Aurore Education d'une jeune femme -Acte 3-

- Par l'auteur HDS Epicurien51 -
Auteur homme.
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Récit libertin : Aurore Education d'une jeune femme -Acte 3- Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Aurore Education d'une jeune femme -Acte 3-
Je ne sais plus qui je suis, je ne sais pas ce que je fais. Je suis dans une brume , ma poitrine oppressée, mon regard flou passe de ses yeux au vide. Je prends une petite veste courte en cuir et chausse mes bottines lui offrant, sans m’apercevoir, sans comprendre, la vision fugace de mon intimité. Mes pensées fusent. Qu’est ce que je fais… Cet homme m’écrase de sa seule présence, lui qui vient de me pénétrer, lui qui vient de me faire crier de …. de plaisirs… mais quelle honte..Son regard sur moi me donne des frissons… mélange d’inquiétude , d’incompréhension, de peur.
Je ne me comprends plus, pourquoi je dis rien, pourquoi je fais ce qu’il me demande. C’est pas moi ca .. Pourtant quand il me prends le bras pour m’entraîner vers l ascenseur, je le suis. Un frisson sur mon échine me glace quand ma porte se ferme. Je marche à ses cotés , dans le parking de l’immeuble , serrant mes bras contre mon ventre. Il m’ouvre la porte de sa voiture, je monte. Je n‘ose même pas le regarder mais je sens son regard sur moi, mes cuisses nues, ma robe trop courte, mon blouson intégralement fermé comme si je voulais me protéger. Il démarre, on roule, je contrôle plus ma respiration. Je prends conscience en cet instant, que je suis sale, mon vagin encore souillée, mes poils collés et entre mes cuisses découvertes , les traces visibles sèches d’un mélange de ma mouille et de son sperme. La honte m ‘empourpre les joues, je regarde défiler le paysage..

Patrick : ca va Aurore ?
Moi : où va t’on Monsieur .. où on va ?
Patrick : Tu regrettes ce que tu viens de me donner Aurore ?
Moi : je sais pas, je sais plus Monsieur..
Il pose sa main sur ma cuisse nue, je sursaute.
Patrick : détends toi …. je t ‘emmène faire une petite sortie, pour te découvrir encore. Tes parents rentrent demain ?
Moi : oui … oui Monsieur..
Patrick : Nous allons pas très loin Aurore mais au retour tu aura une décision à prendre.

Je cherche son regard, je le sonde mais je prononce aucun mot. Nous roulons depuis une demi heure peut être et après avoir longé des bois, il tourne dans un chemin forestier au bout duquel se trouve un parking. Quelques voitures sont garées là , certaines semblent vides mais dans deux, il me semble voir qu’il y a quelqu’un dedans. Mon cœur recommence à frapper fort ma poitrine, mes mains sont moites. Patrick descend et vient m’ouvrir la porte.
Patrick : Viens Aurore, nous allons marcher un peu ..

Je m’extrait de la voiture, à cet instant , je vois son regard, un rictus à ses lèvres, dans le mouvement ma robe courte ne lui dissimule rien, une fois de plus de mon entre cuisses, je lui expose outrageusement ma pilosité intime . l’angoisse est forte, il fait nuit mais une certaine clarté, d’instinct je me colle à lui ,épaule contre épaule, cherchant à me faire petite. Il se glisse dans mon dos, se collant à moi mais je me colle à lui aussi par angoisse. Il fait glisser la fermeture de mon blouson. Ma respiration forte fait se mouvoir ma poitrine à peine recouverte par le léger tissus. J’ai du mal à maîtriser les mouvements de ma glotte. Je suis toute petite contre lui, sa tête me coiffe. Ses mains viennent flatter mes tétons par dessus le tissus, je frissonne. Une lumière dans une voiture, la portière s’ouvre, un homme d’un certain âge en descend et marche lentement vers nous..Le second beaucoup plus jeune ne tarde pas a faire de même. Ils marchent vers nous. J’ai le sentiment de vouloir être avaler par le corps de Patrick pour disparaître.. Ils sont a quelques pas de nous.
