Auto-stop imprévu...

- Par l'auteur HDS Pierre31 -
Récit érotique écrit par Pierre31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Auto-stop imprévu... Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(8.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Auto-stop imprévu...
Je m’appelle Pierre, j’ai 45 ans et je suis marié depuis 10 ans. Ma femme s’appelle Cécile, nous n’avons pas d’enfants mais avons une vie sexuelle épanouie car nous n’avons pas de mal à communiquer et nous dire ce que nous aimons l’un et l’autre. Pour autant, nous n’avons jamais eu de pratiques vraiment « osées »...
Ce weekend dernier, nous sommes allés à Gruissan faire mouiller notre bateau que nous stockons dans un hangar durant l’année, qui se situe dans une zone un peu boisée non loin de l’autoroute près de Narbonne. Nous habitons Toulouse, ce hangar situé non loin de Gruissan nous permet de rouler le moins possible avec la remorque.
Au retour, vers 22h, nous quittons Gruissan et nous voyons, sur le bas-côté de la route, un petit jeune qui tient un carton avec écrit en gros « TOULOUSE ».
Cécile : Chéri, prends le, il est tard, il va comme nous à Toulouse.
Moi : Oui mais on doit passer au hangar reposer la remorque, ça va lui faire un détour.
Cécile : A mon avis il s’en fout, il sera bien content d’être pris et il fait nuit, il pourrait tomber sur des connards...
Moi : Ouais ok pourquoi pas, il a une bonne tête en plus ça va, il a l’air gentil.
Je m’arrête sur le bas-côté, le jeune homme sourit en nous voyant et s’avance vers la voiture.
Yannick : Bonjour, je m’appelle Yanick, je vais à Toulouse rejoindre ma copine, c’est super sympa de vous être arrêtés. Ça vous dérange pas de m’amener c’est sûr ?
Moi : Non c’est bon, on va à Toulouse en plus, par contre on doit faire un détour pour poser la remorque. Ça te va ?
Cécile : C’est un détour de 30 minutes maxi...
Yannick : Non pas de soucis, c’est déjà super que vous vous soyez arrêtés, en plus vous allez à Toulouse et puis il fait nuit depuis 20 minutes, c’est limite flippant, on ne voit pas les gens qui sont dans les voitures.
Moi : Vas-y Yannick, monte ! Bienvenue à bord !
Le jeune Yannick pose son sac sur le siège arrière à côté de lui. Il s’assoit derrière moi et tourne la tête vers ma femme qui lui demande...
Cécile : Alors comme ça, tu... Je peux te dire tu ?
Yannick : Oui ça sera plus cool, ok pour « tu »Cécile : Comme ça tu vas voir ta copine à Toulouse ?
Yannick : Oui, elle vient d’y trouver un appart, elle vient d’avoir un boulot en tant que commerciale dans une société hôtelière.
La conversation continue tranquillement, nous échangeons des banalités et là je lui dis que je dois passer au hangar.
J’emprunte une petite route qui passe au milieu des bois non loin de l’autoroute et on distingue des petits baraquements avec autour quelques hangars, dont le nôtre. Il est un peu à l’écart des autres, entourés de pins, c’est assez discret. Je m’engage sur le petit chemin qui nous y mène.
Arrivés au bout, je manœuvre pour mettre la remorque devant la porte du hangar et je stoppe la voiture.
Ma femme me dit qu’elle s’éloigne un peu pendant un petit quart d’heure le temps de passer un coup de fil à sa meilleure amie qui avait un rencart aujourd’hui...elle est curieuse. Le jeune Yannick me dit qu’il va fumer une cigarette pour éviter de nous enfumer la voiture. Je lui dis d’aller là où il y a le barbecue un peu plus loin pour éviter de mettre le feu. Et moi je vais mettre la remorque dans le hangar.
Une fois la remorque rangée, je vais voir ma femme qui me fait signe de la main qu’elle est en pleine conversation. Je décide d’aller voir Yannick vers le barbecue.
Je vais à la zone du barbecue mais je ne le vois pas... je cherche un peu et je devine une forme derrière un des pins. Je m’approche et je devine qu’il est adossé à l’arbre et qu’il est en train de se branler et de gémir... sa main est très rapide et sa respiration suffocante. Je me marre intérieurement, en me disant que c’est naturel et je m’apprête à repartir pour le laisser finir et ne pas le gêner. Mais je marche sur une branche et un craquement indiscret se fait entendre... Paniqué Yannick se retourne et se dégage de l’arbre pour regarder dans ma direction... Il me voit et devient blême...
