Ava
Récit érotique écrit par Alfredo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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Couleur du fond :
Ava
Je suis un jeune étudiant au lycée. Je n'ai jamais eu trop de succès avec les filles, je suis plutôt gêné. Je suis un passionné des jeux-vidéo. N'imaginez toutefois pas que je suis un ermite antisocial qui se terre dans son sous-sol ; j'ai beaucoup d'amis masculins et même quelques uns du sexe opposé. J'aime faire du sport et ai donc un corps svelte et plutôt musclé, mais ce n'est pas du muscle acquis à coup de boisson protéinée et d'entraînement, c'est du naturel. À l'école, je suis plutôt doué, c'est donc pour cette raison que je suis tuteur en mathématiques, une matière qui me passionne (« étrangement », diront certains).
C'est dans ce contexte de tutorat que je rencontrai Ava, une étudiante que je n'avais jamais remarquée auparavant. Elle était d’une année plus jeune que moi et venait tout juste d'arriver de Madagascar avec ses parents. Elle était enfant unique. Elle avait spécifié qu'elle préférait qu'on se rencontre chez elle. Cela ne m'avait pas dérangé, puisque n’étions qu'à 15 minutes de vélo l’un de l’autre, mon moyen de transport favori. C'est donc par une chaude journée d'été que je me présentai pour la première fois à sa porte, légèrement en sueur et essoufflé de mon trajet en bicyclette.
Elle m'ouvrit la porte et me gratifia d'un sourire gêné en m'invitant à pénétrer chez elle. Elle était plus petite que moi, qui mesurais presque un mètre quatre-vingt-cinq. Elle était très jolie, avec son teint caramel, ses yeux bruns foncés et ses cheveux d'ébène qu'elle tenait en queue de cheval. Alors que je la suivais, se dirigeant vers la table à manger, je ne pus ignorer ses jolies fesses bien arrondies, mises en évidence par son court short blanc, qui s’agençait avec son petit T-shirt tout aussi immaculé et qui me lassait deviner son absence de soutien-gorge. Bien que pubère, il faut dire que cette fille n'avait que de tout petits seins, qui semblaient toutefois bien fermes.
Nous nous assîmes à la table côte à côte et commencèrent le devoir qu'elle avait à remettre pour le lendemain. J'appréciais le fait d'être assis si proche d'elle, et entrepris même subtilement de rapprocher ma chaise dès qu'une occasion se présentait Peu de temps après, j'étendis le bras pour mettre la main sur la calculatrice et effleurai (peut-être pas involontairement) son sein droit. Elle sursauta et me regarda droit dans les yeux. Je soutins son regard de féline un instant puis tentai un geste : je posais ma main sur son genou. Elle mit sa main sur la mienne et la fit progresser vers l'intérieur de sa cuisse tout en s'avançant pour m'embrasser goulûment. Nous poursuivirent ce baiser pendant quelques minutes, mais bien vite, je commençai à peloter gentiment ses seins à travers son T-shirt. J'entendais sa respiration s'accélérer. Elle quitta rapidement sa chaise pour venir s’asseoir directement sur mon bassin. Tout en continuant à m'embrasser, elle faisait des mouvements de va-et -viens sur la bosse qui se formait dans mon pantalon. Ensuite, je rentrai ma main dans son short et lui caressai son intimité de plus en plus humide. Je finis par y insérer un doigt, ce qui lui fit échapper un petit cri aigu, mais aussi accélérer son mouvement sur ma région pubienne.
Soudainement, elle se plaça à genou devant moi, défit ma ceinture et abaissa mon pantalon. Mon érection était à son comble et gonflait mon sous-vêtement. Elle caressa mon membre avant de l'extraire de sa prison de textile. Elle enleva son T-shirt pour découvrir ses petits seins, et elle s'arrima tout de suite à me sucer. Lentement au début, puis de plus en plus vite. En même temps, elle se doigtait de l'autre main. Je sentis la tension monter de mon côté. Doucement, je lui pris la main et l'invita, d'un geste, à venir s’empaler sur mon pénis dressé. Elle n'hésita pas une seconde et s'embrocha aussitôt en fermant les yeux de plaisir. Elle amorça alors des mouvements de haut en bas en augmentant la vitesse graduellement. Au début, elle y allait très lentement, presque avec précaution, de peur que son vagin étroit ne puisse contenir mon membre. Cependant, elle prit assez vite confiance en elle et me monta telle une cavalière amazonienne. Ses cris perçants s'allongèrent en même temps que je sentis le sperme monter de mes testicules subissant les assauts répétés du bassin de ma lionne et nous jouîmes en même temps, elle d'un long cri aigu et moi d'un râle guttural.