Patrick : Stop les gars….
Je me trouvais face à eux , m’incrustant contre Patrick.. Il déboutonne le haut de ma robe, ma respiration va me faire exploser.. Mes seins se libèrent, qu’il attrape aussitôt à pleine mains, les malaxant, mes tétons deviennent d’une sensibilité extrême, L’homme le plus âgé extrait son sexe bandé aussitôt copié par le plus jeune dans le mème état..Mes yeux embrumés fixent ces deux verges tendues … Ils se masturbent.. Ohhhhh en me regardant . Patrick pose une main sur ma cuisse , elle remonte, ma robe courte ne dissimule plus rien de mon anatomie. Les hommes ont le regard fixés sur mon sexe libre. Patrick ouvre mes lèvres intimes et les étirent pour m’ouvrir exagérément .. je coule. Je coule littéralement. Deux doigts me pénètrent violemment , ma bouche s’ouvre, d’un râle incontrôlable ..Il me doigte fort, sa paume claque mon clitoris, le bruit de clapotis.. le plus âgé lâche des jets de sperme dans un râle fort. Je vais jouir, ça monte.. je me tortille dans les bras de Patrick.. L’homme s’en va… Le plus jeune se masturbe frénétiquement , la bouche ouverte, je vois ses testicules lisses, mes jambes vacillent, mon cœur frappe ma poitrine, mon cerveau explose au mème moment où je reçois les jets de sperme sur mes cuisses, sur mes pieds… Je suis .. anéantie, pantelante… quand je prends ma respirations les deux hommes ne sont plus là … Mon cerveau effrayé revoit la scène.. Je comprends que je viens d’exposer mon corps sans pudeur a deux inconnus et que j’ai joui des doigts de Patrick qui m’a fouillé sans retenue.

Moi : on . On rentre Monsieur…Patrick : hoo non Aurore, pas de suite non, viens ..
Je ne comprends pas mon ressentie, la présence de Patrick à mes cotés est plus que rassurante pourtant, un mélange de crainte, de honte, me sentir fragile, accessible, visible me procurent mille sensations partagées. Je revois ces deux sexes et surtout les regards de ces deux hommes sur moi. On marche sur un petit sentier, le bras de Patrick autour de ma taille, mes seins libres ballottent un peu, je sens le frais entre mes cuisses à peine dissimuler par le bas de ma robe. Je sens une présence derrière nous, deux jeunes nous suivent. Mon cœur s’accélère, on marche encore un peu, j’aperçois dans la pénombre , trois ou quatre personnes, ils semblent former un cercle. On se rapproche, mon cœur va exploser. Quatre hommes sont debout , pantalons baissés, au centre a genoux, je devine une personne. Notre présence est remarquée et les hommes tournent leurs regards vers Patrick mais aussi sur moi qui expose mon 85C de façon arrogante. Ma poitrine ferme, mes tétons pointant, je déglutis, me pince les lèvres. J’ai qu’une envie, celle de partir en courant mais totalement incapable de raisonner. Je me colle à Patrick à vouloir disparaître dans son corps, ne plus être là, disparaître mais des sensations inconnues traversent mon cerveau , mon corps. Le cercle s’entrouvre, au centre, à genoux, une femme totalement nue s ‘applique à prendre en bouche ces sexes d’hommes . Elle passe de l’un à l’autre, tendant ses mains pour branler ceux qu’elle ne suce pas. Elle est frénétique, pousse des gémissements, s’active sur ses verges que je découvre. Alors que nous sommes à leur coté, un des hommes m’exhibe fièrement son gros sexe tendu, son regard me glace.
L’homme : tu promènes ta fille ?
Patrick : oui on peut dire ca..
Ses mots me transpercent.
L’homme : tu la prête ?
