Aux pieds du mûr
Récit érotique écrit par Bisextyl [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Aux pieds du mûr
Bonjour, j’ai déjà eu l’occasion de rapporter quelques-unes de mes aventures bisexuelles dans les pages de ce remarquable site. Beaucoup de lecteurs m’ont écrit pour me remercier d’avoir mis en scène les heurs et malheurs des seniors, dont on ignore le plus souvent qu’ils peuvent avoir une sexualité, qu’ils aiment et qu’ils aiment être aimés.
Sans vouloir abuser, j’aimerais relater ici ma première expérience vraiment significative avec un autre homme. Il faut comprendre que malgré quelques tentatives plutôt ratées de relations homosexuelles vers la fin de mon adolescence, j’ai longtemps été un père de famille sans histoires, fidèle à mon épouse et attentif au bonheur de mes enfants. Mais le temps passant, les enfants ont fini par quitter la maison, ma femme a petit à petit perdu l’appétit des galipettes, sans doute en partie à cause de mon propre désintérêt pour ses charmes. J’ai attendu l’âge de 56 ans pour aller au bout de fantasmes qui me tenaillaient déjà depuis des années.
A l’occasion de mes premiers contacts sur des messageries en ligne, j’ai commencé à partager des caresses, puis des fellations de plus en plus fougueuses avec des hommes sur la même longueur d’onde que moi. Mon histoire commence vraiment quand j’ai fait la connaissance de Bernard, un presque-voisin un peu fantasque qui assurait avoir été homosexuel dans sa jeunesse, avant de se mettre en ménage avec une ex-lesbienne et de lui faire deux enfants.
Notre première rencontre a eu lieu dans sa voiture. Nous avons beaucoup discuté et il ne nous est finalement resté que peu de temps pour faire plus ample connaissance avec nos mains et nos langues. Ne pouvant recevoir ni l’un ni l’autre, nous avions décidé, pour une prochaine rencontre, de prendre une chambre d’hôtel dans la zone d’activité voisine, mais au dernier moment il est apparu qu’il fallait réserver plusieurs jours à l’avance.
Bref, le bide. Nous sommes allés apaiser nos libidos dans le parc régional naturel tout proche. Il nous a fallu marcher un certain temps pour trouver un coin discret, à l’abri des regards, car c’était la période de la pêche et il y avait du monde sur les berges des étangs. Il nous fallait aussi nous cacher périodiquement du passage des mères de famille avec poussette, qui promenaient leurs bambins par petits groupes. Heureusement que leurs bavardages nous prévenaient de leur arrivée. Nous avons malgré tout pu nous en payer une bonne tranche. Totalement nus en pleine nature, caressés par le vent de septembre et réchauffés par un soleil généreux, nous nous sommes gavés de caresses et de baisers (il embrassait vraiment très bien), nous nous sommes frottés peau contre peau, sucés, branlés bite contre bite. Je me revois prendre ses couilles en bouche et taquiner la raie de ses fesses tandis que mon autre main le branlait. A la fin de l’après-midi nous avions tous deux éjaculés plusieurs fois et, ivre de plaisir je me suis agrippé au cou de Bernard de mes deux bras et lui ai chuchoté à l’oreille : «la prochaine fois, je veux que tu me prennes».
La prochaine fois a tardé à venir car le temps s’était vraiment gâté et nous étions tous deux très pris par nos activités respectives. Nous restions en contact par mail, à nous raconter des choses coquines et nous faire des promesses puis, un jour, est arrivé un message annonçant la bonne nouvelle. Le fils de Bernard ayant obtenu une bourse pour aller au Japon, son studio resterait vacant pendant quelques mois et pourrait nous servir de nid d’amour. «Prépare-toi», m’écrivait Bernard qui m’appelait maintenant «son chéri», car «je vais te faire l’amour comme à une reine»....
Je passe sur les préliminaires car ce qui a le plus compté, en compte encore le plus pour moi, est cette première fois où Bernard et moi n’avons plus fait qu’un, nos corps étroitement enlacés et lui au plus profond de moi. Je dirais seulement que ces préliminaires avaient pour moi un goût d’autant plus suave que je pensais sans cesse à ce qui allait suivre. Un de mes plus grands fantasmes était sur le point de se réaliser. J’en tremblais un peu et ressentais une sorte de pincement dans mes tripes. «Voilà», pensais-je, «l’homme qui va t’enculer et tu l’as bien cherché!».
