Au temps de la résistance, objet de plaisir malgré moi - partie 2

- Par l'auteur HDS Matteo69 -
Récit érotique écrit par Matteo69 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Au temps de la résistance, objet de plaisir malgré moi - partie 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-12-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Au temps de la résistance, objet de plaisir malgré moi - partie 2
En effet, depuis ce jour là je suis devenu l’objet des plaisirs sexuels à qui a besoin. Par exemple, deux jours après ma première punition sexuelle, et soit dit au passage, initiation aux « plaisirs » entre hommes, j’avais de nouveau fais preuve d’insolence. Les officiers sachant maintenant comment me punir avaient eu une idée qui leur paraissait excellente. Ils me mirent dans une autre cellule, beaucoup plus petite, où il y avait seulement 2 couchettes, je fus d’abord seul, mais cela ne dure qu’environ ¼ d’heure, après quoi les officiers ramenèrent 5 autre prisonniers qu’ils lâchèrent dans ma cellule après avoir lancé un « amusez-vous bien bande de salop… ! ». Ces 5 hommes n’étaient pas n’important lesquels, préalablement choisis, ils étaient tous assez musclés, assez virils, sûr d’eux, et par les sourire qu’ils firent en me voyant je dirai même quelque peu pervers.
En 2 ou 3 mouvements je me retrouvais nu, à genoux, contraint de sucer à tour de rôle les 5 bites qui se présentaient à moi , et j’ignore si cela avait été un critère de sélection dans le choix des prisonniers mais ils avaient tous une bite d’une taille supérieure à la moyenne. La plus grande devait atteindre les 23 ou 24 cm et la plus petite les 17 ou 18 cm, et toutes avaient une largeur suffisamment grande pour impressionner un homo qui savait qu’il allait se prendre ces bites dans le cul même s’il en était pas à sa première fois. Donc je suçais, forcé, ces bites pour la plus part odorante, qui grossissait sous mes coups de langues, et dont les veines se laissaient parfois remarquées car plus ou moins saillantes. Même s’il m’y obligeait, je m’étais fait à l’idée de devenir leur salope et prenait même un certain plaisir à m’occuper des bites de ces beaux mâles forts et virils. Certains d’entre eux s’embrassaient parfois pendant que j’en suçais un autre, se caressaient aussi, allant même jusqu’à saisir la queue d’un autre pour lui entretenir son érection. Des mâles, des vrais, oui, mais qui prenait un malin plaisir à se satisfaire les uns les autres, loin de cette image du pur mâles hétéro, presque répugné à voir des homos s’embrasser. Eux aussi s’étaient sans doute fait à l’idée quitte à être enfermé là ensemble autant se donner un petit peu de plaisir. Ils me demandèrent de me relever et de me mettre à 4 pattes sur la couchette, je m’exécutais, l’un d’entre eux prenait place devant me faisait dévorer tantôt sa bite, tantôt ses couilles, pendant qu’un autre me préparait gentiment le cul en m’enfonçant un doigt, puis deux, et enfin trois tout en humidifiant avec leur salive parfois directement avec la langue, mais pas toujours.
De temps à autre, les officiers s’offrait le bonheur de regarder mon supplice en ouvrant la trappe de la porte, regardant quelques instants avant de refermer jusqu’à la prochaine fois. Les visages changeaient, défilaient, tous, ou presque adorait jouer aux voyeurs, outre le fait de voir mon châtiment, voir des hommes, et qui plus est de beaux hommes virils et musclés, baiser les excitaient, je le savais, tout comme je savais qu’il enviait parfois ceux qui prenaient du plaisir avec moi. Et c’est pour cela que parfois c’étaient eux qui étaient là à leur place, mais pas trop souvent pour ne pas éveiller les soupçons, si on faisait cela c’était pour me punir en y prenant un peu de plaisir, non parce que c’était follement excitant, ils n’étaient pas PD, enfin c’est ce qu’ils disaient, mais ils aimaient plus que personne prendre leur plaisir dans la bouche ou dans le cul d’un mec bien gaulé.