Patrick : Non. Elle est là pour regarder.
L’homme : Dommage ( son regard pervers est transperçant).
La femme doit avoir une quarantaine d’année, des formes généreuses, un très grosse poitrine se balançant à chacun de ses mouvements, des cuisses épaisses, des fesses grosses.
L’homme : c’est ma femme.
Patrick : Ha .. très jolie…Je ne comprends pas ma réaction à entendre ces mots. Je suis piquée, je viens de ressentir un sentiment de jalousie. Ce sentiment me perturbe. Je n’arrive pas à détacher mon regards de la bouche de cette femme qui avale littéralement les sexes offerts presque convulsivement. J’ai des contraction dans mon vagin. L’homme qui est avalé, se contracte, tient fermement la tête de la femme contre son bas ventre, elle suffoque en recevant ce que je pense.. hooooo.. l’homme pousse un râle sonore alors qu’un liquide blanchâtre s ‘échappe de la commissure des lèvres de cette femme. J’entends des hoooo des haaaa, des ouiiiii … provenant des autres hommes.. aussitôt fait elle s’empresse d’avaler un autre sexe, j’aperçois qu elle dépose même du sperme du premier, qu elle a encore dans sa bouche, sur le sexe du second. Mes jambes flagellent. Le mari se masturbe à vingt centimètre de moi, me fixant de son regard glaçant. Le second se contracte, râle et se libère aussi dans la bouche alors que le troisième éjacule presque aussitôt sur le visage de la femme. Patrick titillent mes tétons me procurant mille décharges, son autre main sur ma hanche. C’est là que je reçois sur ma poitrine un jet de sperme, surprise, le mari a les yeux fermés, la bouche ouverte et se libère sur .. sur moi ..les autres jets atteignent ma robe, le dernier sur mes jambes. Je suis collée dos contre le ventre de Patrick. La femme est débout, me voit, me sourit. Son sexe est lisse, du sperme sur son visage, sur ses joues, sur son menton.

Patrick m’entraîne dans la pénombre, nous nous éloignons, je ne réfléchie plus, abattue, je ne comprends plus ce qui m’arrive, je le suis totalement désorientée, perdue, dans un état d’abattement.
Nous longeons le chemin quand j’aperçois sur ma droite, les deux jeunes qui nous suivaient. Ils doivent avoir mon âge. Ils n’ont plus de pantalons, l’un est appuyé contre un arbre , cambré, l’autre lui tiens les hanches et le pénètre. J’observe la scène en continuant à marcher toujours collée à Patrick. J’aperçois le sexe qui se balance entre les cuisses de celui qui est cambré, il pousse des cris qui me glace. Celui qui se trouve derrière m’aperçoit et me sourit en donnant des grands coups de reins. Nous les dépassons et nous continuons sans s’arrêter. Nous arrivons au parking, il me semble que il y a beaucoup moins de voiture, je me prends à penser que nous n’avons pas vu tant de personne que ça et qu il devait y avoir d’autres endroits où des choses se sont passées.

Patrick m’ouvre la portière, je monte sans chercher à dissimuler quoique ce soi, je le lui expose mon sexe libre, ma vulve ouverte, je m’assois pas, je m’effondre sur le siège.
Le regard de Patrick sur moi en cet instant , je comprends qu’une chose va se passer. Il reste debout devant ma portière, défait son ceinturon, baisse sa fermeture éclaire et extrait de son pantalon son sexe bandé. D’une taille sans aucune mesure avec ce que j’ai pu voir ou apercevoir ce soir. Le sien est … proportionnelle a sa prestance, limite bestial, nervuré, épais, large à sa base, son gland énorme, son méat ouvert laissant s’échapper un liquide translucide, ses testicules . Whouaaa..
