Aux enfers de la perversion 3/suite
Récit érotique écrit par Claire_marie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Aux enfers de la perversion 3/suite
La suite de ma descente aux enfers avec Pierre ce collègue que je n’aime pas.
Je suis là, bras ballants, nue face à lui encore habillé. Il me dévisage, m’humilie et je reste rouge de honte et de plaisir à entendre ses mots.
Il se décide enfin à bouger. Il s’approche moi, m’enlace, m’embrasse, me serre contre lui tout en caressant mes fesses avec beaucoup de fermeté. Il me pousse vers le lit et me bascule dessus. Je suis inerte et me laisse faire, je me sens sous emprise. Il continue de m’embrasser sur tout le corps. Ses caresses et ses baisers me laissent de marbre.
Il me retourne, me fait mette ventre contre le lit. Il m’apporte un oreiller pour pose ma tête. Il me fait faire creuser les reins. Une fois la position obtenue, il me tire jusqu’au pied du lit, m’écarte légèrement les jambes. Cette mise en scène ne me plait pas du tout, je me sens tellement fragile, ainsi positionnée, nue devant lui. J’image qu’il veut me prendre “en levrette”. Et puis c’est le silence pendant un temps qui me parait infini.
– Pierre, qu’est-ce que vous faites ? Je m’aperçois que je le vouevois alors que lui me tuteois depuis longtemps.
– Tais toi !
Il revient vers moi, me prend les poignets et les amène derrière mon dos.
– Je t’attache les mains avec l’embrase des rideaux.
– Ah non, je n’aime pas çà.
Pour toute réponse une grande claque s’abat sur mes fesses.
Je bouge les mains et je me rends compte qu’elles sont à peine emprisonnées et si je le veux je peux facilement retirer ces “liens”. Pourtant je ne fais rien. La peur ? Je ne crois pas, car je ne sens pas de violence. L’excitation de cette situation ? J’en suis persuadée. Ces sentiments troubles sont une découverte pour moi et je ne sais trop quoi penser.
J’entends un bruit de chaise, une fermeture éclair et plus rien. Ce silence m’inquiète.
–Pierre ?
– Pierre répondez moi, que faites vous ?
– Tu veux le savoir ? Et bien je suis assis derrière toi et je t’admire.
- Plus exactement j’admire ta fente, ta raie tout en me branlant. Ca te fait quoi d’avoir le cul en l’air comme çà devant un mec qui se branle ? Cela t’excite, car je vois la chatte briller de son humidité. Tu n’as pas l’impression d’être une salope ?
Je voudrais me révolter, m’enfuir, mais je ne bouge pas, parcourue par mille frissons que ces mots insultants me provoquent.
– Eh bien tu vois Claire, plus je te regarde là comme ça et plus je me dis que jamais je ne te baiserai, jamais je mettrai ma bite dans ta chatte de salope. Tu me procures tellement de plaisir à te voir dans cette position. Je vais me finir et venir vider mes couilles sur ton cul.
Je n’en peux plus de ces insultes et je suis pris d’un spasme extraordinaire, je ruisselle entre mes cuisses. Je jouis, sans caresse, sans pénétration juste par la force des mots et de la situation inédite pour moi, mes épaules s’affaissent. Je suis vidée de toute énergie.
Je l’entends respirer de plus en plus fort, il approche, pose son sexe sur le haut de mes fesses et déverse de longs jets de sperme chaud.
Nous restons sans parler, sans bouger durant un long moment.
Je me redresse, il est la sur la chaise au pied du lit. Il se lève s’approche et m’embrasse avec beaucoup de délicatesse.
– Je vais prendre un douche lui dis-je.
– NON ! Tu te rhabilles, sans te laver et tu rentres chez toi. Comme cela Tu auras encore jusqu’a ta maison le souvenir de ce que tu viens de faire ici. Toi la femme différente des autres.
Je mets mes vêtements et nous partons sans dire un mot.
Cet épisode marquait à tout jamais le début de ma nouvelle vie. Je vous livrerai la suite au gré de mes possibilités. Bises. Claire.