Bref, reprenons, pendant qu’ils continuaient de me préparer le derrière, je suçais l’un deux quand soudain un autre me pénétra. J’étais baisé de toute part. Deux d’entre eux n’avait pas pu attendre leur tour et s’étaient installé sur la couchette d’en face pour s’offrir un 69. Je les enviais, pouvoir sucer un homme (presque un nouveau plaisir, en tout cas c’était mieux de se dire cela, quitte à le faire autant apprécier, ou se dire que c’est appréciable) tout en étant sucé, un plaisir double, commun et partager que se rendait mutuellement deux hommes, il ne pouvait y avoir de chose plus excitante… en effet je suçais, mais jamais je n’avais été sucé, en tout cas jamais par un homme, et encore moins depuis que j’étais ici. De plus, j’avais offert beaucoup de plaisir, à divers hommes, même à contre cœur, mais jamais je n’avais eu moi du plaisir propre. Les rôles s’échangeaient, mon enculeur quittait les lieux pour laisser place à un autre, mon sucé faisait de même , et tout en restant dans le même position je recommençais de plus belle mais avec d’autre sous le regard attentif et envieux de ceux qui restaient provisoirement sur la touche, et occasionnellement des officiers qui jouaient aux voyeurs in intéressé mais qui en fait bandaient dur dans leur slip et dans leur treillis, rien qu’à nous voir. Avec lui comme avec le précédent, je sentais et entendais ses couilles claquées plus ou moins fort selon l’intensité de leur va-et-vient. Bientôt, ils me firent changer de position, je suis maintenant couché sur le dos, les jambes levées, l’un deux vient reprendre possession de mon antre postérieur venant faire claquer de nouveau sa belle paire de boules contre moi, un autre de ma bouche et à ma grande surprise mais pour mon plus grand plaisir, l’un deux s’empara de ma bite déjà en semi-érection pour la sucer. Le plaisir était grand, intense, une bouche experte caressait ma queue, parfois mes couilles avec une douceur et un savoir faire encore inégalé jusqu’à ce jour sur ma bite, tout cela avec la chaleur de sa bouche, une autre explorait mes arrières stimulant chaque fois un peu plus ma prostate (et je n’avais encore jamais connu d’orgasme prostatique mais je découvris qu’ils étaient plus intenses, plus longs et plus mystiques que les orgasmes péniens), pendant que moi je prenais plaisir à offrir le même plaisir que je ressentais à un bel homme viril. Outre ces plaisirs là, je m’étais mis à aimer déjà la virilité qui se dégageait de chacun de ces corps, plus que les hommes eux-mêmes et leur corps, j’aimais ce qu’il s’en dégageait, cette masculinité si singulière que je n’avais connu sous cet angle jusqu’à aujourd’hui et que je ne regrettais pas de connaitre maintenant.
Celui que je suçais maintenant est celui qui m’avait enculé quelque instants auparavant, je le sentis s’emporter dans son plaisir et jouir dans ma bouche cette substance si familière et si inconnu à la fois, mais que j’avais appris à recevoir sans dégoût aucun, au contraire avec un certain plaisir de connaitre enfin ce qui concluait la plaisir de tout homme, y compris le mien.
Après s’être vidé de son plaisir, il se dégageait de moi me laissant enfin découvrir l’homme qui m’avait fait le plaisir de me sucer, c’est celui que j’avais trouvé le plus beau, celui que je trouvais le plus viril et le plus excitant, et accessoirement celui qui avait la plus grosse bite de nous tous.