Au moment fatidique, Bernard était allongé sur le dos sur le petit lit d’étudiant, la verge fièrement pointée vers le ciel (je m’étais bien occupé de la mettre en état), revêtue d’un préservatif dégoulinant de gel lubrifiant. Sur ses conseils, je me suis mis à genoux au-dessus de lui de façon à ce qu’en abaissant mon postérieur mon anus vienne directement reposer sur sa bite qui, je dois l’avouer, avait un diamètre nettement supérieur à tout ce que j’avais déjà pu m’enfiler à titre privé. Heureusement que Bernard avait déjà préparé le terrain pendant les préliminaires, me mettant progressivement un, puis deux puis trois doigts ensemble enduits de gel, jusqu’à ce que je ne ressente plus de malaise. «C’est la position d’Andromaque», me dit-il, «c’est vraiment la meilleure pour commencer». Au rythme des soupirs et encouragements de Bernard, j’ai alors commencé à faire entrer moi-même, à mon propre rythme, ce superbe morceau de chair dure dans mon intimité. A ma grande surprise, mon anus déjà échauffé et travaillé semblait accepter l’intrus sans trop de réticence. Je ressentais bien une brûlure due à la distension des muscles, mais rien des tortures et des souffrances promises aux candidats sodomites par les frères qui ont encadré mon adolescence. Bien au contraire, la brûlure a rapidement fait place au délice de me sentir rempli par Bernard à mesure que son vis s’enfonçait en moi, centimètre par centimètre, puis par les voluptueux frottements de son gland contre ma prostate. Je ne bandais plus du tout, mais un liquide blanc visqueux s’écoulait de mon sexe sur le ventre de Bernard à chaque poussée du membre entrant.
J’ai fini par me retrouver assis sur l’entrejambe de Bernard, son sexe de presque vingt centimètres fiché jusqu’à la garde entre mes fesses. J’avais le souffle coupé par cette intrusion et même un léger mal au cœur. Nous sommes restés ainsi sans bouger quelques minutes, le temps que je m’habitue à cette somptueuse dilatation de mes parois. Puis je me suis penché en avant, lèvres tendues. Bernard a redressé son torse appuyé sur ses avant-bras et nous avons mélangé nos langues et nos salives tandis que nous commencions à remuer nos bassins, d’abord tout doucement, puis avec de plus en plus d’ampleur. J’étais heureux. J’étais amoureux. J’étais enculé comme jamais je ne l’aurais espéré.
La suite s’imagine aisément. Notre étreinte a été de plus en plus fougueuse et les mouvements de bite de plus en plus amples, de plus en plus rapides et profonds. Nous avons essayé plusieurs positions en échangeant des baisers torrides et des propos obscènes sous l’effet du plaisir et de l’excitation. J’avais complètement perdu la tête et je jouais de mes reins pour l’aider à entrer toujours plus loin, toujours plus profond. Je voulais être à lui, disparaître en lui, qu’il me prenne, qu’il se fonde en moi, qu’il me remplisse comme le métal en fusion remplit le moule. Bernard a joui le premier et, tandis que je restais allongé sur le lit, brisé et le trou béant après son retrait, il m’a amené à l’orgasme dans sa bouche experte. Ce serait une banalité de dire que je n’avais jamais joui aussi fort de ma vie.
Voilà Messieurs, Mesdames, comment un homme de 56 ans, époux, père et grand-père, s’est fait enculer à couilles rabattues par son meilleur ami et n’en garde aucune honte, mais bien au contraire, une immense fierté et un de ses plus tendres souvenirs.
Sans vouloir abuser, j’aimerais relater ici ma première expérience vraiment significative avec un autre homme. Il faut comprendre que malgré quelques tentatives plutôt ratées de relations homosexuelles vers la fin de mon adolescence, j’ai longtemps été un père de famille sans histoires, fidèle à mon épouse et attentif au bonheur de mes enfants. Mais le temps passant, les enfants ont fini par quitter la maison, ma femme a petit à petit perdu l’appétit des galipettes, sans doute en partie à cause de mon propre désintérêt pour ses charmes. J’ai attendu l’âge de 56 ans pour aller au bout de fantasmes qui me tenaillaient déjà depuis des années.
A l’occasion de mes premiers contacts sur des messageries en ligne, j’ai commencé à partager des caresses, puis des fellations de plus en plus fougueuses avec des hommes sur la même longueur d’onde que moi. Mon histoire commence vraiment quand j’ai fait la connaissance de Bernard, un presque-voisin un peu fantasque qui assurait avoir été homosexuel dans sa jeunesse, avant de se mettre en ménage avec une ex-lesbienne et de lui faire deux enfants.
Notre première rencontre a eu lieu dans sa voiture. Nous avons beaucoup discuté et il ne nous est finalement resté que peu de temps pour faire plus ample connaissance avec nos mains et nos langues. Ne pouvant recevoir ni l’un ni l’autre, nous avions décidé, pour une prochaine rencontre, de prendre une chambre d’hôtel dans la zone d’activité voisine, mais au dernier moment il est apparu qu’il fallait réserver plusieurs jours à l’avance.
Bref, le bide. Nous sommes allés apaiser nos libidos dans le parc régional naturel tout proche. Il nous a fallu marcher un certain temps pour trouver un coin discret, à l’abri des regards, car c’était la période de la pêche et il y avait du monde sur les berges des étangs. Il nous fallait aussi nous cacher périodiquement du passage des mères de famille avec poussette, qui promenaient leurs bambins par petits groupes. Heureusement que leurs bavardages nous prévenaient de leur arrivée. Nous avons malgré tout pu nous en payer une bonne tranche. Totalement nus en pleine nature, caressés par le vent de septembre et réchauffés par un soleil généreux, nous nous sommes gavés de caresses et de baisers (il embrassait vraiment très bien), nous nous sommes frottés peau contre peau, sucés, branlés bite contre bite. Je me revois prendre ses couilles en bouche et taquiner la raie de ses fesses tandis que mon autre main le branlait. A la fin de l’après-midi nous avions tous deux éjaculés plusieurs fois et, ivre de plaisir je me suis agrippé au cou de Bernard de mes deux bras et lui ai chuchoté à l’oreille : «la prochaine fois, je veux que tu me prennes».