Aucun mot n’est échangé, juste des regards, je me saisi de ses fesses pour le rapprocher de moi. Ma langue se dépose sur son gland que je lèche doucement, glissant sur cette verge tendue pour la caresser. Goûtant du bout de mes lèvres sont odeurs, sa texture. Mes lèvres s’ouvrent pour l’engloutir mes mains toujours sur ses fesses musclées. Mes vas et viens, lui arrachent des râles, j en suis satisfaite, flattée, je ne peux engloutir guerre plus que son gland et un peu de sa hampe mais je m’applique à avoir une pression de mes lèvres constantes. Je suis assise face à lui, cuisses ouvertes, mon sexe coule, mon vagin gonflé ouvert. J’aperçois deux ombres arrivées à coté de Patrick. Je reconnais la femme et son mari.
L’homme : hummm tu te fais sucer par ta fille c est excellent.
La femme : hooooo c est sa fille..
je sens comme des décharges électriques dans mon corps.
La femme : hoooo quelle belle queue..
Je ne serai expliquer le pourquoi du comment, mais j’ai pensé à cet instant : oui et c’est ma queue à moi en essayant de l’avaler encore plus . Je pose une main sur sa hampe et je commence à le branler en mème temps que ma bouche l’avale. Mon regard plongé dans le sien je passe à celui de la femme puis de l’homme. Mon autre main s‘est posée entres mes cuisses. Me masturbant doucement, je sens ma mouille couler sur le siège. Patrick grogne de plaisirs, je suis contente. Mes doigts me procurent de l’effet, ça monte. Je commence à percevoir les prémices avant coureur quand Patrick se raidit. Le premier jet puissant me surprend, Il passe directement dans ma glotte, le deuxième me donne des haut-le-cœur-, le vomissement n’est pas loin, mes yeux pleurent. Encore des jets, ma cavité buccale se remplit, je ne bouge plus gardant son gland en moi, sentant son liquide onctueux tapisser mes joues internes , j’ai les yeux fermé, des ondes puissantes parcourent mon corps témoin de ma propre jouissance, j’engloutis un peu, sentant cette semence épaisse glissée dans ma gorge et la sentant couler dans mon œsophage. Il me semble que ça s’arrête pas de sortir de son gland, remplissant encore ma bouche. Ca coule à la commissure de mes lèvres, ça coule sur ma gorge, glisse entre mes seins et continu sur mon ventre. J’engloutis encore n’osant pas faire autrement. Ma main sur ses fesses je le sens se décontracter, puis il retire son gland de ma bouche, laissant s’échapper encore du sperme qui va rejoindre mon ventre après m’avoir couler entre mes seins.
La femme avait ses yeux dilatés et l’homme souriait mais pas un mot, un silence total.
Le sourire de Patrick comble mon orgueil, je rentre mes jambes et Patrick ferme la portière.
Il échange quelques mots avec le couple mais je n’entends rien , je suis … vidée.

Assise dans la voiture, je ne cherche mème pas à cacher mes seins ni mon sexe, ma robe courte ouverte.
Sur le chemin du retour Patrick me demande de reboutonner un peu ma robe, ce que je fais dés qu’il me le demande. Je suis collante, poisseuse, une forte odeur de mâle sur moi, son goût encore en bouche. Absolument pas en mesure d’analyser ce qu’il vient de se passer, je suis ébranlée, pantelante. On ne dit rien, je regarde le paysage défiler. La ville de Versailles la nuit et encore de l’activité. Notre bâtiment, il s’engage dans le parking souterrain. Patrick m’ouvre la portière et me donne sa main pour m’aider à descendre. Une angoisse m’envahit de peur de croiser quelqu’un. Sa main sur mon épaule, nous marchons côte à côte. L’ascenseur et toujours cette angoisse persistante, notre palier. Nous entrons chez moi, Patrick me suit. Le miroir de l’entrée me renvoi mon image, notre image. J’allais m’asseoir dans le canapé mais Patrick me demande de l’eau, j’enlève mon blouson et je le rejoins Il fait signe avec sa main de m’asseoir à ses cotés. Nous buvons longuement tous les deux, la bouteille d’eau y passe.