Fou de tout cela en même temps, je ne pu tenir plus longtemps et explosais à mon tour dans des râles de plaisirs accompagnant mes puissant assauts de spermes, dont il recueilli les premiers dans sa bouche, et dont les derniers étaient venus s’écraser sur mon torse et mes abdos. Enfin quelque minutes plus tard, un deuxième des 5 hommes venus se faire plaisir arriva à son but ultime et expulsa littéralement tout ce qu’il avait à expulser après s’être retiré de mon cul pour inonder un peu plus mes abdos et mon torse alors bombardés de ces obus blanc-translucide et visqueux qui recouvrait maintenant tout mon tronc devenu le champs de bataille dont j’avais été le premier tireur, lui le second. Ils me laissèrent quelques instants de répits pour me remettre de tant d’émotions, l’un deux en profitait pour lécher mes tétons couvert de sperme, moi j’en recueillais un peu avec mon doigt pour y gouter une nouvelle fois et l’apprécier chaque fois un peu plus. Puis je dû reprendre mon « travaille » car seulement deux sur les cinq avaient éjaculés. Ils me levèrent, le sperme sur moi coulait mais m’excitait aussi car mon sexe (bite et couilles) en était aussi couvert. L’un deux se couchait sur la couchette, les autres m’invitèrent à l’enjamber et monter sur lui, je prenais cette fois plaisir à m’empaler moi-même sur cette queue, un autre se mit debout face à moi et m’offrait sa trique aussi belle que celle des autres. Tout en descendant et montant sur la queue qui me limait le cul je suçais cette bite un peu maladroitement à cause des mouvements que je faisais mais néanmoins avec brio si j’en crois les manifestations du plaisir qu’il me destinait et les encouragements de lui-même et des autres. En tout cas, une chose est sure, c’est que ces 5 hommes étaient plus performant que les 3 qui m’avaient initié à cela 2 jours plus tôt, avec eux tout durait plus longtemps pour mon plus grand plaisir. Parfois je cessais mes mouvement mais restais empaler sur cette queue qui ne désenflait pas, pour pouvoir sucer un peu mieux cette bite, et aussi lui bouffer les couilles, j’adorais ça m’occuper des couilles presque plus que de sucer une bite, puis je me réactivais faisant entrer et sortir ce braquemart de mon derrière. Enfin après d’assez longs instants je m’immobilisais pour recevoir le foutre qui s’éjectait de la bite dont ma bouche et ma langue s’occupaient, une fois chose faite, et morceau de chaire nettoyer, je sortait la bite de mon enculeur qui n’avait en rien débander durant cet instant, je me tournais pour me retrouver face à lui et me ré-empalais sur sa longue queue qui m’attendait. Ainsi je continuais de m’activer plus sérieusement que jamais bien décidé à lui faire venir le plaisir suprême, ces soupirs se faisaient de plus en plus forts, se transformaient en râles de plus en plus intense, allant en crescendo avec l’intensité de mes mouvements. Enfin il me gueula d’y aller toujours plus fort, toujours plus loin, d’y aller encore, encore, encore. Alors je m’empalais sur lui toujours plus fort, toujours plus loin, encore, encore, encore. Pour que ce moment final soit plus intense encore il ne pouvait s’empêcher de relever le bassin pour essayer d’aller plus profondément en moi bien que je m’empalais déjà au plus profond de moi. Puis il cria son plaisir en arrosant l’intérieur de ma cavité anale momentanément devenue terrain de jeux. Je restai ainsi sur lui jusqu’à ce qu’il perde la vigueur de son érection et je me retirai pour le laisser se retirer lui-même. Quatre avaient maintenant vidées leurs couilles, il m’en restait plus qu’un, mon préféré, le plus beau selon moi, mais aussi celui qui avait la plus grosse bite non seulement de nous tous mais aussi de toutes celles que j’avais eu à côtoyer ces derniers temps, ou de celles que j’avais pu voir en érection au cours de ma vie, infimes ont-elle été.