C'est dans ce contexte de tutorat que je rencontrai Ava, une étudiante que je n'avais jamais remarquée auparavant. Elle était d’une année plus jeune que moi et venait tout juste d'arriver de Madagascar avec ses parents. Elle était enfant unique. Elle avait spécifié qu'elle préférait qu'on se rencontre chez elle. Cela ne m'avait pas dérangé, puisque n’étions qu'à 15 minutes de vélo l’un de l’autre, mon moyen de transport favori. C'est donc par une chaude journée d'été que je me présentai pour la première fois à sa porte, légèrement en sueur et essoufflé de mon trajet en bicyclette.
Elle m'ouvrit la porte et me gratifia d'un sourire gêné en m'invitant à pénétrer chez elle. Elle était plus petite que moi, qui mesurais presque un mètre quatre-vingt-cinq. Elle était très jolie, avec son teint caramel, ses yeux bruns foncés et ses cheveux d'ébène qu'elle tenait en queue de cheval. Alors que je la suivais, se dirigeant vers la table à manger, je ne pus ignorer ses jolies fesses bien arrondies, mises en évidence par son court short blanc, qui s’agençait avec son petit T-shirt tout aussi immaculé et qui me lassait deviner son absence de soutien-gorge. Bien que pubère, il faut dire que cette fille n'avait que de tout petits seins, qui semblaient toutefois bien fermes.
Nous nous assîmes à la table côte à côte et commencèrent le devoir qu'elle avait à remettre pour le lendemain. J'appréciais le fait d'être assis si proche d'elle, et entrepris même subtilement de rapprocher ma chaise dès qu'une occasion se présentait Peu de temps après, j'étendis le bras pour mettre la main sur la calculatrice et effleurai (peut-être pas involontairement) son sein droit. Elle sursauta et me regarda droit dans les yeux. Je soutins son regard de féline un instant puis tentai un geste : je posais ma main sur son genou. Elle mit sa main sur la mienne et la fit progresser vers l'intérieur de sa cuisse tout en s'avançant pour m'embrasser goulûment. Nous poursuivirent ce baiser pendant quelques minutes, mais bien vite, je commençai à peloter gentiment ses seins à travers son T-shirt. J'entendais sa respiration s'accélérer. Elle quitta rapidement sa chaise pour venir s’asseoir directement sur mon bassin. Tout en continuant à m'embrasser, elle faisait des mouvements de va-et -viens sur la bosse qui se formait dans mon pantalon. Ensuite, je rentrai ma main dans son short et lui caressai son intimité de plus en plus humide. Je finis par y insérer un doigt, ce qui lui fit échapper un petit cri aigu, mais aussi accélérer son mouvement sur ma région pubienne.
Soudainement, elle se plaça à genou devant moi, défit ma ceinture et abaissa mon pantalon. Mon érection était à son comble et gonflait mon sous-vêtement. Elle caressa mon membre avant de l'extraire de sa prison de textile. Elle enleva son T-shirt pour découvrir ses petits seins, et elle s'arrima tout de suite à me sucer. Lentement au début, puis de plus en plus vite. En même temps, elle se doigtait de l'autre main. Je sentis la tension monter de mon côté. Doucement, je lui pris la main et l'invita, d'un geste, à venir s’empaler sur mon pénis dressé. Elle n'hésita pas une seconde et s'embrocha aussitôt en fermant les yeux de plaisir. Elle amorça alors des mouvements de haut en bas en augmentant la vitesse graduellement. Au début, elle y allait très lentement, presque avec précaution, de peur que son vagin étroit ne puisse contenir mon membre. Cependant, elle prit assez vite confiance en elle et me monta telle une cavalière amazonienne. Ses cris perçants s'allongèrent en même temps que je sentis le sperme monter de mes testicules subissant les assauts répétés du bassin de ma lionne et nous jouîmes en même temps, elle d'un long cri aigu et moi d'un râle guttural.
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