Yannick : Désolé monsieur, ce n’est pas ce que vous pensez...
Moi (rigolant en le voyant le sexe dur et mouillé dans la main) : Haha Yannick ! Tu sais je ne te juge pas, je ne suis pas choqué, mais c’est tout à fait ce que je crois non ?
Yannick : Enfin, c’est que, je vois ma copine tout à l’heure et j’ai envie de lui faire l’amour mais j’ai peur de jouir trop vite... Je me suis dit que de me branler ça m’aiderait à tenir tout à l’heure...
Moi : Ah ok ok je vois, pour être honnête, on a tous fait ça à un moment ou à un autre pour éviter l’éjaculation précoce...
Yannick (rassuré) : Merci monsieur de me comprendre...
Il avait mis la main devant son sexe pour me parler et là il se tourne pour pouvoir remonter son pantalon et par mégarde il fait tomber son téléphone de la poche de sa chemise. Machinalement il se penche pour le ramasser.
C’est là que je vois son cul devant moi, imberbe et bien rond, à croquer ! Dessous on devine un peu ses couilles (qui sont grosses)... Je ne m’étais jamais surpris à regarde le cul d’un mec comme ça... avec envie...j’ai même commencé à bander de manière soudaine.
Il se redresse et se retourne, comme si il avait deviné que je matais son cul et il me dit Yannick : Hey mais vous m’avez maté le cul ?!
Moi : Oui, désolé, je ne suis pas attiré par les mecs, mais là je dois t’avouer que ton cul m’excite...
(j’en revenais pas d’avoir dit ça à un mec... et si il dit à Cécile que j’ai dit ça... comment elle va le prendre ?)Yannick : Moi non plus et puis vous êtes mariés, vous devriez pas dire des choses comme ça !
Moi : Oui je sais... Et puis j’ai vu ta grosse bite tout à l’heure tout dure et mouillée, forcément ça me donne des idées même si je n’étais pas venu pour ça tu comprends ? J’étais venu discuter, le temps que ma femme finisse son coup de fil.
Yannick : Oui pardon, de toutes façons c’est moi qui suis nul, j’étais là comme un puceau à me branler pour assurer devant ma copine après... Je suis ridicule...
Moi : T’en fais pas, je me sens aussi con que toi après t’avoir dit ça et pour ta branlette je dirai rien à ma femme tu peux être tranquille.
Yannick : Ok ok, égalité ! (dit-il en se marrant) mais sans vouloir vous embêter...vous avez dit « grosse bite »...c’est vrai vous la trouvez grosse ?
Ça c’est le complexe typique de nous les hommes et ça m’a toujours fait marrer, savoir si on en a une grosse ou pas. Pour ma part, me trouvant dans la moyenne, ça ne m’a jamais trop donné de complexe dans un sens ou dans l’autre. Mais là, sa question me donnait à réfléchir sur autre chose...c’est vrai je lui avais parlé de sa grosse bite comme si ça m’avait excité autant que la vision de son cul... Oula mais que m’arrive-t-il ce soir ? Et puis Cécile va revenir, il faut que je me ressaisisse.
Moi : Tu peux me tutoyer tu sais, tu me fais vieillir en me disant vous.
Yannick : Oui pardon – répondit-il en souriantMoi : Pour ta bite oui, je la trouve grosse et même assez jolie. On aurait presque envie de la toucher...
Et voilà, je voulais me ressaisir et au contraire j’en rajoutais une couche...j’étais troublé...d’autant plus qu’il avait plus ou moins remis ses vêtements mais son pantalon restait encore à demi ouvert et j’avais une vision de moi en train de mettre la main dedans pour aller chercher sa bite...
Il voyait que je regardais vers sa bite et que j’étais gêné...et je sentais que je bandais de plus en plus...
Yannick : C’est un peu gênant venant d’un mec mais au fond ça me fait plaisir. Ma copine me le dit jamais et tu sais, c’est con mais, j’ai besoin d’être rassuré.
