; je perçois très vite l’odeur mentholée. Nathalie masse délicatement mon pubis puis sa main entoure la base de ma queue, caresse les testicules remonte vers le gland insistant sur la couronne et le méat. Son autre main décrit des cercles de plus en plus serrés autour de mon anus qui se détend si bien qu’elle peut s’introduire sans résistance dans mon fondement. Ma main droite est toujours occupée dans sa petite grotte d’amour, l’autre a fait sauter les pressions du tablier dégageant ainsi des seins petits, fermes, qui pointent de désir. Nathalie se penche alors vers mon visage, effleure mes lèvres et me murmure à l’oreille : « Viens voir comme tu es beau ainsi » ; elle m’attrape par la main, m’invite à descendre de mon lit de délice et me mène vers un grand miroir en me caressant les fesses d’une main, l’autre me guidant par l’épaule. Arrivé face à la glace, elle se colle à mon dos, je sens sa poitrine contre mes omoplates, sa main glisse de mon épaule excite mes tétins et termine sa course à la base de mon sexe. Effectivement, il est superbement dressé. Je suis pris d’une irrésistible envie, je passe à mon tour derrière elle, ôte le tablier dévoilant ainsi son corps presque nu, parfaitement dessiné. Il ne lui reste plus que le string que je fais aussitôt tomber à ses pieds, où il laisse une trace humide sur le carrelage. Ma main gauche flatte ses seins bien ronds, tandis que ma main droite s’occupe de sa vulve en chaleur. L’index et l’annulaire écartent délicatement les nymphes pour permettre au majeur de se glisser dans la fente et s’y occuper du bouton des délices avant d’explorer plus avant son puit vaginal. Elle se cambre, renverse sa tête sur mon épaule et me glisse à l’oreille : « Prends moi, maintenant,… tout de suite,… remplis-moi, inonde-moi de ton foutre. » Nous nous dirigeons vers la table d’examen, Nathalie se penche en avant, étend son torse sur la couche ; elle m’offre ne superbe vue sur sa croupe, sa vulve est luisante de cyprine, elle palpite. Après tout ce qui vient de m’arriver, je n’hésite pas, j’enfonce lentement mon dard jusqu’au plus profond de sa cramouille. Je fais de très lents va-et-vient pour profiter de ses contractions. Chaque fois que mes couilles touchent ses fesses je sens mon gland qui pousse sur le fond de son vagin. A chaque poussée, ma belle infirmière laisse échapper un gémissement de plaisir. Je n’en peux plus, je finis par me répandre en elle ; le foutre qui gicle contre le col déclenche un puissant orgasme pour Nathalie. Nous sommes restés ainsi un moment ; Nathalie a suggéré de se rhabiller puis elle m’a gratifié d’un petit bécot sur les lèvres. « A demain, je me réjouis de te retrouver pour d’autres expériences ».
Le lendemain je suis exact au rendez-vous de huit heures et demie. La porte en verre, Nathalie est derrière son comptoir, aussi séduisante que hier. « Madame t’attend ». Je frappe à la porte capitonnée. « Entre. » Madame Bellier est derrière son bureau, elle a abandonné le cache-poussière blanc, aujourd’hui elle porte une robe fleurie légère. Le décolleté laisse entrevoir les rondeurs d’une poitrine qui doit encore être ferme. Elle me sourit, « Comment c’est passé ta soirée, pas trop angoissé par ce nouvel emploi? » Elle sourit à nouveau, se lève et viens se positionner derrière moi. « Nathalie m’a parlé de tes débuts, peux-tu m’en faire un compte rendu?»