PS si des femmes ayant vécu ce genre de situation, j'aurais plaisir à m'entretenir avec elles.
Je suis là, bras ballants, nue face à lui encore habillé. Il me dévisage, m’humilie et je reste rouge de honte et de plaisir à entendre ses mots.
Il se décide enfin à bouger. Il s’approche moi, m’enlace, m’embrasse, me serre contre lui tout en caressant mes fesses avec beaucoup de fermeté. Il me pousse vers le lit et me bascule dessus. Je suis inerte et me laisse faire, je me sens sous emprise. Il continue de m’embrasser sur tout le corps. Ses caresses et ses baisers me laissent de marbre.
Il me retourne, me fait mette ventre contre le lit. Il m’apporte un oreiller pour pose ma tête. Il me fait faire creuser les reins. Une fois la position obtenue, il me tire jusqu’au pied du lit, m’écarte légèrement les jambes. Cette mise en scène ne me plait pas du tout, je me sens tellement fragile, ainsi positionnée, nue devant lui. J’image qu’il veut me prendre “en levrette”. Et puis c’est le silence pendant un temps qui me parait infini.
– Pierre, qu’est-ce que vous faites ? Je m’aperçois que je le vouevois alors que lui me tuteois depuis longtemps.
– Tais toi !
Il revient vers moi, me prend les poignets et les amène derrière mon dos.
– Je t’attache les mains avec l’embrase des rideaux.
– Ah non, je n’aime pas çà.
Pour toute réponse une grande claque s’abat sur mes fesses.
Je bouge les mains et je me rends compte qu’elles sont à peine emprisonnées et si je le veux je peux facilement retirer ces “liens”. Pourtant je ne fais rien. La peur ? Je ne crois pas, car je ne sens pas de violence. L’excitation de cette situation ? J’en suis persuadée. Ces sentiments troubles sont une découverte pour moi et je ne sais trop quoi penser.
J’entends un bruit de chaise, une fermeture éclair et plus rien. Ce silence m’inquiète.
–Pierre ?
– Pierre répondez moi, que faites vous ?
– Tu veux le savoir ? Et bien je suis assis derrière toi et je t’admire.
- Plus exactement j’admire ta fente, ta raie tout en me branlant. Ca te fait quoi d’avoir le cul en l’air comme çà devant un mec qui se branle ? Cela t’excite, car je vois la chatte briller de son humidité. Tu n’as pas l’impression d’être une salope ?
Je voudrais me révolter, m’enfuir, mais je ne bouge pas, parcourue par mille frissons que ces mots insultants me provoquent.
– Eh bien tu vois Claire, plus je te regarde là comme ça et plus je me dis que jamais je ne te baiserai, jamais je mettrai ma bite dans ta chatte de salope. Tu me procures tellement de plaisir à te voir dans cette position. Je vais me finir et venir vider mes couilles sur ton cul.
Je n’en peux plus de ces insultes et je suis pris d’un spasme extraordinaire, je ruisselle entre mes cuisses. Je jouis, sans caresse, sans pénétration juste par la force des mots et de la situation inédite pour moi, mes épaules s’affaissent. Je suis vidée de toute énergie.
Je l’entends respirer de plus en plus fort, il approche, pose son sexe sur le haut de mes fesses et déverse de longs jets de sperme chaud.
Nous restons sans parler, sans bouger durant un long moment.
Je me redresse, il est la sur la chaise au pied du lit. Il se lève s’approche et m’embrasse avec beaucoup de délicatesse.
– Je vais prendre un douche lui dis-je.
– NON ! Tu te rhabilles, sans te laver et tu rentres chez toi. Comme cela Tu auras encore jusqu’a ta maison le souvenir de ce que tu viens de faire ici. Toi la femme différente des autres.
Je mets mes vêtements et nous partons sans dire un mot.
Cet épisode marquait à tout jamais le début de ma nouvelle vie. Je vous livrerai la suite au gré de mes possibilités. Bises. Claire.
PS si des femmes ayant vécu ce genre de situation, j'aurais plaisir à m'entretenir avec elles.
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