Je lui souriais et je regardais à nouveau vers son pantalon et là j’ai vu qu’il bandait aussi...j’étais tellement troublé par ma propre érection que je n’avais pas remarqué que ça l’excitait aussi. Et là je me sentis comme poussé à agir. Sans dire un mot je me suis approché de lui et j’ai mis mon visage en face du sien. Ma bouche à un centimètre de la sienne...et là ! J’ai glissé ma main dans son pantalon directement sur sa bite !
Je pensais qu’il allait me repousser et me dire d’arrêter immédiatement (car même si il bandait, peut-être qu’il n’avait pas envie que ça aille plus loin). Mais, je tenais dans ma main sa bite qui s’est durcit encore d’avantage et qui s’est mis à mouiller abondamment. Dans mon caleçon c’était aussi la folie, je bandais comme jamais et je sentais ma mouille qui dégoulinait jusqu’à mes jambes...
Et là, c’est lui qui m’a saisi la bouche avec la sienne et qui m’a roulé un patin d’enfer. Sa langue me léchait partout et il gémissait en m’embrassant. Il m’a fait encore plus bander ! J’avais la bite dure comme jamais ! Je lui caressais les couilles et la bite avec ma main. Sa mouille s’étalait partout sur ma main. J’avais envie de gouter sa mouille, alors j’ai remonté la main vers ma bouche et j’ai léché mes doigts. Cela l’a beaucoup excité et il s’est mis à me lécher les doigts aussi. Il mangeait à tour de rôle ma bouche et mes doigts...j’étais surexcité !
Mais je voulais plus...je l’ai fait reculer de quelques pas pour le plaquer contre un arbre et je me suis mis à genoux devant lui. Il me regardait avec envie, il devinait ce que j’allais faire et je sentais son excitation. Je me suis mis face à son caleçon et j’ai commencé à faire glisser son pantalon par terre.
Il mouillait tellement que son caleçon était trempé ! (le mien aussi d’ailleurs, je nageais dans ma mouille) J’ai commencé à lécher le caleçon et je sentais sa bite dure derrière qui ne demandait qu’à sortir pour aller dans ma bouche.
J’en revenais pas de ce que j’étais en train de faire et ça m’excitait comme jamais. En plus Cécile pouvait débarquer à tout moment et je crois qu’à ce moment précis j’en avais même envie pour voir sa réaction.
Et là c’est Yannick qui a sorti de lui-même sa bite tout dure vers ma bouche et qui m’a dit :Yannick : Suce-moi ! J’en peux plus ! Tu m’excites grave là !!! Suce-moi à fond !!!
Je n’ai pas hésité à le gober entièrement et à commencer à le sucer comme une chienne que j’étais devenue. J’avais envie de le faire jouir dans ma bouche et je m’imaginais avaler tout son sperme !
Et là j’ai entendu une voix un peu lointaine qui a dit « oui c’est ça suce le !! vas y !!! ».
J’ai regardé sur le côté d’où venait la voix et là, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir que c’était Cécile qui nous regardait un peu à l’écart. Elle devait être là depuis un moment car elle avait défait les boutons de son jean et avait glissé sa main dans sa culotte. Elle se touchait en nous regardant !
Moi : Chérie ? Tu es là depuis longtemps ? (moi comme un con, comme si elle n’avait pas compris) Tu n’es pas fâchée ? (qu’est ce qu’on peut dire comme conneries dans ce genre de situation : elle se touche elle n’est pas fachée !)Cécile : Je vous regarde depuis 5 minutes, je voulais vous engueuler mais ça m’a fait mouiller, je ne sais pas pourquoi...du coup j’ai envie que vous alliez encore plus loin maintenant...
Je n’en revenais pas ! Non seulement elle n’était pas choquée mais en plus ça l’excitait ! Je suis vraiment avec la plus chouette des cochonnes me disais-je au fond de moi. Et Yannick qui était resté immobile et sans voix à la vue de Cécile, se mit à redoubler d’envie et pris ma tête entre ses mains et me mit sa bite sauvagement dans la bouche en me disant : Yannick : Allez suce-moi bien maintenant et applique toi, ta femme nous regarde.
Cécile : Oui chéri, applique toi, je sais qu’au fond de toi tu aimes la bite, alors montre lui comme tu aimes ça et comme tu aimes me faire plaisir.
