Auto-Stop

- Par l'auteur HDS Ssandra -
Récit érotique écrit par Ssandra [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Auto-Stop Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2007 dans la catégorie Plus on est
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Auto-Stop
C'est la nuit sur la nationale, nous rentrons d'un dîner et il est assez tard. Sandra somnole, elle a abaissé légèrement son dossier et se laisse envahir par la douce chaleur diffusée par le chauffage.
Comme d'habitude lorsque nous sommes en voiture j'ai une main sur le volant et l'autre posée sur sa cuisse. Je joue avec le tissu fluide de sa jupe, la caressant juste au-dessus des bas. Je ne roule pas trop vite et mes phares accrochent l'image d'un jeune homme qui fait du stop loin devant. J'ai envie de m'amuser.
Je ralentis pour nous laisser le temps de décider de ce que je vais faire, et surtout de voir à qui nous avons a faire. Nous dépassons le jeune homme et je m'arrête deux cents mètres plus loin. Le temps qu'il arrive jusqu'à nous et mon plan est en place.
J'explique à Sandra que nous allons prendre un auto stoppeur et ce que j'attends d'elle. Je fais monter le jeune homme à l'arrière. Il s'installe entre les deux sièges et se penche pour bavarder avec nous, tandis que nous repartons.
Son regard est immédiatement accroché par les cuisses de Sandra qui sont découvertes pour une bonne part. Nous engageons la conversation. Je m'arrange pour faire éviter le sujet sur les femmes. Notre passagers ne doit pas avoir plus de vingt ans. Je lui demande s'il a une petite amie et devant sa réponse négative je poursuis mes questions indiscrètes. La route que nous empruntons a été refaite et de nombreuses aires de repos y ont été aménagées. La première que nous trouvons est déserte, je gare mon véhicule. Sandra qui a compris de quoi. Elle se retourne, se joint à la conversation et lui demande s'il aime les femmes qui portent des dessous sexy.
Il ne réponds pas. Sandra enchaîne: "Je suis certaine que tu n'en as jamais vu, regarde." Elle tire sur le bas de sa jupe, faisant apparaître ses genoux. Le jeune homme semble hypnotisé. Sandra prend sa main et la pose sur sa cuisse; "Touche moi, tu vas voir, c'est doux." L'atmosphère se fait plus lourde dans le véhicule lorsque Sandra remonte de nouveau sa jupe. Elle tire doucement le tissu vers le haut, découvrant cette fois ses cuisses, puis le haut de ses bas tenus par des jarretelles noires, la peau nue au-dessus et tout au fond, drapé de dentelle également noire, son entre-cuisse. Se soulevant, elle passe les mains dans son dos, défait la fermeture éclair de sa jupe et la fait descendre à ses pieds.
Une fois assise elle dégage ses pieds du tissu et les repose en écartant largement les cuisses. Le jeune homme semble fasciné par ce qu'il voit et je le comprends, car je suis moi-même sous le charme. J'imagine sa stupeur et son excitation devant cette femme en tailleur chic, qui se trousse pour lui dévoiler des trésors de dentelle. Il ne sait pas ce qu'il doit faire. Sandra s'écarte avec complaisance. Je l'encourage; "Caresse la, elle n'attend que ça." Il hésite, puis se décide. Sa main remonte le long de la jambe, s'attarde sur le revers des bas et passe sur la peau en jouant avec la jarretelle qui y est fixée. Sandra s'écarte d'avantage si c'est possible. Il prend cela comme une invitation à aller plus loin et pose enfin sa main entre les cuisses de ma délicieuse cochonne. Je suis certain que le fond de sa culotte est inondé et je bande de voir cette main se promener sur la dentelle qui couvre à peine le minou de mon adorable salope.
Sandra porte la main à sa veste de tailleur. Dessous, elle porte un chemisier qu'elle se hâte d'ouvrir, faisant jaillir sa poitrine. Comme je le lui ai demandé avant de quitter notre domicile, elle porte un soutien-gorge en dentelle noire, assorti à son serre-taille et à son string. La main du jeune homme lui masse toujours la motte par dessus la dentelle. Il va falloir tout lui dire.
Sur mon conseil, il pose sa main sur la peau libre entre le serre-taille et le string de Sandra. Il introduit ses doigts sous l'élastique et reste là un instant, comme si tout cela était trop fort pour lui. J'aime voir cette main tendre le tissu, cela m'excite de regarder un étranger fouiller dans la petite culotte de ma femme. Elle est belle, elle est faite pour faire l'amour et je suis là pour lui donner du plaisir, car cette main qui la fouille c'est on peu la mienne. Elle n'est qu'un objet, un intermédiaire, un prolongement de ma propre main dont j'use selon mon bon plaisir pour assouvir les désirs de ma femme. C'est le silence dans la voiture, personne ne parle.