Quoi ! Elle est au courant… Ce n’était pas prévu ! Je sens la sueur qui coule dans mon dos. Je suis mal à l’aise et ça doit se voir comme le nez au milieu de la figure. Ma patronne me saisit par les épaules. « Tu vois, tu seras amené à me faire part de tes activités avec nos patientes, tu as accepté de participer à notre démarche thérapeutique ; je dois pouvoir me rendre compte de leurs progrès pour éventuellement modifier le traitement. Raconte-moi tes ébats avec Nathalie» J’avale ma salive, j’explique qu’ayant remarqué la tenue légère de Nathalie j’ai tenté ma chance en effleurant ses cuisses, qu’elle m’a semblé plutôt apprécier ma tentative, que la façon dont elle me traitait était très agréable et que… voilà…. Madame Bellier m’a caressé les épaules, elle a continué : « Tu n’es pas au bout de tes surprises… le grand miroir est un miroir sans tain et j’ai pu admirer comment tu t’es comporté avec Nathalie, j’ai aimé ce mélange de douceur et de fermeté avec lequel tu l’as traitée, ta façon de lui caresser les seins, ta main qui investit sa chatte pour lui donner du plaisir et enfin la manière dont tu l’as pénétrée avec ton sexe. J’en était toute mouillée, je n’ai pas pu m’empêcher de glisser une main dans ma petite culotte… je me suis donné du plaisir… c’était délicieux. »
J’étais un peu abasourdi par ce que je venais d’entendre. Ses mains sont remontées le long de ma nuque pour finir par ébouriffer mes cheveux. Elle est retournée s’installer derrière son bureau, son sourire s’est fait plus complice. Elle s’est dite enchantée de m’avoir trouvé. Elle m’a alors demandé d’où me venait cette connaissance du désir féminin. La réponse était toute simple ; je lui ai raconté mes premiers émois.
Vers seize ans j’étais un adolescent très timide ; j’avais découvert deux ou trois ans plus tôt le plaisir solitaire que je pratiquais quasi toutes les nuits en pensant aux images qui illustraient ce magazine abandonné dans le terrain vague près de notre maison ; tous ses seins exposés m’obnubilaient. Je me suis un peu enhardi, j’ai profité des moments où j’étais seul à la maison pour fouiller les armoires et les greniers. J’ai ainsi découvert des choses, les préservatifs dans la table de nuit de mes parents, dans l’atelier de mon père, un gros livre à la reliure de cuir rouge orné de deux lettres majuscules S et F entrelacées. A l’intérieur, sur la première page, un titre « le sexe de la femme » ; j’y ai trouvé la longue description et de nombreux dessins du principal objet de ma curiosité, des exemples des diverses toisons pubiennes, des grandes lèvres de toute tailles et de toutes formes… j’étais fasciné. Chaque fois que l’occasion se présentait je retournais dans l’atelier. Mes séances de branlette étaient alors encore plus intenses.
Puis j’ai rencontré Denise. Denise c’est une amie de ma mère, cette célibataire endurcie, grande voyageuse, cultivée et pleine d’humour. C’est bien plus tard que j’ai appris que ma mère et elle avaient machiné tout ce qui suit. Ce weekend-là mes parents devaient se rendre à l’anniversaire de mariage d’un couple d’amis, une fête où je ne m’amuserai sûrement pas. Denise a gentiment proposé de m’héberger pour les deux nuits. Vendredi après le collège, mes parents m’ont déposé chez Denise. Dans la voiture, mon père m’a fait plein de recommandations. Ma mère m’a accompagné jusqu’à l’appartement, histoire de saluer sa copine et de la remercier pour sa serviabilité. Denise nous a claqué un gros bisou sur la joue à tous les deux ; elles ont discuté de tout et de rien pendant cinq minutes et ma mère est repartie alors que Denise lui disait « ne t’en fais pas, c’est un vrai plaisir que d’avoir un invité pour le weekend ». Il était bientôt dix-neuf heures, Denise avait prévu de nous emmener au restaurant, un endroit simple, un petit italien, pour y manger des pâtes ou une pizza. J’étais déjà allé au resto avec mes parents, mais c’était la première fois que je sortais ainsi avec une dame pour seule compagnie, je me sentais ainsi mis en valeur. Nous avons parlé, d’elle, un peu, mais surtout de moi, de mes études, des livres que je venais de lire. Nous avons aussi beaucoup ri de quelques blagues un peu potaches. Nous avons continué au cinéma, pour y regarder une comédie douce-amère. Elle et moi avions passé une bonne soirée. Nous sommes alors rentrés à l’appartement. Denise a suggéré de prendre un dernier verre avant d’aller dormir. Nous sommes installés dans le divan avec deux verres et une bouteille (à moitié vide) de Pinaud des Charentes, j’étais assis à côté d’elle, j’ai à nouveau senti son parfum. Denise a entretemps passé son bras autour de mon épaule et s’est mise à la caresser. « Tu as bien changé ces derniers mois, tu n’es plus un gamin … », m’a-t-elle murmuré. Puis elle a ajouté : « passe à la salle de bain pendant que je range ici ». Dans la chambre d’ami, j’ai attrapé le tee-shirt et le