Il me passe une main dans mes cheveux, il est doux.
Patrick : Ca va Aurore ?
Je me laisse caresser par sa main et ma tête se pose sur son épaule.
Moi : oui … oui ca va Monsieur.
Je perçois toute sa masse, toute sa force, je me sens si petite contre lui. Je tourne mes yeux vers lui , je ne sais comment expliquer ça mais j’ai une envie irrésistible qu’il me sert dans ses bras.
Lui, l’homme ours de 52 ans. Mon message subliminale a du être perçu car à cet instant il m’attire bien contre lui et me prend dans ses bras. Nos deux visages face à face, je respire plus, je veux oui je le veux. Mais fais le idiot . Nos lèvres s’effleurent, je ne résiste plus, je m’abandonne à son baiser, sa langue cherchant la mienne et la mienne cherchant la sienne. Je le dévore d’un baiser fougueux, d’un baiser onctueux. Je fonds littéralement contre son torse puissant. Je cherche à maintenir se baiser éternellement, ce baiser s’éternise, je suis sienne.
Ses mains sur mes joues, ses yeux dans mes yeux.
Patrick : C’est une belle soirée n’est ce pas ?
Moi : oui Monsieur..
Patrick : Il y en aura beaucoup d’autres…. Mais pas forcement là où je t ai emmené où…. si tu n’es pas gentille … je voulais juste vérifier une chose.
Moi : … oui… oui Monsieur.
Mon cœur bat fort. De ses mains il lisse mes cheveux, les tirent en arrière, me regarde.
Patrick : Fait toi une queue de cheval Aurore, une tresse, ça te vient bien..
Moi : Oui Monsieur. ( je suis dans ses bras, je suis bien oui je suis bien, mon petit cœur bat)
Patrick : Montres moi ta chambre Aurore ..
Je suis un peu surprise par ça demande mais je l’accompagne, je lui tiens la main. Un peu gênée qu’il découvre mon univers intime, il regarde partout, il sourit, je reste à ses cotés , collée à lui comme une sangsue. Mon petit lit de 90 encore défait, des vêtements un peu partout. Je ne porte que ma robe très déboutonnée qui menace de laisser s’échapper mes seins à chaque instant, mes tétons pointent au travers du tissus et quand je marche ou si j’écarte un peu trop mes jambes, ma vulve libre peut se révéler.
Il ouvre ma penderie et passe en revue mes habits suspendus. Il sort une jupe portefeuille qu’il place sur moi, me regarde, sourit, la range. Deux robes qu’il regarde avec insistance. Une jupe fluide assez courte sur une étagère qu’il sort, la regarde et la range. Il ouvre les tiroirs de ma commode, je rougit, il regarde mes petites culottes et mes soutiens gorge. J’ai encore beaucoup de petites culottes en coton. Des chaussettes, des bas en laine. Oui je n’ai que 18 ans..
Il s’assoit sur mon lit, m’attire debout devant lui, me flatte mes hanches de ses mains et déboutonne doucement les dernier boutons, ma robe s’ouvre en mème temps que la chaleur sur mes joues m’empourpre, que mon ventre se contracte, que mon cerveau vacille.. de ses deux mains sur mes fesses , il m’attire à lui, dépose un baisé sur mon ventre. Ses mains malaxent mes fesses, qu’il ouvre et ferme, je sens mon vagin réagir de même.
Patrick : tu sens l’homme Aurore..
Ces mots me remémorent le déroulement de la soirée, ces sexes d’hommes bandés, leurs râles, leurs abandons sur moi.