Je commençais par le sucer un petit peu, pour lui redonner toute la vigueur d’un bite plus excité que jamais, vigueur qu’il avait très légèrement perdu à attendre son tour, j’en profitais aussi pour m’occuper de ses couilles, grosses, pleines et moyennement velues comme celles de tous les autres, des miennes, et des trois militaires dont j’avais eu à m’occuper jusque là. Au bout de 5 min je me retournais et lui offrait mon cul lui disant de se faire plaisir. D’abord à quatre pattes sur la couchette et plus tard debout mais largement cambré en avant. Mon cul grand ouvert et parfaitement lubrifié par le sperme il entra aussitôt et avec facilité malgré sa bite plus longue et plus grosse et il commença un va-et-vient d’abord raisonnable. Mon cul maintenant habitué à l’intrusion d’une bite, je ne pouvais me contenter de cela, j’en voulais alors plus :
- Vas-y encule-moi comme un homme un vrai, encule-moi j’te dis, plus fort, lui gueulais-je presque
- Si c’est c’que tu veux mon salaud tu n’va pas être déçu…
me dit-il avant de commencer un va-et-vient vif et intensif. C’est alors qu’il s’est mis à me buriner le cul aussi puissamment qu’il le pouvait, venant buter contre mes fesses à chacun de ses coups et faisant claquer ses couilles sur mon derrière qu’il tenait avec fermeté.
- Oui ! oui ! encore ! oh oui continue ! plus fort… râlais-je
- Ah oui t’aime ça espèce de salop va ! t’aime ça te faire défoncer le cul par une grosse bite comme la mienne, me dit-il me butant toujours aussi fort contre mes fesses et me cramponnant toujours aussi fermement par les hanches
- Oh OUI !!!
- Ah oui t’aime ça la bite, t’aime ça te faire ouvrir le cul, tiens prend toi ça, ajouta-t-il en s’enfonçant toujours plus fort en moi et en me fessant pour la première fois, t’aime ça hein… !?!
Moi je continuais de râler et c’est vrai que je prenais un plaisir fou, j’étais le premier surpris de ce plaisir, de ma demande, de mon comportement mais j’aimais ça. La scène devenait un peu plus sauvage mais n’était en rien bestiale, même s’il me fessait maintenant de temps en temps, il ne le faisait pas de la même façon que le faisait les militaires 2 jours plus tôt, là ça avait un tout autre sens et ne faisait qu’amplifier le plaisir : le sien de me dominer, le mien d’être sous SA domination. Après s’être enfoncer une dernière fois puissamment en moi et m’avoir fessé il se retira et me retourna. Allongé sur la deuxième couchette, les jambes en l’air et largement écartées, il se réintroduisit d’un coup sec en moi, m’arrachant un cri de douleur et de satisfaction. Puis il continua de me labourer au mieux qu’il le pouvait, mon plaisir était tel que ma queue avait repris la vigueur de ses plus belles érections sans même l’avoir touchée. Ses couilles continuais de claquer à chaque puissant coup de butoir qu’il m’offrait , j’adorais ça sentir et entendre des couilles claquées contre moi en même temps qu’une bite s’enfonçait en moi. Il continuait de me transpercer avec sa colonne de chair, imbibée de sang, et plus dure que des os, une colonne de 24 cm de longueur et de plus de 6 cm de largeur qui disparaissait en moi pour venir chatouiller mes profondeurs et stimuler ma prostate comme elle ne l’a jamais été. Me baisant toujours aussi fort, mes râles se confondaient aux siennes quand tout à coup il m’infligea les derniers mais violant coup de butoir avant de sortir de moi, alors je compris ce qu’il me restait à faire pour le faire voyager à cent mille lieu. Je m’agenouillai et après avoir rapidement bouffé ses couilles je pris une nouvelle fois sa bite en bouche pour le sucer tout en le branlant du mieux et du plus intensément que je pouvais pour ne rien faiblir de son plaisir. Quelques secondes