boxer qui me servent de pyjama et j’ai gagné la pièce d’eau pour me changer et me brosser les dents, le parfum de mon hôtesse, mêlé d’une senteur plus animale, flottait ; j’étais un peu enivré par cette odeur. Je me suis glissé dans la douche, l’eau tiède ruisselait sur mon corps. Je me savonnais, insistant sur mon sexe qui commençait à raidir. Denise entre sans prévenir, elle dépose des serviettes éponge dans l’armoire… je n’en mène pas large ; mais elle, un sourire, un clin d’œil, « je vais te frotter le dos » ; elle fait glisser sa robe, merde…,elle ne porte rien dessous. Elle me rejoint sous le jet, verse le gel et commence à le faire mousser sur mon dos. Ses mains massent mes omoplates puis descendent le long de la colonne vertébrale, remontent par les flancs. Elle est derrière moi, son menton se pose sur mon épaule, sa voix me susurre « n’aie pas peur, tu deviens un beau jeune-homme, je ne te veux que du bien, laisse-moi faire ». Je sens comme un papillon qui se pose, ses lèvres déposent un baiser ultra léger sous mon oreille. Elle doit s’être approchée de mois, je sens ses seins contre mon dos. Ses mains mousseuses, agacent mes tétons, un frisson me parcours, je n’avais jamais imaginé qu’ils étaient aussi sensibles ; puis elles descendent le long du ventre, s’écartent pour entourer la base de mon sexe en passant par le pli de l’aine. Les sensations sont terriblement fortes et mon érection se déploie comme jamais auparavant. Tout cela n’a duré que quelques secondes. A nouveau le murmure dans mon oreille : « à ton tour, savonne-moi ». Je me retourne et, maladroitement, je commence à lui savonner la base du cou, les épaules ; puis je suis passé derrière elle pour m’occuper de son dos. Moi aussi j’ai commencé par les omoplates puis la colonne et enfin la région des côtes. J’en restais là, un peu intimidé, elle a guidé mes mains vers sa poitrine en me disant : « occupe-toi maintenant de mes seins, ils adorent ça ». Lentement j’ai empaumé les deux globes, les couvrant de mousse. Au bout d’un moment, j’ai senti les bouts qui se dressait, «oui…, continue … c’est très agréable… » La tête me tournait, une formidable envie d’explorer plus bas me tenaillait, mais j’étais comme figé par la peur d’aller trop loin, j’ai posé ma joue à la naissance du cou, comme pour prolonger ce moment de délice. Elle s’est retournée, elle aussi était très émue, elle m’a saisi les joues pour déposer ses lèvres sur les miennes, juste un instant, puis elle a posé son index sur ma bouche m’imposant le silence. « Continues à être très doux avec moi et avec toutes les femmes qu’un jour ou l’autre tu connaîtras. » Elle a rapidement ôté la mousse avec la pomme de douche, nous a essuyés. Complètement nus, nous avons gagné sa chambre, elle me tenait la main pour me guider, c’est ainsi qu’elle m’a entrainé dans son lit... Elle s’est étendue, m’a indiqué la place à ses côtés et m’a dit : « viens près de moi ». Elle a commencé à me caresser la nuque d’une main, de l’autre elle me flattait la joue. Puis elle a commencé : « Tu me plais beaucoup, ta maladresse et ta timidité sont vraiment mignonnes, je devine que je suis la première… ». Elle m’a alors expliqué qu’entre nous il serait uniquement question de sexe, d’amitié peut-être mais jamais d’amour. Elle m’a aussi expliqué que je n’étais ni le premier ni le dernier à être déniaisé par elle ; qu’elle adorait le faire pour son plaisir à elle mais aussi pour que ses sœurs en féminité trouvent des amants tendres, respectueux et attentifs. Bien plus tard, elle m’a expliqué que la perte de sa virginité avait été le fait d’un ignorant maladroit et brutal. Elle a jeté un foulard sur la lampe de chevet allumée, puis elle s’est occupée de moi, m’expliquant que j’étais bien trop excité pour profiter de ses leçons. Sa main a caressé mon cou est descendue vers mon pubis et c’est saisie de mes testicules qu’elle a légèrement malaxé avant de saisir le pénis qu’elle décalotté. Son index c’est posé sur le frein. Sans prévenir, elle s’est penchée et a saisi mon sexe entre ses lèvres. C’était doux et chaud à la foi ; trois petites succions ont suffi pour provoquer un orgasme que je n’ai pas pu maîtriser ; en fait, je ne maîtrisais rien. « On va pouvoir prendre les choses par le début, maintenant… », a-t-elle dit après avoir avalé mon débordement. Elle a commencé par m’expliquer les signes du désir chez les femmes. Me guidant vers son sexe, elle m’en a fait apprécier la carnation, l’humidité, et le parfum. J’ai regardé, humé, palpé et même gouté à son envie. Petit à petit, elle m’a appris les gestes du plaisir. Nous avons passé une longue nuit à faire l’amour. Au matin nous avions joui l’un et l’autre, ensemble ou séparément une demi-douzaine de fois. Nous nous sommes endormis avec le jour qui se levait. Par la suite, je suis souvent retourné chez elle, c’est avec elle que j’ai fait mon éducation d’homme à femme.