J’étais aux anges de les sentir me dominer tous les deux en me donnant le rôle de soumis. Je m’appliquais du coup et commençais à faire des gorges profondes avec la bite de Yannick. Hummm qu’elle était bonne sa bite. Je lui léchais le gland, je lui prenais la bite en entier puis je la léchais de haut en bas, j’avalais sa mouille qui coulait sans arrêt, hummmm et je bandais à en avoir mal tellement j’étais dur !
Là, Yannick a eu des tressautements et a signifié qu’il allait éjaculer...et ma femme s’est alors relevé et est venue vers lui et a dit :Cécile : Attends Yannick, ne jouis pas s’il te plait. Attends un peu...tu t’es fait sucer par mon mari mais maintenant je veux qu’il te prenne.
Yannick : Quoi ? Qu’il m’encule tu veux dire ?
Cécile : Oui ! Qu’il te la mette bien profond dans ton petit cul, ça m’exciterait !
Je suis toujours autant surpris en me rappelant cette scène. Entendre ma femme parler ainsi et nous mettre dans cette situation...ça me surprenait au plus haut point mais ça me donnait envie et j’étais impatient de réaliser ses désirs (qui au fond étaient aussi les miens vous l’aurez compris).
Cécile me fit me redresser et s’approcha de Yannick, elle regarda sa bite encore toute dure et mouillée et la pris dans sa main.
Cécile : hmmm, quelle bonne bite tu as Yannick, en plus d’être mignon, tu es bien foutu. (Elle se tourna vers moi) Tu permets que je le suce un peu ?
Moi : Oui chérie vas-y, tu vas voir elle est trop bonne sa queue.
Ni une ni deux, ma femme se mit à genoux et pris la bite de Yannick dans sa bouche. Elle commença à lui faire une pipe d’enfer et je vis que Yannick à nouveau allait éjaculer. Mais ma femme, expérimentée, se stoppa net et dit :Cécile : Tu as raison chéri, sa bite est un régal. Il est prêt maintenant. (Elle s’adressa à lui). Mets-toi à quatre pattes Yannick !
Quelle excitation de voir ma femme diriger les choses ainsi, et d’ailleurs Yannick, tout autant excité, s’exécuta sans broncher et se mis à quatre pattes devant moi. Le cul bien en l’air.
Quelle vision ! Ce cul bien fait, bien lisse, ce petit trou rose qui ne demande que ma bite et avec ma femme à côté qui ne demande que ça !
Cécile : Ecartes tes fesses avec tes mains Yannick, que Pierre voit bien comme tu as envie qu’il te prenne. Tu as envie qu’il t’encule pas vrai ?!
Yannick : Oui ! Je veux sentir sa bite dans mon cul !
Cécile : Tu vas la sentir crois-moi ! Je ne l’ai jamais vu bander autant !
Je mettais débarrassé de mon pantalon et de mon caleçon pendant qu’il se mettait à quatre pattes et en effet j’affichais la plus convaincante des érections. J’avais même un fil de mouille qui tombait jusqu’au sol tellement j’étais à fond.
Cécile : Attends chéri ! Je veux qu’il goute la bite qu’il va prendre dans son cul.
Je me mettais en face de Yannick, qui redressa la tête et qui se mis à me lécher la bite. Il s’appliquait et me procurait du plaisir. Il était doux et gourmand à la fois. J’aurais bien eu envie de lui décharger tout dans la bouche mais à ce moment ma femme me demanda de me mettre à nouveau derrière lui.
Je me suis remis derrière lui. Il avait remis ses mains sur ses fesses pour bien me montrer son trou du cul. J’avais jamais imaginé que je banderais autant pour le cul d’un mec et encore moins que j’aurais même envie de lui lécher le trou.
Heureusement, Cécile, qui me connaissait sans doute encore mieux que je l’imaginais me dit à cet instant.
Cécile : Lèche-lui le cul avant de le prendre. Et mets bien ta langue dans son trou, je veux l’entendre gémir !
Yannick : Oh ouiiii ! Lèche-moi le cul !!!
Il écarta ses fesses encore plus fort et remonta le cul pour bien me mettre le trou face à mon visage qui s’était penché vers son cul.
J’ai commencé à lui lécher le cul avec ma langue autour de son trou et puis petit à petit j’ai léché son trou et de temps en temps je plaçais me mains sur ses mains pour l’aider à bien ouvrir son cul et je glissais profondément ma langue dans son trou. Quel délice ! Je lui bouffais littéralement le cul et j’adorais ça. J’aimais le gout de son cul et ce que je lui faisais et ses gémissements me faisaient comprendre que lui aussi.