plus tard, il m’offrit une quantité de sperme tout aussi impressionnante que le plaisir que j’avais pris aujourd’hui, que je savourais avec jouissance, accompagnée de cris qui en disaient long sur son plaisir et je n’aurai pu rêver de plus belle récompense. Je le léchais et le suçais jusqu’à la dernière goutte mais cette fois avec plaisir. Et qu’elle ne fut pas ma surprise ? il ne débandait pas, il en voulait encore, il en avait encore. En regardant autour de moi je vis que tous les autres avait aussi reprit de leur vigueur sans compter que moi aussi je bandais toujours comme un fou. Donc après que chacun ait rapidement fait un dernier petit tour dans ma bouche, je me suis allongé au centre de la pièce, eux à genoux tout autour de moi se branlaient, je faisais de même, et ainsi nous attendions que le plaisir vienne encore une fois et qu’il se déverse sur moi. Il fallu quand même plusieurs minutes pour que le premiers se lâche sur mon torse, mais il fut le signal de tire pour les autres et moi-même. Un autre suivi rapidement, puis se fut au tour de mon préféré, puis un autre, puis moi et enfin le dernier. Tous s’étaient vidés sur moi, moi-même je m’étais éjaculé dessus. J’en avais partout : sur les cuisses, la bite et les couilles, les abdos, le torse, le visage, et bien sur les bras en particulier celui avec lequel je me branlais , j’en étais recouvert mais je trouvais la situation excitante pour ne pas dire plaisante (même si c’est vrai que j’ignorais encore ce que j’allais en faire). On prit quelque instant pour se remettre, cette fois tout le monde avait débandé et heureusement parce que même si j’y avais pris du plaisir j’étais aussi épuisé.
je commençai à me masser les pectoraux, étalant et mélangeant tout les spermes entre eux et avec les poils qui couvraient ma peau, et je léchais cette main alors couverte de sperme. Ils se mirent donc à faire de même, léchant parfois eux-mêmes leur main, parfois en me la donnant à lécher. Parfois aussi ils faisaient de même avec leur bite et leurs couilles me les donnant aussi à lécher mais juste pour les nettoyer du sperme, sans vraiment les sucer, leurs bites ne revinrent d’ailleurs pas en érection. Quel bonheur de lécher ses couilles couvertes de sperme, du leur, du mien, humm !!! Parfois aussi, c’est eux qui m’embrassaient et me léchaient le corps pour me nettoyer du sperme, venant 2 fois sur 3 m’embrasser ensuite à pleine bouche pour m’en faire partager. Finalement je n’eux plus rien sur moi que leur salive et le sperme qui avait séché collant parfois plusieurs poils entre eux ou donnant un aspect brillant à ma peau.
Pour finir ils se rhabillèrent, me remercièrent en m’embrassant une dernière fois et tapèrent sur la porte en criant qu’ils avaient fini. Un garde leur ouvrit et ils furent reconduits à leur cellule respective. Je suis resté un instant couché là par terre, soufflant tous mes émois, jusqu’à ce qu’un officier entre et me trouve là, encore nu, la bite tombante sur un coté, mes yeux perdus dans l’émotion de mes souvenirs récents et… le cul encore ouvert.
Il m’ordonne en criant de me relever, je lui dis d’un air si calme qu’il est si étonné qu’il n’a rien à me répondre
- Svp, attendez encore un instant, je ferai tout ce que vous voudrez, vous pourrez me faire tout ce que vous voudrez mais svp attendez encore un instant
- D’accord je reviens dans 5 min mais c’est bien parce que tu viens de te faire défoncer par 5 bruts, dit-il après un long silence.
Je riais en moi car les bruts comme il les appelait avaient été plutôt doux avec moi sauf quand je leur avais demandé d’y aller plus fort, mais eux m’avais offert un plaisir d’une telle intensité, que jamais je n’avais connu jusqu’à aujourd’hui.