Sandra s'offre à nos regards, à part sa veste complètement ouverte elle ne porte plus que les sous-vêtements que je lui ai choisis avant de partir. J'ai pris un soutien-gorge dont les bonnets sont brodés d'une fine dentelle. Ils laissent les auréoles et la pointe des seins parfaitement visibles et nous permettent en ce moment de voir que les seins de Sandra bandaient. Pour tenir ses bas, j'ai choisi un large serre-taille à l'ancienne. Il est en tissu épais recouvert de dentelle et est fortement baleiné.
Ce qui me plaît, c'est qu'il descend presque au ras de la touffe et que les jarretelles larges et épaisses sont terminées par des pinces en fer, comme cela se faisait autrefois. En fait, il faudrait presque que Sandra le porte sans culotte mais ce jour là j'ai voulu lui en faire porter une. Elle est noire, très légère et si fine qu'elle me procure le plaisir de pouvoir observer la main de notre auto-stoppeur.
Sur mes conseils il lui taquine le clitoris d'un doigt avant de le plonger dans son vagin. Je lui indique qu'il doit le lui mettre le plus profond possible. Il lui masse la motte à pleines mains, joue avec sa fente avant de lui mettre un doigt dedans et de le faire tourner à l'intérieur. Sandra se masse les globes en gémissant. Le jeune homme a le souffle court et moi je bande comme un fou. Nous sommes tombés sur un quasi puceau à qui nous allons faire vivre une expérience qu'il n'est pas prêt d'oublier.
Je demande à Sandra de sortir. Elle est vite rejointe par notre puceau tout émoustillé. Je me mets de coté et regarde la scène. Sandra se colle à lui, il la prends dans ses bras et l'embrasse. Ses mains se posent sur son corsage, pressant ses seins, elles courent le long du corps offert. Se regarde ma femme qui est debout en petite culotte, bas, talons haut et serre-taille, se faire peloter les cuisses et surtout les fesses à travers son slip. La petite culotte portée par Sandra n'est pas un obstacle sérieux. La main quitte ses fesses pour se poser sur son pubis, qu'elle flatte à travers le tissu. Sandra tends son ventre et il ne se fait pas prier pour lui masser de nouveau la motte.
Ma jolie coquine est trop excitée pour laisser son partenaire goûter de nouveau le plaisir qu'il y a à enfouir sa main dans une petite culotte de dentelle pour aller à la rencontre d'un minou tout chaud.
Elle se déculote en tirant son cache sexe sur ses genoux, puis posant ses fesses sur le capot, elle relève ses jambes et s'en débarrasse définitivement.
Je suis aux anges. La lune qui brille me renvoie l'image de ma femme ouverte, ses cuisses sont remontées, La position de Sandra fait bâiller sa chatte d'une manière assez obscène. Mais ce n'est pas suffisant, il faut aller plus loin. Elle sait ce qui me plaît et est prête à se montrer à la hauteur. Elle pose sa main sur sa vulve et tire de chaque coté sur les lèvres. Malgré la pénombre, je vois sa fente s'ouvrir et notre ami qui est en face d'elle doit même voir son trou palpiter d'envie. Il semble passablement excité lui aussi et cela lui fait prendre des initiatives.
Il lui enfonce un doigt dans le vagin, puis un deuxième, auquel il ne tarde pas à joindre un troisième. Je me dis que si cela continue il va m'offrir la vision inédite d'une main disparaissant dans le sexe de ma femme. mais il s'arrête là. Je regarde ces doigts aller et venir au creux de cette chair que je connais bien et je songe que lui introduire une main ne serait pas une mauvaise idée. Je trouve cela assez bandant comme pensée et me promets de mettre cette petite fantaisie au programme d'une de nos prochaines parties de jambes en l'air.
Notre jeune homme lui ramone le fondement des ses doigts. Sandra râle doucement. Je regarde ces doigts qui entrent et sortent du con distendu de mon épouse. La cadence s'accélère, ma tendre salope mouille tellement que chaque pénétration produit le bruit, difficile à décrire mais facilement identifiable, d'une chatte bien trempée. Elle porte de nouveau ses mains entre ses cuisses et se titille le clitoris après l'avoir fait jaillir de sa cachette. Sandra crie sa jouissance.
Elle tombe à genoux devant son bourreau, fouille fébrilement dans sa braguette, et extirpe un engin de longueur moyenne mais assez trapu. Elle contemple cette belle bite qu'elle va avoir le plaisir de sucer. Elle sort sa langue et, en me regardant, lèche vicieusement la hampe de haut en bas. Elle sait que j'aime la voir faire et elle fait tout pour m'exciter. Elle met sa bouche sur le gland. Je vois avec plaisir le membre glisser entre ses lèvres qui s'ouvrent au fur et à mesure. Sandra a la bouche bien remplie, elle a englouti sa queue jusqu'à la racine. Notre ami est aux anges. Se faire sucer par une belle femme comme Sandra est une aubaine pour lui. Il se laisse faire.