La prochaine fois a tardé à venir car le temps s’était vraiment gâté et nous étions tous deux très pris par nos activités respectives. Nous restions en contact par mail, à nous raconter des choses coquines et nous faire des promesses puis, un jour, est arrivé un message annonçant la bonne nouvelle. Le fils de Bernard ayant obtenu une bourse pour aller au Japon, son studio resterait vacant pendant quelques mois et pourrait nous servir de nid d’amour. «Prépare-toi», m’écrivait Bernard qui m’appelait maintenant «son chéri», car «je vais te faire l’amour comme à une reine»....
Je passe sur les préliminaires car ce qui a le plus compté, en compte encore le plus pour moi, est cette première fois où Bernard et moi n’avons plus fait qu’un, nos corps étroitement enlacés et lui au plus profond de moi. Je dirais seulement que ces préliminaires avaient pour moi un goût d’autant plus suave que je pensais sans cesse à ce qui allait suivre. Un de mes plus grands fantasmes était sur le point de se réaliser. J’en tremblais un peu et ressentais une sorte de pincement dans mes tripes. «Voilà», pensais-je, «l’homme qui va t’enculer et tu l’as bien cherché!».
Au moment fatidique, Bernard était allongé sur le dos sur le petit lit d’étudiant, la verge fièrement pointée vers le ciel (je m’étais bien occupé de la mettre en état), revêtue d’un préservatif dégoulinant de gel lubrifiant. Sur ses conseils, je me suis mis à genoux au-dessus de lui de façon à ce qu’en abaissant mon postérieur mon anus vienne directement reposer sur sa bite qui, je dois l’avouer, avait un diamètre nettement supérieur à tout ce que j’avais déjà pu m’enfiler à titre privé. Heureusement que Bernard avait déjà préparé le terrain pendant les préliminaires, me mettant progressivement un, puis deux puis trois doigts ensemble enduits de gel, jusqu’à ce que je ne ressente plus de malaise. «C’est la position d’Andromaque», me dit-il, «c’est vraiment la meilleure pour commencer». Au rythme des soupirs et encouragements de Bernard, j’ai alors commencé à faire entrer moi-même, à mon propre rythme, ce superbe morceau de chair dure dans mon intimité. A ma grande surprise, mon anus déjà échauffé et travaillé semblait accepter l’intrus sans trop de réticence. Je ressentais bien une brûlure due à la distension des muscles, mais rien des tortures et des souffrances promises aux candidats sodomites par les frères qui ont encadré mon adolescence. Bien au contraire, la brûlure a rapidement fait place au délice de me sentir rempli par Bernard à mesure que son vis s’enfonçait en moi, centimètre par centimètre, puis par les voluptueux frottements de son gland contre ma prostate. Je ne bandais plus du tout, mais un liquide blanc visqueux s’écoulait de mon sexe sur le ventre de Bernard à chaque poussée du membre entrant.
J’ai fini par me retrouver assis sur l’entrejambe de Bernard, son sexe de presque vingt centimètres fiché jusqu’à la garde entre mes fesses. J’avais le souffle coupé par cette intrusion et même un léger mal au cœur. Nous sommes restés ainsi sans bouger quelques minutes, le temps que je m’habitue à cette somptueuse dilatation de mes parois. Puis je me suis penché en avant, lèvres tendues. Bernard a redressé son torse appuyé sur ses avant-bras et nous avons mélangé nos langues et nos salives tandis que nous commencions à remuer nos bassins, d’abord tout doucement, puis avec de plus en plus d’ampleur. J’étais heureux. J’étais amoureux. J’étais enculé comme jamais je ne l’aurais espéré.
La suite s’imagine aisément. Notre étreinte a été de plus en plus fougueuse et les mouvements de bite de plus en plus amples, de plus en plus rapides et profonds. Nous avons essayé plusieurs positions en échangeant des baisers torrides et des propos obscènes sous l’effet du plaisir et de l’excitation. J’avais complètement perdu la tête et je jouais de mes reins pour l’aider à entrer toujours plus loin, toujours plus profond. Je voulais être à lui, disparaître en lui, qu’il me prenne, qu’il se fonde en moi, qu’il me remplisse comme le métal en fusion remplit le moule. Bernard a joui le premier et, tandis que je restais allongé sur le lit, brisé et le trou béant après son retrait, il m’a amené à l’orgasme dans sa bouche experte. Ce serait une banalité de dire que je n’avais jamais joui aussi fort de ma vie.
Voilà Messieurs, Mesdames, comment un homme de 56 ans, époux, père et grand-père, s’est fait enculer à couilles rabattues par son meilleur ami et n’en garde aucune honte, mais bien au contraire, une immense fierté et un de ses plus tendres souvenirs.
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