5 min plus tard il revint, m’ordonna de nouveau de me relever, ce que je fis, puis de me rhabiller. Une fois que j’eu mis mon slip et mon pantalon, il passa son doigt sur un coin de mon pectoral gauche encore légèrement mouillé, le renifla d’un air interrogateur, et me dit en le tendant légèrement vers moi :
- C’est… euh…
- Du sperme oui, vous pouvez le dire
- Ah d’accord c’est pour ça que t’as les poils comme ça sur le torse et les abdos parce qu’ils t’ont tous… tous éjaculés dessus, ajouta-t-il avant que j’eus le temps de finir sa phrase.
Je baissais la tête comme résigné, pour continuer de leur faire croire à la fatalité qu’il croyait déjà, puis je pris sa main et léchai le bout de son doigt pour prédire ce qu’il aurait peut-être demandé.
- Aller, rhabilles-toi
Et je ma rhabillais sous ses yeux avant qu’il m’emmène vers ma cellule d’origine, enfin c’est ce que je croyais, mais quand on prit une direction autre je dis :
- Vous ne me ramenez pas dans la cellule avec mes amis
- Si ! mais je crois qu’une petite douche avant ne serait pas trop demandée
Je souriais en guise de remerciement et ajoutais :
- Pourquoi vous êtes si gentil avec moi, tous vos coéquipiers m’auraient pris par les cheveux sans me laisser les 5 min que vous m’avez accordée, m’auraient trainé jusqu’à ma cellule probablement encore à poil et sans passer par la case douches
- Parce que je ne suis pas tous les autres
- Que Dieu vous en remercie
- Vous savez ce n’est pas parce que je fais parti de cette armée que je cautionne toutes leurs idées et encore moins toutes leurs méthodes
- Et qu’il vous réserve une place en or à ses cotés
- Aller, dépêchez-vous, me dit-il et me lâchant le bras qu’il tenait jusque lors, vous avez cinq minutes
Alors je m’empressais de me déshabiller de saisir un vieux savon posé sur un rebord et de faire couler l’eau issue de canalisations en métal gris et raccrochées au plafond, sur moi. Je profitais de cet instant, il était le premier depuis que j’étais ici, mais je n’oubliais pas de me dépêcher car je ne pense pas que tous ses supérieurs cautionne ma petite douche et étant donné sa gentillesse je ne voulais pas risquer de le faire passer un mauvais moment d’autant plus que quelqu’un comme lui pourrait être bien utile ici. 5 minutes plus tard j’étais lavé, essuyé (grâce à une serviette posé dans un coin qu’il me tendit, elle avait probablement déjà servie mais je ne pouvais pas être dans un pire état que celui où j’étais avant) et habillé. Il me ramena alors jusqu’à ma cellule auprès de mes camarades qui se précipitèrent sur moi dès mon arrivée pour me demande si ça allait. Etant donné le temps où j’avais été absent leur inquiétude avait été grandissante. Je leur dis simplement qu’ils m’avaient fait m’allonger nu dans une pièce, et plusieurs hommes s’étaient succédés pour se branler près de moi et éjaculer sur moi. Au final ils m’avaient autorisé une douche. Ils étaient alors rassurés.
Quant à moi je me couchais et m’endormais rapidement, je dormais jusqu’au petit matin, où je fus réveillé par un officier en manque qui venait d’apprendre que j’étais devenu la salope de service. S’en suivit une simple petite pipe, finalisée par une dose de sperme que je reçu en bouche et que je dû avaler mais cela ne me faisait désormais ni chaud, ni froid , d’autant que comme à chaque fois maintenant celui qui voulait satisfaire une envie (que ce sois militaire ou prisonnier) me faisait amener ou m’emmenais ailleurs que dans ma cellule. Seul le capitaine de la première fois restait souvent dans ma cellule pour me faire subir ses envies occasionnelles.

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