Ces doigts, entre mes fesses, caressent ma fente, mon petit sillon, son majeur glisse aisément dans mon vagin qui l’accueille et en cet instant je ne suis que fontaine. Je sens son souffle chaud et sa langue titille mon clitoris durci. Il me prend entre ses dents et me mordille, je vais exploser. C est la première fois qu’une bouche se pose ici. Sa langue rejoins les deux doigts qui me fouillent, m’ouvrent. Je fonds. Sa langue joue avec mon sexe, s’insinue, me lape, je ne suis que gémissement. Alors que sa langue s’insinue dans ma cavité intime, son index caresse le sillon de mes fesses et stop lorsqu’il ressens les petits détails de .. de .. mon petit trou. Son doigt malaxe mon œillet alors qu ‘il boit mon abandon. La pression de sa main, colle encore plus ma vulve sur sa bouche et je ressens l ‘intrusion de son doigt qui force le passage vers mon intestin, je sens mon muscle se relâcher et accepter se doigt alors que ma jouissance se déverse sur sa langue, dans sa bouche, je tremble. Je joui.
Il se lève , se déshabille. Je m’allonge. Je le vois nu pour la première fois, son corps lourd, son ventre, son torse, ses jambes musclés couverts de poils. C’est un ours, avec entre les jambes son sexe érigé, épais, noueux d’où jailli son gland majestueux mais effrayant par sa grosseur. Ses énormes testicules me font encore frémir. Je me sens si petite , si frêle, si fragile face à la puissance qu’il dégage. Lorsqu’il s’agenouille sur mon lit, j’ai l’impression qu’on va tout casser tellement il s’affaisse, grince, craque. Ses yeux noirs me fixent, je me pince les lèvres. Mes jambes sont si fines entres lui, ma peau si blanche lorsqu’il les place sur ses épaules. Son sexe dur sur mon bas ventre que le contraste de sa grosseur sur moi me fait trembler..
IL se penche sur moi, nos lèvres se touchent, nos langues se mélange.
Patrick : Tu es mienne Aurore, tu me sera dévouée, obéissante .
Aucun son n’est sortie de ma bouche qui s’ouvrait proportionnellement à sa pénétration forte et continue. Mes chairs s’ouvraient exagérément pour recevoir le membre de cet homme que je peux sentir millimètre par millimètre étirer et élargir mes muqueuses.
Mon petit lit craquait, prêt à se délabrer par ça stature imposante, lui qui me pénétrait de son sexe énorme, mes cuisses largement entrouvertes pour le recevoir. Quand ma bouche a pu laisser sortir un son, c’était qu’un râle fort et puissant . Il se maintenait sur ses avants bras pour me donner des mouvement de reins régulier et fort. Son torse puissant me couvrant littéralement. Il me retourna comme un fétu de paille sans que son sexe ne quitte mon vagin hypertrophié, j’étais sur lui, empalée par sa verge épaisse, mes cuisses très ouvertes sur son corps massif, je montais, descendais en poussant des petits cris , voyant mes chairs saillantes à chaque retrait offrant à son regard tous les détail de la perforation . Je ne suis que jouissance et orgasmes forts à voir ma mouille s’échapper par flots , ses mains sur mes seins à les malaxer, tirer sur mes tétons érigés. Il s‘est assis sur le bord du lit sans encore que ma vulve ne quitte son sceptre, mes bras sur ses épaules, autour de son coup, je criai , après quelques instants il s’est levé, mes jambes autour de ses hanches, à poursuivre ses coups de reins puissants, ses mains sur mes fesses. Son visage tendue, j ai sentie ses contractions en mème temps que mes convulsions. Il s’est figé au plus profond de moi, ça verge tellement serrée en moi que j ‘en ai senti les prémices du torrent qui allait se déverser, j’ai senti les premiers jets violents de son sperme qui m’inonde avant qu’il se retire d’un bruit de ventouse, il me mit à genoux et d’une pression sur mon épaule porta ma bouche à hauteur de son sexe. J ‘ai eu juste le temps d’ouvrir mes lèvres, d’avaler son gland pour sentir son bouillon écumeux me remplir la bouche. Je sentais son sperme s’échapper de ma vulve et me remplir mon œsophage.

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