Pendant les deux premières semaines, j’ai effectué du travail administratif mais aussi quelques livraisons. C’était des prestations classiques de livreur, mais je profitais souvent de ma visite pour glisser un discret compliment à la cliente… « Vous serez resplendissante… », « Ça vous fera un bien fou… », ou encore « vous êtes très en beauté, vous aller sûrement plaire… ». Madame Bellier, ma patronne m’encourageais dans ma façon de faire ; elle m’a même pris à part pour me dire qu’elle recevait des échos encourageant de mes visites. Un jeudi, il faisait très chaud, je devais livrer chez Madame Cathy Z. , veuve depuis quelques mois, une cinquantaine d’années. Le paquet n’était pas bien lourd, mais elle m’a demandé de le monter à l’étage, dans un petit salon qu’elle nomma son boudoir ! Elle a pris le temps de déballer pour vérifier et signer le bon de livraison. Après quoi, elle m’a demandé de lui passer un peu de crème dans le haut de son dos ; elle s’est assise devant sa commode et m’a souri dans le miroir, je lui ai rendu son sourire. J’ai dégrafé les deux premiers boutons de sa petite robe noire pour étaler l’onguent hydratant. « Masse bien pour qu’il pénètre ». Je m’appliquais, lorsqu’elle a découvert ses épaules. « Un peu plus large, s’il te plait… mais n’en mets pas sur ma lingerie… ». Sous la robe un peu stricte, elle portait un soutien-gorge rouge corail ; je l’ai dégrafé pour pouvoir écarter les bretelles. Elle a porté ses mains à sa poitrine mais au lieu de maintenir ses vêtements en place, elle les a fait tomber découvrant des seins menus, ronds et, pour ce que je pouvais en juger, bien fermes. Sans prévenir, elle s’est retournée pour saisir mon entrejambe au travers du tissu de mon short. Une main est passée le long de ma jambe pour soupeser mes couilles. Elle a senti que j’étais rasé de frais (merci Nathalie), un éclair de gourmandise a illuminé son regard. Elle descendu la fermeture et extrait mon pénis du slip où il commençait à être à l’étroit. Elle a aussitôt gobé mon gland qui n’en demandait pas tant. Ses joues se creusaient sous l’effort ; elle a fini par reprendre son souffle. « viens… !» Son ton n’admettait aucune réplique. Je l’ai suivie dans sa chambre, le lit était déjà ouvert comme préparé pour ma visite. En effet, son sexe bavait d’excitation, la cyprine maculait la culotte qu’elle venait de faire voler à l’autre bout de la pièce. Elle s’est agenouillée sur la moquette, a penché sa poitrine sur les draps. Je l’ai prise là, en levrette, la robe retournée sur ses reins. Elle feulait « plus fort… prends moi plus fort… fais-moi jouir ». Mes burnes tapaient sur ses cuisses à chaque saccade. D’une main j’ai saisi un sein de l’autre j’ai fait rouler son clitoris entre le pouce et l’index. Au bout de quelques instants de ce traitement elle s’est effondrée en proie à un orgasme violant. Elle s’est relevée, a remis un peu d’ordre dans la petite robe noire sans prendre la peine de renfiler le slip qui de toute façon était bien trop humide et m’a raccompagné à la porte. « Merci, … à bientôt… peut-être… » La livraison n’avait pas pris plus de vingt minutes.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : Au service de ces dames
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par cochonet

Au service de ces dames - Récit érotique publié le 04-01-2023