J'adore prendre ma femme debout par derrière. Je tire sur ses hanches pour la relever en maintenant sa tête et je m'introduis en elle, tendis qu'elle continue de pomper notre jeune ami. Je la connais bien et je sais qu'elle aime se faire limer pendant qu'elle suce une queue. En général cela décuple son ardeur à pomper et rend son orgasme plus fort et surtout plus rapide. Son con est vraiment accueillant, je la pistonne doucement tout en la regardant. Je me penche pour mieux voir sa bouche aller et venir, elle est vraiment belle lorsqu'elle suce. Surtout lorsque sa poitrine bouge au rythme de mes coups de queue. Mon ventre claque contre ses fesses, la projetant contre le pubis de celui à qui elle fait un pompier magistral. Le jeune homme a les yeux fermés. Moi, je les garde ouverts pour mieux mater. Je me retire presque entièrement, puis je m'enfonce d'un seul coup, à chaque fois elle avale la totalité du pieu qu'elle suce et ses seins se balancent plus fort. Elle n'est plus qu'un objet de plaisir et elle aime ça. Je passe ma main sur son ventre.
J'aime sentir la dentelle de son porte jarretelles sous ma paume. Je la caresse doucement par-dessus, puis je descends vers son triangle, dont je froisse les poils, avant de continuer ma progression vers son clitoris, que j'extirpe de sa gangue avant de le titiller doucement. Sandra râle doucement et je dois faire attention si je ne veux pas qu'elle jouisse trop vite. Je m'immobilise en elle tendis que j'arrête de traquer son bouton d'amour.
Ma main gauche reste sur sa motte, tendis que l'autre se pose sur son dos. Je sens qu'elle est à l'écoute de son corps, qu'elle attends de savoir ce que je vais faire.
Mais elle continue de lécher notre ami, tout en prenant garde, elle aussi, qu'il ne gicle pas trop vite. J'appuie sur son dos pour bien la cambrer, effleurant avec plaisir la dentelle recouvrant son serre-taille. Après avoir goûté un instant la vision de cette chute de rein, délicieusement mise en valeur par la large barrière de dentelle noire, je tire dessus et me cale bien à fond dans son vagin.
Ma main quitte son dos, ce corset nouvelle mode est fermée par de nombreuses agrafes conduisant directement mon pouce fureteur jusqu'à sa raie, dont la naissance est masquée par la dentelle. Sandra cesse tout mouvement, elle sait ce que je vais faire et attends avec impatience et bonheur. Je fait glisser mon doigt, en appuyant pour le faire passer entre ses fesses qui se séparent, pour m'offrir le libre accès à son petit trou du cul. Il est bistré et tout plissé. C'est un véritable appel à la sodomie et, bien entendu, je n'y résiste pas.
Mon pouce se pose sur sa rondelle. Elle est tendre et ma petite femme tend tellement ses fesses à la rencontre de mon doigt qu'elle a tendance à s'ouvrir légèrement. Je pousse et mon doigt entre petit à petit dans son anus. L'anneau me serre le doigt, tendis que je le lui vrille au fond des boyaux. Je le retire avec précaution et lenteur rien que pour avoir la joie de voir son trou du cul se retrousser et ressortir avec mon doigt. Je reprends mes mouvements avec précaution, mon pouce entre et sort au rythme de ma queue, tendis que ma main droite lui presse la motte et traque son clitoris. Je n'ai pas besoin de la ramoner comme un sauvage, je sais qu'elle va avoir un orgasme fulgurant. Je ferme les yeux et me concentre pour retarder ma jouissance, mais l'image de Sandra reste gravée en moi et continue de porter mes nerfs à vif.
Emportés les uns et les autres par notre plaisir nous ne tardons pas à atteindre l'orgasme. Je parviens à me retirer au dernier moment, pour avoir le plaisir de gicler sur les fesses de Sandra, qui libérée a le temps de se redresser pour que notre auto-stoppeur lui poisse les seins de son jus.
Je récupère la petite culotte de Sandra qui traîne sur le capot moteur, lui essuie la chatte et les fesses avec avant de la lui passer. Une fois que Sandra s'est épongée les seins avec, je récupère le morceau de tissu roulé en boule et le mets dans ma poche.
Ma belle petite vicieuse qui vient de se faire éclater le con et les amygdales restera cul nu sous sa jupe durant le reste du trajet. Je me sens en forme et il se pourrait que l'on vive d'autres aventures avant d'être arrivés à la maison. Nous déposons l'inconnu à l'endroit prévu, non sans lui avoir fait cadeau de la petite culotte de dentelle noire de Sandra qui est encore toute humide et odorante de mon sperme et du sien mêlé à la cyprine de sa propriétaire pour qu'il se souvienne de nous. Ce n'est qu'après l'avoir quitté que nous, nous rendrons compte que nous ne lui avons même pas demandé son prénom.


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