Là, Cécile se touchait en nous regardant et je voyais que ça dégoulinait entre ses doigts. Elle était jean baissé accroupie à côté de moi, la chatte bien à l’air et elle se doigtait avec deux doigts en alternant entre son cul et sa chatte. A un moment elle se plaça à côté de moi et mis ses deux doigts mouillés dans le cul de Yannick. Ce dernier, qui sentit une chose plus grosse en lui, se mit à gémir de plus belle. Elle ressortit ses doigts qu’elle ne manqua pas de me faire lécher (quelle salope ! Mais j’aime ça !).
Cécile : Encule le maintenant chéri, il en a envie là !
Yannick : Oui, j’en peux plus j’ai le cul en feu ! Pierre mets ta grosse bite dans mon cul et défonce moi !!!
Moi : Je vais te défoncer le cul et je vais jouir dans ton cul !!!
Cécile : Yannick, mon mari a ses tests à jour, mais toi ?
Yannick : Oui j’ai fait des tests je les ai dans mon sac, c’est pour ma copine je voulais lui montrer qu’on pouvait ne plus mettre de capote.
Avec Cécile, on s’est regardé en se marrant un peu. Quelle situation cocasse où tout était imprévu mais excitant.
Ravi de cette nouvelle je redoublais d’envie de l’enculer. Je plaçais donc ma bite juste à l’entrée de son cul et volontairement je restais immobile. Il fit mine de reculer un peu pour que ça rentre mais je faisais en sorte de reculer en même temps.
Yannick : Vas-y ! Mets la moi ! Défonce-moi le cul !
Je n’attendais que ça pour m’engouffrer d’un coup d’un seul à l’intérieur de son cul avec ma bite bien dure et bien trempée d’excitation. Son trou était bien serré et étroit mais je me sentis bien à l’intérieur. C’était chaud et humide, on aurait dit qu’il mouillait du cul.
Et là j’ai commencé à le prendre comme jamais j’ai pris quelqu’un. Je lui pilonnais le cul avec un désir fou. Je sortais ma bite de temps en temps pour la ré-enfoncer de plus belle dans son cul. Il aimait ça et le faisait savoir. Il gémissait et couinait comme une chienne.
Ma femme s’est placée devant lui la chatte ouverte et lui a ordonné de la lécher. Il léchait ma femme pendant que je lui bourrais le cul à coups de bite !
Je me sentais bien dans son cul, je l’aurais limé pendant des heures si j’avais pu. Mais je voyais bien que l’excitation m’amenait à jouir bientôt et il en était de même pour lui.
Yannick : Je vais jouir !!!
Moi : Moi aussi !
Yannick : Mets moi tout dans le cul !!! Remplis-moi le cul de sperme !!!
Putain il m’avait excité en disant ça et je jouis presque instantanément. J’ai envoyé tellement de sperme que j’avais l’impression que ma bite nageait dans son cul. J’y suis resté quelques secondes et lui aussi a jouit. Il a eu des soubresauts et a tout envoyé sur ma femme qui a eu la bonne idée de mettre sa bouche bien en face de sa bite et de tout avaler. Quelle cochonne !
Elle en avait plein la bouche et non contente d’avoir tout pris, elle est venue me rouler une grosse pelle pour partager avec moi la jouissance de Yannick.
Hmmm on était tous de vrais cochons.
Quand je me suis retiré du cul de Yannick, mon sperme coulait le long de sa raie et cette vision était ultra bandante. Le cul de Yannick à quatre pattes avec mon sperme qui sort de son cul, quel pied !
Et là on s’est tous affalé simultanément. Vidés de tout mais heureux. Quel kif intégral. Quel pied monumental !
On s’est rhabillé doucement et on s’est dirigés vers la voiture. On se souriait les uns les autres sans dire un mot.
Une fois dans la voiture et la route entamée, ma femme se tourna vers Yannick.
Cécile : Alors Yannick tu disais que tu allais rejoindre ta copine à Toulouse ?
....
Ma femme aurait-elle de nouvelles envies dans la tête...avec une autre femme ?...
Vous le saurez si vous avez apprécié cette histoire je vous écrirais la suite...

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